Kapoué test n°141 : Glossette, bar restaurant rue Sainte Barbe

Je passais dans la rue Sainte Barbe en vélo en début de semaine, et j’ai remarqué que le Gagao qui se trouvait ici ne s’y trouvait plus… En effet, il a été remplacé par « Glossette » un petit restaurant bar. Je n’ai pas eu le temps de m’y arrêter MAIS j’y suis retourné deux jours plus tard pour manger à midi…

A vrai dire de dehors, on ne sait pas trop ce que c’est : la terrasse est sympa mais y a rien expliqué à part un menu imprimé sur une feuille A4. On s’installe à l’intérieur car malgré quelques rayons de soleil, l’air reste frais pour manger dehors. Le gérant / serveur Achour (ancien gérant du bar du TNS), nous accueille avec l’air enjoué et de bonne humeur. On parcourt la carte et c’est assez difficile de choisir, on peut pas dire que les plats nous emballent… Je pars sur un tatin de légumes et son jambon serrano roquette tomates, ma co-luncheuse s’attaque quant à elle aux lasagnes saumon estragon toujours servies avec de la salade. Une boisson chacun, on déguste nos plats…

Par ma part c’est tout juste correct, le tatin de légumes est banal, réchauffé à l’instant. Le jambon est bon, la salade aussi mais y a rien qui me fait rêver dans ce que je mange. Les lasagnes de ma collègue sont trop cuites et assez sèches : AIE, j’ai goûté et j’ai retrouvé un bout d’arrête de saumon dedans !

On passe au dessert. De mon coté une tarte aux pommes noyée dans la crème anglaise et du côté de ma collègue un cheesecake. Là aussi, c’est la cata : pour moi la tarte aux pommes était loin d’être fraîche et la pâte est pas bonne. Quant au cheesecake, dur, pas du tout appétissant, il avait du rester lui aussi un peu trop longtemps au frigo…

Niveau prix, on est à 12,90 euros (boisson + plat) + 5 euros pour les desserts.

NB: A noter que la Glossette propose aussi une carte de vins français (non testée) et la vente à emporter.

Mon avis sur la Glossette :

L’intérieur est sympa, la musique zen, le patron a le sourire mais… Ca prend pas du tout : on ne comprend pas vraiment le concept de l’endroit, y a pas de cuisine sur place, c’est juste de la mise en place et du réchauffé. Les desserts sont pas top, classiques et pas frais du matin… Bref, ça colle pas. Donc en effet, j’ai mal au cœur, car y a tous les ingrédients pour que ça prenne mais ça marche pas. A revoir ou à roder dans les prochains jours, car la concurrence est rude à Strasbourg !

MISE A JOUR DU 04/01/2018 :
Passant dans cette rue ce midi, je me suis fait interpeller par le gérant de ce restaurant. Il a été très vindicatif envers moi, voir menaçant verbalement en me disant  »
je te connais, je sais où tu bosses, je connais ton numéro de téléphone…« . L’échange était très chaud, il me critiquait sur cet article en disant qu’il n’avait pas eu de droit de réponse, il voulait donc m’envoyer son avocat !!! J’ai d’abord été choqué par ses menaces et je lui ai répété que j’acceptais tout droit de réponse et que d’ailleurs les commentaires sous les articles étaient faits pour ça ! Donc cher monsieur, si vous voulez faire une réponse, je vous en prie, je me ferais un plaisir de la faire paraître ! Mais me coincer dans la rue et être menaçant, je pense pas que ça soit la bonne solution… A bon entendeur, salut !

GLOSSETTE
15 rue Sainte Barbe
67000 STRASBOURG
03 88 23 16 98
Ouvert tous les jours sauf le dimanche.

Kapoué test n°139: Harmonie Bowl and Juice, rue sainte Etienne à Strasbourg

Ouvert en août dernier à la place du Bagelstein Saint Etienne à Strasbourg, l’Harmonie Bowl and Juice est l’histoire d’un couple (monsieur ancien traiteur chinois, et madame naturopathe) sensible à la culture bio et au mode d’alimentation vegan. Ils proposent des « bowls » à base de céréales, de légumes et des protéines végétales. J’y suis passé un jour devant, et par curiosité, j’y suis retourné pour un midi…

Je suis arrivé assez tôt, j’ai pu me poser sans problème… Par contre, ça s’est remplit assez vite, je ne pensais pas que l’endroit avait déjà autant d’adeptes ! La salle est claire, grâce à ses grandes baies vitrées et ce, malgré une météo de septembre 2017 assez maussade ! L’ambiance est boisée avec quelques touches de verdures, ce qui donne un coté zen à l’ensemble : on est bien posés ici ! On a commandé nos deux bowls : un Tokyo bowl avec concombres, salade, haricots azuki, avocat et riz et un K-bowl avec la même base de riz mais avec patates douces, chou, et tofu… tout ça accompagné de deux thés glacés faits maisons. Pour le dessert, j’ai pris un pudding aux graines de chia et banane coco : excellent !

K Bowl
Tokyo Bowl

Notez aussi une belle variété de boissons : Jus de fruits frais à l’extracteur, bières, café bio, Kyo Kombucha, et thés Jardins de Gaïa… Aussi la possibilité de manger sur place du matin au soir (ou à emporter) !

pudding aux graines de chia et banane coco

Mon avis sur l’Harmonie Bowl and Juice :

Endroit cool, équipe adorable, originalité du concept sur Strasbourg : rien à redire. On mange des bons produits, ça fait plaisir. La preuve, j’ai même mangé du tofu, alors que je déteste ça ! Par contre, je suis un peu déçu par le manque de choix dans les bowls et dans les prix, car pour un bowl, un thé glacé et un dessert, je m’en suis sorti pour 17,80€ ! Sachant que le bowl est composé à 40 % de riz… Donc bon concept, faut y aller, mais personnellement, à ce prix, j’irai pas tous les jours ! 😉

Et vous, ça vous tente ?


Mise à jour du 21/10/2017 : Petit repas vite fait un samedi midi à 14h. Endroit quasi plein, un peu de retard sur les commandes, pour le reste je reste sur ma 1ère impression : sympa mais un peu cher quand même : on s’en tire pour 38 euros à deux pour en tout 2 bowls, 2 desserts, 2 thés glacés et un café…


Harmonie Bowl and Juice
5 rue Saint Etienne
67000 Strasbourg
03 88 22 78 22
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Kapoué test n°137: Le BOMA BISTRO à Strasbourg

C’est quoi le « BOMA » ?

Le BOMA est un hôtel nouvelle génération qui ouvre tout doucement depuis ce mois d’août 2017 (le 1er et le 5ème étage ne sont pas encore finis). « Nouvelle génération », car il est prévu que ce lieu de vie vous propose de manger, danser, d’échanger ou bien même de travailler dans ses espaces de vie tels qu’un restaurant, un bar, une boutique et une salle de fitness… Il compte 103 chambres à la décoration ethnique et colorée et se dresse en lieu et place du bâtiment de l’ancienne Banque Populaire (anciennement situé au 5-7 rue du 22 novembre à Strasbourg).

On mange quoi au BOMA ?

Bonne question… Et bien, pour le moment, vous avez des formules petit déjeuners au buffet ou continental de 7h à 12h. Et de 12h à 18h, vous avez les formules du bar à croque-monsieur et douceurs faites maison. C’est donc ça que nous avons testé avec 2 de mes collègues en début de semaine, je vais vous raconter…

Tout d’abord, on est venu sans réservation, les mains dans les poches. On nous a installé rapidement à une table centrale, on avait le choix vu qu’on était seuls ! On a pris un moment avant de commander pour apprécier la magnifique décoration : du parquet au mobilier on en a pris plein les yeux… Dommage par contre que les rideaux cachent la vue de la rue et assombrissent l’ambiance générale du restaurant. On passe commande, à la carte il n’y a que des croque-monsieur : 3 différents, ça tombe bien, on était 3 ! On reçoit d’abord notre boisson, on discute, ça met du temps à arriver… Et tada, nos 3 croques massifs arrivent à table accompagnés chacun d’une salade (bien assaisonnée, classique mais bonne). On est surpris par la présentation un peu sommaire des plats, mais on déguste avec appétit. Le pain de mie bio (élaborés par Thierry Schwartz) des croque-monsieur ressemble beaucoup à une brioche, c’est surprenant mais on s’y fait. On finit nos plats et par curiosité plus que par appétit, on commande des desserts…

Croq’Cesar : filet de poulet Label Rouge, tomates, oignons, parmesan et sauce césar

Quelques minutes plus tard, les desserts arrivent et là… C’est la surprise : la serveuse arrive avec la copie conforme des croque-monsieur servis en tant que plats, mais avec une garniture sucrée à chaque fois. A vrai dire, on s’attendait à autre chose : plus petit, plus fin, plus joli…? Une petite boule de glace ? Une touche fruitée..? Bah non, c’était juste des croque-monsieur version dessert. Autant vous dire qu’on a chacun lutté pour finir nos desserts, on a pas réussi du tout, on a à peine mangé la moitié car c’était trop : trop bourratif, trop gras… Même plus de place pour prendre un café, on a réglé et on est partis…

Bilan du repas au BOMA BISTRO

On repart de là un peu déçus : Certes, l’hôtel vient d’ouvrir. Certes, on savait dès le début qu’ils ne servaient que des croque-monsieur… Mais, le service était correct sans plus : la serveuse écoutait même notre conversation ce qui nous a un peu surpris ! La décoration est à tomber, mais les plats suivent pas : mal présentés, les plats corrects mais les desserts pas du tout adaptés. C’est à se demander si il y avait un chef en cuisine ou si la direction de l’hôtel a testé leurs formules avant de les mettre à la carte ? Je m’attendais à mieux du restaurant d’un hôtel 4 étoiles… Alors oui, apparemment la carte est temporaire, espérons qu’ils aient des meilleures idées pour la suite. Par contre en toute honnêteté, l’addition était correcte sans plus : moins de 20 euros par personne pour 2 croque-monsieur chacun, un Perrier et une salade. Pour moi, l’endroit prend tout son sens plutôt pour boire un verre le soir ou en journée pour bosser.

 

Mise à jour du 25/09/2017 : Deuxième visite pour moi au BOMA BISTRO, et je dois avouer qu’ils ont assuré cette fois : des formules midi plus simples, plus variées, avec des vrais plats et une serveuse souriante ! Même les prix étaient corrects et la salle était calme… J’ai pas été déçu par cette nouvelle carte, j’y retournerai donc !

Mise à jour du 04/04/2018 : Troisième visite très satisfaisante : ambiance calme, musique africaine, bons plats, rien à redire… Je valide la formule midi. Mention spéciale pour le ceviche de daurade au jus de yuzu, lait de coco. Je vous laisse découvrir les photos ci-dessous :

Et vous, avez-vous déjà testé le BOMA BISTRO ? Qu’attendriez-vous d’un restaurant de ce type en plein hyper centre de Strasbourg ?

NB : Pour info, d’après le site officiel de l’hôtel, BOMA signifie « une enceinte entourée de palissades qui protège les habitants et le cheptel des animaux sauvages » d’où ce coté ethnique omniprésent dans l’établissement.

Kapoué test n°134: MiTo Strasbourg, pizzas entre « Milano et Torino »

MiTo Strasbourg, restaurant italien spécialistes des pizzas authentiques

Nouveau resto testé depuis le Bastardo de la semaine dernière, et hop, comme par hasard encore un restaurant italien… Je vous assure ce n’était pas fait exprès, mais apparemment l’Italie a la côte dans les rues de Strasbourg car ça ne s’arrête pas cette mode des restaurants italiens… C’est pas moi qui vais m’en plaindre, je pensais qu’il y avait déjà de quoi faire niveau cuisine italienne dans la capitale européenne mais bon… Il s’agit ici du l’ancien bar XANADU repris par deux investisseurs associés : un qui gère déjà le Café Bâle, et un autre d’origine belge, qui gère déjà un autre restaurant MiTo à Bruxelles (à Ixelles plus exactement) (dixit une serveuse du MiTo Strasbourg).

Je m’y suis installé aujourd’hui un peu avant midi pour découvrir l’endroit et goûter la fameuse cuisine. J’ai oublié la (grande) terrasse (car météo trop hasardeuse) qui donne sur la Place d’Austerlitz pour m’installer en intérieur où je pourrais profiter de la magnifique décoration bleue et blanche notamment ce bar en hauteur et les mosaïques qui ornent tout le comptoir y compris le four à pizzas. Après avoir siroté une San Pellegrino, mon amie arrive, on commande.

Ici, il n’y pas pas (à mon grand regret) de formule « plat du jour » ou « menu du jour » mais plutôt 3 plats « du jour » à 13 euros : une pizza, un plat de pâtes ou une salade. Le reste est à la carte. D’ailleurs, c’est clairement indiqué partout : Au MiTo, on mange des pizzas (de 10 à 15€) et on boit des cocktails (de 7 à 12€). Il était un peu tôt pour les cocktails, on s’est donc concentré sur les pizzas…

Apres avoir hésite longuement sur la carte, j’ai plutôt pris le plat de pâtes du jour( PASTA DEL GIORNO) avec panno, salsiccia, creme di tartuffo, pepe, basilico. Ma co-testeuse quant à elle est partie sur la pizza numéro 4 : Pravola fumé d’Agerola, pesto alla genovese, pancetta de cochon noir de Caserte, olives caiazzane… Si vous comme moi, vous ne parlez pas italien, normalement, vous n’avez rien compris à la phrase précédente et c’est normal: les menus sont servis avec un petit lexique qui vous traduit les ingrédients et les spécialités de chaque plat : très utile ! On a été servis rapidement, et j’ai fini mon repas avec un joli petit tiramisu servi dans un caquelon.

Mon avis sur le MiTo Strasbourg :

Tout d’abord, j’ai été charmé par le cadre et l’équipe jeune et sympathique. Les plats étaient originaux, fin et bons : ça change de la pizza reine classique qu’on retrouve un peu partout. Il faut savoir en plus que leur pâtes à pizza repose 48h avant cuisson pour plus de légèreté et que les pizzas sont donc cuites au four artisanal. On se sent vraiment en Italie, car même les cuistots parlent italien entre eux !

Par contre, des détails m’ont pas trop plu : les WC étaient bien sales même en début de service à 11h45, coté mec y avait pas non plus de lavabo… Le menu est pas très clair, on s’y perd facilement avec tout ces noms en italien et du coup on sait pas vraiment quoi prendre… Les tables du fond étaient un peu trop serrées, j’en déduis que l’endroit doit être assez bruyant quand il sera plein en intérieur (problème récurrent dans les restaurants à Strasbourg). La pâte a pizza était bonne mais un tout petit peu trop fine à mon gout… Pour le reste, je ne peux pas me prononcer car je n’ai pas mangé d’entrée, ni bu de cocktails.

Vous l’aurez compris, MiTo Strasbourg est une bonne adresse, sans aucun doute, surtout si vous êtes fans de BONNES PIZZAS ou PÂTES italiennes authentiques . C’est peut être un peu cher pour certains (total de l’addiction : 41 euros pour 2), mais il ne faut pas oublier que les produits sont de qualité et non industriels ce qui fait monter la note facilement.

NB : le nom « MiTo » vient des premières lettres de MIlan et TOrino…

Dites moi ce que vous avez pensé du MiTo dans les commentaires ci dessous ! (svp : n’écrivez pas en italien 🙂 ! )

Mise à jour du samedi 3 octobre 2020 :

Je viens ici un samedi midi pour la deuxième fois et j’ai été de surprises en surprises… Tout d’abord, pas de pâtes, puis pas de pizzas de la « 35 » à la « 38 ». Ensuite la carte est toujours aussi peu claire… Bref, ca aurait été la cata, si la serveuse n’était pas sympa et si les pizzas étaient pas top. Hors, on s’est régalé (et on a été servis rapidement) même si la pizza avec base de tomates avait sa pate mal cuite car le coulis de tomates rendait trop d’eau. Mais le reste était top.
Prix : 46 € pour 2 pizzas, une bouteille d’eau partagée (Ferrarelle), un tiramisu et un café. Pas donné quand même !

Mise à jour Aout 2023 :

Une pizza et une salade, une bière et un coca zéro en terrasse sous la canicule d’aout 2023 = 44 € ! Les prix ne baissent toujours pas chez Mito, mais la qualité est là, surtout pour la pizza ! Par contre, la petite salade avec burrata à 15 euros…

MiTo Strasbourg (Milano Torino)
8 place d’Austerlitz
67000 Strasbourg
03 88 23 85 32
contact@milanotorino.eu
www.milantorino.eu

Kapoué test n°133: Le Bastardo, restaurant italien incontestable à Strasbourg

Le Bastardo Strasbourg, restaurant italien bistronomique

Le 20 juin dernier, a ouvert rue des Tonneliers, le Bastardo: nouvel établissement de Nicolas Di Pol Moro qui avait déjà ouvert en 2015 le Bistrot Coco (rue de l’Écurie, toujours à Strasbourg). J’ai pu testé ce petit frère « bâtard » du Bistrot Coco (c’est de là que viendrait le nom) la semaine dernière un midi avec une amie, voici ce que ça a donné…

C’est d’ailleurs marrant, car je pense que j’aurais pu faire le test les yeux et la bouche fermés, j’aurai déjà connu le résultat : j’adore le Bistrot Coco, j’y suis déjà allé plusieurs fois et je ne voyais pas comment ce nouveau resto à la sauce italienne pouvait me décevoir…

Après une réservation obligatoire la veille, on est venu manger un morceau un midi de Juillet, le soleil jouait à cache-cache, mais la terrasse (vue sur la place des Tripiers et son tonneau géant) étaient déjà bien pleine ! On s’installe donc en intérieur où nous attendait une mini table à coté de la vitrine. La décoration est superbe : des lustres provenant de Murano, des plantes grimpantes, une carte d’Italie gravée dans le mur, sans parler du street art dans la cage d’escalier qui vous emmènent vers des WC baroques…

Au niveau de la carte :

8 entrées et 8 plats, ainsi que la formule du jour : entrée, plat, dessert pour 20 euros (très bon rapport qualité / prix). J’ai pour ma part pris cette formule avec aujourd’hui : tataki de thon aux agrumes en entrée, un onglet de veau en plat et une glace vanille avec abricots / framboises / brioche en dessert. Mon amie n’a pris que entrée + plat + dessert à la carte : des arancini (boulettes de risotto farcies), des spaghetti carbonara (authentiques : sans crème) et un dessert crémeux aux framboises dont j’ai oublié le nom 😉 !

Comme prévu tout était excellent avec pour ma part un vrai coup de cœur pour le dessert. Les quantités des plats sont équilibrées, les saveurs justes, je retrouve la vraie cuisine (du marché) italienne que j’ai pu retrouvé en voyage à Rome cette année par exemple. Même le pain est surprenant : pain à l’ail exquis ! Seules les carbonara étaient trop copieuses et trop salées à notre gout !

Petit bémol, la salle étant pleine à 13h, on avait du mal à s’entendre, mais sinon, à part ça rien à dire. Je suis impatient de revenir tester le reste de la carte, un soir par exemple, notamment pour déguster une scarpetta : sorte de chausson « hybride » entre pizza et Foccacia (cf menu du Bastardo)

Donc, comme vous l’avez compris : que du bon chez Bastardo, on s’y sent bien, et on mange bien. Et en plus, si comme moi, vous suivez le restaurant sur les réseaux sociaux, on voit que l’équipe ne se prend pas au sérieux MAIS fait de la cuisine sérieusement ! Ça fait plaisir.

NB: Ce coté « décalé », on le retrouve aussi dans les noms des cocktails: « Rocco… ». A noter que j’avais pris une bière italienne Poretti pression savoureuse pour accompagner le repas, je vous la conseille.

Mise à jour du 01 /08/2017 :

Chose promise, chose due : j’y suis retourné (en terrasse) plus tôt que prévu et encore une fois j’ai adoré la formule du jour, la voici ci dessous en photo : rien à redire, c’était très bon, bien assaisonné, servi vite. Juste le dessert qui ressemblait un peu trop au premier que j’avais goûté.. Mais sinon parfait, super rapport qualité / prix.

Tresse de Mozzarella, salade de tomates cerises, basilic

Mise à jour du 24/10/2017 :

4ème visite pour moi au Bastardo, tjs aussi bon, pas grand chose à redire à part le fait qu’on était trop prêts des cuisines, on sentait le gras de cuisson toute l’après midi.. Sinon les plats tops comme d’hab. Faudra penser à être plus original dans le dessert de la formule du jour, j’ai l’impression que c’est tout le temps le même !

Mise à jour du 24/05/2022 :

Cela faisait longtemps que j’avais eu la chance de venir au Bastardo : ce coup-ci j’ai pris le plat du jour : Entrée + plat -> Carpaccio de bœuf en entrée et suprême de poulet purée de légumes en plat avec une sauce tomate… Autant le carpaccio était top, autant j’ai eu du mal avec le plat : trop assaisonné, trop de saveurs… Dommage, c’est la première fois que je suis déçu ici ! 😉

Mise à jour du 03/01/2023 :

Pour une fois, j’ai testé le deuxième Bastardo, rue d’Austerlitz. J’ai pris une entrée du jour à base d’œuf (désolé, j’ai pas noté la recette), des carbonaras et un tiramisu. Dans l’ensemble, ça a été sauf les carbonaras qui étaient hyper acides car cuisinées avec des échalotes apparemment J’ai pas pu finir mon plat, ce qui est très rare chez moi ! 😉
Cela ne m’empêchera pas de revenir à l’occasion pour tester le reste de la carte.

BASTARDO
17 rue des Tonneliers / rue d’Austerlitz
67000 STRASBOURG
03 88 21 01 01
Compte Instagram
Ouvert tous les jours sauf dimanche et lundi.

Kapoué test n°131: Brasserie WoW, entre street art et bistronomie à Strasbourg

A croire que le street art est à la mode à Strasbourg en 2017 : en plus des œuvres déjà présentes partout dans les rues et du chantier du Primark Strasbourg, l’art urbain s’installe de la plus belle des façons dans la rue du Jeu des Enfants. En effet, cette rue vient de passer piétonne depuis le 24 juin, et si vous l’avez déjà empruntée depuis, vous avez pu voir ses pavés colorés, ses graffitis de streetart, ou encore ses terrasses des restaurants qui donne une ambiance plus chaleureuse à la rue, surtout avec l’été qui arrive…

C’est dans ce contexte que vient d’ouvrir la Brasserie WoW au milieu de cette rue. Cette brasserie – bar met en avant justement l’art urbain à travers sa décoration exceptionnelle remplie d’œuvres d’artistes tels que : Missy Illustration, Alber, Le CyKlop, DAN23 et Sven Tvc. Quant à la cuisine, il s’agit d’un mix entre cuisine traditionnelle bistronomique et cuisine originale du chef Seydou Diao qui adore jouer avec les produits de saisons. A noter aussi la présence d’un magnifique bar de 8 mètres de long !

Mon repas à la Brasserie WoW:

Tout d’abord, le contexte de ce test : samedi 1er juillet, 1er samedi de soldes de l’été avec une ville sous les nuages et à moitié bloquée par le dispositif pour l’hommage à Helmut Kohl qui rassemble les chefs d’états à Strasbourg. Moi, je reviens d’une semaine de congés à l’étranger, je suis pas super en forme… MAIS, j’avais hâte de découvrir alors j’y fonce pour manger un morceau. On rentre, on en prend plein les yeux de la décoration, meme si l’entrée est légèrement sombre à cause du plafond peint en noir : j’adore le mur jaune à ma gauche !

On nous installe, on nous propose la carte : il y a peu de choix, car en effet, la carte définitive n’est pas encore arrivée: un peu dommage… Je suis pas trop emballé par les plats, on part donc sur 2 salades : une César et une aux gambas, avec pour commencer une entrée à la truite saumonée sur une galette de pommes de terre. On attend un peu et on attend la « jolie » truite saumonée : très bonne, on sent peu le raifort, mais c’est top au niveau du gout.

Pour les salades servies un peu plus tard, on est un peu déçus : beaucoup de verdure mais peu de garnitures, surtout pour celle aux gambas… Quant à la Cesar, trop de sauce à la moutarde ce qui cachait un peu le gout des autres aliments. On pouvait pas en rester là meme si les salades nous avait bien calés ! On prend donc alors deux desserts : tiramisu à la noisette, et mousse au chocolat à la mangue. Desserts corrects, un peu bourratifs et trop sucrés, mais bons dans l’ensemble. Après un café, on lève le camp…

Mon avis sur la Brasserie WoW:

Très bel écrin, rien à dire : je me suis meme forcé à aller aux WC pour visiter l’endroit ! C’est top. Par contre, l’ensemble est encore en rodage : les serveurs font de leur mieux mais les automatismes ne sont pas encore là. Quant aux plats, j’ai été un peu déçu de la qualité et surtout du prix, je vous explique : on était deux : 1 entrée partagée, 1 sirop, 1 bouteille d’eau, 2 salades, 2 desserts et un café : 51 euros ! Certes, on est dans les prix de Strasbourg centre, ok pour les desserts et les boissons mais bon les salades étaient un peu chères pour le contenu de l’assiette.

Conclusion :

Je suis quand même content, j’ai passé un bon moment, au calme, dans un cadre superbe au milieu de cette « nouvelle » rue. Par contre, pour la cuisine, je reviendrai pour gouter la fameuse carte plus arty du chef, ou encore un plat du jour (moins cher) pour me faire une idée plus complète quand le WoW (Works on Walls) sera opérationnel à 100%. Et bien sur, tester le bar et sa loooongue carte des vins !

Mise à jour du 22/09/2017 : Deuxième visite à la brasserie WOW, je dois avouer qu’ils ont fait des efforts… Enfin. Surtout sur le plat principal et la formule du jour à un prix correct. Par contre, c’est toujours aussi bruyant, le pain était pas très frais. Ce qui était frais, c’était l’accueil de la serveuse alors que ces collègues étaient plutôt sympas. Le dessert (une tarte aux mirabelles) était pas assez cuite et trop sucrée. Sinon, rien à redire : en gros, c’est pas top, mais ça s’améliore alors, laissons leur une chance ! 😉
(désolé je n’ai pas pu prendre de notes ou de photos à cette visite).

Mise à jour du 15/12/2017 : Troisième visite à la brasserie WOW Strasbourg: Je suis parti sur la formule du jour Entrée / Plat avec un dessert à la carte. Après un velouté de céleri très sympa, on a eu le droit à un filet de merlan gratiné au tallegio, avec des pâtes fraîches et des petits légumes : gras, en petite quantité et pas vraiment bon… Quant au dessert à la carte : le tiramisu m’a fait doucement rire. 5 euros pour de la crème dans un verre avec 2 boudoirs à peine trempés dans le café… A REVOIR ! sauf le velouté qui était vraiment bon !

Et vous, que pensez vous de cette nouvelle brasserie ainsi que du renouveau de cette rue ?

BRASSERIE WOW
32 rue du jeu des enfants
67000 STRASBOURG
03 88 23 18 77

Primark Strasbourg en chantier: Du street art pour égayer le quartier !

Primark Strasbourg en chantier: Du street art pour égayer le quartier !

Pour ne pas dénaturer le paysage strasbourgeois, 4 artistes de rue rassemblent leurs forces afin d’égayer la « base vie » du chantier du futur Primark Strasbourg et de la rendre plus attrayante !

Depuis 1999, le groupe B&O – Financière Valim a conduit pas moins de quatre projets colossaux : De la réhabilitation de la rue de la Mésange à la rénovation du magasin historique du Printemps en passant par l’incorporation d’un Ours Géant visible depuis la rue du Noyer, aujourd’hui, c’est au tour de la partie Nord du quai Kellermann d’être transformée.

A l’angle de la rue du Noyer et du quai Kellermann, sur un terrain occupé précédemment par un parking en silo, apparaîtra le Primark Strasbourg d’une surface de 8100 m2 se développant sur 4 niveaux. Mais en attendant que le chantier soit abouti, et afin de rendre la vue agréable, Le groupe B&O eut une idée des plus artistique : celle d’introduire du street art dans cette construction en cours.

En effet, des graffitis plus originaux et colorés les uns que les autres viendront égayer le quartier pendant 2 ans. On y retrouvera les œuvres des artistes strasbourgeois Stom 500, Jaek El Diablo, Wise ou encore Jupe Oner.

Cette manifestation artistique est financée par le Groupe B&O – Financière Valim sous l’impulsion de son directeur général, Jeff Benarroch : « Comme la base vie va rester 2 ans, j’ai voulu rendre ça plus agréable pour les riverains. J’essaye toujours de donner une touche artistique à nos nouvelles réalisation comme l’ours du Plaza. De fil en aiguille, le projet s’est dessiné un peu inspiré du quartier Street Art de Miami « Wynnwood ». Le street art n’est pas assez représenté à Strasbourg alors qu’on a des artistes reconnus à l’international. Et donc naturellement j’ai contacté Jaek et la mairie m’a donné son OK immédiatement. Je voulais vraiment que les strasbourgeois découvrent le street art et quoi de mieux que de l’afficher en plein centre ville ? »

Reportage de STRASTV.COM :

Des street-artistes strasbourgeois au cœur du projet embellissement

Stom500
C’est depuis son plus jeune âge que cet artiste strasbourgeois manie le crayon ou la spray d’un œil expert. A la fois, graphiste, illustrateur et artiste graffiti, on le surnomme le « couteau suisse ». Il tire Son inspiration de son quotidien et de ce qui peut croiser son chemin. Ses rencontres, un week-end à la campagne ou encore, un album de musique viennent nourrir son inventivité.
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Jaek El Diablo
Sa mixture pop des 40 dernières années lui permet de déverser son flot de designs toxiques. Un artiste aux plusieurs facettes dont le style est reconnaissable entre mille. On retrouve une harmonie empreinte de signes anti-conformistes et de second degré aussi bien dans ses œuvres murales que dans sa ligne de vêtements «Vicius Clothing & Attitude», dans ses travaux infographiques ou dans ses créations publicitaires.
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Wise
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Jupe Oner
Page Flickr

Lieu de la manifestation street art du chantier Primark Strasbourg :
1 quai Kellermann
1 rue du Noyer
2 rue Marbach

Kapoué Test n°126: Au Fond Du Jardin, le paradis des thés et des madeleines à Strasbourg

Au Fond Du Jardin, le paradis des thés et des madeleines à Strasbourg

Enfin, enfin, enfin, enfin ! Cela fait maintenant des années que je suis à Strasbourg, et j’ai enfin pu aller visiter le « famous » salon de thé dénommé Au Fond Du Jardin

Honte à moi : j’aurai du y aller plus tôt, depuis le temps que tout le monde m’en parle ! J’y fus invité y il a de ça quelques jours (comme d’autres blogueurs du coin, vous avez du voir passé les articles dans vos réseaux sociaux) par une agence de relation presse pour y découvrir l’univers si particulier ainsi que le lancement de leurs nouveautés dans la gamme de madeleines : la madeleine Vendôme.

Avec ma convive, on a donc été invité à déguster un de leurs « petits déjeuners enchantés » : deux formules (au choix) raffinées et gourmandes entre sucré et salé. On a tous les deux opté pour la formule « Picadilly Breakfast » : Madeleine du réveil « Morning », cocktail de fruits de saison, petit club sandwich, œuf à l’anglaise et sauce sucrée-salée, chutney de légumes, chausson aux fruits et pain à l’infusion de thé. La formule est à 23 euros, la boisson chaude comprise. Vous pouvez choisir votre boisson parmi la collection de thés faits maison imaginée et élaborée par les propriétaires Fred & Laurent : une soixantaine de thés ou infusions qui poussent au voyage gustatif ! Tous les éléments du petit déjeuner sont exquis, bien cuisinés ni trop salés ni trop sucrés. J’ai surtout aimé l’œuf à l’anglaise : un délice !

Mon avis sur ce petit déjeuner chez Au Fond Du Jardin :
Il est difficile de résumer l’ensemble du concept dans un petit article de blog, mais dites vous que c’est un moment où le temps s’arrête : dans cet univers anglais (la décoration du salon de thé change 5 fois à l’année !) bercé par la musique de Downton Abbey, vous êtes transporté dans la campagne britannique où l’hôte vous fait l’article des ces produits maison à l’aide d’un storytelling bien rodé.

Il vit sa passion et nous la transmet à travers ces anecdotes, ça donne vraiment envie de tout goûter ! Notamment les fameuses madeleines, qui sont à la vue comme des bijoux : couleurs, textures et goûts; un vrai plaisir pour tout nos sens. On a d’ailleurs pu repartir avec un coffret de deux madeleines Vendôme, une des dernières nées en hommage a la joaillerie parisienne (pralin, chocolat noir, et fève tonka). Pour info, chaque madeleine demande en moyenne 20 minutes de confection : un vrai travail de précision.

Donc, chers amis strasbourgeois ou touristes, je vous conseille vivement à visiter Au Fond Du Jardin, vous ne serez pas déçu… Pourquoi pas pour une pause thé + madeleines ou bien un brunch ?

Attention, n’oubliez pas de réserver car l’endroit est souvent victime de son succès et de sa renommée qui dépasse les limites de la capitale européenne !

Au Fond Du Jardin Strasbourg
6 Rue de la Râpe
67000 Strasbourg
03 88 24 50 06
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Kapoué test n°125: Mamama Bistro, restaurant alsacien à Strasbourg

Mamama Bistro, restaurant alsacien à Strasbourg

Après 5 ans de bons et loyaux services, le Piano 2 (rue sainte Hélène) change de concept et devient le Mamama Bistro; comme son nom l’indique: un restaurant traditionnel alsacien aux recettes de grand-mère. La décoration a changé et le chef aussi, l’occasion pour moi d’aller déguster un repas un midi en charmante compagnie !

C’était un midi de la semaine dernière, je ne savais pas vraiment où je mettais les pieds car je n’étais jamais venu au Piano 2. Donc, juste poussé par ma curiosité, j’ai réservé pour deux places. Je m’installe, très bien accueilli par le responsable de la salle, j’attend ma convive, et on commande… Je suis parti sur la formule Entrée + Plat à 12,90 € tandis que ma co-luncheuse se contentera d’une grande salade. En fait, l’entrée dans la formule est un buffet de crudités à l’entrée de l’établissement, j’étais pas trop emballé mais en fait, c’était simple mais bon, bien cuisiné et bien assaisonné.

Pour le plat, c’était une belle pièce de pavé de cabillaud, croûte de tortillas, crème de chou-fleur et pomme de terre au gingembre plus quelques petits légumes: je suis pas fan du poisson d’habitude, mais là, j’ai adoré ! La sauce était top, les légumes correctement cuits et le poisson généreux : impeccable ! La demi salade Gourmande au saumon de ma convive était plus simple mais tout aussi bonne.

Pour les desserts, je me suis rué sur la tarte du jour à la rhubarbe et mon amie a pris une glace 3 boules. Les desserts étaient ok, mais pour ma part la tarte était un peu trop sucrée…

A part ça : rien à redire. Et c’est ça le problème ! Car tout est très correct, mais bon, on a déjà vu ce genre de restaurant plein de fois en Alsace ainsi qu’à Strasbourg, alors je ne comprends pas trop l’intérêt de « remettre le couvert » ! Une légère impression de « déjà vu »… J’avoue, c’était bon, l’équipe est top, on voit qu’il y a un vrai chef en cuisine (c’est pas tout le temps le cas !) et le prix est dans la moyenne : on en a eu pour 40,20 euros à deux avec ce que je vous ai annoncé ci dessus et une grande Lisbeth à partager. Va donc falloir que j’y retourne pour me faire une idée plus complète de l’endroit : tester, par exemple, la terrasse en été avec une de leurs fameuses tartes flambées…?

Et vous, qu’en pensez vous de ce changement d’enseigne ? Avez vous déjà testé le Mamama Bistro ? Regrettez vous le Piano 2 ?

Mamama Bistro
18 rue Sainte Hélène
67000 STRASBOURG
03 88 32 85 41

Batorama organise la première « Duck Race » à Strasbourg !

Batorama organise la première « Duck Race » à Strasbourg !

Dans le cadre des festivités de son 70ème anniversaire, Batorama propose une opération insolite et totalement inédite à Strasbourg. Le 27 mai aura lieue la toute première « Duck Race » – course de canards en plastiques – sur l’Ill : 15 000 canards en plastique seront mis à l’eau du côté du Pont Saint-Martin à la Petite-France et se disputeront le franchissement de la ligne d’arrivée à hauteur du Pont Saint-Guillaume, au gré des courants.
Sur le parcours, les « compétiteurs » et leurs supporteurs seront accompagnés par une déambulation musicale. L’ensemble sera clôturé par un événement des plus festifs, ouvert à tous. (L’opération est organisée avec le concours de Voies Navigables de France et de la ville de Strasbourg.)

Adoptez un canard pour la « course »

D’ici là, les strasbourgeois sont invités à « adopter » l’un des 15 000 petits canards qui sera sur la ligne de départ de cette course inédite et à venir l’encourager le jour J. « L’adoption » du canard se fait en ligne, sur batoramashop.com et dans la boutique Batorama, place de la Cathédrale à Strasbourg.
Proposés à 3 €, les petits canards en plastique pourront être récupérés par leurs « parrains » après la course.

Un parrainage ludique pour une noble cause.

Dans le cadre de ce « parrainage » ludique, un montant de 1,5 € par canard, sera reversé à l’association Rêves, dont l’objectif est de collecter des fonds permettant d’exaucer les rêves d’enfants gravement malades. L’objectif est donc de susciter un élan de générosité qui permette de s’approcher le plus possible du nombre total de petits canards mis à l’eau.

Pour ma part, je viens d’acheter le mien, alors à vous de jouer les amis, c’est pour la bonne cause !

Toi aussi #adopte1canardcoache-le et poste tes vidéos ou tes photos sur les réseaux sociaux.

Plus d’infos sur Batorama.com !

Après un évènement haut en couleurs et en soleil, voici la petite vidéo que j’ai pu faire du lancement des canards à l’arrivée :

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