STRASBOURG MINUTE, nouvelle façon de découvrir les strasbourgeois… en vidéo !

Après avoir participé au concept STRASBOURG MINUTE, j’ai posé quelques questions à Jérémie et Nicolas, pour qu’ils nous explique le principe…

Bonjour, pouvez-vous vous présenter et nous expliquer en quelques mots le principe de STRASBOURG MINUTE ?

Jérémie, 38 ans, concepteur multimédia/gérant au sein d’ILL [communications], agence de communication à dimension mono-humaine basée à Strasbourg.

Nicolas, 41 ans, SERGENT RECORDS.

Jérémie :

STRASBOURG MINUTE est né d’une envie commune de montrer un visage plus hétérogène de Strasbourg, ceci en mettant en avant ses habitants qui s’investissent au quotidien pour faire vivre la ville. C’est une plate-forme gratuite, ouverte à toutes et à tous, sans distinction autre que d’aimer Strasbourg, sous toutes ses formes. Le tout est mis en forme par le biais de portraits vidéos court sur ceux qui « vivent » Strasbourg, une database non exhaustive de gens avec qui échanger, avec qui collaborer ou tout simplement à découvrir. Un esprit et un regard positif.

Comment choisissez-vous les personnes pour vos portraits vidéo ?

Jérémie : Au départ, nous avons chacun regardé dans notre entourage direct et sélectionné des personnes qui avaient envie de partager leur amour de la ville, de présenter les différentes actions qu’ils mettent en place pour la faire vivre. Chaque fois que nous réalisons un portrait, nous demandons à la personne si elle aurait quelqu’un à nous recommander, ce qui nous permet de rencontrer des personnes différentes.
Depuis un peu plus d’un mois que le site est en ligne, de plus en plus de personnes sont séduites par le concept et nous sollicite afin d’y participer.

Nicolas : Si tu aimes Strasbourg, viens nous le dire, c’est aussi simple que ça !

Vous considérez vous comme un média ou un (futur) média strasbourgeois ?

Jérémie : A vrai dire nous ne nous sommes jamais posé la question. A mes yeux la force d’une ville ce sont ses habitants, ceux qui s’investissent au quotidien pour la faire bouger et la faire vivre.

Notre projet s’inscrit dans une démarche citoyenne dont le but est de montrer le pluralisme et la diversité culturelle de la ville. Chaque jour  de nombreux événements ont lieu. Ces événements sont organisés par des personnes passionnées et investies. Notre but est de les mettre en avant afin qu’elle puisse directement partager leur passion et leur regard positif en passant devant notre caméra.

Nicolas : On ne fait pas de politique, ce qui nous permet d’être relativement libres, c’est la rue qui nous parle, donc si Strasbourg Minute est (ou) devient un média strasbourgeois c’est parce que les gens nous auront choisi. Ça veut aussi dire que nous avons conscience qu’il faut éviter de se faire récupérer , et qu’il faut garder nos convictions , notamment de ne pas donner la parole à des gens allant contre nos valeurs ou qui verrait leur vidéo comme un défouloir , on est cool mais nous ne représentons pas pour autant le monde des Bisounours.

Notre démarche se veut positive voire atypique car détachée de toute influence externe à la nôtre, nous avons tous les deux notre identité propre au sein de ce projet commun, nous sommes visibles mais d’autres marchent avec nous.

Vous demandez aux gens comment ils vivent à Strasbourg, et vous… Comment et pourquoi appréciez-vous cette ville ?

Jérémie : Ce que j’apprécie à Strasbourg c’est la proximité, tant au niveau des déplacements qui sont rapides en bus, tram ou vélo, qu’à l’Allemagne qui est toute proche. De plus je tiens à saluer la politique de la ville qui a mis différents moyens en œuvre afin de la rendre plus agréable à vivre en développant les zones piétonnes en centre-ville, les espaces verts et les pistes cyclables. En résumé il fait bon vivre à Strasbourg.

Nicolas : J’apprécie cette ville  pour ce qu’elle est et ce qu’elle peut devenir, c’est à dire avoir une identité propre et ne pas essayer de copier  Paris, Berlin ou New York. Si une ville veut évoluer, grandir, arriver à maturité, il faut qu’elle arrête de regarder ce qu’il se passe ailleurs et qu’elle trouve, au sein de ses habitants, ses propres (re) sources d’existence. A terme , Strasbourg se doit d’être plus que la capitale européenne ou une capitale de Noël , il y a aussi peut-être une redistribution à faire à certains niveaux afin que tout le monde puisse avoir droit à la parole et que ce ne soit pas toujours les mêmes qui profitent de passe-droits , toute critique est bonne à partir du moment où elle est constructive , les habitants de Strasbourg ont des choses à dire , nous essayons de leur donner la parole , tant que cela reste positif  et en accord avec nos guidelines.

Ah ouais et je roule en Vél’hop donc, bonne idée ce service, mais arrêtez d’augmenter les prix, achetez juste plus de vélos, vue la demande vous ne devriez pas avoir de problèmes à rentabiliser, sans pour autant pénaliser les usagers de longue date.

Avez-vous d’autres projets dans les tuyaux ?

Un de nos autres projets est le site Sneakersminute.com, dédié aux amoureux des sneakers, qui reprend un peu les grandes lignes de Strasbourg Minute en axant les portraits sur des sneakers addicts (big up à la team SNEAKERS EMPIRE) et leurs paires favorites.

Où peut-on vous suivre sur les réseaux sociaux ?

 Jérémie : @strasbourgminute sur instagram et sur facebook, strasbourgminute.eu

Sur facebook : @jeremie.ill, sur instagram #jeremie_ill et le site de mon activité de concepteur multimédia sur https://www.ill-communications.com

Nicolas : www.sergentrecords.com

Pour terminer, avez-vous un bon plan ou une bonne adresse à partager avec les lecteurs du blog ?

Jérémie : Le dernier bon plan que j’ai découvert est La Consigne Store, c’est la bonne adresse pour tous les passionnés de Street Wear qui veulent faire des affaires, et cela pour toutes les bourses. Ils sont d’ailleurs présents dans l’épisode 06 de STRASBOURG MINUTE.

Nicolas : L’Occase de L’Oncle Tom, pour sa sélection de jazz, l’Orangerie, pour la bibliothèque en libre-service et les singes, la cordonnerie Roda au Neudorf , pour donner une seconde vie à sa paire de chaussures.

Merci pour vos réponses, à bientôt.

Portrait Kapoué n°47: Nawelle’K, chanteuse strasbourgeoise

Portrait Kapoué n°47: Nawelle’K, chanteuse strasbourgeoise

Nawelle’K, qu’est ce qui te fait lever le matin ?
Le réveil haha ! Mon projet musical.

Ta plus grande qualité ?
Mes amis diraient ma générosité.

Ton plus grand défaut ?
Je suis assez rancunière.

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?
Travailler dans l’événementiel & la communication ce que je fais aussi 🙂

La chanson que tu siffles (uniquement) sous la douche ?
« Ave Maria » version Céline Dion ou celle de Pavarotti.

Comment et où te vois-tu dans 20 ans ?
Avoir réussi mes projets ou réussir dans le métier que me plait. Vivre au soleil ou aux Etats Unis : LA ou NYC entourée de mes amis.

Ton film ou série TV culte ?
Friends.

Ce que tu détestes par-dessus tout ?
Le mensonge & La trahison.

Quel autre talent (que le chant) aimerais-tu avoir ?
La danse, je danse comme un pied tout le monde le sait

Ta meilleure blague du moment ?
J’me casse comme dirait Patricia, oui je sais c’est nul mais ça fait des années que je la dis !

D’après toi, que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ?
Un aéroport digne de ce nom… Des magasins ouverts jusqu’à 21H ( supermarché, pharmacie, boutique, boulangerie) et le dimanche !!

Si tu étais un quartier de Strasbourg, tu serais lequel ?
J’ai pas de préférences : j’aime beaucoup trop ma ville pour choisir… Allez, en favoris, je dirais Les Quais et Gutenberg / Cathédrale.

Ton restaurant ou bar strasbourgeois préféré ?
J’ai un gros penchant pour Houmous & Co qui a ouvert à côté de chez moi il y a 1 an c’est tout petit mais tu y manges très très bien !! Sinon étant une grosse fan de pizza Aedaen Pizzeria, Milano Torino, Oro Di Napoli. Pour les bars, j’ai aucune préférence à partir du moment où les gens sont cools, on y retourne !

Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais maire de Strasbourg ?
Je ferais un grand studio de répétitions comme le studio bleu à Paris.

En 3 mots, décris-nous ton Strasbourg ?
Beau / Proximité / Cool.

Nawelle’K, pour ceux qui te connaissent pas encore : décris-nous à présent ton style musical…
Comme je le dis souvent, je n’ai pas un style de musique préféré .. J’aime toutes les musiques qui peuvent me parler, me faire bouger, ou me marquer… J’ai voulu à travers mes sons mettre à l’honneur la pop, le pop rock, le reggae, le RnB et en faire un joli mix pour créer mon propre style 🙂

As-tu déjà pensé postuler à un TV crochet du style THE VOICE ou NOUVELLE STAR ?
J’y ai pensé et longuement réfléchi … Au final j’ai toujours pas trouvé la réponse haha !

Arrives-tu facilement à gérer ton boulot et ta vie artistique ?
Il y a des jours où c’est très simple et d’autres où c’est très très compliqué mais je tiens le coup parce que je fais ce que j’aime dans les deux cas.

Pour toi, existe-t-il une vraie scène musicale strasbourgeoise ?
Je pense qu’il en existe oui et avec de très bons artistes… Même si je ne suis pas souvent concernée par la chose pour mes projets à moi… Mais de ce que j’ai pu voir en bookant des gens pour différents events il y a un vrai réseaux local avec des artistes très doués !!

As-tu déjà fait des collaborations avec d’autres artistes locaux ?
Collaboration non, mais je suis très souvent accompagnée à la guitare par des guitaristes locaux.

Il y a quelques jours tu as tourné ton dernier clip « Is it love », raconte nous comment s’est passé le
tournage..?
Le tournage s’est fait en 4 jours dont 3 d’affilé avec une température d’avec d’environs 30° plein soleil… Pas besoin de vous expliquer que c’était la folie… J’ai voulu avoir mes amis les plus proches / famille dans ce premier clip plein de bonne de bonne humeur… On a aussi fait une annonce pour avoir un maximum de figurants car on voulait absolument que les gens s’éclatent et qu’on ressente cette joie de vivre !! On a eu l’idée de faire ça avec de la poudre de couleurs … Le dernier jour on ne la supportait plus haha ! Surtout ma meilleure amie Lydie qui elle a dû en avoir toute les scènes sur elle 🙂

Tes projets pour cette deuxième partie de l’année 2018 ?
Continuer sur ma lancée et sortir un maximum de hit qui peuvent plaire à tous !! Continuer de travailler aussi dur et réussir ce projet !

Pour finir, te considères-tu comme quelqu’un de connectée ? Si oui sur quels réseaux peut on te suivre ?
Très connectée, mon premier réflexe le matin est de prendre mon téléphone et de regarder ce qu’il se passe sur les réseaux …
On peut me retrouver sur Instagram / Facebook et Youtube !

La musique est maintenant disponible sur : 

Interview de Nora, candidate strasbourgeoise des Reines du Shopping

Interview de Nora, ancienne candidate strasbourgeoise des Reines du Shopping

Nora, raconte nous ton parcours avant les Reines du Shopping…
Alors je suis illkirchoise à la base d’origine mauricienne. J’ai suivi toute ma scolarité sur Strasbourg et je suis très attachée à ma ville d’ailleurs. J’ai une passion pour la danse plus récemment le fitness. Je suis pleine de vie, de nature positive j aime profiter des soirées strasbourgeoises avec mes copines et je suis une bonne vivante ma passion principale est de manger. C’est pour cela que je cuisine tous les jours et je découvre les endroits où l’on peut se faire exploser la panse. Mes weekends sont souvent dans ma deuxième maison : les centres commerciaux. Même si en journée je suis de nature psychorigide j’ai un sacré grain de folie la nuit tombée !

Comment t’es venu l’idée de postuler aux Reines du Shopping ?
Ma fille est gardée par ma mère et je l’emmène depuis toujours lors de mes virée shopping. Du coup vu notre complicité, elle m’en avait parlé depuis qu’elle avait vue une émission mère fille. Donc, on s’est inscrite ensemble sous l’intitule casting mère/fille.

Détaille nous un peu le tournage…
C’est un rythme particulier surtout quand c’est la 1ère fois que l’on est sur une dynamique de tournage hebdomadaire. On doit se préparer nous mêmes donc je vais casser le mythe mais pas de maquilleuse ni de coiffeuse, ni de personne pour nous habiller ce sont nos propres habits. Une fois la gêne des premiers temps avec toutes les caméras c’était un pur moment de plaisir et de kiffe d’être sur ce plateau. Et puis, il y a les lumières qui rendent jolie. Pour finir, c’est un rythme militaire car les journées sont longues car on attend les retours des candidates qui sont parties en shopping et ensuite il faut les commenter. Quand il y a le défilé, on sait que ça va être la fin. On a quand même la chance d’avoir une « nounou » qui nous suit et s’occupe de nous rendre la journée la moins pénible possible.

L’ambiance était comment entre les candidates ?
C’est tout un chapitre sur lequel je pourrais m’étaler des heures… Comme ça au début elles avaient l’air sympa mais juste l’air. A part la gagnante, beaucoup d’hypocrisie et beaucoup de volonté de gagner. Après, je ne rentrerais pas dans le débat sur la cadette qui a été un amour devant nous et vraiment une « double face » devant la caméra surtout vis à vis des autres candidatures qui l’ont vraiment pris sous leur ailes…
As-tu pu échanger avec la « magnifique » Cristina Cordula ?
Oui, mais vraiment brièvement. Elle est vraiment très belle en vrai mais surtout très grande. J’espère être aussi bien qu’elle à son âge.

Pour ceux qui n’ont pas vu l’émission, combien es-tu arrivée ?
Alors, très bonne question. Etant donné que je n’ai pas regardé la diffusion de mon passage je n’ai pas la réponse. Comme l’être humain peut de temps en temps être bête et méchant derrière son écran j’ai préféré éviter tout énervement et rester positive. Je suis à fond dans l’épanouissement personnel en ce moment. Sinon quelque soit ma place pour moi j’ai fait l’émission et c’est déjà énorme.

Strasbourg est remplie de candidat(e)s de TV réalité, en connais tu personnellement ?
Je les connais de nom mais je n’en ai pas en amie très proche peut être juste une avec qui j ai de temps en temps discuté qui a fait reine du shopping et qui aurait du gagner d’après moi parce qu elle était topissime.
Attendais-tu des retombées suite à l’émission? Si oui, lesquelles ?
Non pas spécialement. De nature introvertie à la base, j aime mon petit cocon familial même si j aime faire de la figuration participer à des jeux télévisés ( c’est ma 3ème participation à un jeu télévisé ) je ne me prend pas pour une grande star. Et jamais de la vie je quitterais Strasbourg. J’y suis attachée profondément. Alors pour en revenir aux Reines du Shopping, j’ai eu beaucoup de sollicitation de personnes sur les réseaux sociaux et puis une flopée de tweet sympa et moins sympa… Ce qui m’à apporte beaucoup c’est le nombre de personnes qui sont venus me parler et il y a eu un échange en réel et ça j’adore. J’aime beaucoup discuter. Et ça m’à fait chaud au cœur que l’on me félicite de ne pas avoir mis des sales notes juste pour gagner je suis rester juste et authentique. Du moins j ai essayé. Après dans la vie, j’ai ce petit grain de folie qui fait que je suis moi #noratouch

Enfin, pour toi qui fait partie des Reines du Shopping : donne-moi stp le nom de tes 3 boutiques de mode strasbourgeoises préférées…
Personnellement, j’en ai pas particulièrement je flâne partout là où j’ai un coup de cœur ça peut être du COS : atypique, décalé mais classe. J’aime beaucoup aussi le rétro chic. Pour tous les jours, je reste sur les incontournables Zara et Mango.
NB: Pour rappel, Nora avait aussi participé au clip HAPPYSTRASBOURG.  Merci à elle pour sa disponibilité et son sourire à l’époque.
Si vous voulez découvrir l’univers de Nora, allez faire un tour sur son compte Instagram !

Interview : Yann nous parle de son blog sur la bière : Le sous-bock !

Pour bien commencer l’année 2018, voici une petite interview de Yann, un passionné de bières qui se cache derrière le blog « Le sous bock »

Bonjour, Yann, dis-nous d’où te viens cette idée de blog consacré à la bière ? Tu es tombé dedans quand tu étais petit ?;)
Presque ! Avec mes origines du nord de la France et d’Allemagne, un prénom Breton et vivant en Alsace, ça aurait pu être le cas ! Très simplement, depuis deux ans et ma participation à un stage de brassage maison, mon intérêt pour la bière artisanale s’est manifesté plus précisément. J’ai eu envie de partager à ma manière ce monde incroyable.

Raconte nous la philosophie de ce blog… Quel genre de bières veux tu évoquer dessus ?
Je ne suis pas un biérologue ou zythologue (pour faire plus expert). Je voudrais plutôt proposer une approche simple et amateur, partager mes découvertes et creuser un peu, notamment en parlant également de ce qui touche à la culture brassicole (Histoire, brasseries, actus, tests, …).

Pour les bières abordées, ce sont pour le moment des bières artisanales, notamment des locales. L’idée est vraiment de montrer qu’il n’existe pas qu’une bière, “classique”, mais que le champ des possibles est aussi grand (voire plus) que pour le vin, qui est considéré comme une boisson plus noble. En réalité, je pense qu’il est intéressant de démonter l’image assez négative que peut avoir la bière.

La bière est liée à la région Alsace, mais aussi à d’autres régions de France et du Monde… As-tu une préférence pour les bières françaises ou les bières d’autres pays ?
Pas de préférence particulière. Mon dernier coup de cœur est pour une bière suédoise de la brasserie Omnipollo.

Et les bières brassées dans la région de Strasbourg… ? Qu’en penses tu ? Une préférence ?
En Alsace, on a surtout en tête les grandes brasseries industrielles, mais il y a un nombre incroyable de brasseries locales et artisanales qui valent vraiment la peine qu’on les découvre. Une fois que vous goûtez à l’artisanal, vous n’aurez plus envie de boire cette bière en canette verte avec une étoile rouge… A Strasbourg, j’aime beaucoup la brasserie Bendorf par exemple, ou la brasserie La Mercière qui a une philosophie très positive. Du Nord au Sud de l’Alsace, vous trouverez facilement des brasseurs de talent ! Sinon, faites un tour dans les magasins spécialisés. J’aime bien faire un tour par exemple chez Strasbourg Bière Import.

Je prévois prochainement des visites de brasseries, donc ce sera l’occasion d’en parler plus précisément.

J’ai pu voir sur ton blog que tu as déjà brassé une fois ta propre bière, envie de recommencer ?
C’est déjà le cas ! Avec des amis, nous avons quelques brassins à notre compteur. Si quelqu’un n’ose pas se lancer dans ce genre d’expérience, il existe un tas de stages ou même des kits pour essayer. Et le monde du brassage amateur regorge de surprises et de gens motivés et partageurs, notamment pour les conseils et les recettes !

Connais-tu le Club des Buveuses de Bières à Talons d’Alsace ? Si oui, qu’en penses tu ?
Alors non, je ne connaissais pas, merci. C’est une belle philosophie. La bière est considérée à tort comme masculine ou via un marketing poussif pour les femmes. Et souvent c’est une horreur de grands industriels (“Vas-y Coco, mets du rose, c’est pour les femmes”).

 

Enfin, pour terminer, as-tu un endroit inévitable à nous conseiller à Strasbourg pour boire des bonnes bières ?
Pas simple comme question ! Plusieurs bars ou restos proposent aujourd’hui des bières artisanales (maison ou brassées par d’autres). Il y a bien sûr l’Académie de la Bière ou les Berthom qui sont des valeurs sûres et qui proposent un beau choix de bières, mais on va dire que je ne sors pas suffisamment à Strasbourg pour me prononcer, et que je ne demande qu’à découvrir ! Quand tu sais que Schlouk Map recense plus de 150 adresses…

Merci pour tes réponses et bonne continuation à ton blog épicurien ! 😉
Merci à toi et bravo pour Kapoué !

Interview de Lauriane Dolt, coach assistant de la SIG Strasbourg

Interview de Lauriane Dolt, coach assistant de la SIG Strasbourg

Bonjour Lauriane, tout d’abord pouvez-vous nous parler de votre parcours ?

J’ai commencé le basket à l’âge de 12 ans en benjamine au club d’Ohnenheim. J’ai joué ensuite en minime France au RC Strasbourg.  En cadette, je suis partie à Wittenheim pour évoluer en Nationale 2. Nous avons gagné en 1999 la Coupe de France. Puis, j’ai fait une saison à Sélestat toujours en Nationale 2. J’ai fini ma « carrière » à la SIG Féminine. Une blessure au dos m’a écarté des parquets à l’âge de 22 ans. Je suis revenue quelques années plus tard pour jouer en loisir en équipe 3 avec mes copines.

J’ai commencé à entraîner à l’âge de 16 ans. J’assistais sur les sélections Régionales Féminines. Durant plusieurs années, j’entraînais les minimes 1 et 2ème année des sélections régionales, d’abord les filles puis les garçons.

En club, j’ai commencé lors de ma venue à la SIG. Des babys aux cadets, j’ai entraîné toutes les catégories principalement dans le secteur masculin. En 2009, j’ai intégré de manière intégrale la SIG pro en entraînant 3 ans les cadets France puis les espoirs. En septembre 2014 en plus d’entraîner les espoirs, j’ai commencé à assister sur l’équipe professionnelle au coté de Vincent Collet. Depuis la saison dernière, je suis assistante à temps complet sur l’équipe professionnelle masculine de la SIG.

Si vous n’étiez pas dans le milieu sportif, quel serait votre domaine de prédilection ?

Bonne question ! J’y réfléchis de temps en temps.

Un domaine m’attire beaucoup, ce sont les ressources humaines. Gérer une équipe, les rapports humains, les qualités des uns et des autres, cela reste proche du coaching. En discutant avec plusieurs personnes, c’est un métier qui est difficile. Je ne m’y connais pas assez mais cela pourrait être quelque chose d’intéressant.

Comment définiriez-vous votre quotidien avec les joueurs de la SIG et M. Collet ?

Un quotidien riche sur et en dehors du terrain !

Mon travail se situe surtout au niveau de la préparation des adversaires. LE basket est un sport tactique. La connaissance du jeu et l’adaptation sont très importants. Il faut limiter un maximum l’incertitude. Le travail vidéo est donc important. Je visionne environs 3 matchs puis je crée le montage. Je le montre ensuite à Vincent puis nous le peaufinons pour le montrer aux joueurs.  Avec deux matchs par semaine autant dire qu’il y a du travail. C’est très intéressant pour moi car cela va me permettre de progresser dans la vision générale du basket et la connaissance des différents joueurs.

De temps en temps, je travaille aussi individuellement avec certains joueurs sur le terrain. Je suis avant tout un entraîneur donc le contact avec le terrain est primordial.

Avec Nebojsa Bogavac (l’autre assistant), nous formons un trio complémentaire. Nous regardons en général les mêmes matchs puis nous échangeons sur les choix tactiques que nous allons adoptés. Sur les phases qualificatives, notre travail est plus précis en regardant plus de match pour avoir une vision plus fine de notre adversaire. J’espère que nous en arriverons à nouveau là ! J

Je suppose que votre métier doit être très prenant… Arrivez-vous à vous garder du temps pour vous-même pour d’éventuelles autres passions que le basket ?

Oui je suis en effet, très prise mais j’ai la chance d’exercer ma passion donc je ne peux pas me plaindre. On ne compte pas ses heures dans ce cas là.

Malgré un emploi du temps chargé, il est très important de se ressourcer. Pour ma part, c’est auprès de mes amis et de ma famille que je trouve cette échappatoire. J’aime beaucoup voyager aussi. On va dire que je prends plus de temps l’été pour complètement me vider la tête et lors des mini trêves. La montagne, à la neige, à la mer tous les beaux paysages me font énormément de bien et me permettent d’oublier le quotidien. En semaine, j’aime les bons restos et le bon vin.

Quels rapports avez-vous avec la ville de Strasbourg ? Avez-vous des endroits préférés ou des bons plans à partager ?

J’adore Strasbourg ! L’été, l’automne, l’hiver et le printemps à chaque saison ces paysages. Chaque recoin est magnifique et il y a toujours des découvertes. Je suis assez fière d’habiter ici. Même si je suis basée à Illkirch. J’ai un gros coup de cœur pour la période de Noel. Je suis assez rêveuse et j’ai un coté « féerique » donc à cette période-là, je traîne tout le temps en ville.

J’essaye de découvrir plusieurs restaurants et de changer un peu. Mais le quartier de la Petite France en été est un endroit incontournable pour en prendre plein la vue. En été, la Place du Marché Gayot et les quais sont très conviviales pour boire un verre entre amis.

Comment voyez-vous la SIG dans 20 ans ?

A la hauteur de ses espérances et de ses beaux projets. J’espère qu’elle continuera à grandir comme elle le fait depuis 5/6 ans.

Enfin, pour terminer, quels sont vos objectifs personnels pour cette année ?

Je souhaite continuer de grandir et d’apprendre auprès de Vincent. Mon nouveau rôle va me permettre aussi de progresser dans un domaine plus d’observation et de réaction instantanée. J’espère en ce sens, évoluer pleinement.

Rester en forme, profiter de chaque instant et continuer d’apprendre et de prendre autant de plaisir dans l’environnement basket.

(Photos et vidéo : copyright SIG Strasbourg)

Interview de Francesco, jeune photographe strasbourgeois

Bonjour Francesco, présente toi en 2 phrases et explique-nous ton parcours qui t’a mené jusqu’à Strasbourg…

Bonjour Jack, en quelques mots après mes études de photographie à Milan, j’ai commencé à travailler en Club Vacances en Sicile (mon pays d’origine) où j’ai rencontré ma future femme originaire d’Alsace. C’est pour cette raison que je l’ai suivi à Strasbourg. Depuis cette année, j’ai pris la décision d’ouvrir ma propre entreprise, c’est comme ça qu’est né FRANCESCO PROCOPIO PHOTOGRAPHE.

Au niveau photographie, quelles sont tes spécialités, tes influences ? Argentique ou Numérique ? Tu utilises quoi comme matériel ?

J’adore jouer avec la lumière naturelle et flash afin de trouver un équilibre entre les deux. Mes sources d’inspiration sont de grands photographes comme Sieff, Doisneau et Lartigue. Entre l’argentique et le numérique, il est clair que l’argentique donne un meilleur rendu. Cette technique photographique et la manière de développer les clichés en chambre noire sont fascinantes. C’est de cette façon que je me suis plongé dans l’univers de l’argentique mais avec le coût élevé des pellicules et des produits de chambre noire j’ai dû passer au numérique.

As-tu une autre activité ? Comment organises-tu tes journées ?

Non, la photo est à la fois ma passion et ma profession. Je pense avoir de la chance car j’ai réussi à faire de ma PASSION, UN TRAVAIL.

Es-tu un pro des réseaux sociaux ? Si oui lesquels préfères tu ? Que penses-tu des photographes amateurs sur Instagram par exemple… Faites-vous le même « métier » ?

Je ne suis pas un pro des réseaux sociaux mais j’utilise Facebook et Instagram pour communiquer et montrer mon travail. Je pense qu’avec les photographes amateurs nous ne faisons pas le même métier mais on partage une même passion !

Quel est ton type de modèle préféré ? Y a-t-il des modèles qui se la « pète » de trop ?

Je n’ai pas vraiment de modèle préféré, j’apprécie de travailler avec chaque personne car celle-ci révèle sa singularité et sa propre personnalité. Toutes ces rencontres ont été riches pour moi car elles ont participé à mon évolution photographique et créative, même avec les modèles qui se la pètent XD ;

Quel est ton rapport à la ville de Strasbourg ? As-tu des adresses préférées… ou au contraire des adresses que tu détestes ?

J’adore Strasbourg car elle me rappelle parfois ma Sicile natale (ça peut-être étonnant, je sais). J’ai deux endroits préférés : Tout d’abord la magnifique Cathédrale de Notre Dame de Strasbourg car c’est le premier lieu que j’ai découvert et qui a pris la deuxième place dans mon cœur… La première c’est ma famille et ma future femme XD. Le deuxième lieu que j’apprécie c’est la Petite France que je trouve très charmante. Il n’y a pas d’endroit que je n’aime pas.

La concurrence est rude dans le monde des photographes, qu’est ce qui te différencie des autres ?

Il est vrai que la concurrence est rude dans ce milieu mais la chance que j’ai est de travailler aussi avec deux autres confrères photographes. Je pense que ce qui me différencie des autres c’est ma personnalité, mon côté chaleureux, mon sens de l’humour et mon aisance relationnelle qui me permet de mettre à l’aise les clients pendant mes prestations.

As-tu des projets pour cette fin d’année 2017 ?

Oui, je suis en train de perfectionner mon projet : la construction d’un «Photo Booth » pour chaque événement pour lequel je suis amené à travailler comme photographe, si le client le souhaite.

Une chose à ajouter ?

Je fais partie du Comité Miss Elégance Alsace comme photographe. Donc je vous invite à participer à l’élection de Miss Elégance Alsace, le 22 Octobre 2017 à Cernay (68).

Rappelle-nous où peut on te suivre sur les réseaux sociaux ?

Vous pouvez me suivre sur :

Facebook :  Francesco Procopio Photographe

Site web : www.francescoprocopiophotographe.com

Merci Jack pour cette Interview….. J’ai adoré 🙂 !!!!!!!

Interview du Tomimag: le blog impertinent d’Alsace Lorraine !

Interview du Tomimag: le blog impertinent d’Alsace Lorraine !

Comment t’es venue l’idée du Tomimag ?

L’idée d’un blog humoristique a été lancée sur un coin de table, dans un bistrot, après la défaite de l’équipe de France face à l’Allemagne en quart de finale de la coupe du monde 2014. Nous étions déçus… et de discussions en blagues, autour d’un verre, nous avons eu l’idée de mettre en ligne un petit blog qui a ensuite évolué vers le portail d’actualités satiriques et humoristiques que vous connaissez.

Depuis combien de temps existe le Tomimag ?

Depuis 2 ans et demi, le portail a été lancé pendant l’été 2014.

Vous êtes combien de rédacteurs ?

Nous sommes 3 rédacteurs : Marie-Christine, Samir et moi-même Jean-Luc.

D’où vous viennent ces idées les plus délirantes les unes que les autres ?

Nous sommes avant tout des consommateurs assidus de presse sous toutes ses formes : internet, radio, TV, presse écrite… On s’amuse beaucoup à inventer des faits-divers humoristiques complètement absurdes et loufoques. D’une manière générale, c’est notre vie de tous les jours qui est notre source principale d’inspiration… avec un intérêt particulier pour l’Est de la France.

Vous êtes pas mal présents sur Facebook où vos articles cartonnent mais peu sur les autres réseaux sociaux, pourquoi ?

Tout simplement parce que nos premiers articles ont d’abord été partagés auprès de notre famille et de nos amis sur Facebook. C’est historiquement sur Facebook que nous avons démarré, et un peu sur Twitter aussi… Nous n’imaginions pas à l’époque que le site allait connaître un tel succès.

Quels sont les retours que vous avez en général ? Tous vos lecteurs comprennent-ils le second degré, ou certains tombent ils dans le panneau ..?

Les retours sont positifs : les lecteurs s’amusent en lisant nos blagues et n’hésitent pas à les partager sur les réseaux sociaux.

Bien sûr, tout le monde ne comprend pas le second degré et il est arrivé que certains lecteurs n’aient pas perçu le ressort humoristique ou satirique de certains de nos articles… en pensant que c’était vrai. Notre objectif est de faire rire ou réagir, mais jamais de tromper ou de désinformer. Tout est expliqué dans la rubrique « qui sommes-nous ».

Parfois, des articles ont même un impact au niveau national… et ça nous fait rire. A titre d’exemples :

Vous participez à votre manière « au rayonnement » de la région Grand Est, que pensez-vous de ce nouveau découpage régional ?

Nous avons la chance de vivre dans une belle région qui compte de nombreuses richesses en termes d’atouts culturels, artistiques et touristiques. Au-delà de la réforme territoriale, l’essentiel pour nous est de valoriser le Grand-Est dans son ensemble, dans sa diversité. Nos articles mettent très souvent en opposition alsaciens et lorrains, mais ce n’est que pour mieux en rire… et souligner leur complémentarité.

Quel est votre article qui a fait plus de « bruit » ?

Le  « déneigeur ivre des Vosges » qui comptabilise à ce jour 1.400.000 vues depuis sa publication, et plus de 200.000 partages sur les réseaux sociaux.

Depuis 2 ans et demi, notre site a comptabilisé au total 12 millions de pages vues, dont 11 millions de vues uniques.

 Vous gardez un certain anonymat, avez-vous eu déjà des soucis suite à des articles ?

Ce sont des pseudonymes car nous ne souhaitons pas nous mettre en avant, nous avons des activités professionnelles n’ayant aucun lien avec Tomimag.

Nous n’avons jamais eu de soucis à titre personnel… Bien entendu, nous avons déjà dû faire face à des insultes ou des injures par mail ou sur les réseaux sociaux, mais rien de grave. On nous a menacés deux fois de poursuites judiciaires (à chaque fois lorsque des intérêts financiers ou l’utilisation d’une marque étaient en jeu) mais ça n’est pas allé plus loin.

Pensez-vous qu’il y ait une sorte de filiation entre le Tomimag et le Gorafi ?

Non pas vraiment… On ne lit pas les autres sites de fausses informations humoristiques ou satiriques. Notre filiation vient plutôt de la rubrique « faits-divers » de l’Est Républicain, de Vosges matin ou des Dernières Nouvelles d’Alsace.

Pour terminer, quels sont vos projets pour le Tomimag ?

Continuer à publier de temps en temps de faux articles humoristiques, au gré de nos envies… sans se prendre la tête.

Tous les articles sont à lire sur Tomimag.fr

Interview de Vera, candidate de « The Island 2 » et blogueuse strasbourgeoise

Interview de Vera, candidate de « The Island 2 » de M6 et blogueuse strasbourgeoise

Salut Vera, comment c’est passé pour toi, ton année 2015 et début 2016 ?
Hello Jack ! Plutôt bien, je crois que je n’ai pas à me plaindre : Dubaï, Ibiza, Panama, Malaisie, Vietnam, Cambodge, Thaïlande, Singapour, les Maldives et enfin Strasbourg ! Les voyages ont pris une grande place dans ma vie et j’ai surtout eu la chance de vivre une expérience incroyable en participant à The Island 2.

Pour ta participation à l’émission The Island 2, avais-tu un but précis ? Une envie ? Un dépassement de toi ? Raconte-nous un peu ton expérience là-bas…
En rentrant de Dubaï, j’avais besoin d’un nouveau challenge. Une envie d’aventure, de tester mes limites, de me surpasser… autant d’objectifs mis à rude épreuve une fois déposée sur cette île en apparence paradisiaque… Mon expérience ? Manque d’eau, manque d’hygiène, manque de sommeil, pas de confort, piqûres incessantes d’insectes… Ça donne envie hein !?

Maintenant que le tournage est fini, et que l’émission va être diffusée, tu n’as pas peur de te retrouver dans les ANGES sur NRJ 12 ?
Ces deux programmes sont tout simplement incomparables. Je n’ai pas fait The Island 2 pour faire les Anges.

Depuis ton retour à Strasbourg, comment vois-tu les choses depuis l’émission, ta vision ou tes besoins quotidiens ont il changés ?
Ce genre d’expériences laisse des traces. J’ai changé ma manière de consommer… une manière plus responsable. Je me suis concentrée sur les priorités dans ma vie pour mieux avancer. Je ne remet plus les choses à plus tard, je réalise mes rêves!

Concernant ton blog as-tu prévu des changements ou des projets à venir pour 2016 ?
J’ai décidé de reprendre mon blog www.veralifestyle.com et je vous annonce beaucoup de voyages, de bonnes adresses et de mode bien sûr ! De beaux projets au niveau local et national mais je n’en dis pas plus pour le moment… Surprise ! Keep in touch…

On peut dire que tu es une spécialiste de la mode sur Strasbourg : d’après toi, que manque-t-il à la capitale européenne pour devenir une capitale de la mode ?
D’après moi il ne manque pas grand chose car il y a du potentiel en Alsace. Je pense que les personnes doivent davantage collaborer que d’être en concurrence, car c’est ensemble qu’on monte de beaux projets. Aussi faut il à la fois être ambitieux créatif et humble pour dépasser les limites et proposer quelque chose d’original.

Coté professionnel, du coup, tu veux t’orienter vers quoi pour la suite ?
J’intègre avec grande joie Black Angus, une start-up en pleine croissance.

Enfin pour terminer, as-tu une adresse préférée sur Strasbourg : un inévitable pour toi ?
Le salon de coiffure Nicolas Christ qui se trouve place Brandt. Il est tenu par ma famille, c’est mon QG, je trouve ce lieu zen, apaisant et accueillant, sans doute mon meilleur allié pour entretenir mon look.

Merci Vera de t’être prêtée au jeu des questions à bientôt.

NB : The Island 2 sera diffusée sur M6 à partir du 15 mars prochain.

NB 2 : Julieta, 29 ans, urgentiste et strasbourgeoise fait aussi partie de l’aventure !

Portrait Kapoué n°31: Nishan, l’expert des jeux vidéos à Strasbourg

Nishan, l’expert des jeux vidéos à Strasbourg

Qu’est ce qui te fait lever le matin ?
Chaque matin, je me dis qu’aujourd’hui je vais vivre une nouvelle expérience, rencontrer des gens, avancer sur mes projets ect .. et ca me boost pour la journée !

Ta plus grande qualité ?
Etre à l’écoute.

Ton plus grand défaut ?
Arf, c’est toujours la question piège en entretien… mais je dirai que je n’aime pas perdre.

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté ?
Oui bien évidemment ! J’utilise une multitude de réseaux sociaux sur mes 2 mobiles. J’adore ces nouveaux moyens de communication qui me donne l’impression d’être partout virtuellement. Et comme tout le monde, j’adore cette drogue nommée Facebook.

Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler ?
Wolverine sans hésiter ! Il a un charisme extraordinaire et il est quasi immortel…. enfin… plus maintenant (spoiler ?)

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?
Depuis tout petit je rêve d’être testeur de jeux vidéo. A l’époque je m’imaginais des gens qui sont enfermés dans des bureaux et qui sont payés pour jouer ! Aujourd’hui je me rends compte que c’est un métier complexe et qu’il ne suffit pas que de dire : « Oui le jeu est bien, je lui donne 9 sur 10. »

Ton héros dans la vie réelle?
J’admire toutes les personnes qui se sont réveillés un matin avec un idée ou un projet, et qui ont réussi à le lancer. C’est pas toujours facile parce qu’il faut avoir du courage et ne jamais baisser les bras !

La chanson que tu siffles sous la douche?
Je ne siffle rarement dans la douche.. mais quand ça m’arrive, ce sont souvent des thèmes de jeux vidéo comme Street Fighter, Mario Bros 😉

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Avec plus de cheveux gris malheureusement ! J’aimerai bien vivre de ma passion ou devenir un référant dans ce domaine, ça serait cool, lol.
Être à la tête d’un média et de manager une équipe de journalistes, chroniqueurs geeks… ou testeur de jeux vidéo mdr
Bref, réaliser mes rêves de gosses…

Ton film culte?
Usual Suspects ! J’ai dû le voir 30 fois et cette fin me fige toujours autant !

Ce que tu détestes par-dessus tout?
Avoir tort ou les légumes.. je ne sais pas quoi mettre en priorité.

Le talent que tu aimerais avoir?
Maîtriser plusieurs langues étrangères afin de pouvoir voyager dans le monde sans barrières. J’aimerai être bilingue japonais pour pouvoir jouer à des jeux qui ne sortiront jamais en Europe par exemple.

Que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe?
Un centre commercial ouvert 24h/24 7j/7.. Qui n’a jamais eu envie d’aller acheter une TV à 2h du mat??? Ça serait cool de pouvoir y aller à n’importe quelle heure et d’y retrouver de la « vie ».

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
Esplanade car j’y ai passé quasiment 25 ans. C’est un quartier qui devient de plus en plus beau. C’est vivant, ca bouge tout le temps !

Ton restaurant strasbourgeois préféré?
Le restaurant O’Brasil … C’est pas typiquement alsacien mais ils ont un plat que j’adore : le Frango Gratinado ou plus simplement du poulet gratiné au fromage.

Ton bar strasbourgeois préféré ?
Le Big Apple parce qu’on peut y suivre la NBA dans une ambiance US.

Quelle est la chose que tu changerais en premier si vous étiez maire de Strasbourg?
L’autorisation aux bars de rester ouverts jusqu’à 6h car un geek ne dort jamais.

Ta marque alsacienne préférée?
Elsass Co……. nan je déconne………..

En 3 mots, décris-nous ton Strasbourg?
Knacks, bières et cathédrale.

Ton actualité?
Pas mal de projets bien plus Geek les uns que les autres. Je suis toujours chroniqueur radio chez RBS le mercredi matin. Et après 3 ans, j’ai eu l’envie de lancer mon site internet : www.lachroniquedugeek.fr

On y parle d’actus jeux vidéo, d’E-sport, de débats et autres événements se déroulant dans la région. J’ai la chance d’avoir un équipe loufoque et motivée, qui m’aide à développer le site.

J’essaye d’être vraiment présent sur cette scène qui commence à prendre de l’ampleur en Alsace.

Et secrètement j’ai toujours voulu de monter un festival dans ce domaine… il parait que c’est prévu pour 2016 😉

Interview de Joël Irion, le twittos derrière le compte Twitter @PNationale67

Interview de Joël Irion, le twittos derrière le compte Twitter @PNationale67

Le compte Twitter @PNationale67 fait beaucoup parler de lui dans le département avec sa réactivité, sa pédagogie et son ton parfois décalé… J’ai voulu savoir qui se cachait derrière l’écran pour en savoir plus, voici donc une petite interview de Joël Irion, le chargé de communication de la Police dans le Bas-Rhin.

Comment êtes vous arrivé à ce poste ?
Je suis policier avant tout, mais comme dans ma vie privée, j’ai des activités artistiques, notamment la scène, j’ai une facilité pour la communication. Je m’occupe donc du compte Twitter de la Police dans le 67, mais aussi de la communication interne et externe de la Police pour le département et de la prévention médiatique (comme par exemple la caméra cachée sur les pickpockets à Strasbourg).

Êtes vous de Strasbourg ?
Oui, natif Strasbourgeois affecté à Strasbourg depuis 1996.

Êtes vous quelqu’un de connecté à titre personnel ?
Non, mais le compte @PNationale67, c’est mon bébé ! Je suis connecté partout : chez moi, en vacances, dans les transports et surtout, au bureau (smartphone, tablette)

Quelqu’un vous remplace pour la gestion de ce compte pendant vos congés ? La communication sur les réseaux sociaux étant « fragile », je préfère être le seul à avoir la main sur compte, c’est une décision personnelle. Du reste, lorsque je me déplace dans des endroits où je n’ai pas de Wifi (un drame), c’est Florian mon collaborateur qui prend le relais. Quelle est pour vous la vraie utilité de ce compte Twitter ? Mon but premier est de faciliter le rapprochement Police → Population (par exemple : Concours dessin avec visite enfants). Je ne supporte pas qu’on se fasse des fausses idées sur notre métier, j’ai envie de montrer le vrai visage simple et accessible de la Police.

Comment choisissez-vous les comptes à suivre sur Twitter ?
Le compte @PNationale67 a un devoir de neutralité, j’évite donc tous les comptes trop orientés politiquement, je suis plutôt des comptes qui ont besoin d’aide, les médias locaux et nationaux, ou des figures locales comme
MPokora un enfant du pays ou Brice Conrad (dont le papa est un ancien policier) par exemple.

Gérez vous d’autres réseaux sociaux pour la Police ? Que pensez vous de Periscope, la version vidéo live de Twitter ?
Je ne m’occupe que de Twitter ; pour Periscope, je n’en vois pas l’utilité car nous n’avons rien a vendre, et nous ne faisons pas non plus la course aux followers.

Avec ce compte Twitter, vous a t’on demandé des résultats précis ?
Non, la mission c’est d’être présent sur les Réseaux Sociaux. Au niveau départemental, nous sommes en phase de test. En tout, il y a 1 compte Twitter national @PNationale et 5 comptes départementaux «pilotes» dont le 67.

D’où viennent vos infos, et quelles sont celles que vous ne twittez pas ? Les infos viennent de l’hôtel de police et des médias, mais nous vérifions systématiquement si l’info peut être twittée ou pas : pas de messages anxiogènes, ni des messages sur des instructions en cours.

Y a t’il un compte Twitter équivalent à la Gendarmerie, et d’ailleurs avez vous la parodie d’Eric & Quentin du Petit Journal sur les gendarme qui tweetent?
Non en départementale chez les gendarmes, mais un compte Twitter national… J’ai vu la vidéo, ça m’a fait sourire mais c’est un peu caricatural.

Pour finir, que pensez vous du métier de Community Manager ?
J’ai fait déjà plusieurs postes à la Police. Quand je suis arrivé à la communication, mes collègues pensaient que c’était la planque alors que pour moi c’est essentiel : rien de pire que les non-dits ! La communication est indispensable.

NB : Voici un sondage mis en place pour évaluer les retours du compte, si vous avez un moment, répondez aux questions : https://docs.google.com/forms/d/1SpziEpgIsgTuSXKmsGLtZSPdwJ1BsSlDNd0miwE2Syc/viewform

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