Retour sur l’inauguration de l’hotel Graffalgar à Strasbourg

Retour sur l’inauguration de l’hôtel Graffalgar à Strasbourg

Il est clair que tout le monde (ou presque) connait le Graffalgar : cet hôtel strasbourgeois alternatif du quartier de la gare qui propose des chambres décorées par des artistes. Vous n’allez donc rien apprendre en lisant cet article mais je vais juste rappeler les bases et surtout vous laisser regarder quelques photos prises lors de l’inauguration de la 2eme phase de l’hôtel.

Les artistes se sont bien amusés, ils ont, chambre par chambre laisser libre court à leur imagination pour développer leurs univers respectifs sur les murs de l’hôtel, ce qui donne un mélange plutôt sympathique… Je connaissais moi aussi cet hôtel de nom, j’avais jamais pu y aller mais l’envie était là ! Surtout qu’à l’époque de sa construction, j’habitais pas loin, je voyais le projet se monter, mais de l’extérieur !

J’y suis donc passé il y a quelques jours à cette soirée d’inauguration, l’occasion de faire un tour complet dans l’endroit en buvant une bière fraîche ! Seules les chambres des clients étaient fermées (logique !). J’ai passé un bon moment, j’en ai pris plein les mirettes, j’ai presque regretté d’être strasbourgeois et de pas pouvoir y dormir en tant que touriste ! Bref, la classe.

Pour rappel, l’endroit mise beaucoup sur le service : Free WIFI, boutique des artistes, vélos à dispositions etc… Seuls les toutous et les chatons ne sont pas acceptés.

Les chambres sont dans les étages, le rez de chaussé reste un espace ouvert à tous : espace de rencontres, expositions, workshops, restauration (plat du jour, dîner, apéros, brunch…) L’idée est de pas se limiter aux 38 chambres décorées par les 38 artistes, mais être aussi un lieu d’échanges entre les strasbourgeois et les clients de l’hôtel.

Pour les prix, ça commence à 70€ par nuit pour une chambre simple et 90€ par nuit pour une double, il y a souvent des offres sur la page d’accueil de leur site.

Vous savez donc à présent où envoyer Mamie quand elle vient vous rendre visite à Strasbourg !

Mise à jour du 28/08/2018 :
J’ai pu manger pour la deuxième fois là bas : j’aime beaucoup ce qu’ils servent, c’est en général bon et pas cher. Le fait de pouvoir prendre des brunchs en semaine est plutôt pas mal !

Hotel Graffalgar
17 rue Déserte
67000 Strasbourg
03 88 24 98 40

Kapoué test n°83 : Velicious, restaurant végétarien à Strasbourg

Velicious, restaurant végétarien à Strasbourg

« L’alternative végétale » arrive à Strasbourg, et elle s’appelle : Velicious ! Après avoir collecté des fonds via Kiss Kiss Bank Bank, ce mélange salon de thé / restaurant a ouvert cette année rue Geiler, vers le quartier des XV. C’est donc un restaurant complètement végétalien et végétarien, je l’ai testé très très rapidement la semaine dernière, voici mes premières impressions…

D’habitude, j’essaie de trouver des bons et mauvais cotés à chaque endroit, ici, je vais avoir du mal… Le bon coté, c’est que l’idée est bonne et tendance : proposer une  façon de se nourrir bonne pour la santé et l’environnement, pourquoi pas ? Par contre, faut il bien l’exploiter cette idée !

Nous avons mangé un midi de semaine, nous sommes arrivés à l’heure, il y avait déjà du monde (quasi plein), on s’installe à notre table réservée et on attend… Dix bonnes minutes plus tard, un serveur arrive nous demandant notre choix ! Le seul problème c’est qu’on avait pas eu de menus ! Bref, on lit les tableaux au mur et on part sur un « Mexican burger » et un « Cheese burger » accompagnés d’un Fritz Cola (vegan, rien d’autre en cola proposé ici) et d’un jus de fruits (plutôt bon d’ailleurs). Il fait froid, c’est bruyant, on se réchauffe comme on peut en attendant nos burgers…

Ils arrivent enfin et là, déception, c’est pas mauvais le vegan burger (d’ailleurs il est fait de quoi le « steak »?) mais les frites sont hypers grasses sans parler du « fromage » encore froid et non fondu sur le Cheese burger. Je finis le mien, car j’avais vraiment faim mais je le trouve sans plus… Pour finir sur une touche sucrée, je tente un dessert : la fameuse Foret Noire Vegan (en fait, c’était ça ou un cookie, il y avait que de 2 desserts !) : pas top, trop de kirsch dedans, j’ai eu du mal à la finir. Bref, on attend encore, et on finit par réclamer l’addition et partir. (à noter que le terminal Carte Bleue ne fonctionnait pas ce jour là !)

Conclusion:
Pas plus de chose à dire : hyper déçu, un service à revoir complètement, un peu débordés, les burgers très moyens et l’ensemble instable, ça donne pas envie de revenir, en plus c’est cher : 35,80 € pour deux ! J’espère vraiment pour eux que ça n’était qu’un mauvais jour ce jour là, sinon ils sont mal partis les pauvres. A re-tester dans quelques mois, pas avant pour moi. (Ceci dit, j’aurais sans doute pas fait mieux après quelques jours d’ouverture…)

Foret Noire Vegan

Rassurez-moi, dites-moi si vous avez déjà tenté l’endroit et que c’était mieux que pour moi ?!

Velicious, l’alternative végétale
43 rue Geiler
67000 Strasbourg
09 72 53 07 35

Invité Kapoué n°8: Participez au projet  » Quelle ville sommes-nous ? « 

Invité Kapoué n°8 : Projet photo  » Quelle ville sommes-nous ? « 

 Parmi les multiples événements qu’organise l’Ososphère, cette année elle se lie aux étudiants en architecture de l’INSA Strasbourg le temps d’un workshop (travail intensif durant une courte période) pour réfléchir sur la question : “Quelle ville sommes-nous ?”.

Nous sommes partis de l’observation que dans la société d’aujourd’hui les images sont omniprésentes, partout où nous sommes, à n’importe quel moment. Ce phénomène est d’autant plus visible en ville où tout est communication, tout est publicité et tout est image. La ville est donc un support d’images, que ce soient les lignes de tram qui sont ponctuées d’affiches, chaque magasin qui par son enseigne  nous communique une image, mais chaque lieu nous raconte aussi une histoire par son image. Nous sommes également tous des porteurs d’images, car nous portons des marques et à notre échelle nous devenons les effigies de telle ou telle grande firme.

En tant qu’habitant de la ville nous observons donc ces images en permanence, la plupart du temps sans le vouloir. Mais que retenons nous de tout cela ? C’est ce que nous cherchons à voir dans ce projet : quelle image a la ville pour chacun de nous ? Car chaque personne vit la ville de façon différente, elle en retient donc quelque chose de différent.

Nous cherchons donc à collecter un maximum d’images, que ce soit des photos, des textes, des dessins, des photomontages, etc… L’ensemble sera exposé du 12 au 14 novembre sur le campus de l’Esplanade. L’objectif est de montrer les multiples images que les gens ont du lieu où ils vivent et finalement c’est cette multitude d’images, de façon de voir les choses, de vivre qui constituent en partie la ville.

Il y aura sûrement des points communs entre les images que les gens nous enverront, mais aussi plein de différences et ce que l’on souhaite montrer à la fin. Chaque visiteur pourra donc voir les différents regards que portent d’autres habitants sur la ville, et peut-être qu’après, ils regarderont la ville sous un autre angle.

Comme on ne sait pas forcément ce qui va nous être envoyé c’est une expérience stimulante d’agir sans filet de sécurité en s’appuyant sur les réseaux sociaux. Mais cette expérience peut fonctionner si et seulement si un maximum de personnes participent.

Alors n’hésitez pas à nous rendre visite sur la page Facebook Quelle ville sommes-nous ?, de nous envoyer vos images de Strasbourg, et d’utiliser sans limite le hashtag #DonneTonStrasbourg !

 

A vous de jouer ! 😉

Kapoué Test n°82 : Chez Mon Ex, restaurant à Strasbourg

Restaurant « Chez Mon Ex » à Strasbourg

Un fois séparé, on ne veut pas souvent avoir affaire à son ex pourtant : exception qui confirme la règle : « Chez Mon Ex » est un endroit sympa qui vient d’ouvrir Boulevard de la Victoire à Strasbourg. Ce petit restaurant (25 – 30 places + une terrasse, géré par l’équipe de Chez Laurette) aux allures de brasserie stylée a donc ouvert le 14 octobre 2015 après avoir fait parler de lui sur les réseaux sociaux, notamment grâce à son nom original. J’y suis passé le lendemain de l’ouverture pour midi pour voir de quoi il en retournait.

Placé au début du Boulevard de la Victoire, à la place de (anciennement) la Siesta, l’endroit est pas très grand mais assez chaleureux, et pour un lendemain d’ouverture déjà quasiment plein vers 12h30 ! L’ambiance était calme au début, voire même trop calme, heureusement qu’un fond de musique nous a réchauffé en cours de repas. Le temps de commander mon plat du jour, je jette un œil à la jolie décoration, très graphique et cosy, dans le genre actuel des bars/restaurants, mais toujours sympa car on s’y sent bien. Placés près de la baie vitrée on peut profiter de la vue… sur le tram mais aussi de la luminosité tout en ayant les jambes au chaud grâce aux radiateurs : on est effectivement bien.

Je pars sur la formule du jour : salade de pâtes, pièce de bœuf + polenta aux légumes. Un des convives opte pour la Simone : filet de cabillaud et son coulis de poivron servi avec des légumes frais et poêlés et du riz.

Salade de pâtes au thon très basique (j’aurai pu faire la même !) mais ma viande est top : cuite parfaitement à mon souhait (saignant), la polenta est un peu fade mais c’est en général le cas, et pour le poisson: croustillant à l’extérieur et doux à l’intérieur, rien à dire à part le riz un peu trop « pilaf ».

Le temps de visiter les WC, je commande mon dessert : un mendiant aux griottes, un peu trop sucré mais beaucoup de gout, servi tiède c’est parfait !
On finit notre repas sans se presser et on décolle…

Bilan de la visite de Chez Mon Ex :

Belle déco, service (en continu) parfait, on a bien mangé, c’est dans les prix moyens des restaurants de ce type, servis rapidement : jusque là rien à dire ! Juste un petit bémol : les tables sont vraiment trop serrées : manque d’intimité, et surtout pas pratique du tout pour le service ou quand les gens doivent se lever pour s’absenter. Ce qui surprend aussi c’est que les WC sont pas du tout décorés alors que le reste du resto oui (ceci dit, on s’en fout un peu, non ? ). Donc bonne adresse, à tester et à re-tester, le reste de la carte est assez cool aussi : burger, tartare de bœuf, risotto, et un brunch le samedi de 11h à 15h  ! A noter aussi un petit coin « salon » pour boire juste un verre.

NB: J’y suis retourné quelques jours plus tard, un vendredi soir en coup de vent avant d’aller au théâtre : on a pris une omelette au bacon et un croque madame, avec 2 bières en happy hours : servis vite, les plats étaient aussi bons que les bières, le tout pour 19 euros -> rien à dire !

NB 2: Le 6 janvier 2017, j’y suis allé pour un repas vite fait, j’ai pris le plat du jour : assiette de charcuterie en entrée avec un fish & chips. C’est correct sans plus, idéal pour un repas du midi, pas cher (9,90€TTC pour l’entrée et le plat). L’équipe est toujours très sympa, on manque toujours de place et certaines chaises sont cassées, mais sinon tout va bien ! 😉

Restaurant Chez Mon Ex
17 Boulevard de la Victoire
67000 STRASBOURG
03 88 37 31 74
Ouvert du lundi au samedi de 11h à 1h
#ChezMonEx

Kapoué Test n°81: Burger King Strasbourg

Kapoué Test n°81: Burger King Strasbourg (Geispolsheim)

On en a tellement parlé ces derniers mois que ça devenait même soulant… Burger King Strasbourg a (enfin) ouvert à Geispolsheim le 2 octobre dernier ! En attendant le second qui ouvrira à la gare de Strasbourg dans les prochains mois, j’ai voulu tester celui ci et essayer de comprendre cet engouement, voir l’hystérie (pour certains) que procure cet endroit. J’ai pris mon courage et ma patience à deux mains, et j’y suis allé au pire moment de la semaine : un samedi soir !

19H23 : Départ de Strasbourg, ça roule bien pour un samedi soir…

19H37 : Arrivé sur place, beaucoup de voitures mais ça bouchonne pas vraiment, je trouve facilement une place sur le parking voisin de Kiabi.

19h41 : Plein de bonne volonté, je commence la queue, sans passer par les bornes, pour avoir une vraie vision de l’attente… Ça me donne le temps de regarder la décoration : assez classique pour un fast-food, le plafond noir assombrit l’ensemble, mais j’aime bien les tables surélevées. C’est très bruyant, beaucoup de monde et on a du mal à s’entendre parler. Évidemment pour un samedi soir, il y a beaucoup de famille, et certains enfants perdent patience. En cuisine, une quinzaine de personnes en plein rush, ça fourmille dans tous les sens, on ressent un certain stress global. 5 caisses sont ouvertes (seulement?), 4 classiques, 1 pour les commandes aux bornes (4 personnes dédiées à celle ci), et bien sur le drive. Une manager régule les commande à la caisse dédiée aux bornes, elle oscille entre bonne humeur, stress et organisation : elle a beau souhaiter un « bon appétit et bonne soirée » à tous les clients, elle en recadre certains qui trainent dans la queue « faut pas dormir monsieur ! »

20h17 : Je commence à avoir des fourmis dans les jambes, je suis toujours dans la queue. Je vois des personnes se prendre la tête pour avoir une place assise dans le restaurant, d’autres qui partent sur la terrasse (il fait 12°C dehors) ou encore d’autres qui n’ont pas trouvé de places, demandent des sachets pour aller manger chez eux. Je n’ai toujours pas vu un sourire sur les visages des employés du restaurant, et vu les 36 minutes que je viens d’attendre, je me demande si Burger King Strasbourg ne vient pas d »inviter un nouveau type de fast-food : le slow-food ?!

Alerte : « il n’y a plus de fondant au chocolat, on va vous faire une gaufre à la place, Monsieur ». Mon voisin de file me regarde bizarrement et écrit des sms à ces potes en disant que je suis un client mystère : bien vu mais non, je ne suis qu’un blogueur blasé depuis plus de 30 minutes dans la queue d’un fast (slow) food un samedi soir.

20h56 : Alléluia ! J’arrive aux caisses, soit exactement 1 heure et 15 minutes après mon arrivée. On m’informe qu’il n’y a plus de chili cheese aux oignons, alors je pars donc sur un grand menu SteakHouse simple, avec un X-Cream Oreo. 2min 30 pour être servi, malgré le bordel autour et sans doute la fatigue, l’hôtesse de caisse est très sympa. Je prends mon plateau et lui souhaite bon courage. Vu l’heure, je trouve plus facilement une place assise. J’attaque enfin mon burger !

J’étais plutôt de mauvaise humeur, mais je dois avouer qu’à ma grande surprise c’est bon : les frites sont bien cuites, salées et charnues. Le burger SteakHouse est bon, la viande nickel, pas trop gras, et préparé avec soin malgré tout. Belle surprise globale.

NB: j’ai bien aimé les dessous de table sur les plateaux avec l’opération Instagram, bonne idée marketing ! Pas mal aussi la possibilité de personnaliser son burger avec le bacon, fromage ou viande en option.

21H12 : La salle se calme, je finis mon repas tranquillou, je suis calé, j’ai même du mal à finir, c’est assez copieux : il me fallait au moins ça pour rétablir mes calories brulées dans la file d’attente ;). Je fais un tour aux WC (sales!) et prends quelques photos et je décolle du royaume du roi du burger.

CONCLUSION :

C’est clairement le bazar en ce moment, je suis pas sur que tout le monde soit rodé encore. Je me demande même comment les équipiers vont tenir un rythme comme ça, je pense que les arrêts de travail vont tomber dans les prochains jours… L’organisation semble chaotique, mais au fond, je pense qu’elle est surtout du à leur succès et à l’effet nouveauté. Les burgers sont en effet bons, mais ça ne vaut pas d’attendre autant.

Pour avoir une idée des délais, j’ai demandé à des clients qui prennent à la borne et au drive : la moyenne était de 25 min aux bornes, et 17 au drive pour un samedi soir.

Donc, pour résumer, allez y, mais faites l’inverse de moi : plutôt le drive si vous êtes pressés, ou les bornes, pensez aux heures creuses et préférez la semaine ! (le bon sens quoi !)

Sinon, vous allez à celui de Offenbourg, le tien d’y aller vous serez à peine garé à Geispolsheim et vous attendrez 2 fois moins longtemps. 😉

Burger King Strasbourg
9 rue du Fort
67118 Geispolsheim
Ouvert tous les jours de 11h à 23h30, jusqu’à 00h30 le samedi.

Pour ceux qui ont déjà testé, dites moi un peu ce que vous en pensez?

NB: 18 Décembre 2015, 11h, le deuxième Burger King Strasbourg a enfin ouvert à la gare de Strasbourg, ça promet pas mal d’animation, voici le communiqué de presse : BURGER KING gâte les Strasbourgeois

Retour sur l’événement #ESdigital à la Foire européenne de Strasbourg

Retour sur l’événement #ESdigital à la Foire européenne de Strasbourg

Le 12 septembre dernier, dans le cadre de la Foire européenne 2015 à Strasbourg, j’ai été convié par une agence web locale pour le compte de l’ÉS Energies Strasbourg à participer à l’événement #ESdigital sur leur stand. Voici un petit condensé de cette matinée riche en innovations digitales.

Nous étions là (blogueurs et journalistes) pour découvrir 3 services en ligne développés par l’ÉS pour avancer dans le digital tout en aidant leurs clients à consommer mieux . Après une introduction du Directeur général, Philippe Commaret sur le fait que  » la transition énergétique est plutôt une transition digitale en matière énergétique « , nous avons découvert ces 3 nouveaux services digitaux :

  • Un simulateur de performance énergétique : Développé avec l’aide de la société SFERENO, il s’agit d’un interface pour les particuliers pour améliorer point par point la consommation électrique de leur logement.
  • Le service  » J’agis sur ma facture «  : Suivre ses consommations, les comparer et accéder à des conseils adaptés.
  • Et enfin, un blog  » Le blog des énergies « : Pour aider les consommateurs par des infos, des actus simples et des cas pratiques du quotidien pour mieux consommer.

On a pu donc découvrir ces 3 services à travers des présentations intéressantes et conviviales pour nous inciter à tester ces services à la maison.

Conclusion:

Pour ma part, je n’ai pas encore testé le simulateur, par contre je me suis inscrit pour le service « J’agis sur ma facture », je recevrai mes identifiants à la fin de l’année lors du lancement du service. Quant au blog, je l’ai déjà parcouru pour quelques astuces, j’ai notamment bien aimé l’article sur l’appareil qui permet de recharger son smartphone avec de l’eau !

C’est donc 3 bons plans (gratuits) pour consommer mieux avant un hiver qui s’annonce rude… Quant à la démarche, pour moi, on va dans le bon sens vu l’état de la planète, ça me fait penser à l’opération éco-durable que j’avais fait avec IKEA Strasbourg ou encore les ateliers OZETIK à Strasbourg.

Comme quoi on peut consommer énergétiquement mieux sans trop se forcer…

Qui va tester #ESdigital ?

NB: Je suis caché dans la vidéo, vous m’avez trouvé? 😉

Portrait Kapoué n°27: David Kodat, coiffeur solidaire strasbourgeois

David Kodat, coiffeur solidaire strasbourgeois

Qu’est ce qui te fait lever le matin?
Une des raisons qui m’aident à me lever le matin : aller prendre mon chocolat chaud (avec un petit pain :p) chaque matin avant d’aller bosser dans un des salons de thé de la ville. C’est un peu mon petit plaisir quotidien, j’adore faire ça avant d’aller travailler. Parmi les autres raisons qui me poussent à me lever est de me dire que c’est un jour de plus vers le dimanche. Ce n’est pas que j’aime pas mon métier, mais justement c’est parce-que je l’aime et que pendant ce jour, je mets mon savoir-faire au profit des plus démunis.

Ta plus grande qualité?
L’ambition ! Je fais tout pour arriver à mes buts. Mon autre qualité (en est-elle réellement une ?), ma spontanéité : si ça trouve, demain je serai à Hong-Kong ! Aussi, je ne suis pas quelqu’un qui me démoralise facilement ; j’ai appris à être patient et à relativiser les choses lors des échecs.

Ton plus grand défaut?
Pendant certains moments, j’ai tendance à être impatient : heureusement que j’ai appris à être patient, même si des fois je n’y arrive pas toujours.

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté?
Oui, j’le suis, comme beaucoup de personnes aujourd’hui. Je suis connecté sur les réseaux sociaux afin de pouvoir partager mon activité, ma vie un petit peu avec mes amis ; c’est aussi un bon facteur de communication. Concernant le reste (jeux vidéo etc.), ce n’est pas trop mon truc.

Le héros de fiction auquel t’aimerais ressembler?
Batman, le justicier et défenseur de Gotham City établissant la justice dans la ville au volant de sa fameuse moto : la bat-mobile !

Le job que tu as toujours rêvé de faire?
Etant enfant, je n’ai jamais rêvé de devenir coiffeur : comme beaucoup d’enfants, je voulais devenir astronaute. En grandissant, j’ai suivi les pas de mon père : je suis devenu coiffeur, chose que je ne regretterai pour rien au monde. Ce métier que j’aime beaucoup m’a beaucoup apporté et m’a permis d’entrer en relation avec des personnes de différentes classes sociales, de différents milieux.

Votre héros dans la vie réelle?
Mon père, tout simplement parce-qu’ il est parti de rien et que maintenant, il ne manque de rien ! Depuis petit, il a toujours pris soin de moi, m’a encadré. C’est grâce à lui si aujourd’hui j’en suis là !

La chanson que vous sifflez sous la douche?
Je siffle pas vraiment de chanson sous la douche, mais j’aime bien en écouter pendant.

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Qui sait ce que l’avenir nous réserve ? Dans vingt ans, je me verrai bien avec ma famille en train de sillonner le monde avec un camping-car.

Mon film culte?
La ligne verte, j’ai adoré ce film. L’un des passages qui m’a le plus marqué est le suivant lorsque Paul Edgecomb dit : « Le jour de mon jugement, quand je me présenterai devant Dieu, et qu’il me demandera pourquoi, comment j’ai pu tuer un des miracles qu’Il a créé… qu’est-ce-que je pourrais lui dire ? Que c’était mon travail ? Tu parles d’un travail ! » .

Ce que tu détestes par-dessus tout?
Je déteste quand le frigo est vide et qu’il n’y a rien à grignoter.

Le talent que t’aimerais avoir?
J’aimerais pouvoir comprendre et parler 32 langues, pour pouvoir communiquer et échanger avec plus de monde !

Le dernier fou rire?
J’en ai tellement que je ne m’en rappelle plus.

Que manque-t-il, d’après toi, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?
A mon avis, Strasbourg est une ville fantastique, où l’on ne manque de rien, si ce n’est qu’il est dommage que Strasbourg n’est pas en bord de mer, pour profiter de la plage, du soleil et de la mer !

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
La Petite France ! Cet endroit me charme par ses constructions anciennes et son ambiance.

Restaurant préféré?
J’aime manger de tout : pour moi, tous les restaurants se valent plus ou moins, puisqu’on n’y trouve dans l’un ce que l’on ne trouve pas dans l’autre. Pour moi, la véritable cuisine incontournable ne se trouve pas dans un restaurant, mais chez ma mère !

Bar préféré ?
Pas de bar préféré.

Endroit que t’adores à Strasbourg mais que tu as honte de dire?
Les toilettes publics à Place Kleber, ça m’arrange bien quand je suis pressé et que je me promène au centre-ville (rires).

Quelle est la chose que tu changerais en premier si t’étais maire de Strasbourg?
Je ferai en sorte qu’il n’y ait plus de SDF dans les rues, qu’ils ne dorment plus le ventre vide et qu’ils ne se réveillent plus le matin en grelottant de froid.

Ta marque alsacienne préférée?
Bretzel Burgard pour ses excellentes bretzels qu’on ne trouve pas partout !

En 3 mots, décris-nous Strasbourg?
Sympa, agréable et plaisante.

Ton actualité?
Je travaille dans mon salon au quotidien afin de contribuer fortement au plaisir de mes clients à travers mon savoir-faire. Mon seul jour de repos, le dimanche, je le consacre aux plus démunis de Strasbourg. Je mets ma profession au profit des sans-abris. C’est ici même à Strasbourg que j’ai commencé mon action en début d’année 2015 et cela chaque dimanche. Récemment, j’ai pris l’initiative d’élargir le champ de mon action et de la poursuivre dans d’autres villes : c’est pour cela que je suis allé à Londres et je compte aller dans d’autres villes européennes, puis même faire un tour du monde. Je cherche à travers cette action à influencer des personnes de secteurs différents en faveur des SDF. J’essaye de partager mes actions sur les réseaux sociaux de sorte à avoir un impact sur mon entourage ainsi que sur le monde entier; mon but étant de créer un impact (une prise de conscience) dans l’esprit de chacun. Je vis à travers les deux slogans suivants : « On est heureux uniquement dans le bonheur que l’on donne. » et « Remember to love (souviens-toi d’aimer) ».

Instagram : David Kodat

Kapoué Test n°80: Rôtisserie « Le Croupion Qui Fume » à Strasbourg

Rôtisserie « Le Croupion Qui Fume » à Strasbourg

Un nouveau petit restaurant champêtre vient d’ouvrir à Strasbourg au nom original : « Le Croupion qui fume ». Il s’agit d’une rôtisserie qui propose des produits locaux, et qui décline le poulet en sandwichs, salades, burgers ou tartines. J’y suis allé un midi quelques jours après l’ouverture pour m’en faire une idée, voici le résultat…

Nous étions 3, vers 12H15 hier midi, la salle était quasi vide, mais elle s’est remplit au fil des minutes, par des locaux et des touristes. Il y a pas mal de choix sur la carte, on s’est donc dit, qu’on allait prendre un type de plat différent chacun. Voici donc nos choix :

Un Hamburger Alsacien « Maurice » : Haché de poulet et boudin antillais, ananas rôti, salade, sauce yaourt au citron et à l’ail.

Une tartine gervaise au chèvre et à la courgette.

Et enfin, un sandwich chaud « le Joseph » : filet de poulet, copeaux de parmesan, coppa, tomate, roquette, balsamic et pesto.

Maintenant, passons au points positifs et négatifs…

Tout d’abord, les « plus » du « Croupion »:

  • Pas cher, les plats varient de 7,5 à 8 euros, idéal si on veut manger sans se ruiner.
  • Ils proposent du pain sans gluten, et du poulet bio, ou fermier Label rouge (gage de qualité).
  • Possibilité de prendre « à emporter ».
  • Original : vous pouvez commander à table un poulet à 4 à 15 euros à partager, ou un demi poulet à 2 pour 11 euros.
  • Équipe sympathique, vous êtes bien accueillis.
  • On nous offre un bol de pop-corn avec les boissons pour nous faire patienter.

Et les « moins bien » du « Croupion »:

  • Au niveau des plats, la tartine est trop « gout chèvre » (on sentait peu les autres aliments), le sandwich chaud était un peu sec avec trop de pesto mais par contre, la personne qui a commandée le burger était ravie, il était très bon.
  • Les WC sont hors restaurant dans une petite pièce donnant sur la cage d’escaliers, et la lumière n’y fonctionne pas : heureusement que je sais viser quand je fais pipi ! 😉
  • Les frites sont inclus avec le burger mais par contre pour les tartines ou les sandwichs chaud, l’accompagnement est à payer : +1,5 euros. Je n’ai pas trop compris pourquoi?
  • Un peu d’attente…

Pour conclure :

Avant d’ouvrir cet endroit, les propriétaires avaient déjà tenu la Bolée de cidre, et la Siesta. Ils se lancent à présent dans la rôtisserie avec « Le Croupion Qui Fume » : Je dois vous avouer que je m’attendais à autre chose, plus jeune, plus rapide, plus pêchu à l’image du logo avant de venir. Je pense qu’il manque quelqu’un dans l’équipe, car à 2, c’est difficile de gérer : la salle, la vente à emporter, l’accueil, et la caisse, même si le restaurant est petit. Cependant l’endroit a des qualités : le prix, l’endroit, le concept de rôtisserie, idéaux pour manger un morceau le midi, par contre à éviter pour un dîner romantique ! 😉
Bon courage à l’équipe du Croupion, encore en rodage, faudra y retourner quand la machine sera bien huilée !

NB: Pour l’attente, et une petite erreur de commande, la patronne nous a fait un geste sur l’addition : enfin une vraie commerçante !

NB2: Pas pu tester les desserts, ni les « grignottes de Hans », ça sera pour une prochaine fois !

Le Croupion Qui Fume Rôtisserie
15 rue des serruriers
67000 STRASBOURG
Commande ou réservation : 09 83 63 49 42
Ouvert du mardi au samedi de 11h à 21h, le lundi et dimanche de 11h à 14h.

300 articles écrits sur le Blog Kapoué: ça vaut bien un petit bilan, non?

300 articles sur le Blog Kapoué: ça vaut bien un petit bilan, non?

Ce que vous êtes en train de lire est le 300ème article écrit sur ce blog : ça parait beaucoup et en même temps peu à la fois sachant que ce même blog aura bientôt 5 ans en fin d’année… Voici donc quelques mots pour fêter ce « presque » anniversaire et une surprise à la fin de l’article !

Tout d’abord quelques chiffres :

Dans les 300 articles, il y en a des bons, et des moins bons, pas facile tout le temps de garder le rythme et l’intérêt au fil des publications…

Voici donc celui que vous avez le plus lu -> L’article sur la sortie de la vidéo #HAPPYSTRASBOURG après un grand relais dans les médias, un tournage excellent et une équipe toute aussi « happy » que réactive ! Super expérience, merci encore à tous ceux qui ont participé de près ou de loin au projet.

Et voici donc, le moins lu… -> Un article de soutien pour les Restos du Cœur via les blogueurs : C’était un article pour récolter des repas écrit en 2011 quelques mois après le démarrage du blog.

En règle générale les articles sur les restaurants sont les plus lus (bande de gourmands !), mais de plus en plus les autres articles lifestyle et les portraits sur Strasbourg vous plaisent, selon l’actualité et le thème.

Philosophie du blog :

Elle reste la même : mettre en avant Strasbourg et les strasbourgeois(es) de façon fun et sans se prendre au sérieux. Si possible trouver des sujets ou des endroits insolites et nouveaux au fil des jours : pas toujours évident car vous êtes, chers lecteurs, bombardés d’infos toutes la journée (réseaux sociaux, autres blogs, médias etc…).

Et la suite ?

Comme je n’ai pas la science infuse, je fais appel à vos lumières pour cet article : avez vous des idées de thèmes, d’articles ou de contenus que vous aimeriez retrouver sur le Blog Kapoué ? Je suis ouvert à vos propositions et remarques que vous pourrez me notifier dans les commentaires ci dessous.

Et enfin… Le cadeau !

Pour faire honneur à ceux qui font ce blog, c’est à dire : VOUS ! J’ai voulu vous offrir quelque chose. J’ai recherché le lecteur le plus fidèle du blog, ce qui est quasiment impossible à faire, alors, j’ai choisi celui qui commentais le plus les articles, de façon régulière, et je l’ai trouvé.
Il s’agit de Steve, que je ne connais d’ailleurs pas encore, mais qui a gagné un cadeau : je l’invite, à mes frais à tester un prochain restaurant : On fera donc l’article à deux, et j’espère que cet article vous plaira !

Pour conclure :

Petite précision pour la fin, puisqu’on me le demande souvent : je suis seul rédacteur pour ce blog, à part les articles Invités Kapoué, où je vous laisse champs libre pour présenter votre projet ou association ou les Kapoué tests que nous faisons à plusieurs (chacun écrit sa partie). Ce blog, je le tiens pour le fun, les rencontres que je fais et car j’aime ma ville, ce n’est pas un business pour moi, j’ai d’ailleurs un emploi à plein temps à coté. Pour éviter toute confusion aussi, je paye toutes mes additions dans les endroits que je teste et je ne vends aucun article à aucun restaurateur. Les publicités et les partenariats ne sont là que pour couvrir les frais inhérents au blog.

Voilà voilà, je vous remercie donc tous de votre fidélité de lecture, et je l’espère à très vite pour un nouvel article.

J.

Tchapp Vs StrasTV : Comparatif des applis mobiles sur Strasbourg

Tchapp Vs StrasTV : Comparatif des applis mobiles sur Strasbourg

Les habitudes évoluent, les modes de communications et d’informations aussi… C’est dans ce climat de mouvance 2.0 qu’arrivent en ce mois de septembre 2015, 2 nouvelles applications pour mobiles pour vous informer de ce qu’il se passe à Strasbourg et dans ses environs : Tchapp et StrasTV.

Toujours curieux de savoir ce qu’il se fait sur ma ville chérie, j’ai donc testé les deux applis sur plusieurs jours, en voici mes premières impressions…

TCHAPP:

Appli lancée par Tanguy Flores de Alsace20, avec des partenaires divers , l’appli se concentre sur l’actualité alsacienne au sens large, d’ici ou même du bout du monde. Elle mise sur le coté participatif avec la fonction « e-changez » qui vous permet de soumettre du contenu à la rédaction : photo, vidéo, article etc…

les + de Tchapp:

  • leur système de hashtag qui permet de facilement retrouver une ancienne info sur le même thème.
  • leur mini sondage intéressant à l’entrée de l’appli
  • l’interface défilante est pas mal : fluide et très visuelle
  • Dispo sur iOS et Androïd

Les – de Tchapp :

  • Le nom et le visuel ?? J’ai beau bosser dans la pub, je vois pas trop le rapport avec l’Alsace…?
  • Beaucoup de pub pour UBER
  • Menu mal organisé.
  • Il manque un espace pour les commentaires.
  • Pas mal d’articles mais très courts avec peu de contenus : photos ou vidéos.

STRASTV :

Appli lancée par l’équipe de StrasTV avec Joseph Pasquier (fondateur en 2008 de la web TV), elle s’axe vraiment sur la vidéo : suivre des événements live, revoir des reportages … Elle propose aussi la radio RBS en live et aussi un « mur » participatif : le StrasTV Wall (non testé)

les + de StrasTV:

  • Les coulisses du Racing en vidéo !
  • Les infos de StrasActu
  • Et bien sur la radio RBS.
  • Dispo sur iOS et Androïd

les – de StrasTV:

  • Encore une pub UBER omniprésente
  • La fonction StrasTV explorer pas très claire, pas adaptée je trouve aux petits écrans, peut être mieux sur tablettes? (pas testé)
  • Pourquoi toutes les icônes ne sont pas sur la page d’accueil? à revoir…

Les autres :

Il y a d’autres applis sur le même thème, et j’ai trouvé Strasbourg Live qui agrège les contenus d’autres médias, mais qui a des options Météo et trafic routier pratiques. Et aussi l’application DNA, premier média de la région, qui est leader sur le marché avec 39.000 visiteurs par jour ..!

CONCLUSION :

Comme vous l’avez compris, chacune a des qualités et des défauts (comme mon blog d’ailleurs 😉 ), elles sont complémentaires dans leur contenus (StrasTV mise beaucoup sur la vidéo, alors que Tchapp c’est plutôt les articles). Je pense que ces applis évolueront en fil des jours, il faut donc leur laisser une chance et du temps pour se roder. Pour ma part, je suis pas utilisateur de ce genre d’appli car je préfère faire ma veille sur les médias directement (site web ou papier), les réseaux sociaux, voir même Google Alert par exemple, cependant on peut quand même saluer l’idée de lancer ce type d’applis au niveau local. Même si au fond je pense que c’est plus pour récupérer des parts de marchés publicitaires que pour l’intérêt général des strasbourgeois…

Et vous, qu’utilisez vous comme applis pour être au plus proche de l’info strasbourgeoise et alsacienne?

Quitter la version mobile