Portrait Kapoué n°19: Julia Agrado artiste transformiste

Julia Agrado artiste transformiste et modèle photo

Qu’est ce qui te fait lever le matin?
Trois réveils, plus un dix minutes plus tard, une cigarette, deux ou trois cafés, mails et… Musique ! Lorsque je lance la musique, c’est parti !

Ta plus grande qualité?
Je suis tempérée, calme et réfléchie. Enfin… la plupart du temps… Sinon, je suis la muse d’Objectif V d’après une première déclaration sous sérum de vérité alsacien (brassé)…

Ton plus grand défaut?
L’amour de la procrastination, ou plutôt le besoin de sentir que c’est le bon moment, que j’ai l’envie et l’inspiration pour faire quelque chose et à défaut faire totalement autre chose pour rester tout de même toujours en action. C’est embêtant pour payer ses factures en temps et en heure…

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté?
Je suis très connectée. Je suis H24 sur les réseaux sociaux, et joignable à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Mon téléphone est toujours allumé. Je poste d’ailleurs souvent des selfies horrible, ce qui est embêtant c’est qu’ils ont plus de « j’aime » ou de partages que lorsque je pose pendant des heures…

Le héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler?
Catwoman, parce qu’elle est jolie, sexy, forte, agile, et qu’elle a un superbe costume dans les versions récentes. J’ai le costume !!!

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent?
Médecin légiste. Je sais, ce n’est pas très joyeux, mais ce métier m’a toujours attiré, comme les métiers en rapport avec la mort de façon générale. Peut-être pour un prochain show participatif, avis au public motivé, envoyez vos CV !

Votre héros dans la vie réelle?
Mon meilleur ami, je peux l’appeler tout le temps et pour n’importe quoi, on se chamaille, on se dispute mais au fond rien n’altère notre relation. Il a toujours été présent pour moi dans les moments les plus difficiles et me soutient quand j’ai fait une erreur sans me dire « je te l’avais dit », et pourtant, il me l’avait dit !

La chanson que vous sifflez sous la douche?
C’est très difficile, je marche par périodes, je chante une chanson à tue-tête pendant une semaine puis je passe à une autre. En ce moment c’est Gods And Monsters, la version de Jessica Lange dans American Horror Story. Le problème est que je danse aussi lorsque je chante, j’ai dû mettre un tapis antidérapant dans le fond de la baignoire.

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
J’ai du mal à m’imaginer sur un si long terme, mais un chien, un perroquet, un gentil mari, des enfants… Et bien sûr toujours du spectacle, de la photo, de l’écriture. Évidemment je serais internationalement reconnue pour ces trois compétences.

Mon film culte?
Black Swan, j’aime tout, la musique, l’actrice et son jeu, le scénario, les plans, l’histoire… Ce film me parle et me touche profondément. C’est en partie l’inspiration de l’un de mes tatouages.

Ce que vous détestez par-dessus tout?
L’hypocrisie et les mensonges. Je ne supporte pas cela, surtout lorsque je sais que l’on me ment. J’aurais aimé vivre avec les Bisounours.

Le talent que vous aimeriez avoir?
Chanter. Je chantais très bien au collège dans la chorale, la prof voulait même me mettre en avant avec un solo, ce que j’ai refusé. Mais aujourd’hui je regrette car lorsque je chante maintenant, il vaut mieux que je sois en solo…

Le dernier fou rire?
Mon dernier fou-rire, ou plutôt mes derniers fou-rires, ont été provoqués par un homme charmant de ma connaissance mais… je ne dirais rien !

Que manque-t-il, d’après toi, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?
Un bar à chats pour faire plein de câlins et de ronronthérapie en buvant du thé !

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
La Krutenau, j’y ai eu mes plus belles soirées et mes plus belles rencontres. J’aime ce quartier.

Restaurant préféré?
Le Rimini, le premier où j’ai mangé en arrivant à Strasbourg. Amis, taquineries, connaissances, rigolades… Il y a tout. Parfois, les tables se collent sans se connaître et hop là de nouveaux amis ! J’y suis souvent en compagnie d’immenses tablées jusqu’au bout de la nuit. C’est aussi là que j’emmène mes nouvelles rencontres ou les personnes auxquelles je tiens pour un diner au calme. On s’y sent en famille, et ils connaissent toutes mes petites habitudes.

Bar préféré ?
Les Aviateurs, l’équipe est super sympa et l’ambiance vraiment géniale.

Endroit que vous adorez à Strasbourg mais que vous avez honte de dire?
Le Bunny’s bar, j’adore, mais j’ai honte de le dire au cas où il prendrait l’envie à quelqu’un que je connais de passer quand je chante (crie et bafouille entendons-nous bien)… Un coup à vous détruire une réputation et à faire des millions de vues sur youtube !

Quelle est la chose que vous changeriez en premier si vous étiez maire de Strasbourg?
Maire de Strasbourg, je ferais installer des pistes talonnables, petit chemin en tapis rouge plat. Et oui, pour les filles en talons, les pavés c’est dur ! Je ne sais pas combien de paires sont séparées en une année par les attaques vicieuses des pavés mais c’est horrible !

Ta marque alsacienne préférée?
Bretzel Airlines, j’aime vraiment beaucoup leur humour.

Qu’est que tu choisirais comme nom de catcheur mexicain?
La Diva Dominadora… Comprendra qui pourra.

En 3 mots, décris nous Strasbourg?
Belle, conviviale, folle.

Ton actualité?
Artiste transformiste, burlesque et performeuse visuelle, j’ai commencé le spectacle il y a quatre ans dans une petite boite de nuit auvergnate en compagnie d’une troupe de drag queens. J’ai déménagé pour l’Alsace, à Strasbourg, il y a deux ans et tourne depuis dans les cabarets, bars et boites de nuit de toute la France et de Suisse. Des projets sont en cours pour de nouvelles soirées dans la région.

Au fil du temps, j’ai augmenté ma palette de numéros et dispose aujourd’hui d’une vingtaine de thèmes dont les incarnations de Cher, Amy Winehouse, Marilyn Monroe, Marilyn Manson, Mylène Farmer, Kylie Minogue et Jessica Rabbit. Je travaille actuellement sur de nouvelles prestations dont des chants live, pour dans quelques mois après encore un certain nombre de cours.

Je réalise également des maquillages et mises en scènes pour les particuliers, pour des anniversaires, des soirées à thèmes, des mariages…

Depuis un an, Victorine Artault de chez Objectif V est ma photographe officielle. Modèle pour elle, nous réalisons des photos pour de nombreuses expositions et nous avons fait un calendrier pour 2015 qui est encore disponible à la vente en tirage unique, exemplaires signés, numérotés.

Kapoue Test n°52: Restaurant le « 14 Juillet » à Strasbourg

Restaurant le « 14 Juillet » à Strasbourg

Savez vous qu’il existe depuis moins d’un mois un endroit à Strasbourg où vous pouvez manger « à la française » et vous croire à la terrasse d’un bistrot, dans les rues de Paris ? C’est endroit s’appelle le « 14 Juillet » et il se trouve rue Lucerne entre Rivétoile et la Krutenau.

J’y suis allé hier midi (samedi midi) pour tester l’endroit avant d’aller finir les préparatifs pour Noël. Réservé pour 13h, il reste de la place, l’accueil est cordial, on s’installe à notre petite table. On voit tout de suite que l’ambiance à été soignée pour coller au thème : on est dans un univers bistrot à la française de l’après guerre : la musique, les lumières, les vrais pavés au sol, le mobilier… C’est très sympa, et je pense que ça doit être même encore plus sympa le soir…

On passe commande, on attends très peu et on attaque !

Nous étions deux, et nous sommes passé par La Fourchette, il nous fallait donc prendre au minimum entrée + plat ou plat + dessert. C’est donc ce qu’on a fait, en commençant par une planchette de charcuterie, puis un cœur de rumsteck et un maxi cordon bleu à la sauce camembert. L’entrée est très simple, aucune surprise, produits de qualité moyenne et peu servie. Par contre les plats étaient conséquents, bien cuits, et surtout servis avec 3 accompagnements : purée et frites faites maisons et salade. Le cordon bleu à la sauce camembert était excellent, j’ai pas pu finir, j’ai vraiment adoré la purée : très bien assaisonnée. Pour le dessert, j’ai opté pour une trilogie de fruits rouges avec chantilly maison : ce n’était pas des fruits frais, la chantilly manquait un peu de gout…

Pendant le repas, on a pu aussi découvrir les WC originaux : y a de la lecture sur les murs ! L’endroit était propre et le service très bien. Le chef est même venu nous voir pour savoir si tout était bon, je pense qu’il avait capté que j’étais très (ou trop curieux) avec mes photos et mes notes !

Pour conclure, je dirais que j’ai apprécié le cadre, l’équipe et le plat principal. Le reste est à revoir d’après moi. Surtout au niveau du prix si vous prenez à la carte : pour deux nous aurions du payer 55,80€ pour deux : une entrée, deux plats, 2 boissons, un dessert et un café. Avec La Fourchette, on a payé 36,60 €, ce qui est un bon prix pour moi. Par contre, apparemment il y a aussi des formules MIDI de 9 à 15 € la semaine, ça peut être sympa à y retourner pour cela. Ce qui est dommage aussi , c’est l’endroit : le restaurant est au pied d’un immeuble récent, ce qu’il le met pas en valeur, ça perd un peu de charme, en plus la porte intérieure donne sur l’ascenseur de l’immeuble… C’est toujours difficile de se faire un avis sur un endroit à son lancement, attendons un peu et retournons danser la ginguette après un plat du jour après les fêtes !

 

Et vous, avez vous déjà testé le 14 Juillet?

Adresse:
Restaurant Le 14 Juillet
18 rue de Lucerne
67000 STRASBOURG
03 88 17 16 20

Page Facebook

Question: Et si on mange là bas un 14 Juillet, c’est gratuit? 😉

Portrait Kapoué n°13: Nicolas Guillaume, hypnotiseur de rue à Strasbourg

Nicolas Guillaume, hypnotiseur de rue à Strasbourg

Qu’est-ce qui te fait lever le matin ?
Mon inconscient, à qui j’ai précisé l’heure de réveil la veille, ainsi qu’une furieuse envie d’apprendre encore plus de choses que la veille, de rencontrer plein de gens extraordinaires, de m’éclater dans mes activités diverses et variées et de prendre le maximum de plaisir en le faisant.

Ta plus grande qualité?
Le toucher

Ton plus grand défaut ?
Le toucher

Te considères tu comme quelqu’un de connecté ?
Aux autres, oui, depuis toujours, à moi-même, oui, depuis assez récemment.

Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler ?
Spiderman ou Fitz Chivalry

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?
Non, je fais le job de mes rêves, hypnothérapeute et prof de Wing Chun Gong Fu

La chanson que tu siffles (honteusement) en ce moment sous la douche ?
Le concerto NoIII de Rachmaninov et « While my guitar gently weeps » de George Harrisson

Ton film (ou série TV) culte ?
Scott Pilgrim Versus the World

Ton dernier fou rire ?
Il y a 5 min, à cause d’une amie !

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Pareil, mais encore plus jeune !

Si tu étais un quartier de Strasbourg…?
La Krutenau

Que manque-t-il, d’après toi, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?
Une vie la nuit, une vraie vie la nuit.

« Endroit où manger » préféré de Strasbourg ?
le Pho 67

Bar préféré de Strasbourg ?
Le Grincheux : la nuit, l’Articho : le jour !

Lieu que tu adores à Strasbourg mais que tu as honte de dire… ?
La bibliothèque Malraux

Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais Maire de Strasbourg ?
Le nom, j’appellerais Stan Lee pour donner un nom qui claque cette ville !

Ta marque alsacienne préférée ?
Euh, Joker !

Une question originale à me proposer pour le prochain interviewé ?
Si tu étais un super héros, qui serais-tu ?

En 3 mots, décris-nous Strasbourg ?
Humanisme, Sexy, Historique

Ton actualité ?
Ouvrir mon cabinet d’hypnothérapeute en dur, continuer les visites à domicile et les consultation dans les parcs.

Continuer à faire découvrir l’hypnose au grand public dans la rue.

Ouvrir d’avantage la pratique du Wing Chun Gong Fu à Strasbourg

Création d’une association pour aider les personnes atteintes de maladie bipolaire en collaboration avec les familles et les médecins spécialistes et création d’un accueil de jour, d’une ligne téléphonique d’écoute et de parole, organisation d’un accueil permanent pour les personnes mises en difficulté par cette maladie ne pouvant pas rentrer chez eux à la sortie de l’hôpital.

Première session d’enseignement de l’hypnose thérapeutique et récréative dans quelques jours.

Café Bretelles: coffee shop à l’américaine à Strasbourg

Le renouveau de la Krutenau passera par les bretelles ! Le nouveau coffee shop de Olivier Wernert sobrement appelé Café Bretelles, nous propose un endroit décontracté et cosy où il fait bon vivre le temps d’un café de qualité…

Nous avons eu la chance de découvrir cet endroit avec entre blogueurs / blogueuses il y a quelques jours, nous avons pu y goûter les spécialités maisons (cafés intenses et fin, pâtisseries maison et jus de fruit local).

Pour la partie café, je vous invite à voir chez mes collègues blogueuses pour leurs avis qui seront plus adapté que le mien étant donné que je ne bois ni thé, ni café. Néanmoins, j’ai eu le droit à la place à un jus de fruit alsacien BORDERLINE (fraise goyave violette) très bon, je vous le conseille.

 

Pour les pâtisseries, on a gouté des équivalents de Twix, Bounty, ou même cheese cake faits maison : assez bons, mais trop sucrés à mon gout. Par contre je pense que ça doit aller parfaitement avec un café fort pour contre balancer le gout.

Le midi, la maison propose une carte limitée pour du salé avec des produits de saison et à noter aussi qu’il y aura des brunchs un dimanche par mois sur réservation avec au choix une ardoise salée ou sucrée.

La vraie spécificité de l’endroit tient aux différentes méthodes d’extraction du café proposées : Chemex, V60, Sypho, AeroPress. Olivier et Julien se feront une joie de vous les expliquer sur place. A noter aussi que la machine à expresso est une « Marzocco » faite à Florence en Italie… Bref, du matos quoi.

Pour conclure, je salue l’audace d’Olivier de se lancer dans ce projet de coffee shop dans un quartier comme la Krutenau, cela permet à mon gout de dynamiser ce quartier souvent abandonné qu’aux étudiants. A tester donc entre coffee addict ou une pause en terrasse !

Attention cependant aux excès de café ! 🙂

Adresse:

Café Bretelles
57 rue de Zurich
67000 STRASBOURG
03 88 23 20 96
8h00-18h00 en semaine et 9h00-18h00 le samedi

Kapoué test n°36: Repas du midi chez « Mémé dans les orties »

Repas du midi chez « Mémé dans les orties »

Remplaçant en lieu et place l’Étoile des Neiges , « Mémé dans les Orties » reprend la décoration de ce précédent restaurant avec un coté plus cosy, stylé, branchouille, voir parisien. En fait, on dirait que le Kitsh N’ Bar aurait justement fusionné avec l’Étoile des Neiges et que ça aurait accouché de « Mémé » (à la mode Dragon Ball Z). Du coup, l’endroit est toujours aussi boisé et sympa mais diffère au point de vue de l’offre : il s’agit maintenant plutôt d’un bar / café où on a la possibilité de consommer de la petite restauration.

Bonne idée donc de tester cet endroit un midi de semaine pour voir que ce donne :

Bons points de Mémé dans les orties:

– Décoration : à l’ambiance montagnarde du précédent resto, c’est greffé une galaxie d’accessoires et d’expressions ( amis de la poésie vous allez être comblés, je vous invite à lire avec attention les murs des WC). On y retrouve tables hautes, des tables en formica et même des tabourets « bouchons ». Avec en plus, un petit coin avec des fauteuils pour un apéro tranquillou.


– J’ai trouvé les boissons pas très chères : 2,5 € le coca light servi en bouteille avec rondelle citron… Ça devient rare à Strasbourg !
– Formules de brunchs de 7 à 13€ (honnête aussi niveau prix)
– Les plats sont copieux et pas chers : j’ai pris pour ma part un hachis parmentier à 6 euros, correct au niveau du gout et que j’ai eu du mal à finir car belle portion servie.

– BABYFOOT !
– Dessert là encore, pas chers : 3,90 € pour ma tarte au pommes.

Points à revoir chez Mémé dans les orties :

– L’ambiance est un peu sombre à mon gout pour manger, de plus, ce jour là il faisait 1°C dehors et l’intérieur était pas forcement bien chauffé… Glaglagla !
– 12h21, 20 personnes dans le resto, y compris le boss : 22 minutes pour être servis, la serveuse était seule, très très gentille mais elle galérait un peu, la pauvre. Heureusement, sa collègue des cuisine est venue lui filer un coup de main.
– Tartines un peu chères : 6 euros aussi. Avec des choix de mélanges de saveurs parfois étonnant : par exemple, voici la tartine brie, noix et confiture de poire…

Bilan :
J’aime bien l’endroit, mais plutôt pour boire un coup entre potes après le boulot que pour manger le midi, sauf si vous avez un petit budget, ça peut coller ;). Je pense y retourner bientôt; et vous, ça vous tente?

Coordonnées:
Mémé dans les orties
14, rue Munch
67000 Strasbourg

48.5831487.747882

Kapoué test n°28: Brunch en terrasse au Bistrot du boulanger Strasbourg

Brunch en terrasse au Bistrot du boulanger

Dans la jungle des brunchs branchés et citadins dans la capitale européenne, j’ai réussi à tomber sur une bonne surprise : celui du Bistrot du boulanger à la Krutenau.

Certes, il y avait le choix, mais après en avoir testé quelques-uns et m’être cassé les dents sur le fait de devoir réservé pour d’autres; je suis tombé un peu par hasard sur celui du boulanger.

Voici donc mes impressions en vrac, je vous invite bien évidemment à commenter cet article, si vous avez pu tester soit l’endroit, soit le brunch !

Points positifs de ce brunch:

– L’accueil : on est a été bien accueillis dès l’entrée du resto jusqu’à la sortie. Serveuse souriante, avenante et pleine de bonne humeur, ça change par rapport à d’autres endroits…

– Le gros point fort : LA TERRASSE ! On a pris une grosse claque par ce lieu, très cosy, très mignon, refait avec beaucoup de gout et de justesse (plus rien à voir avec l’ancien restaurant « pizza / cinéma » avec un patron haut en couleurs : Le CINECITTA)

– Autre point fort : le brunch par lui même : jus d’orange pressé, boisson chaude, pain frais d’en face (la fameuse boulangerie du pain de mon grand père, les habitués apprécieront…), salade de fruits frais, pâté de vigneron d’un charcutier de Rosheim… Hmm, rien à redire, jusqu’aux œufs brouillés accompagnés au choix de bacon ou saumon fumé le tout sur un coulis d’épinards (je suppose?).

– Le calme du quartier, pas de passage de voiture le long de la terrasse…

Décoration intérieure très sympa aussi, de même de la mignonne petite cour, et les WC comme neufs, nickels…

Points négatifs de ce brunch:

– J’ai du mal à en trouver à vrai dire… A part le fait qu’on était seuls, un dimanche matin magnifique de soleil mais celui de la fête des pères, alors…

– A savoir que l’établissement ne sert que le brunch le dimanche, cela peut peut être en freiner quelques-uns…?

– Enfin, le prix : 20 euros la formule, ce n’est pas cher en soit, c’est un prix plutôt cohérent mais attention pour les gros gourmands, ils resteront un peu sur leur faim. C’est un brunch « raffiné » et un brunch « quantitatif » !

A vos fourchettes !!! Allez tester et dites-moi ce que vous en pensez…

48.583427.74296

Bagelstein Strasbourg : the « trou » sandwich !

Pourquoi faire un article sur un shop de bagels le 2 mars 2011 alors qu’on vient de perdre des dictateurs, Annie Girardot, une ministre des affaires étrangères, ainsi que nos précieux euros placés il y a un an ( seulement ) dans nos iPad première génération…

Bah tout simplement car c’est nouveau, frais, à Strasbourg et donc à tester par votre serviteur !

Tout d’abord, un bagel c’est un sandwich auquel on aurait collé les deux extrémités l’une à l’autre ou tout simplement un donut à la mode Homer Simpson , mais salé !

Placé près de la place de Zurich à Strasbourg, cette boutique de bagels s’appelle Bagelstein ! Voici donc rapidement les points positifs et négatifs que j’ai relevé et aussi entendus dans mon entourage.

LES PLUS :

– Déco sobre et rétro, assez sympa et bien finie

– équipe sympa et polie ( bien briefée ! )

– l’endroit est assez propre malgré le passage.

– les produits sont assez qualitatifs et les pains bagels sont variés et fait sur place !

– un réel effort a été sur la communication visuelle, avec de l’humour et une présence sur les réseaux sociaux : Facebook et Twitter ( rien de tel pour se faire de la pub gratis 😉 )

– la possibilité de boire du Dr Pepper ! ( j’adore ça, j’avoue ! C’est assez rare d’en trouver en France)

LES MOINS :

– Peu de places pour manger à l’intérieur, mais avec les beaux jours tout le monde partira avec son bagel sous le bras ( façon de parler bien sur ! )

– C’est assez cher pour ce que c’est ( Sandwich seul à en moyenne 4,6€ , et des menus avec cookie, chips et boisson à environ 8€) , on se rapproche du concept et des prix de Subway.

– Offre avec des noms sympas et djeuns mais pour moi mal expliquée… On s’y perds un peu dans les menus  » XL », « de ouf » &  » Mega de ouf  » -> à force de trop en faire, ça devient un peu les menus « relous »

– Peu de propositions de bagel déjà prêts : 5 ! -> dur dur pour ceux qui ont jamais d’idées…

– Une boutique place de Zurich, une autre prévue rue St Étienne et encore une Grand Rue pour bientôt -> ça fait pas un peu trop d’un coup ? Surtout que des concurrents sont déjà installés rue Gutenberg ( Liberty Bagels )

Verdict: à essayer de temps en temps pour varier les plaisirs du midi, mais assez satisfaisant dans l’ensemble, sauf le prix !

Enfin, voilà, c’est pas mal , c’est tendance et donc cher pour ce qui n’est qu’un simple sandwich rond avec un trou … Faudrait pas non plus qu’on nous pousse à manger n’importe quoi le midi dans les rues de Strasbourg : pourquoi pas de la purée dans des boites Ikea ?! … ou encore du couscous à emporter pendant qu’on y est 😉 !!

Mise à jour du 30/12/2016 :

L’enseigne existe encore et se développe, j’y vais de temps en temps. J’y suis allé ce midi, j’ai pris une petite soupe japonaise sympa et un bagel Gaston le tout pour 8.90 €. J’avais encore faim alors j’ai pris un petit dessert à la framboise à 3€20. Pas grand chose à signaler, à part que la caissière était pas très sympa, le contraire des serveurs, et que l’endroit était sale : tables pas nettoyées… Sinon, c’était bon !

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