Portrait Kapoué n°32: Pascal Créhange, bâtonnier de l’ordre des avocats de Strasbourg

Me Pascal Créhange, bâtonnier de l’ordre des avocats de Strasbourg

Qu’est-ce qui vous fait lever le matin ?
L’envie. 

Votre plus grande qualité ?
Avoir conscience de mes défauts.

Votre plus grand défaut ?
L’exigence. 

Vous considérez-vous comme quelqu’un de connecté ?
Oui.

Le héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler ?
La réalité dépasse la fiction, je ne suis pas dans la fiction. 

Le job que vous avez toujours rêvé de faire, même si vous faites le contraire à présent ?
Mauvaise question : je fais justement le job que je rêvais de faire. 

Votre héros dans la vie réelle ?
Robert Badinter

La chanson que vous sifflez dans la douche?
Il y a plus de chansons que de jours. Je ne siffle jamais la même.

Comment vous voyez-vous dans 20 ans?
Plus jeune d’esprit.

Votre film culte ?
Il n’y en a pas qu’un, c’est certain… Si je pouvais en choisir 3 : Lawrence d’Arabie, Orange Mécanique & Into The Wild :

Ce que vous détestez par-dessus tout ?
L’injustice et l’égoïsme.

Le talent que vous aimeriez avoir ?
Être capable de convaincre mon prochain que l’on gagne plus à donner qu’à prendre.

Que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ?
Des liaisons aériennes et ferroviaires dignes d’une capitale européenne. Nous avons le reste. 

Si vous étiez un quartier de Strasbourg ?
L’hyper-centre.

Votre restaurant strasbourgeois préféré ?
Ma cuisine.

Votre bar strasbourgeois préféré ?
La cafétéria de la Maison de l’avocat.

Autre ville en Alsace et pourquoi ?
Chaque ville a son charme et je ne quitterais pour rien Strasbourg.

Quelle est la chose que vous changeriez en premier si vous étiez Maire de Strasbourg ?
Si j’étais Maire, je continuerais à faire rayonner Strasbourg dans toute l’Europe et à me battre pour la place de la justice dans la cité.

Votre marque alsacienne préférée ?
La Marque Alsace.

En 3 mots, décrivez-nous votre Strasbourg ?
Humaniste, accueillante, agréable.

Votre actualité ?
Me battre contre les plateformes juridiques sur internet et le manque de moyen de la justice.

(Crédit Photo de l’image à la UNE : Frédéric Maigrot)