Tony’s kitchen : Pizzas et motos stylées à Strasbourg !

Tony’s kitchen : Pizzas et motos stylées à Strasbourg !

J’ai eu l’occasion d’être invité hier soir au lancement de la nouvelle formule de la pizzeria Antonio à Strasbourg. Cette pizzeria mythique du 4 petite rue d’Austerlitz vient d’être rénovée sous forme d’un restaurant stylé où Willy et Laurence (les mêmes patrons que Le Fossile, restaurant voisin) ont pu laisser exprimer leur passion pour le monde de la moto pour donner la Tony’s kitchen.

On a pu donc découvrir (entre blogueurs, amis et passionnés) ce nouveau cadre unique et chaleureux. On a pu y voir des guidons de motos, réservoirs de Harley customisés, ou encore des banquettes en cuirs. L’énorme boulot de remise à neuf a été fait par Les Agenceurs (présents aussi à cette soirée) à qui on doit déjà Les Innocents, ou encore Fleck & Co

Forcement, on a gouté les spécialités du chef sicilien Salvo : Lasagnes, penne, pizzas végétariennes et mini burger et les délicieuses arancini (boulette de riz farcie au bœuf)… Tout était excellent ! A noter que tout est fait maison, avec des produits frais ou de saison. La carte à vins est aussi qualitative mais je ne pourrais pas vous en parler car je n’y connais rien dans ce domaine ! 😉

Voilà, donc, une belle adresse qui donne juste envie d’y revenir pour en savoir et en gouter plus de la cuisine du chef de la Tony’s Kitchen !

Et vous, avez vous envie de découvrir cet univers de bikers et de manger des bonnes pizzas dans une ambiance rock?

Tony’s kitchen (Bike & Food)
4 Petite rue d’Austerlitz
67000 STRASBOURG
03 88 36 50 49

Portrait Kapoué n°29: Rémy & Geoffroy, fondateurs de « Epopia »

Rémy & Geoffroy, fondateurs de « Epopia »

Epopia, jeune entreprise strasbourgeoise, a développé un concept unique d’aventures épistolaires interactives pour les enfants de 5 à 12 ans. Par le biais d’une correspondance entre le jeune lecteur et des interlocuteurs imaginaires, la lecture et l’écriture deviennent un jeu. Epopia s’appuie sur le premier logiciel au monde d’intelligence rédactionnelle, sur l’imagination d’une équipe d’écrivains et sur les conseils de professionnels du monde de l’éducation. Forte de 1500 enfants conquis en à peine un an en France et à travers 15 pays, la société, primée à plusieurs reprises, lance une campagne Kickstarter pour adapter son modèle en anglais.

Rémy Perla, son fondateur et Geoffroy Planquart, co-fondateur, se livrent au jeu du portrait « made by Blog Kapoué ».

Qu’est-ce qui vous fait lever le matin ?
Rémy : L’envie de construire quelque chose de concret qui va faire rêver des enfants et leur donner des clés pour leur avenir.
Geoffroy : Le café et Epopia.

Vos plus grandes qualités ?
Rémy : Ayant connu des difficultés scolaires étant enfant, j’ai grandi dans l’échec. J’y suis donc devenu très résistant et ça me permet de traverser les grosses tempêtes sans trop vaciller.
Geoffroy : Ma détermination.

Vos plus grands défauts ?
Rémy : Avec l’âge, je deviens désespérément sérieux… pauvre de moi !
Geoffroy : Mon entêtement.

Vous considérez-vous comme des geeks ?
Rémy : Étant très empreint de toute la culture geek (SF, fantastique, jeux de rôle, jeux vidéo, informatique), oui, j’y baigne un peu. A 6 ans, je codais mon premier programme en BASIC, alors je dois certainement en être.
Geoffroy : Oui, sans aucun doute !

Les héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler ?
Rémy : Avant de devenir des héros, les personnages de fictions ont généralement d’abord une vie pourrie, du coup, ça ne me donne pas trop envie… Sinon, Bastien, de l’Histoire sans Fin, qui rentre tellement dans la lecture qu’il finit par passer de l’autre côté du miroir et entrer dans le monde de l’imaginaire : Fantasia ! Cette transgression est une véritable source d’inspiration dans mon travail de tous les jours.
Geoffroy : Batman.

Le job que vous avez toujours rêvé de faire ?
Rémy : Celui que je fais : entrepreneur. Créer et relever mille défis chaque jours, quoi de plus stimulant ?
Geoffroy : Bah c’est celui que je fais ^.^

Vos héros dans la vie réelle ?
Rémy : Les artistes (écrivain, musiciens, peintres…) : voir tout ce qu’ils sont capables de créer de beau et d’intelligent m’impressionne et me rappelle que l’imagination peut être vraiment sans limite.
Geoffroy : Le chat-monde de ma copine 🙂

La chanson que vous sifflez (honteusement) sous la douche ?
Rémy : « Allo allo monsieur l’ordinateur », de Dorothée. (Mais sans honte)
Geoffroy : Euh….

Comment vous voyez-vous dans 20 ans ?
Rémy : Toujours aussi actif, réactif et débordant de projets.
Geoffroy : Avec une plus grande moustache 🙂

Ce que vous détestez par-dessus tout ?
Rémy : Être en retard. Je fais toujours tout mon possible pour arriver en avance et quand je suis en retard, j’ai les nerfs !
Geoffroy : Commencer la journée sans café.

Le talent que vous aimeriez avoir ?
Rémy : Maîtriser des langues étrangères. Étant dyslexique, j’ai de grandes difficultés à sortir du français.
Geoffroy : Savoir dessiner.

Le dernier fou rire ?
Rémy : Nous recevons chaque jour des dizaines de lettres d’enfants et ils nous racontent souvent des histoires drôles. Mais, lorsqu’ils inventent leurs propres blagues, c’est là que ça devient vraiment marrant. Par exemple : « C’est deux oiseaux qui volent dans le ciel. Le premier demande « tu ne trouves pas qu’il fait chaud ? » Le second répond que non. Soudain le premier oiseau prend feu. Le second oiseau se pose doucement sur un étang. » …Et là, gros blanc, suivi d’un bon fou rire de toute l’équipe !
Geoffroy : Ce formulaire ?

Que manque-t-il, d’après vous, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe ?
Rémy : Un peu d’architecture loufoque qui interroge. Les rares qui osent se font vilipender.
Geoffroy : Une vie nocturne.

Si vous étiez un quartier de Strasbourg ?
Rémy : Neudorf -> c’est un village dans la ville.
Geoffroy : La Krutenau.

Restaurant préféré ?
Rémy : La Gallia (quand c’était encore le seul restaurant universitaire de France géré par des étudiants)
Geoffroy : L’Atlantico

Bar préféré ?
Rémy : La nouvelle Poste.
Geoffroy : L’Atlantico.

Endroit que vous adorez à Strasbourg, mais que vous avez honte de dire ?
Rémy : Non, là je ne vois pas, je n’ai honte de rien !
Geoffroy : Euh…

Votre marque alsacienne préférée ?
Rémy : La marque « Université de Strasbourg », j’en ai un sweat-shirt inédit.
Geoffroy : Epopia.

En 3 mots, décrivez-nous Strasbourg ?
Rémy : Tram, calme et Flam.
Geoffroy : Ville cosmopolite étudiante.

Votre actualité ?
Rémy : Epopia a publié une seconde histoire par correspondance où les enfants deviennent directeur et directrice d’une grande réserve naturelle et doivent protéger les animaux. En un an, Rêve aux lettres a ainsi plongé plus de 1600 lecteurs dans ses aventures fantastiques et, désormais parrainé par Tomi Ungerer, nous espérons pouvoir bientôt partager toute cette magie avec les enfants du monde entier grâce à la campagne de financement participatif que nous avons lancé sur Kickstarter.
Geoffroy : La campagne Kickstarter qui a mis toute l’équipe sur le pied de guerre depuis plusieurs semaines. On a de grandes ambitions et une belle solidarité dans l’équipe, même si on sait qu’on prend de gros risques…

Epopia : https://www.epopia.com/

Sur Facebook : https://www.facebook.com/Epopia/

Sur Instagram : https://www.instagram.com/Epopia_/

Pour les soutenir sur Kickstarter : https://www.kickstarter.com/projects/1427246697/dream-letters-turn-your-child-into-an-avid-reader

Kapoué test n°86: Santa Elena restaurant sud américain

Santa Elena restaurant sud américain

Ouvert déjà depuis janvier 2015, le Santa Elena me narguait à chaque fois que je passais devant : au programme cuisine sud-américaine, péruvienne en particulier, ça donnait envie ! J’ai enfin pu le découvrir il y a quelques jours avec une collègue blogueuse : Miss Elka, voici le résultat de notre repas du midi…

Après avoir réservé, on arrive dans une ambiance calme et soignée (mobilier italien), on s’installe et on analyse le menu du jour.

3 formules sont disponibles : juste le plat du jour à 9,50 euros, entrée + plat ou plat +dessert à 12, 50 euros, ou la totale : entrée, plat et dessert à 15, 50 euros.

Il y a deux choix à chaque fois pour l’entrée et le plat, on part donc sur un velouté de moules servi avec des croûtons, et un chausson latino farci au jambon fromage avec salade.

Puis en plat, on reste sur le traditionnel plat paraguayen : Le « Bori bori de pollo » (poulet, légumes, et boulettes de maïs jaune au fromage).

Enfin, comme d’habitude, je me laisse tenté par le dessert, histoire de finir par une touche sucrée : crêpes à la confiture de lait et glace vanille.

Étonnement, je n’ai pas grand chose à dire ce coup ci : c’était bon, original, bien cuisiné et avec beaucoup de saveurs. La salle s’est vite remplie, du coup, c’est devenu un peu bruyant mais à part ça, tout allait bien, les prix sont cohérents par rapport à ce qu’on mange. Et je dois dire que c’est plutôt sympa de manger des choses différentes que les plats du jours habituels dans les restaurants strasbourgeois.

Le reste de la carte est par contre beaucoup plus cher mais je pense que ça vaut le coup de tester un soir en amis. Pour les amateurs de vins, il propose des bouteilles mexicaines, chiliennes ou encore argentines…

A vous de tester, bande de gourmands, pour ma part, j’y retournerais ! Désolé, de n’avoir par été plus prolixe dans cet article mais il faut reconnaître que l‘endroit était bon, simple et efficace : rien à redire ! 😉

Restaurant Santa Elena
11 rue sainte Hélène
67000 STRASBOURG
Ouvert du lundi au samedi
03 88 22 88 96

Un nouveau simulateur d’avion de chasse chez SkyCenter Strasbourg

Simulateur d’avion de chasse chez SkyCenter Strasbourg

Pour rappel, depuis 4 ans, Flight adventures propose un simulateur de vol: le B777 (réplique exacte d’un cockpit de Boeing 777) pour les particuliers (55%) et les entreprises (45%). L’activité de ce simulateur consiste à proposer diverses prestations : stages antistress, formations, événementiel, maintien de compétence… J’avais d’ailleurs pu déjà testé deux fois ce simulateur à l’époque.

En janvier 2016, Flight adventures (devient « SkyCenter« ) rajoutera un nouveau simulateur : celui d’un avion de chasse français : le Mirage 2000 (type d’avion de chasse choisi car plus simple d’accès pour le grand public que les derniers modèles). Ce simulateur fabriqué localement (cockpit, visualisation, et avionique faits en Alsace) propose une immersion complète dans l’univers de l’aviation de combat.

Ce simulateur a été testé et validé par de nombreuses personnes qualifiées dont le Capitaine Philippe Castagnet (Zippo), n°2 de la PAF (Patrouille de France).

Comment cela se passe-t’il?

Avant de pénétrer dans la zone, l’apprenti pilote passe sa combinaison et son casque, puis une fois équipé, il est briefé sur le pilotage et le systeme d’armes. Il ne lui reste plus qu’a s’assoir sur le « siège éjectable » ! 😉

Combien ça coûte?

3 packs sont dispos à la vente : 

Pack 1 : FOX ONE -> pour 1 personne, 40 minutes dont 20 minutes de vol.
Fun, assez dense avec un fort coté « challenge »
99€ (-> OFFRE DE LANCEMENT à 79€ d’ici fin 2015)

Pack 2: FOX TWO -> pour 1 personne, 60 minutes dont 40 minutes de vol.
Etude de cas, guidage verbal et débrief vidéo.
149 €

Pack 3: ESCADRILLE -> pour minimum 2 personnes, 40 minutes de vol = 2 x 20 minutes chacun.
Mission en mode collaboratif ou combat.
179 € pour 2 personnes (disponible fin février 2016, avec l’arrivée du deuxième simulateur de chasse)

Conclusion :

Une chouette nouveauté complémentaire à tester ou à offrir pour les passionnés mais pas que… A noter que le simulateur de chasse de SkyCenter n’est accessible qu’aux plus de 12 ans et uniquement sur réservation. Je n’ai pas pu tester encore, car l’événement n’était qu’une conférence de presse, mais on me l’a proposé pour 2016, je vous raconterai tout ça ! 😉

NB: Pour info, le nom de l’escadron de Skycenter, le « 4/33 » est une référence aux escadrons 1/33, 2/33 et 3/33, basés à Strasbourg-Entzheim jusqu’en 1994.

SKYCENTER / FlightAdventure
Aéroport de Strasbourg-Entzheim
67960 Entzheim
0 972 300 777
info@flightadventures.fr

Journée shopping à Strasbourg avec Fivory

Journée shopping à Strasbourg avec Fivory

Ayant quelques achats à faire le week-end dernier, j’ai voulu tester une journée shopping dans les rues de la capitale européenne en payant uniquement avec l’application mobile Fivory (appli de paiement mobile sur smartphone). J’ai checké au préalable les commerces adhérents, et c’est parti !

Première étape : Le Fleck & Co à Neudorf

Pour le repas du midi, je voulais tester ces plats cuisinés en bocaux depuis longtemps, j’ai donc couru au Neudorf, pour faire mon choix pour deux personnes :

Bocal 1 (entrée) : Saumon mariné par nos soins, choucroute grillée, condiment crémé cornichons – pommes vertes. 6 euros.
Bocal 2 (Plat) : Lieu jaune rôti, pommes boulangères, flan de carottes et beurre de cacahuètes. 12,50 euros.
Bocal 3 (Plat) : Parmentier d’effiloché de bœuf à la moutarde de Brive, mousseline de pommes de terre, crumble au parmesan. 9 euros.
Bocal 4 (dessert) : Cheesecake New-Yorkais, ananas à la vanille, confit de mangue & crumble aux amandes. 4,80 euros.
2 jus de fruits Bordeline : Cougar (mangue, citron vert, verveine) et Geek (cranberry, griotte, guarana). 2,95 euros par jus.

Donc une addition de 38,20 euros, payée sans problème et rapidement avec l’application Fivory. Nous voulions manger sur place dans cette très belle boutique mais ce n’est pas possible (-> déception), il a donc fallu attendre le lendemain soir, à la maison, pour déguster ces mets. Après un passage d’une demi heure au four à 140°C, les plats sont sortis  » comme neufs, impeccables, on aurait pu croire qu’ils venaient d’être cuisinés: rien à redire, très bon, et surtout très copieux. (C’est d’ailleurs pour cela que l’on avait pris qu’une entrée et qu’un dessert pour deux).

Conclusion pour le Fleck & Co :
Qualité, accueil et goût impeccables, à tester donc. Un petit regret sur le fait que la boutique soit un peu excentrée du centre ville de Strasbourg et qu’on puisse pas manger sur place. Pour le prix, c’est certes un peu cher, mais la qualité est au rdv !

Deuxième étape : Le Fou d’café à la Petite France
Petite pause café + gâteaux dans cet établissement avant d’attaquer le shopping : Gâteau au chocolat et gâteau à l’orange accompagné d’un petit café brésilien, dans une ambiance calme, parfait ! Là encore, pas de soucis pour Fivory : pas de minima de paiement, assez pratique.

Étapes suivantes : diverses boutiques au centre ville de Strasbourg
J’ai d’abord commencé par acheté un mobile 3D en carton en forme de tête de loup à monter soi-même chez Curieux, un sac pour le boulot chez Good Vibes, et en enfin un cadeau chez G-Star. A chaque fois bien accueillis par des commerçants qui jouent le jeu de l’application et qui parfois même proposent des offres ciblées si vous payez avec l’appli.

Conclusion :
J’ai été agréablement surpris par l’application de par sa simplicité, le nombre de commerçants déjà partenaires et par les avantages. Vous pouvez facilement trouver ce qu’il vous faut et « suivre » les actualités et les offres de vos magasins préférés au fil du temps. Le but est de payer directement avec l’appli qui est reliée à votre compte bancaire en présentant le QR code qui s’affiche sur votre téléphone sur la tablette du commerçant, vous validez et hop, c’est payé. A noter que l’appli est bloquée par code personnel pour des questions de sécurité. Petit bémol, il faut que votre smartphone capte bien dans les boutiques et qu’il soit bien évidemment chargé ! 😉

Je vous invite à tester cette appli et de fouiller pour trouver les meilleures offres qui vous correspondent… Pour vous faciliter la tâche, je vous propose de gagner 100 euros crédités sur votre compte Fivory !!!

Comment gagner ?
Il vous suffit d’indiquer dans les commentaires si dessous, vos 3 boutiques ou restaurants préférés dans la liste des partenaires Fivory, et de partager cet article sur un de ces réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Instagram en mentionnant #Fivory et le Blog Kapoué… Le tirage au sort se fera sous 15 jours.

Pas mal pour les cadeaux de noël, non? 😉

Bonne chance et bon shopping !

Kapoué test n°85 : Brunch au bistrot de quartier Le Barbu à Strasbourg

Brunch au bistrot de quartier Le Barbu à Strasbourg

Il y a quelques mois, le bistrot d’en face a fermé ces portes, laissant place après rénovations, au bar Le Barbu. Ce bistrot de quartier reste dans la même lignée que son prédécesseur avec un bon esprit, des plats du jour (Plat / boisson / café 12.50€), des bonnes bières mais aussi un brunch ! Lucas, le boss de l’endroit, a invité quelques blogueurs a goûter ce brunch dimanche dernier, j’ai eu la chance d’en faire partie, voici mes impressions.

Tout d’abord, point non négligeable, la météo était avec nous : on a frôlé les 20°C, ce qui a permis de déguster ce moment sur la terrasse du bar, un 8 novembre, un pur bonheur. L’ambiance est détendue sur cette terrasse (au calme, dimanche oblige), on vient nous servir la boisson chaude (à volonté). Arrivé à 12h15, il a pour le moment une bonne dizaine de personnes, mais ça se remplit vite. Bon point : le chocolat chaud vient direct de chez Gagao (gage de qualité), Lucas indique qu’il préfère bosser avec les locaux, en l’occurrence Le Barbu est voisin de la 2eme boutique Gagao.

Ayant fait la fête la veille, j’avais pas particulièrement faim mais j’attaque quand même par le salé : les œufs sont un peu trop cuits et fades mais le reste se tient, variété de charcuteries, la quiche lorraine est très bonne aussi. Pour le reste, pâtisseries, gaufres, tartes aux fruits, du classique mais efficace. L’accueil du personnel est parfait et on prend notre temps à flâner au soleil et à remplir nos assiettes…

Voilà en gros, pas grand chose à rajouter, à part que ce brunch chez Le Barbu se passe tous les dimanches (pas de brunch en décembre), il coûte 23 euros, et qu’il vaut mieux réserver à l’avance.

Pour conclure, même si l’offre des brunchs à Strasbourg est à présent assez large, c’est un brunch à tester, surtout si le temps vous le permet, car il est clair que la terrasse est un réel atout. Par contre, je le trouve un peu cher par rapport à la concurrence et par rapport aux produits proposés, à voir comment les choses évolueront au fil du temps…

Et vous, avez vous déjà testé Le Barbu, pour le brunch ou un autre moment de la semaine? Si oui, qu’en pensez vous?

Le Barbu
15 rue Sainte Barbe
67000 Strasbourg
03 67 07 41 53
Ouvert de 10h à 01h30

Invité Kapoué n°12: TaKe Me, projet street art à Strasbourg

TaKe Me, projet street art à Strasbourg

Recevoir un cadeau et ensuite participer vous-même à la création finale d’un concept artistique, c’est ce que vous propose Alex Tréma, pochoiriste urbain parisien, au travers de son projet de street art original appelé TaKe Me, qui passera par Strasbourg les 14 & 15 Novembre prochain.

TaKe Me ce sont 24 mystérieuses pochettes calques avec une inscription rouge (TAKE ME) scotchées dans la ville qui, si vous les remarquez-vous invitent à les ramener avec vous.

A l’intérieur, une œuvre originale signée Alex Tréma  et une invitation vous proposant de retourner sur l’adresse mail de l’artiste une photo de votre trouvaille avec votre propre mise en scène, et ainsi vous-même, d’alimenter la créativité de ce projet.

Les visuels de pose dans les rues et les retours des participants à TaKe Me sont ensuite publiés sur le compte Facebook et le site de l’artiste.

Simplicité, générosité et interactivité sont les maîtres mots de TaKe Me.

Pour Strasbourg, le personnage choisit comme pochoir commun des 24 pièces est Alain Bashung.

Depuis Mai 2013, TaKe Me est notamment passé par New York, Paris, Londres, Rome, Lisbonne, Venise, Barcelone, Naples, Tanger. Strasbourg est la 22ème session.

Alors amis strasbourgeois, les 14 et 15 Novembre prochains, ouvrez les yeux et soyez curieux !

Invité Kapoué n°10 : Atelier COLLAB, marque de vêtements collaborative

Atelier COLLAB

L’idée est de promouvoir des artistes partageant une vision de l’art et de la mode accessible à tous. En effet le monde de l’art a évolué en lien avec les logiques de notre époque, détaché des institutions muséales, il se veut spontané, dynamique et en contact avec son public… C’est dans ce contexte que trois potes Adrien FABIUS ( Graphiste, sérigraphe ), Julien DA SILVA ( Etudiant en architecture ) et Cédric PELLETER ( Illustrateur ) créent  » Atelier COLLAB « , une marque de vêtements collaborative au sein d’un atelier de sérigraphie artisanale.

Ainsi après l’installation du premier pop-up store à la salle de concert de LA LAITERIE de Strasbourg en 2013, l’aventure commence ! Durant près d’un an, ils multiplient les collaborations artistiques, partageant leur passion pour les arts visuels, la mode et la pratique de la sérigraphie. Après le départ de deux de ses membres fondateurs Julien et Cédric, la marque prend un nouvel élan en déménageant à LYON en octobre 2014, et y intègre un nouveau membre à son équipe Sophie VALERO ( Étudiante en design de Mode à ESMOD LYON ). Notre travail est centré sur la découverte de nouveaux talents, nos artistes collaborateurs ( graphistes, illustrateurs, plasticiens, street artistes… ) sont donc invités à travailler avec nous pour élaborer des collections originales et limitées.

En effet, acheter un de nos produits c’est soutenir le travail d’un artiste ( 10% de la vente est directement reversée à l’artiste ). Faire découvrir la sérigraphie artisanale au grand public, au travers d’événements ( shows live de sérigraphie ) en collaborations avec des acteurs de la vie culturelle ( associations, labels, collectifs et shops).

Kapoué test n°84: Le Café Runtz, rue d’Austerlitz à Strasbourg

Le Café Runtz à Strasbourg

Situé à la place de la Croix de Savoie (cette enseigne existe encore à Illkirch d’ailleurs), 8 rue d’Austerlitz à Strasbourg, le Café Runtz a ouvert il y a quelques semaines dans cette rue passante et touristique… J’y suis allé un midi (de semaine) pour tester…

Tout d’abord, l’endroit était peu rempli à mon arrivée (12h20), on a pu donc facilement avoir une petite table. L’ambiance est très calme, la musique plutôt zen, du coup, on se sent à l’aise… Cette sensation est renforcée par le fait que la décoration est très chaleureuse et soignée : jusque là rien à dire ! 😉

Nous étions 2 à ce repas, on est partis sur chacun un plat du jour différent : Onglet de veau avec frites , et un poulet crème oignons et sa purée. On a été servi relativement vite, même si un léger courant d’air parsemait la salle, le début de repas était plutôt agréable… Mon plat reçu, je commence à déguster : J’avais pris l’onglet car j’aime le manger comme au Fossile (de bœuf, découpé au couteau, saignant), mais là, j’ai oublié que c’était du veau, et que c’était pas cuisiné de la même façon… C’était pas mauvais, bien cuit avec une bonne sauce, mais j’ai pas trop accroché pour autant (rien à voir donc avec la cuisine, plutôt une question de gout personnel ici).

Les frites étaient bonnes mais sans plus, par contre, servies en quantité ! Pour le deuxième plat, le convive n’avait pas forcement faim, donc j’ai pas noté son avis sur le plat, mais ici aussi c’était bien servi, par contre la purée était un peu froide.

Pour la suite, on a opté pour le café gourmand et pour ma part j’ai choisi parmi les desserts faits maison la tarte pommes mirabelle, qui était bonne et copieuse. Entre temps, on a eu l’occasion de discuter un peu avec la patronne, très sympa, qui était curieuse de savoir pourquoi je prenais des photos de son établissement.

Pour conclure:
Je pense qu’il faudra que je revienne pour me faire une vraie idée de l’endroit, un jour où le plat du jour me plait un peu plus ou pour un petit déjeuner (ils en proposent plusieurs), ou bien même peut être en happy-hour ? Enfin, j’ai été un peu surpris pour les prix des desserts, car ma tarte coûtait 7,50 €, alors que le plat du jour était à 9,90 € : un peu disproportionné non?

NB:
Un détail qui m’a fait sourire, regardez de près ci-dessous la tableau extérieur avec les plats du jour « Poulet à la creme avec ça puré « 😉
Je sais que je ne devrais pas me moquer car il y a (trop) souvent des fautes dans mes articles !
Mea culpa d’ailleurs.

Café Runtz
8 rue d’Austerlitz
67000 STRASBOURG
03 88 35 21 18

Invité Kapoué n°9 : Court métrage « E Elssasisches Axt-Massaker »

Invité Kapoué n°9 : Court métrage « E Elssasisches Axt-Massaker »

Aujourd’hui, voici un mini article pour soutenir un projet fun et alsacienE Elssasisches Axt-Massaker qui sera tourné en fin novembre prochain.

E Elssasisches Axt-Massaker est un conte horrifique qui prend la forme d’un court-métrage de 12 minutes. Né de l’esprit tourmenté du réalisateur Hervé FREIBURGER et soutenu en dépit du bon sens par les gentils tarés de SYNOVIE, le film s’articule autour de la rencontre entre Chris, Parisien pure souche venu en Alsace pour tirer un coup, et Jean, un local aussi accueillant que mystérieux qui va le mettre en garde sur la menace qui rôde dans les bois…

Pourquoi soutenir ce projet ?

Vous êtes indispensables à la réussite du projet. E Elssasisches Axt-Massaker est un court-métrage de genre, réalisé avec rigueur, et demande donc des moyens à la hauteur du résultat souhaité.

Une équipe de professionnels passionnés a déjà été réunie et le tournage est imminent, puisqu’il s’étendra sur une semaine fin novembre-début décembre, notamment de nuit. Dans le froid. En forêt.

C’est donc bien pour assurer un tournage et une post-production optimale que nous avons besoin de votre soutien. Et plus précisément :

  • pour donner la meilleure image possible et ainsi louer une caméra 4K, des optiques cinéma et tout le matériel lumière nécessaire pour l’éclairage travaillé du film
  • pour réaliser des maquillages et des effets spéciaux de plateau ambitieux, et concevoir une créature à la hauteur de sa légende
  • pour construire des décors et créer des costumes qui vont donner corps à cette histoire
  • pour créer une séquence complexe en studio
  • pour développer des effets numériques en post-production
  • pour la création et l’enregistrement de la musique du film
  • pour nourrir, hydrater et réchauffer une équipe qui travaillera d’arrache-pied durant une semaine de décembre qui s’annonce glaciale…

Les références de E Elssasisches Axt-Massaker ?

Le projet cherche à rendre hommage à ces slashers fauchés mais francs, ces contes à la Creepshow et ces bandes d’horreur à la morale sincère d’une époque où la production cinématographique n’était pas encore envahie d’œuvres cyniques et désabusées. Nous voulons retrouver l’atmosphère particulière de ces films qui arrivent à mêler adroitement horreur et humour. Ainsi Evil DeadFantômes contre Fantômes, Drag Me to Hell, Le Bal des Vampires et L’Auberge Rouge de Autant-Lara sont autant de références pleinement assumées pour ce court-métrage tout en ambiance lugubre et en situations comiques.

Comment soutenir le projet et suivre les infos ?

La page Facebook pour nous suivre : https://www.facebook.com/axtmassaker/

La page Ulule pour contribuer : http://fr.ulule.com/axt-massaker/

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