Jeudi 20 Octobre dernier, j’ai été convié au « service blanc » du futur restaurant Terroir & Co, la nouvelle adresse pour se restaurer proposée par le Sofitel Grande Ile. L’occasion pour les invités de découvrir cette nouvelle adresse en avant première et d’avoir des explications sur le concept.
Terroir & Co, c’est quoi ?
Un restaurant de 70 couverts (qui remplace le GOH) axé sur le terroir alsacien, les producteurs et les produits. Le Chef Vincent Rimmely travaille main dans la main avec la coopérative alsacienne Hop’la et une trentaine de producteurs locaux pour proposer des plats respectueux de l’environnement et surtout mettre au premier plan la cuisine alsacienne.
On mange quoi chez Terroir & Co ?
On mange bien, frais et surtout de saison ! La carte évoluera au fil des mois pour à chaque fois coller au calendrier, pour que la fraicheur des produits soit optimale. La saisonnalité est primordiale chez Terroir and Co.
A noter que le restaurant proposera à la carte 51 grands crus alsaciens pour mettre en-avant les 7 cépages, de quoi faire plaisir aux amateurs. D’ailleurs pour les novices comme moi, une tablette sera mise à disposition pour vous détailler les produits, les vins, les producteurs dans une application dédiée.
Le midi, on vous proposera :
Menu du jour : entrée / plat ou plat / dessert pour 22 euros ou entrée / plat / dessert pour 27 euros + à la carte : 5 entrées, 5 plats, et 5 desserts.
Pour le soir, ça sera à la carte :
5 entrées, 5 plats, et 5 desserts.
A quoi ça ressemble Terroir & Co ? Ambiance feutrée, calme où tous les détails ont été bien pensés. On se sent bien et à l’aise dans la salle. Une terrasse verra bientôt le jour devant le restaurant. A noter la superbe vaisselle en porcelaine, faite par Melina Céramique.
Ca ouvre quand ? Lundi 24 octobre, soit prêts à dégainer votre téléphone pour réserver une table ! 😉
Conclusion :
Une belle nouvelle adresse avec une belle démarche : mettre en avant les producteurs et les produits locaux. Adresse qui sera sans aucun doute de qualité vu qu’elle vient du Sofitel (tout comme leur brunch), mais qui veut sa propre identité : Vous venez manger au Terroir & Co et non au restaurant du Sofitel. D’ailleurs les codes sont différents : les tenues des serveuses et serveurs, l’ambiance vous rappelleront plutôt un coté « bistronomique » que « hôtelier ».
A vous de vous faire une idée, pour ma part, j’y retournerai souvent je pense car pas loin de mon lieu de travail et bon rapport qualité / prix ! Et j’irai aussi faire un tour à l’épicerie fine qui se trouve dans le restaurant et dans laquelle vous pouvez acheter les produits de la carte.
J’attends vos retours sur Terroir & Co... à bientôt les gourmands !
Mise à jour du 16 novembre 2016 : On avait réservé au Terroir & Co avec les collègues pour notre repas de Noël, et on a pas été déçus : très bons plats, vins irréprochables et le service impeccable. On a passé une belle soirée pour cette fin d’année 2016, en voici la preuve en photos !
Truite saumonée des sources du Heimbach
Carottes de Nicole en veloutées, confiture d’oignons à l’orange, pépites de foie gras au pain d’épices
Cochon de Patrick braisé à la bière de noël, mousseline d’agate, chou rouge confit et marron
Pickles au épices de noel
Mini buche glacée, spoge cake
Pate en croute aux trompettes de la mort, pickles de poires et betterave chioggia
Terroir & Co 4 place Saint-Pierre-le-Jeune 67000 Strasbourg
03 88 15 49 10 Page Facebook Ouvert du lundi au vendredi : 12h00 – 14h00 & 19h00 – 22h30
Le samedi : 19h00 – 23h00
Portrait Kapoué n°40: Maxime Meyer, joueur au Strasbourg Volley-Ball
Qu’est ce qui te fait lever le matin ?
Réussir mon double projet Sport-Etudes.
Ta plus grande qualité ? Ne jamais abandonner.
Ton plus grand défaut ? Je suis hyper-actif.
Te considères-tu comme quelqu’un de connecté ? Oui avec les réseaux sociaux.
Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler ? Super-man.
Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ? Astronaute.
crédit photo : www.lithard.fr
Ton héros dans la vie réelle ? Barack Obama
La chanson que tu siffles sous la douche ? La dernière que je viens d’écouter.
Comment te vois-tu dans 20 ans ? Marié avec des enfants et faire encore du volley
Ton film culte ? Mon nom est personne.
Ce que tu détestes par-dessus tout ? Les personnes égoïstes
Le talent que tu aimerais avoir ? Voler.
crédit photo : www.lithard.fr
Ta meilleure blague ? Mes meilleures sont improvisées.
Que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ? Des discothèques plus grandes.
Si tu étais un quartier de Strasbourg ? La Krutenau pour son dynamisme.
Ton restaurant strasbourgeois préféré ? Le Flam’s.
Ton bar strasbourgeois préféré ? L’Exils.
Autre ville préférée en Alsace et pourquoi ? Kaysersberg pour le marché de Noël.
crédit photo : www.lithard.fr
Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais Maire de Strasbourg ? La circulation.
Ta marque alsacienne préférée ? Fritz.
En 3 mots, décris nous ton Strasbourg ? Belle ville étudiante.
Explique nous ton attachement au sport local, et surtout au volleyball… J’allais toujours voir le Racing Club de Strasbourg étant petit. Je regarde souvent la SIG. Mon attachement au volleyball vient de ma famille, j’accompagnais toujours mes parents à la salle.
Quels sont tes objectifs pour cette saison ? L’objectif numéro 1 est le maintien de l’équipe après la montée de l’an passée ! Le second est de progresser un maximum pour gagner une place de titulaire.
Le premier match de championnat aura lieu le Samedi 22 octobre au Gymnase de la Rotonde. Allez soutenir le Strasbourg Volley Ball !
Je vous entends déjà râler : « Encore un burger à Strasbourg……! », et vous n’avez pas tort… Je pensais que la mode était passée, mais non, elle a la dent dure ! Voici donc le test du dernier du genre à Strasbourg : « Les Burgers de Papa« , une franchise nationale qui ambitionne de devenir la référence du « burger à la française« .
Ouvert samedi dernier rue des Frères à coté de son collègue et concurrent 231 East St. pas loin de la place Saint Etienne. Il s’agit d’un fast- food de burgers décalés avec des produits 100% frais, 100 % maison : pains faits par un artisan, frites faites 100% maison, viande française etc… Vous pouvez manger sur place, ou à emporter ou même à se faire livrer avec Deliveroo.
J’ai traîné mes collègues ce midi dans l’endroit pour voir un peu ce que ça donnait, voici mes impressions :
Pas mal : Un système de « buzzer » pour vous alerter que votre commande est prête, (comme chez https://blogkapoue.com/2012/11/29/vapiano-strasbourg/ par exemple).
Offre simple et détaillée : 6 burgers différents au noms marrants, on se repère assez vite.
Différentes sauces (délicieuses) pour accompagner les frites. Les burgers sont bons, tout comme les pains et les frites : on a tous mangé de bon appétit, on regrette pas du tout !
A revoir : Equipe un peu débordée : arrivés à 12 h 15, commande possible 10 minutes après pour être servis à 12 h 45 sur place... Salle du fond étriquée voir étouffante, sombre avec des WC sales (pourtant on était en début de service) !
J’ai eu beau chercher, je n’ai trouvé ni sel, ni poivre en salle.
Une fois servis, les burgers sont posés directement sur le bon qui a servi pour la prise de commande : bof, j’aurai préféré une boite ou un emballage.
J’aurai bien aimé aussi qu’on me demande ma cuisson du steak… La chance, j’aime bien le saignant !
Conclusion :
C’est malgré tout une bonne surprise, Les Burgers de Papa sont de qualité car faits avec des produits « maison » mais les formules sont un peu chères pour les non étudiants : 12,90 €TTC pour un burger, des frites et une boisson (sachant qu’il faut rajouter 1 € pour la bière et 0.5€ pour un jus de fruits). Les étudiant eux, payent 9,90 €TTC pour la même chose. L’équipe a besoin de rodage car il y a encore quelques petits problèmes techniques et un manque de personnel pour que tout roule parfaitement. Après pour ma part, je préfère me trouver un endroit dans un vrai restaurant pour manger un bon burger pour 15 € environ, mais ça c’est mon choix ! 😉
NB 1 : Le créneau du « burger français », c’était pas déjà Burger Club ? Qui copie qui ? 😉 NB 2 : Avant ouverture, j’avais reçu un email de l’enseigne qui m’offrait 2 burgers pour venir tester…. J’ai décliné, j’ai préféré payer (comme d’habitude) mon addition de ma poche et dire sans contraintes ce que je pense !
NB3 : Si jamais ça vous intéresse, ils recrutent (cf page Facebook des Burgers de Papa) :
Pour la prochaine production de l’Opéra National du Rhin, l’Elisir d’amore, aimerait vous inviter chers lecteurs à découvrir cette pièce. C’est un des opéras phare de la saison, il s’agit d’une pièce très célèbre qui fait partie des plus jouées dans le monde. Un blockbuster de l’opéra en gros ! 😉
Description de la pièce : Opéra en deux actes
Livret de Felice Romani
Créé le 12 mai 1832 au Teatro della Canobbiana à Milan
Pitch : Le jeune et naïf Nemorino n’en peut plus de tous ces râteaux que la fière et capricieuse Adina lui inflige. Alors qu’un élixir d’amour pourrait lui donner gain de cause, l’occasion est trop belle pour ne pas la tenter. Mais son coût en vaut-il vraiment le flacon ? Si l’amour a un prix, il ne s’achète pas forcément…
Casting :
Direction musicale Julia Jones
Mise en scène, décors, costumes, lumières, chorégraphie Stefano Poda
Dramaturgie Paolo Giani Cei
Il y a 3 x 2 places à gagner pour la représentation du 23 octobre 2016 à 15 h à l’Opéra National du Rhin de Strasbourg.
Pour gagner, il vous suffit de partager cet article sur Facebook, Twitter ou Instagram en mentionnant le Blog Kapoué et d’inscrire dans les commentaires si dessous la réponse à cette question : Quel est votre opéra préféré ?
Les 3 gagnants seront tirés au sort le 20 octobre et ensuite prévenus par mail.
Bonne chance à toute et à tous !
Pour toute information complémentaire : Opéra National du Rhin 19 Place du Petit Broglie 67000 Strasbourg 0 825 84 14 84
Laura Weissbecker, actrice internationale & strasbourgeoise
Qu’est ce qui te fait lever le matin ? La vie, j’aime la vie et je suis heureuse d’être en bonne santé ! Accessoirement, le soleil qui chatoie, enfin à Paris, c’est souvent gris le matin…
Ta plus grande qualité ? Perfectionniste.
Ton plus grand défaut ? Perfectionniste.
Te considères-tu comme quelqu’un de connecté ? Oui ! Je vis et travaille sur trois continents, l’Europe, les Etats-Unis et l’Asie, il faut définitivement être très connecté…
Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler ? Popeye ! (C’est un clin d’œil, si vous lisez mon livre, vous comprendrez.)
Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ? J’ai de la chance, je fais le job que j’ai toujours rêvé de faire ! (comédienne)
Ton héros dans la vie réelle ? Malala. Je viens de lire son livre « I am Malala » et j’ai été époustouflée par sa sagesse, son courage et sa force. Elle se bat pour le droit à l’éducation des filles et des femmes dans le monde. Un taliban lui a tiré une balle dans la tête au Pakistan, là où elle vivait, elle a survécu miraculeusement et continue son combat.
La chanson que tu siffles sous la douche ? Il y en a plein… j’adore Francis Cabrel, Jean-Jacques Goldman, et « Belle Ile en mer » de Laurent Voulzy. Et bien sûr, je siffle aussi en chinois ! (« gei wo yige wen », « tian mimi »…)
Comment te vois-tu dans 20 ans ? Plus jeune, je rajeunis d’année en année ! Plus sérieusement, j’espère être toujours comédienne et écrire ; je rêve d’avoir une étagère bien lourde remplie de livres que j’aurai écrits et de films que j’aurai tournés.
Ton film culte ? « Mulholand Drive » de David Lynch, « L’aile ou la cuisse » avec Louis de Funès et « Tianxià wú zéi » de Feng Xiao Gang.
Comme vous le voyez, mes goûts sont éclectiques !
Ce que tu détestes par-dessus tout ? Le fanatisme.
Le talent que tu aimerais avoir ? La sérénité.
Que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ? Un aéroport international.
Si tu étais un quartier de Strasbourg ? La Petite France.
Ton restaurant strasbourgeois préféré ? Le jardin de Pourtalès.
Ton bar strasbourgeois préféré ? Je ne me souviens plus trop, cela fait longtemps que je ne suis pas allée dans un bar à Strasbourg !
Autre ville préférée en Alsace et pourquoi ? Soultzmatt : j’y étais pour les vendanges tardives, c’était magnifique, les paysages, les vignes, les maisons alsaciennes….
Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais maire de Strasbourg ? Qu’il y ait obligation d’avoir au moins deux places de parking par appart, la plupart des familles ont au moins deux voitures et pas de parking, résultat : on ne peut plus marcher sur les trottoirs !
Et rouvrir tous les arrangements faits pour limiter la chaussée à une voie alors qu’il y en avait deux avant, là aussi, soit disant pour limiter les voitures et encourager les transports en commun. Mais cela ne fonctionne pas et crée des embouteillages. Je me déplace en vélo ou transports en commun sauf à chaque fois que je vais à la gare car j’ai trop de bagages ; c’est alors un parcours du combattant !
Et évidemment, encore plus de pistes cyclables.
Ta marque alsacienne préférée? Aranel : c’est la marque d’une jeune créatrice qui fabrique de très beaux vêtements en Alsace avec de belles matières naturelles (soie, coton, chanvre …) bio et/ou issues du commerce équitable.
En 3 mots, décris nous le Strasbourg de ton enfance ? Doux, joyeux, coloré.
Comment arrives-tu à « jongler » entre ta carrière internationale et française ? C’est difficile. Je vais passer plus de temps en France pour mieux « jongler ».
Couverture du livre
Tu nous parles de ton aventure chinoise dans te livre, quel est le moment le plus marquant de ton tournage avec Jackie Chan ? Ma première cascade. J’en parle dans le livre (cf. chapitre Feu, Courage et Peur). Le film est une comédie- film d’action, je n’avais jamais fait de cascades avant. J’étais morte de trouille, peur de mourir, de me faire mal, je venais juste d’arriver à Pékin, je me sentais perdue, seule étrangère entourée de Chinois dans un pays que je ne connaissais pas… Finalement, non seulement la cascade s’est bien passée mais encore, Jackie Chan est arrivé en applaudissant et en déclarant « Good, one take ! » (« Parfait, une seule prise ! ») Une seule prise a suffi, je n’ai pas eu besoin de recommencer ce qui est très rare au cinéma, du coup, toute l’équipe m’a applaudie.
En fait, Jackie Chan m’a révélé plus tard qu’il m’avait aidée pour la cascade en plaçant deux fils à mon harnais, dont un sur le côté que les cascadeurs ont tiré quand c’était le moment pour moi de tomber, voilà pourquoi le timing de ma cascade était parfait !
Parle-nous de tes projets cette année, un nouveau film en cours de tournage ? Un film en développement, c’est une coproduction France-Chine, un long-métrage (une comédie) pour lequel nous avons reçu l’aide au développement de la Région Alsace. J’ai participé au scénario, je le coproduis et je jouerai dedans. Tournage l’année prochaine majoritairement en Chine, avec un passage en Alsace !
Et puis des projets d’écriture : des livres pour enfants et un prochain livre qui me taraudait déjà quand j’écrivais celui-ci.
Photo par Aude Boissaye/Studio CuiCui
Comment tu vois ta carrière d’ici 20 ans, devenir réalisatrice peut être ? Non, je ne serai pas réalisatrice, j’en suis incapable ! Mais produire, jouer, écrire, oui !
J’étais figurant sur le tournage de Malgré Elles, dans lequel tu avais un des rôles principaux… Pour moi, j’ai été assez marqué par le climat du tournage et l’importance historique du sujet ici en Alsace ; et toi, comment l’as-tu ressenti ? De la même façon. Le sujet m’intéressait vraiment, je connaissais les Malgré-Nous (mon grand-père paternel était un Malgré-Nous, et il a été en camp de concentration) mais je ne savais pas que cela avait aussi existé pour les femmes, je ne connaissais pas l’histoire des Malgré-Elles. Je suis fière que ce sujet ait été exposé aux Français. Défendre et réhabiliter tous ces Malgré-Nous et Malgré-Elles qui ont souffert pendant et après la guerre.
Et le scénario était magnifique. J’ai pleuré en le lisant ! Le réalisateur Denis Malleval formidable, ma partenaire de jeu Macha Méryl incroyable, une super équipe technique… Un vrai bonheur !
Merci Laura de m’avoir accordé du temps, à bientôt. Je rappelle que ton livre « Comment je suis devenue chinoise » est sorti le 6 octobre dans toutes les bonnes librairies de France. Merci à vous.
Tout d’abord, définissons ce qu’est un onigiri : c’est une préparation culinaire japonaise consistant en une boulette de riz, généralement enveloppée d’une algue nori et souvent de forme triangulaire ou ovale. (source Wikipédia). C’est une spécialité fréquemment consommée en tant que street food au Japon mais très peu en Europe. C’est donc là que French Riz arrive…
Le concept de French Riz arrive donc à Strasbourg pour vous faire découvrir ce plat et vous habituer à le consommer au jour le jour. J’ai pu le découvrir la semaine dernière avant ouverture lors d’une petite soirée.
Il y aura donc plusieurs goûts : Poisson, Viande, Végétarien ou Vegan à consommer sur place ou à emporter. Les tarifs commenceront à environ 2,8 euros l’onigiri et il y aura des formules avec plusieurs onigiris, une boisson et des brochettes (formules à découvrir à l’ouverture)
Mon premier avis :
J’ai pas pu vraiment testé complètement le concept vu que ce n’est pas ouvert officiellement. Je trouve ça original et pas très cher, le packaging est un peu difficile à ouvrir par contre. C’est assez copieux par contre, j’étais calé au bout du deuxième. L’idée plaira sans doute au fans du Japon, mais va t’elle conquérir les autres ? A vous de tester, en tout cas l’équipe n’en doute pas, bon courage à eux pour leur future ouverture.
NB: Tous les onigiris sont garantis gluten free.
Ouverture prévue le 18 Octobre prochain
LE FRENCH RIZ 57 rue du Fossé des Tanneurs 67000 STRASBOURG Ouvert de mardi à vendredi : 11h-14h30 et le samedi de 11h à 18h.
Mardi soir de la semaine dernière, une team de blogueurs strasbourgeois (dont je fais partie) a été invité à goûter / tester & déguster des cocktails dans la version « relookée » du bar / café : le Raven.
Affublés d’un t-shirt aux couleurs de la maison, on a pu écouter attentivement les conseils de Sully (chef barman de l’établissement) pour exécuter les classiques des cocktails : Le Spritz, le Mojito, le Cosmopolitan ou encore la Margarita… Mais pour bien commencer, il nous a offert un cocktail en notre honneur : le cocktail des blogueurs (gin Bombay, thé glacé maison, liqueur de fleur de sureau, sucre vanillé, sirop d’agave et un morceau de pêche et de citron)…. Un délice ! Du coup, après avoir bien goûté plusieurs fois ce cocktail, je dois avouer que j’étais moins concentré sur les autres ! 😉
Cependant les recettes se sont enchaînées et heureusement les collègues blogueurs ont été plus assidus que moi, et ont tout noté ! Le moment était ludique et participatif entre coupé de moment de pauses gourmandes. On a même pu tester nos qualités de barmaids et barmans en exécutant une recette au chocolat et à la fleur d’oranger : Le cocktail Barbe Noire !
Pour finir, le boss de l’endroit, Adrien, est venu échanger avec nous sur ces projets en cours : Une micro brasserie qui va ouvrir dans les alentours de Strasbourg d’ici Mars 2017 (bière qui se nommera « bpm » (-> bière par minute), les noms de bières se déclineront en fonction de fréquences…) et aussi le projet d’une brasserie Grand Rue actuellement en travaux à la place de l’ancien kebab le Kose (ouverture le mois prochain).
Voilà, une soirée sympa avec des gens sympas. Le cadre a bien évolué (j’étais pas fan avant), ça donne un coté cosy plus attrayant je trouve. De plus, la carte des cocktails est fournie, ça peut devenir une valeur sure du genre à Strasbourg… Pour ma part, j’ai fini par mon cocktail préféré de la soirée : Strasbourg Sour !
Les collègues blogueurs strasbourgeois présents à la soirée :
Marina de L’AmourFood
Charlotte des Jumelles à Strasbourg
Cyril de Kuriocity
Sokha de Mademoiselle Niang
Elle de Invisible Essentials
Lucie de Miss Elka
et l’équipe de StrassBuch
Samedi dernier, j’ai eu la chance d’être invité par Hueco (salle d’escalade libre à Eckbolsheim) à découvrir leurs installations avec des collègues blogueurs du coin.
Étaient présents :
Charlotte des Jumelles à Strasbourg, Céline d’Une Fille en Alsace, Lucie de Miss Elka, l’Instagrammeuse Ludivine (LFitGirl) avec une amie et Alexi Tauzin du blog GTLF (merci à lui pour les photos), ainsi que Jean Christophe de l’agence TIZ. Le but de l’événement étant de découvrir le lieu, faire une initiation à l’escalade dans cette salle de blocs et profiter pour échanger avec l’équipe autour d’un apéro.
Apres un échauffement rapide, on a appris la base de l’escalade en salle : comment tomber sans se blesser ! On a pu se faire la main en suite sur des petits parcours simples sur les blocs avant de faire des jeux d’équipes alliant rapidité, et réactivité. Ensuite des petits défis, et pour terminer une visite du backstage pour enfin prendre la direction de la pause apéritive ! La séance a filé à une vitesse incroyable, on a pas eu le temps de s’ennuyer un instant même pour les débutants.
A noter aussi que pendant la soirée nous avons eu un moment pour grimper où nous voulions, quand nous voulions (ce qui est la force de cette salle : l’escalade libre)
Mon avis sur la soirée d’initiation :
Moi qui suit néophyte en escalade avec une condition physique « moyenne », j’ai été surpris à quel point il est simple de s’y mettre et de prendre du plaisir à monter. Pas besoin d’aller haut, mais tout simplement se donner des petits défis personnels et emprunter des chemins différents pour essayer de s’en sortir. Certes, la technique est importante mais c’est très abordable.
D’ailleurs on est bien entouré, toute l’équipe (composée de pros) est là pour vous guider et vous mettre à l’aise: il en ressort un climat cool et presque familial dans la structure. Les enfants peuvent commencer l’activité à partir de 4 ans, des cours d’initiation gratuits sont d’ailleurs proposés les lundis soir de l’année scolaire.
A noter que les parcours sont renouvelés au 1/5ème chaque semaine, les prises sont nettoyées et remplacées. La salle quant à elle est nettoyée tous les jours pendant 3 heures pour lutter contre la poussière et la gomme des chaussons d’escalade. Des compétitions sont parfois proposées, la prochaine étant une édition spéciale femme : La Queen Lines, le 15 octobre prochain.
L’escalade vient d’être validée en tant que future épreuve aux prochains JO du Japon, donc l’équipe s’attend à un boom de la discipline… Vous savez ce qu’il vous reste à faire si vous voulez tenter : les tarifs commencent à partir de 13 euros la séance (plein tarif pour un adulte) avec des dégressifs en fonction des abonnements ou des cartes de 10 entrées.
NB: Je dois avouer, j’ai eu des sacrées courbatures le lendemain dans les avants bras: pour la prochaine fois, je me remettrais à la musculation avant d’y aller… ou au régime ! 🙂
NB 2: La hauteur maximum des murs d’escalade est de 4m50, on peut donc y grimper sans corde et rester en haut pour regarder les autres grimper, discuter ou se reposer dans le hamac…
Fans de foot sur consoles, Vincent (de l’agence Gametime) vous donne la possibilité de revivre l’EURO 2016 lors du premier tournoi FIFA 17 à Strasbourg, voici son message :
N’avez vous pas ressenti comme un sentiment d’inachevé cet été lors de l’Euro 2016 ?
N’êtes vous pas persuadé que c’est une autre équipe qui aurait dû gagner la compétition ?
Ce Samedi 8 Octobre, on donne l’occasion à 24 joueurs de rejouer l’Euro 2016 en prenant les couleurs d’une des 24 équipes nationales ayant participé !
Avant d’être une compétition, c’est aussi une soirée où l’on rencontre d’autres personnes ayant les mêmes centres d’intérêts.
C’est pourquoi l’Agence Gametime a voulu donné une dimension conviviale à ce tournoi, en axant la soirée sur l’échange et le partage. Les joueurs auront d’ailleurs l’occasion de participer à une 3 ème mi-temps au VOG, prêt à les accueillir pour l’occasion.
A leurs côtés : Vinch, meilleur joueur français de FIFA dans l’hexagone, voire dans le monde. Il viendra en tant que Guest et ravira tout joueur qui souhaite se confronter à lui.
Chaque joueur repartira avec son cabas rempli de goodies et cadeaux, définis selon son classement. Tout cela, sur un fond de soundtracks tirées des jeux FIFA depuis 1998, du rap, puis de l’électro pour ambiancer ce petit monde avant la 3 ème mi-temps.
Cela se passe au bar e-sport Meltdown au 10 rue des Glacières à Strasbourg, dès 16h45 le samedi 8 Octobre !
Entrée gratuite pour tous les spectateurs, sans oublier le jeu concours pour gagner une bouteille à consommer au VOG le soir même.
« Les Funambules » sont 3 amis qui se sont rencontrés à l’école hôtelière de Strasbourg, ils viennent de monter ensemble ce restaurant d’une trentaine de couverts rue Geiler où ils essayent d’allier la qualité des plats et des vins pointus le tout dans un cadre agréable.
Je suis passé cette semaine, un midi, pour voir ce que valait cette cuisine de « saltimbanques »… Je dois avouer que c’est un quartier où je ne vais pas souvent car c’est souvent un peu galère de se garer dans le coin, j’ai donc opté pour le vélo. Réservé pour 12h15, la salle était vide mais c’est vite remplie de personnes qui venait manger la formule du jour. La salle est très belle, claire, décorée avec soin, avec des fauteuils confortables le tout dans une ambiance assez calme. On est tous partis sur cette formule entrée, plat, dessert à 23 euros par personne (ou entrée/ plat ou plat / dessert pour 19 euros.)
Au menu ce midi chez Les Funambules :
J’ai pris le velouté de potimarron, la pièce de veau et la mousse de fromage frais-ricotta… Je me suis régalé, les plats étaient bien cuisinés, les quantités sont petites mais suffisantes. Juste un petit manque de sel à mon gout et de cuisson pour le veau, je l’aurai aimé un tout petit peu plus rosé…
Mes collègues de repas ont opté pour le tartare de truites et le poisson du jour, et n’ont pas eu à se plaindre non plus : bon, fin et de qualité !
Nous n’avons pas bu de vin pendant le repas, je peux donc pas me prononcer sur ce point, mais à première vue, ils ont une carte assez fournie. Nous avons fini notre repas tranquillement avec le sourire !
Mon avis sur l’endroit :
Belle surprise, bons plats, ambiance feutrée mais agréable, on passe un bon moment… Un petit bémol sur la vitesse du service : c’était un peu long pour un midi, le serveur était seul en salle, le cuisinier a du lui filer un coup de main pour servir les plats… Je pense y retourner car les plats du jour sont variés et vous avez le choix dans les propositions (3 entrées, 3 plats, 3 desserts) : assez rare pour ce genre de formule. J’aimerai bien aussi tester leur carte du soir / ou le menu « sans filet » : 42 euros, menu 4 plats composé par le chef. Pour conclure, bonne adresse à tester mais dans la même catégorie, je lui préfère le Banquet des Sophistes ou encore Les Innocents voir le Bistrot Coco pour un meilleur rapport qualité / prix notamment le midi.
A vous de tester, bande de gourmands !
Restaurant Les Funambules Cuisine sur le fil et vins d’équilibre 17, rue Geiler 67000 Strasbourg 03.88.61.65.41 Page Facebook Ouvert du Mardi au Samedi, midi et soir.
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