Interview de Marynn, la nouvelle star alsacienne de TikTok !

Présente toi Marynn, tu viens d’où, tu fais quoi dans la vie ?
Je viens de Strasbourg, je suis vendeuse au Super U à Lingolsheim depuis plus de 2 ans et hôtesse de caisse pendant le Covid19.

Je t’ai découverte, comme beaucoup de personnes, sur Tiktok, comment as-tu démarré sur ce réseau social ?
Quand j’ai accouché le 16 octobre 2019, deux mois plus tard, ma chef de caisse, est passée voir ma fille. Elle est venue avec sa fille qui adorait faire des TikTok. Elle m’a dit : « Viens Marynn, on fait un TikTok…! » et je lui ai répondu : « Mais, c’est quoi ça TikTok ?! » Elle m’a donc fait découvrir en mettant une musique et en faisant une petite chorégraphie. J’ai trouvé ça rigolo puis j’ai continué pour m’occuper quand ma fille était à la sieste vu que j’étais encore en congés maternité. Ensuite, mon entourage, ainsi que ma maman, m’ont dit : tu es faite pour la comédie, filme-toi en faisant des sketchs ! Je me suis donc lancé à imiter les clients, ça a plu, les abonnés ont commencé à monter… Cela me fait chaud au cœur car je ne pensais pas que ça allait arriver jusque-là ! Une amie (Laeticia) m’a beaucoup partagé sur les réseaux également.

Depuis le confinement puis le déconfinement, tu cartonnes sur TikTok, comment explique-tu ce succès ?
Je cartonne sur TikTok comme vous dites parce que les gens se reconnaissent dans mes vidéos. Je suis une personne très simple qui part de rien, ça plaît à pas mal de personnes surtout les hôtesses de caisse se reconnaissent dans mes sketchs (les clients aussi, les Alsaciens, tout simplement !).  Avec la nouvelle génération, on perd aussi cet accent et les personnages alsaciens que j’adore imiter. Je fais aussi des sketchs avec mon papa sur TikTok : on imite un peu de tout en restant simples car on est simples, et des fois même, on imite personne ! Le confinement a chamboulé tout le monde donc la caméra est posée sur moi et je n’ai pas besoin de réfléchir, je suis complètement habitée haha ! 😉

Dans tes vidéos, tu te moques mal de l’accent alsacien, as-tu déjà eu des remarques à ce sujet ?
J’ai un cœur énorme, je ne me moque de personne, c’est très affectueux, je suis moi-même alsacienne et fière de l’Alsace : je suis le phénomène alsacien ! Je n’ai jamais eu de mauvaise remarque, ni de mauvais commentaires, les gens le ressentent que c’est affectueux. J’ai aussi l’accent alsacien mais pas autant que sur mes vidéos. Et puis j’accepte les mauvais commentaires cela ne vas pas m’empêcher de dormir la nuit…

Tu affiches clairement dans tes vidéos ton métier et où tu bosses… Qu’en-penses ton employeur ?
J’ai plus de 60 000 abonnés et 800 tous les jours…  Je pense que mon employeur est content que je fasse de la pub pour son magasin ! Cela lui est arrivé de rigoler aussi sur certaines de mes vidéos, il ne m’a jamais rien dit à part de ne pas faire de vidéos dans les locaux et que les vidéos sur le Super U doivent être positives évidement, c’est normal. Après, je fais aussi des imitations clients et je ne mets pas le gilet Super U car pour moi j’ai tout à fait le droit d’imiter qui je veux sur mes sketchs sans dicter personne et ni le Super U. En tout cas, je suis fière de travailler au Super U à Lingolsheim, je suis très bien là-bas et épanouie et j’ai une vie bien remplie à côté. Après, il m’arrive de faire des sketchs aussi sur le supermarché Match, ou autres, mon TikTok n’est pas que pour le Super U, c’est pour m’éclater davantage ! Je fais comme je veux en dehors de mon boulot.

Tu ne fais pas que des vidéos Tiktok… Parle nous de ce que tu fais d’autre ?
Effectivement, je suis chanteuse j’ai déjà un premier album qui s’appelle  » je drone  » et mon deuxième album je suis en train de travailler dessus je l’enregistre fin septembre à Genève chez mon producteur avec mon papa car mon papa et associé à mon producteur. Un nouveau clip sera en ligne, tout se trouve sur Youtube : vous tapez « Marynn je drone » et ma page Facebook pour suivre tout ça c’est Marynn.

Te considères-tu comme une « influenceuse » ?
Non, car je ne cours pas après les abonnés ni les likes et les petits mots en privé. Les commentaires de tout le monde me font chaud au cœur. Tiktok, je le fais quand j’ai un peu le temps en allant au travail ou quand ma fille est à la sieste car mon temps, si je ne travaille pas, je le passe avec ma fille et pas sur mon téléphone.

On pourrait presque te comparer à Cyril Schreiner, car tu es du coin et tu joues pas mal sur le côté « alsacien »… Que penses-tu de cet influenceur ?
J’ai mon propre style ma propre personnalité incomparable même s’il y a plusieurs alsaciens sur terre et du coin ! Je ne connaissais pas du tout Cyril Schreiner. Quand une de mes vidéos a fait le buzz, des collègues m’ont dit :  » T‘a vu Marynn, Cyril Schreiner à commenté ta vidéo, regarde ! » et j’ai répondu : » c’est qui !? ». On m’a montré son compte TikTok et j’ai dit : « ah ok, il n’est pas mal connu, ça me fait plaisir ! ». Puis, j’ai regardé ses vidéos, c’était il y a mois ou 2, avant ça je ne le connaissais pas. Cyril Schreiner est sympa, j’ai même fait une vidéo pour lui pour son anniversaire du coup, le 14 mai : un fan à lui m’a demandé et j’ai accepté car on s’est échangé deux trois mots sur Instagram, il m’avait dit qu’il aimait aussi mes vidéos, cela m’a fait plaisir venant de Cyril.

Quels sont très projets dans les mois à venir ? Quel est le message que tu veux faire passer à tes followers ?
Préparation de mon deuxième album et toujours me donner à fond au Super U à Lingolsheim car je ne vis pas de la musique ni de mes sketchs pour le moment haha ! Cela dit, j’aime aussi ma vie comme elle est je ne cherche pas à être une super star ! Je fais ça à côté si ça marche et si ça ne marche pas je suis quand même fière de mes musiques et de mes clips sur le net et de surtout passer du temps avant mon mari et ma fille eux passent avant tout le reste mon bonheur je l’ai déjà. Le message que j’aimerais faire passer à mes followers c’est : vivez pour vous, n’écoutez personne : osez ! Et surtout, restez comme vous êtes; faites ce que vous avez envie. Les vrais amis restent même si vous ne les voyez presque jamais. Profitez de chaque instant, la vie est courte.

Merci pour tes réponses, à bientôt sur Tik Tok et Instagram alors ! 😉

Kapoué test n°178: La Vieille Enseigne, une Winstub de très bon goût à Strasbourg

J’ai eu l’occasion de tester un dimanche midi, ce restaurant alsacien « La Vieille Enseigne » au centre-ville de Strasbourg. Je ne connaissais pas du tout l’endroit mais j’ai eu une très bonne surprise !

La Vieille Enseigne, c’est quoi ?

Cet établissement a été repris il y a quelques mois par Cyril Woberschar et Andrea Passone (La Cantina, In Vino Veritas, Cornichon Masqué). Cette winstub a donc été refaite à ce moment-là (5 mois de travaux): nouvelle décoration et nouvelle carte. Cette carte met à l’honneur la cuisine alsacienne traditionnelle et les producteurs locaux, dans l’assiette comme dans les verres. (Tous les vins sont à minima en Agriculture Biologique ou en Biodynamie certifiée, souvent nature (400 références – 8 000 bouteilles en stock )).

On mange quoi à la Vieille Enseigne ?

Tout d’abord parlons de la décoration : on est ici dans une winstub, mais une winstub moderne ! Tous les éléments de la décoration rappellent l’Alsace mais avec des touches modernes et des matériaux nobles et de qualité : on s’y sent bien… Mention particulière pour la Salle Tomi Ungerer (au fond de l’établissement, privatisable) où vous pouvez vous régaler en admirant les tableaux du maître de l’illustration alsacienne.

Niveau repas, nous étions deux, et nous nous sommes fait plaisir en dégustant à la carte avec les vins correspondants aux plats.

En entrées :

Terrine de foie gras de canard d’Alsace (de la ferme Nonnenmacher au naturel, chutney aux fruits du Baerewecke) , et une salade mixte à l’Alsacienne (cervelas paysan bio et emmental de la Maison Lohro)

En plats :

La bouchée à la reine de la Vieille Enseigne aux truffes (volaille et veau, petits légumes bouillon) et la fameuse choucroute et ses sept garnitures !

Et enfin, en desserts :

Le kougelopf façon pain perdu avec sa compotée de fruits rouges au Pinot Noir, glace vanille et une Douceur Chocolat praliné (suggestion du jour, pas à la carte)…

Vous avez compris qu’on s’est fait plaisir. Peut être même un peu trop, car les quantités étaient assez impressionnantes et tout, absolument tout était très bon ! Bien cuisiné, belles saveurs, de quoi en profiter. Rien à redire, tout était excellent, difficile de trouver un défaut à ce qu’on a mangé…

Nous avons , par contre, pas pu finir nos plats de résistance,voulant garder une place pour le dessert. Notre serveuse nous a proposé le doggy bag que nous avons bien sur accepté ! D’ailleurs, concernant le service : un gros coup de cœur pour notre serveuse qui était top : souriante, disponible, de bon conseil pour les vins… Elle a permis à ce qu’on passe un bon moment et mettait une bonne ambiance décontractée et pro dans toute la salle. Chapeau !

Pour conclure…

Il y a en effet, pas mal de winstubs à Strasbourg, je ne les ai pas toutes testées mais je pense que c’est la meilleure que j’ai pu faire pour le moment. Son coté moderne me plait, ainsi que la qualité des produits et du service. A tester donc si vous ne connaissez pas l’adresse, pour les grandes et petites occasions.

Qu’en pensez-vous ?  Avez-vous envie de tester cette « nouvelle » Vieille Enseigne ? J’attends vos commentaires sous l’article, à bientôt pour un nouveau test.

La Vieille Enseigne
9 rue des Tonneliers
67000 Strasbourg
03 88 75 95 11
Page Facebook

Invité Kapoué n°60: Katalysart, nouvel espace récréatif à Strasbourg

L’atelier Katalysart nous invite, le temps de 2 heures de déconnexion, à nous plonger dans un bain de créativité effervescente, pour retrouvez le plaisir spontané de jouer avec les couleurs, et nous émerveiller devant nos créations…  quels que soient notre âge et notre expérience. Sa fondatrice, Kathleen Rousset, nous ouvre ses portes et nous présente sa technique-phare.

 À qui sont destinés tes ateliers ?

Katalysart accueille tous les publics de 5 à 105 ans, hommes et femmes, des débutant·e·s aux plus chevronné·e·s. J’ai imaginé l’atelier comme un lieu chaleureux et bienveillant, où tout le monde se retrouve sur un pied d’égalité, en privilégiant des techniques basées sur l’expérimentation ludique, le lâcher-prise… et la surprise.

Tu proposes une technique encore peu connue en France…

Oui : ma technique de prédilection, c’est le « gelli print », un procédé à mi-chemin entre impression et peinture, venu des États-Unis. Les participants l’adoptent très vite car il est accessible à tous, et donne des résultats étonnants dans un temps court, en combinant à merveille le jeu (le hasard jouant une part importante dans le procédé) et le plaisir créatif, avec un effet immersif particulièrement favorable à la détente.

Comment est née l’idée de Katalysart ?

Graphiste à mon compte depuis 2002, j’ai eu la chance de collaborer à des projets passionnants, en travaillant pour des théâtres, des musées, des artisans… Mais au fil des années, avec la dématérialisation de la création numérique, et un contexte économique plus tendu, j’ai eu besoin d’un nouveau souffle dans mon expression artistique, avec le souhait de remettre l’humain au cœur de mes activités.

Le déclic s’est produit en 2016, grâce à ma « rencontre » avec le gelli print sur un blog américain. J’ai immédiatement été fascinée par le potentiel du médium. Et comme je fréquentais à l’époque un fablab local (la CabAnne des Créateurs à Schiltigheim), les choses se sont faites naturellement d’y proposer mes premiers ateliers, avant d’être invitée par des bibliothèques, avec un accueil très enthousiaste. Et de fil en aiguille, j’ai ouvert l’année dernière mon espace à Strasbourg.

Vidéo réalisée par D., 11 ans, lors de sa visite en famille…

 

Tu parlais de jeu et de déconnexion…

Je pense qu’on a particulièrement besoin aujourd’hui de ces bulles de récréation, qui nous permettent de nous retrouver « autrement », avec nous-même ou avec nos proches. On peut pratiquer le yoga, le chant, s’immerger dans un escape game… Chez Katalysart, l’idée c’est de déconnecter, tout en reconnectant avec son potentiel créatif.  C’est ma façon d’œuvrer à mon échelle à plus de bien-être. Et d’inviter à s’offrir des moments partagés plutôt que des choses matérielles : « Collect moments, not things », comme disent les anglais…

Comment fonctionnent tes ateliers ?

Les ateliers « gelli print » fonctionnent à la demande, en semaine et les week-ends. Il suffit de compléter le calendrier en ligne pour renseigner ses disponibilités, et c’est moi qui confirme ensuite les séances entre 3 et 6 participants (me consulter pour des groupes plus grands). J’accueille aussi bien des groupes d’amis, des personnes en solo que des parents avec enfants, en mélangeant volontiers les publics !
Les séances durent 2 heures, dont 1 heure et demi de production effective, ce qui permet de créer une dizaine d’œuvres de format 15 x 15 cm. Tout le matériel et les tabliers sont fournis.

Et les tarifs ?

Les tarifs sont dégressifs : on peut acheter 1 à 5 séances non nominatives, entre 20 et 25 € pour 2 heures, matériel inclus.

Point avantageux : si une personne est convaincue à l’issue de sa première séance, celle-ci pourra être déduite de son abonnement. Des bons cadeaux sont également disponibles.

À noter que Katalysart propose aussi des ateliers en entreprise, et des stages plus poussés pour se lancer dans la création d’œuvres personnalisées, autour de la techniques du transfert et de pochoirs sur mesure…

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à me contacter directement et/ou à vous abonner à ma page Facebook !

Ateliers Katalysart

10, rue des Francs-Bourgeois

Tram Langstross Grand’Rue

06 20 21 13 19 | info@katalys.art

www.katalys.art | Facebook : katalysart

Calendrier des ateliers en ligne ici

Invité Kapoué n°59 : La boutique ALSATRUCS qui propose de l’artisanat 100% local à Strasbourg

Alsatrucs, késako ?!

Alsatrucs est un collectif d’artisans d’art proposant une gamme originale d’objets entièrement créés et réalisés en Alsace. En deux mots, c’est du 100 % made in Alsace, par des alsaciens, pour des alsaciens et amoureux de l’Alsace !

L’idée est de s’inspirer des traditions et symboles de notre belle région pour faire des objets funs et décalés, à la fois utiles et décoratifs. On retrouve donc la belle Cathédrale de Strasbourg (une de nos muses préférées) sur des bouchons en liège, parfaite pour conserver un bon Gewurtz pour le prochain apéro. La Bretzel ? Elle se transforme en dessous de plat en bois, simple, sobre et efficace ! Et pour les touts petits, quoi de mieux qu’une Bretzel à bascule ou des toupies pour jouer pendant que Papa fait un Kougelhopf dans le moule Alsatrucs et que Maman décapsule une IPA locale avec son décapsuleur Cigogne et découpe un saucisson sur une planche maison à colombages ?

Au final, chaque objet reflète une facette de l’identité alsacienne, de manière évidente ou plus subtile, en mettant en avant la créativité et le savoir-faire alsacien.

Nos valeurs :

Le point de départ du projet Alsatrucs était le constat que de nombreux touristes visitent notre région, et Strasbourg en particulier, à la recherche d’une authenticité et d’un artisanat local, quête souvent vaine ou déçue…

En 2012, la frémaa (Fédération des métiers d’art d’Alsace) a initié ce projet collectif, afin de développer une production locale (et aider nos créateurs à vivre de leurs métiers et savoir-faire) et pour que chaque visiteur continue de s’émerveiller sur les richesses de l’Alsace.

À ses débuts, Alsatrucs était principalement présent aux marchés de Noël alsaciens, dans le but de véhiculer une éthique forte : préserver l’âme de ces marchés de Noël en proposant aux visiteurs des produits authentiques et éco-responsables (parce que pour nous la provenance est primordiale !) .

Les créateurs ont alors mobilisé tous leurs savoir-faire pour répondre aux attentes du public : trouver des cadeaux originaux et de qualité, au juste prix, pour faire plaisir et se faire plaisir.

Notre projet : l’ouverture d’une boutique au centre-ville de Strasbourg :

Cet été, nous avons répondu à un appel à projet de la Ville de Strasbourg pour investir l’ancienne Boutique culture située place de la Cathédrale. Cette boutique éphémère changera d’occupant tous les 11 mois et mettra en avant l’artisanat local à travers de nouveaux créateurs.

Une belle occasion de faire connaître la marque Alsatrucs aux strasbourgeois et aux visiteurs de passage ( au pied de la plus belle ! ), et de faire un test grandeur nature pour une boutique 100% Alsatrucs à Strasbourg, et ainsi pérenniser l’activité !

Aidez-nous dans ce projet :

Les investissements pour aménager cette boutique étant assez conséquents, nous avons lancé une campagne de financement participatif sur KissKissBankBank !!

Au programme : un mobilier tout beau tout neuf (modulable pour une éventuelle future autre boutique puisque celle-ci est éphémère), et tout ce qui va avec l’aménagement de la boutique (vitrines, signalétique, éclairage (le casse-tête dans un bâtiment classé patrimoine historique!!), la communication, et de quoi faire vivre nos supers vendeuses Laura et Christine !!

Allez, on vous fait rêver un peu avec un petit croquis de la future boutique telle qu’on l’imagine :

Du coup on a vraiment besoin de vous !!

La collecte à atteint (en ce jour) les 41 %, c’est bien mais on peut faire mieux !!

Plus que 8 jours pour atteindre l’objectif (Deadline le 10 février 2020) sinon on rentre bredouille et chacun récupère ses dons ! Et ce serait vraiment trop dommage, sachant qu’on a déjà récolté presque 2 470 € !

En plus on a préparé des contreparties hyper sympas, pour tous les budgets : avec des produits Alsatrucs personnalisés, des ateliers chez un de nos créateurs, une visite d’atelier avec démonstration chez un autre…

Il te faut encore un petit argument pour passer le cap ?

Donc si vous aimez l’artisanat et l’Alsace, soutenez notre projet avec un petit don et partagez le lien autour de vous !!

De tout cœur merci ! On a hâte de vous accueillir dans notre petit cocon… à partir du 14 février 2020 (pour fêter les amoureux de l’Alsace ! )

Lien de la collecte : https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/alsatrucs-artisanat-local-boutique-strasbourg/preview

Facebook : https://www.facebook.com/alsatrucs67/

Instagram : https://www.instagram.com/alsatrucs/

Event de l’ouverture de la boutique : https://www.facebook.com/events/166296207979406/

Interview de « Parlons Y-stoire » pour sa vidéo Youtube évoquant l’histoire de la Place du Château à Strasbourg

Après être tombé sur Youtube sur une vidéo sympa de la chaîne « Parlons Y-stoire », j’ai voulu en savoir plus sur ce youtubeur de la région… Il s’appelle donc Baptist et il a répondu à quelques questions : 

Présente-toi, tu es de la région alsacienne ?

Je m’appelle Baptist, j’ai 33 ans et je cumule plusieurs casquettes : enseignant, auteur, youtubeur et papa depuis peu. Je suis alsacien de cœur mais pas du tout d’origine. En fait je faisais mes études d’histoire à Angers et là, sur les bancs de l’université, j’ai rencontré une jolie petite Allemande en Erasmus. A la fin de son année en France, il a fallu qu’elle retourne en Allemagne, je l’ai suivie et nous nous sommes installés à Strasbourg en 2009. Nous n’avons plus quitté l’Alsace depuis, au grand dam de nos familles respectives.

 Depuis quand es-tu Youtubeur ?

J’ai créé ma chaîne en 2014 : Parlons Y-stoire !

Le « Y » signifie 2 choses :

  • D’une part c’est un hommage à Bruce de la chaîne « e-penser », lui aussi Alsacien d’ailleurs, qui, en 2014 justement, a fait une vidéo dans laquelle il regrettait qu’il n’y avait pas assez de vidéastes vulgarisateurs francophones. L’idée me trottait dans la tête depuis quelques temps et Bruce m’a donné le coup de pouce qu’il me manquait pour me lancer.
  • D’autre part, le « Y » est le seul reliquat de l’alphabet grec dans notre alphabet latin, quoi de mieux pour représenter une chaîne d’histoire ?

Ton choix de traiter l’Histoire, comment s’est-il imposé à toi ?

Je n’ai pas réfléchi en fait : je suis enseignant d’histoire-géographique depuis 2012 et c’est une discipline que j’adore et je n’ai même pas pensé à faire autre chose que de l’histoire sur YouTube.

Raconte-nous comment tu as choisi le thème de cette vidéo ?

Pour la vidéo sur la Place du Château de Strasbourg, c’est en fait le fruit d’une réflexion à plusieurs. Le département Culture de la ville de Strasbourg m’a contacté parce qu’ils étaient en train d’aménager le 5e Lieu sur cette fameuse place. Je suis allé dans leurs locaux pour en discuter et rapidement on s’est dit avec l’équipe que ce serait très intéressant de narrer une rapide histoire de tous les bâtiments qui entourent cette place pour terminer sur le 5e Lieu. Je suis très heureux et très fier d’avoir été contacté par Strasbourg pour promouvoir le patrimoine culturel et architectural de l’Alsace. J’espère que nous travaillerons de nouveau ensemble.

Cela t’a pris beaucoup de temps ?

Bien sûr ! Une vidéo en histoire est toujours très longue à réaliser : une trentaine d’heures pour la rédaction du script. C’est long car il faut s’assurer d’être au plus juste historiquement parlant. Dans cette vidéo on parle de Gengis Khan, de camps romains, de Louis XVI et Marie-Antoinette etc. Tant de données à vérifier et à vulgariser. Une fois le script validé par la ville, le tournage sur place a duré du 8h00 du matin jusque 13h00. Vient enfin le montage de la vidéo qui a pris une vingtaine d’heures. Je totalise donc environ 55 heures de travail pour une vidéo de 17mn.

As-tu appris des choses en la filmant ?

En filmant non mais en préparant le script beaucoup. Et c’est ça que j’adore quand je fais des vidéos c’est que je ne suis pas du tout un spécialiste de la question que je traite et préparer une vidéo me fait apprendre tellement de choses, c’est très satisfaisant. Tous les incendies de la Cathédrale, l’importance du Prince-Evêque de Strasbourg, l’histoire du bâtiment qui abrite le 5e Lieu. J’ai appris tellement de choses ! Et ce n’est qu’une seule vidéo.

Veux-tu faire d’autres vidéos sur Strasbourg ou l’Alsace en général ?

ABSOLUMENT ! Voici mon mail : parlonsystoire@outlook.fr

 Connais-tu d’autres Youtubeurs alsaciens à nous conseiller ?

Bien entendu et parmi ceux-ci je vous conseille même une chaîne dédiée à l’Alsace qui est tenue par Clément et se nomme Histoire Alsace. E-penser bien sûr, mais aussi « Je m’énerve pas j’explique« , Linguisticae à regarder d’urgence, La Géozone, ou encore Thomas Laurent qui, en plus de connaître un succès grandissant, est une chaîne vraiment très intéressante et bien foutue.

Pour finir, quel est ton endroit préféré de Strasbourg ? (Historique ou autre)

Maintenant que j’ai découvert la Place du Château en réalisant cette vidéo, je ne peux qu’apprécier cette place, il reste tant de choses à découvrir !

Merci Baptist pour tes réponses, et à bientôt. N’hésitez pas à découvrir les autres vidéos sur sa chaine Youtube !

Les pulls moches de Noël reviennent à Strasbourg !

Il n’y a pas que le marché de Noël en ce moment à Strasbourg… Le lundi 16 décembre prochain sera célébrée la journée internationale des pulls moches de Noël. Les Strasbourgeois passionnés de bredeles et de chocolats chauds vont se retrouver en ville pour un programme inédit condensé en une seule soirée !

Pour cette nouvelle édition, un barathon vous attend avec des tarifs spéciaux pour les porteurs de pulls moches de Noël. Il se déroulera d’abord au Trolley, puis à la Taverne des Serruriers et pour enfin se terminer en apothéose au Square Delicatessen avec l’élection du plus moche des pulls de Noël d’Alsace !

Avec un jury passionné et qualifié, les participants vont pouvoir défiler et tenter de remporter différents lots offerts par les partenaires de la soirée.

Le programme en détail :

18h30 – 19h15 : Au Trolley
19h30 – 20h15 : A la Taverne des Serruriers
20h30 : Au Square Delicatessen pour un défilé de pulls moches mémorable !

Tarifs spéciaux sur les boissons pour tous les porteurs de pulls moches 🍻🍸

Pour plus d’infos :

Evénement Facebook de l’élection du plus moche pull de noël Strasbourg :
https://www.facebook.com/events/2502055006783477/

Groupe Facebook pulls moches de noël à Strasbourg :
https://www.facebook.com/groups/352041651904917/

Porter un pull vert, une alternative au pull moche de Noël

Le pull moche de Noël connaît un grand succès et cette tradition tout droit venue des États-Unis semble désormais bien ancrée. Pour autant, il n’est pas toujours possible de porter le ugly sweater, notamment au travail. Si vous souhaitez malgré tout, porter un pull de fêtes, le pull vert, peut être une alternative intéressante.

Un pull vert sapin pour faire la fête

Porter un pull vert sapin pendant la période des fêtes de fin d’année peut se voir comme une alternative au port du pull moche. En effet, ce coloris élégant est tout indiqué, car il fait écho à l’arbre de Noël.

Cependant, ce pull vert sombre se veut bien plus discret, surtout si vous choisissez un pull vert uni. Pour lui apporter une petite touche de fantaisie, il vous faudra plutôt jouer sur des accessoires festifs (broches, petit foulard de Noël, etc.). Le pull vert à paillettes est une option à envisager.

Vous pourrez également opter pour un pull vert décliné dans une autre teinte de vert, plus ou moins foncée. Un pull vert kaki ou un pull vert émeraude, par exemple. Pour passer un Noël en pull vert chic, choisissez une belle matière. Un pull vert en cachemire ou en mohair sera parfait.

Le pull vert, une couleur à adopter toute l’année

Bien sûr, le pull vert femme n’est pas à réserver à la période de Noël ou à la saison froide. Ce pull se porte aussi tout au long de l’année et peut prendre différentes formes. En vous rendant sur le site https://www.galerieslafayette.com/c/femme/vetements/pulls-gilets/pulls/fc/vert des Galeries Lafayette, vous trouverez une large gamme de pulls verts de tout style.

Vous pourrez ainsi acheter un pull vert à col rond, à col V ou encore, un pull vert sans manches de type débardeur. Pour les soirées fraîches ou pour accompagner une tenue légère, offrez-vous un gilet vert à manches longues. Quant à la couleur, faites votre choix. Vert pomme, kaki clair, vert d’eau, céladon, il existe mille nuances de vert.

La boutique en ligne des Galeries Lafayette est réputée pour la qualité des articles qu’elle commercialise. Sa sélection de tricots verts en laine présente donc les vêtements des plus grands noms de la mode féminine. Parmi eux, Zadig&Voltaire, Claudie Pierlot, Eric Bompard ou Ralph Lauren, mais aussi la propre marque des Galeries Lafayette.

Tous ces articles, en plus d’être particulièrement stylés, sont d’une très grande qualité. Vous pourrez donc les offrir en toute sérénité.

Interview de Sophie Nicolas pour son livre « 111 Lieux en Alsace à ne pas manquer »

Bonjour Sophie, tout d’abord, pouvez nous nous parler de l’origine du projet du livre ?

Ma maman est originaire de Mayence en Allemagne et a un jour reçu en cadeau le guide 111 Orte in Mainz (111 Lieux à Mayence) publié par Emons. Elle m’a aussitôt dit : « Toi aussi tu pourrais en faire un comme ça ! » J’ai donc cherché une région que je connaissais bien et que j’avais envie de faire découvrir. C’était parti pour l’Alsace.

A qui s’adresse-t-il ?

Il s’adresse plutôt aux habitants mais aussi à tous ceux qui aiment l’Alsace. Un jour, un monsieur est venu acheter le livre et m’a demandé une dédicace pour sa fille. Il avait quitté Paris pour Strasbourg quand il était jeune et sa fille partait à son tour étudier dans la capitale. Il lui a offert le livre pour qu’elle n’oublie pas sa région. 

Etes-vous de la région, ou avez-vous des liens privilégiés avec elle ?

Je suis née à Fribourg et je venais régulièrement en Alsace quand j’étais enfant. Ma famille est très francophile et la région était juste à côté de là où j’habitais.

Comment avez-vous choisi les lieux ?

De façon très fluide en réalité. J’ai en général un coup de cœur pour un lieu et je fais ensuite des recherches pour découvrir son histoire. Si elle est suffisamment insolite, il a sa place dans le guide. Une fois l’idée trouvée, le reste du travail se fait presque tout seul. J’ai également eu beaucoup de conseils de la part de mes amis qui m’ont bien aidé.

 

Avez-vous du faire un travail de recherche approfondi pour traiter ces lieux ?

Oui, c’est d’ailleurs la partie la plus longue du travail. J’ai beaucoup consulté les offices de tourisme qui connaissent tous les endroits un peu cachés. Je suis aussi allée voir les lieux en personne afin de rencontrer les propriétaires car il est important de parler avec les gens pour trouver de vraies histoires exceptionnelles.

Pourquoi seulement « 111 » lieux ?
Le guide fait partie de la collection des « 111 Lieux » des éditions Emons. 11 est le chiffre fétiche de la ville de Cologne, d’où est originaire la maison. Mais 11 lieux pour faire un livre, ce n’était pas assez, ils ont donc rajouté un 1 pour faire 111.
Mon livre s’inscrit donc dans cette collection mais il est vrai que seulement 111 lieux pour une région comme l’Alsace, c’est un peu frustrant. Si les lecteurs sont intéressés, les éditions Emons feront peut-être un 2e volume. Le potentiel est là !

On dit souvent que « Choisir, c’est Renoncer… », comment avez-vous choisi certains lieux à évoquer dans ce livre, plutôt que d’autres ?

Les lieux devaient me toucher et ils devaient avoir une histoire qui allait intéresser les lecteurs et qu’ils pourraient ensuite raconter à leur tour. Voilà ce qui comptait le plus. L’avantage de l’Alsace, c’est qu’il y a de nombreux endroits comme cela.

Si vous aviez dû écrire sur une autre région, ça aurait été laquelle ?

Mon deuxième livre porte sur la région du Kaiserstuhl, la région allemande frontalière de l’Alsace, où j’habite. On reste toujours dans le même secteur mais ce sont aussi les endroits que je connais le mieux.

Mon blog parle surtout de Strasbourg… Avez-vous un endroit préféré à Strasbourg qui n’est pas mentionné dans votre livre ?

Un des lieux que je préfère à Strasbourg est le parc de Pourtalès, où les arbres ont des oreilles (et ce n’est pas une métaphore). Mais j’en parle déjà dans le livre. Sinon… il y a certains lieux que j’ai choisi de ne pas évoquer dans le guide. Comme ça, ils restent vraiment secrets !

Merci pour vos réponses, votre livre « 111 lieux en Alsace à ne pas manquer » sera à retrouver dans toutes les bonnes librairies ! 😉

www.111lieux.com

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https://www.instagram.com/111_lieux/

Les Vins d’Alsace vous gâtent pendant les fêtes !

Les chocolats dans les calendriers de l’avent, c’est bien… Mais des VRAIS et BEAUX cadeaux, c’est mieux !

Du 1er au 24 décembre 2019, les Vins d’Alsace (en collaboration avec l’agence de communication Novembre) font leur calendrier de l’avent sur Instagram.

Pour rappel, les Vins d’Alsace sont de grands vins blancs aux arômes intenses et frais, pleins de naturel. L’expression pure et vibrante des Vins d’Alsace est profondément liée à leur origine : un climat privilégié, des terroirs d’une exceptionnelle diversité géologique et un savoir faire vigneron exigeant.
Leur large gamme dont les Riesling, Pinot Gris, Gewurztraminer ou Crémants d’Alsace, mais aussi les Grands Crus ou les vendanges tardives, permet des mariages classiques ou étonnants avec toutes sortes de mets, des produits de la mer aux cuisines du monde, des viandes blanches aux fromages et desserts, sans oublier l’apéritif.

Pour en revenir au jeu : chaque jour, amateurs et connaisseurs de bons vins vous êtes invités à tester vos connaissances des vins et du vignoble alsacien pour tenter de remporter l’une des 24 surprises mises en jeu (1 par jour) : Vins d’exception, caves à vins, coffrets de dégustation, visites de cave, séjour spa

Pour jouer, c’est très simple, il suffit de suivre le compte @VinsAlsace sur Instagram dès le 1er Décembre 2019 et tenter chaque jour de gagner le lot !

Ce jeu concours est réservé aux personnes majeures (Règlement du jeu : http://als.ac/reglemjeuavant2019)

Bonne chance à tous, et bonnes fêtes !

NB : Vous pouvez aussi suivre l’actualité des Vins d’Alsace sur les réseaux sociaux en suivant les hashtags suivants : #AlsaceRocks et #DrinkAlsace.

Kapoué test n°170: VORTEX EXPERIENCE VR à Mundolsheim

Il y a de ça quelques jours, j’ai testé avec 2 de mes potes, la nouvelle salle de réalité virtuelle à Mundolsheim (à quelques minutes de Strasbourg, placée derrière le SENSAS et le Trampoline Park) : Vortex Experience VR !

Vortex Experience VR, ça consiste en quoi ?

Il s’agit d’une salle de jeu en réalité virtuelle de plus de 500m² où vous allez pouvoir vivre , en immersion totale, une mission à plusieurs joueurs grâce notamment à votre équipement : une veste sensorielle (comprenant un ordinateur assez puissant et une carte graphique costaud), un fusil Vortex, et un casque VR. Les parties de jeu se font en multijoueurs avec des équipes de 2 à 6 joueurs en même temps. Ici, on est clairement dans un jeu entre le laser game et le jeu vidéo collaboratif, il y a donc de quoi s’amuser entre amis ou en famille.

Niveau scénario, c’est un assez masculin et assez violent malgré tout puisqu’il faut sauver le monde d’un virus qui transforme tout le monde en zombies. Pour le moment, il n’y a qu’un seul scénario disponible, car le jeu est développé en interne, ce qui entraîne des frais assez importants.

Mon avis sur Vortex Experience VR

Bon déjà, j’adore ce genre de jeux, j’en avais déjà testé 2 ou 3 fois comme lors de mes vacances au Japon ou encore chez VR PORTAL lors de leur inauguration. Je n’ai pas été déçu : en effet, il y a un vrai coté immersif, on marche beaucoup (en moyenne environ 500 mètres par joueur pour notre partie). Le vrai plus, c’est le coté participatif : on évolue avec ses potes, on les voit dans le jeu et on les aide, ce qui est assez rare dans les jeux VR où en général on est seuls face à l’ennemi. La partie dure 50 minutes, mais vous avez un quart d’heure de pris le temps de vous habiller et de vous entraîner avec les armes. Le temps réel de jeu est plutôt d’une demi heure. Il y a 3 niveaux de difficultés, il faut dire que c’est assez intense, vous n’avez pas le temps de vous ennuyer ! On a tous beaucoup aimé. On était KO et en sueur à la fin de la partie, on a pu comparer nos scores et regarder les joueurs qui nous suivaient…

Pour résumer, c’est un bon plan, je pense que les aficionados aimeront, et y retourneront pour améliorer leurs scores. Voici d’ailleurs les notres :

Tarif : 30 € la partie, interdit au moins de 13 ans.

NB : Voici un avis d’un Youtubeur qui a testé le même concept sur la première salle du genre ouverte à Bordeaux, ça peut vous aider à vous faire une idée…

A vous de jouer et de me dire ce que vous en pensez dans les commentaires sous cet article !

A bientôt pour un nouveau test !

Vortex Experience VR Strasbourg
4 rue de l’industrie
67450 Mundolsheim
03 67 34 34 68

Mavrommatis: l’endroit où déguster la cuisine grecque et chypriote à Strasbourg

La Maison Mavrommatis a ouvert son tout dernier établissement à Strasbourg au 8, rue d’Austerlitz. Comme un signe dédié à la Méditerranée, les frères Mavrommatis s’installent en Alsace pour faire découvrir et briller leurs spécialités de Grèce et de Chypre. J’ai pu découvrir cet endroit il y a quelques semaines, voici les infos si vous êtes comme moi fan de la cuisine méditerranéenne…

Mavrommatis Strasbourg est divisé en trois espaces :

– la boutique-traiteur, pour des achats gourmands à toute heure de la journée qui subliment vos assiettes et vos papilles (moussaka, feuilletés aux fromages, aux épinards, aux olives, caviar d’aubergines, tarama, tzatziki, salades…)

– la cave à vins qui propose plus de 80 références de cépages de Grèce et de Chypre à déguster sur place ou à emporter.

– le restaurant pour déguster des mézédès, des plats qui associent la tradition à la modernité, mais aussi des sandwichs typiques. La boutique-traiteur vous propose de quoi satisfaire toutes vos envies : salées, sucrées, à picorer ou pour composer un repas complet. On y retrouve des goûts rares et savoureux, des senteurs enchanteresses qui éveillent les papilles et obligent à la gourmandise. Une offre de sandwichs est également proposée, sur place ou à emporter.

La cave à vins propose plus de 80 références à déguster et découvrir (blancs du Péloponnèse, de Macédoine ou de Santorin, vin rosé des Cyclades, vins rouges de Goumenissa, de Naoussa… mais aussi vins doux et liquoreux, ouzos et eaux de vie.

Le restaurant présente une carte copieuse et typique des tables grecques : salades (crétoise, chypriote, aux légumes grillés ou à la volaille), feuilletés variés, farcis à la grecque, cromesquis, brochettes d’agneau et de veau à la menthe fraîche, keftédès, aubergines à la viande ou végétariennes, lasagnes, falafels, moussaka… sans oublier les célèbres fromages grecs au lait de brebis ou de chèvre, et les desserts gourmands aux parfums de miel, d’épices et de fleur d’oranger.

Mavrommatis travaille surtout sur l’excellence des produits naturels (fraîcheur extrême, sans additifs et ni conservateurs). Toutes les spécialités sont fabriquées maison au pays des senteurs et des saveurs délicates de la Grèce et de Chypre.

Niveau prix : Au restaurant, Mézedès à partir de 4,6€, salades 12,9€, plats autour de 13€, assiettes dégustation à partir de 16,9€, une offre « plat + mézédès » autour de 18€, et desserts environ 5€.

Mavrommatis Strasbourg
8, rue d’Austerlitz
67000 Strasbourg
Du lundi au samedi de 10h à 20h
Tél : 03 90 22 90 76

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