Interview de Marynn, la nouvelle star alsacienne de TikTok !

Présente toi Marynn, tu viens d’où, tu fais quoi dans la vie ?
Je viens de Strasbourg, je suis vendeuse au Super U à Lingolsheim depuis plus de 2 ans et hôtesse de caisse pendant le Covid19.

Je t’ai découverte, comme beaucoup de personnes, sur Tiktok, comment as-tu démarré sur ce réseau social ?
Quand j’ai accouché le 16 octobre 2019, deux mois plus tard, ma chef de caisse, est passée voir ma fille. Elle est venue avec sa fille qui adorait faire des TikTok. Elle m’a dit : « Viens Marynn, on fait un TikTok…! » et je lui ai répondu : « Mais, c’est quoi ça TikTok ?! » Elle m’a donc fait découvrir en mettant une musique et en faisant une petite chorégraphie. J’ai trouvé ça rigolo puis j’ai continué pour m’occuper quand ma fille était à la sieste vu que j’étais encore en congés maternité. Ensuite, mon entourage, ainsi que ma maman, m’ont dit : tu es faite pour la comédie, filme-toi en faisant des sketchs ! Je me suis donc lancé à imiter les clients, ça a plu, les abonnés ont commencé à monter… Cela me fait chaud au cœur car je ne pensais pas que ça allait arriver jusque-là ! Une amie (Laeticia) m’a beaucoup partagé sur les réseaux également.

Depuis le confinement puis le déconfinement, tu cartonnes sur TikTok, comment explique-tu ce succès ?
Je cartonne sur TikTok comme vous dites parce que les gens se reconnaissent dans mes vidéos. Je suis une personne très simple qui part de rien, ça plaît à pas mal de personnes surtout les hôtesses de caisse se reconnaissent dans mes sketchs (les clients aussi, les Alsaciens, tout simplement !).  Avec la nouvelle génération, on perd aussi cet accent et les personnages alsaciens que j’adore imiter. Je fais aussi des sketchs avec mon papa sur TikTok : on imite un peu de tout en restant simples car on est simples, et des fois même, on imite personne ! Le confinement a chamboulé tout le monde donc la caméra est posée sur moi et je n’ai pas besoin de réfléchir, je suis complètement habitée haha ! 😉

Dans tes vidéos, tu te moques mal de l’accent alsacien, as-tu déjà eu des remarques à ce sujet ?
J’ai un cœur énorme, je ne me moque de personne, c’est très affectueux, je suis moi-même alsacienne et fière de l’Alsace : je suis le phénomène alsacien ! Je n’ai jamais eu de mauvaise remarque, ni de mauvais commentaires, les gens le ressentent que c’est affectueux. J’ai aussi l’accent alsacien mais pas autant que sur mes vidéos. Et puis j’accepte les mauvais commentaires cela ne vas pas m’empêcher de dormir la nuit…

Tu affiches clairement dans tes vidéos ton métier et où tu bosses… Qu’en-penses ton employeur ?
J’ai plus de 60 000 abonnés et 800 tous les jours…  Je pense que mon employeur est content que je fasse de la pub pour son magasin ! Cela lui est arrivé de rigoler aussi sur certaines de mes vidéos, il ne m’a jamais rien dit à part de ne pas faire de vidéos dans les locaux et que les vidéos sur le Super U doivent être positives évidement, c’est normal. Après, je fais aussi des imitations clients et je ne mets pas le gilet Super U car pour moi j’ai tout à fait le droit d’imiter qui je veux sur mes sketchs sans dicter personne et ni le Super U. En tout cas, je suis fière de travailler au Super U à Lingolsheim, je suis très bien là-bas et épanouie et j’ai une vie bien remplie à côté. Après, il m’arrive de faire des sketchs aussi sur le supermarché Match, ou autres, mon TikTok n’est pas que pour le Super U, c’est pour m’éclater davantage ! Je fais comme je veux en dehors de mon boulot.

Tu ne fais pas que des vidéos Tiktok… Parle nous de ce que tu fais d’autre ?
Effectivement, je suis chanteuse j’ai déjà un premier album qui s’appelle  » je drone  » et mon deuxième album je suis en train de travailler dessus je l’enregistre fin septembre à Genève chez mon producteur avec mon papa car mon papa et associé à mon producteur. Un nouveau clip sera en ligne, tout se trouve sur Youtube : vous tapez « Marynn je drone » et ma page Facebook pour suivre tout ça c’est Marynn.

Te considères-tu comme une « influenceuse » ?
Non, car je ne cours pas après les abonnés ni les likes et les petits mots en privé. Les commentaires de tout le monde me font chaud au cœur. Tiktok, je le fais quand j’ai un peu le temps en allant au travail ou quand ma fille est à la sieste car mon temps, si je ne travaille pas, je le passe avec ma fille et pas sur mon téléphone.

On pourrait presque te comparer à Cyril Schreiner, car tu es du coin et tu joues pas mal sur le côté « alsacien »… Que penses-tu de cet influenceur ?
J’ai mon propre style ma propre personnalité incomparable même s’il y a plusieurs alsaciens sur terre et du coin ! Je ne connaissais pas du tout Cyril Schreiner. Quand une de mes vidéos a fait le buzz, des collègues m’ont dit :  » T‘a vu Marynn, Cyril Schreiner à commenté ta vidéo, regarde ! » et j’ai répondu : » c’est qui !? ». On m’a montré son compte TikTok et j’ai dit : « ah ok, il n’est pas mal connu, ça me fait plaisir ! ». Puis, j’ai regardé ses vidéos, c’était il y a mois ou 2, avant ça je ne le connaissais pas. Cyril Schreiner est sympa, j’ai même fait une vidéo pour lui pour son anniversaire du coup, le 14 mai : un fan à lui m’a demandé et j’ai accepté car on s’est échangé deux trois mots sur Instagram, il m’avait dit qu’il aimait aussi mes vidéos, cela m’a fait plaisir venant de Cyril.

Quels sont très projets dans les mois à venir ? Quel est le message que tu veux faire passer à tes followers ?
Préparation de mon deuxième album et toujours me donner à fond au Super U à Lingolsheim car je ne vis pas de la musique ni de mes sketchs pour le moment haha ! Cela dit, j’aime aussi ma vie comme elle est je ne cherche pas à être une super star ! Je fais ça à côté si ça marche et si ça ne marche pas je suis quand même fière de mes musiques et de mes clips sur le net et de surtout passer du temps avant mon mari et ma fille eux passent avant tout le reste mon bonheur je l’ai déjà. Le message que j’aimerais faire passer à mes followers c’est : vivez pour vous, n’écoutez personne : osez ! Et surtout, restez comme vous êtes; faites ce que vous avez envie. Les vrais amis restent même si vous ne les voyez presque jamais. Profitez de chaque instant, la vie est courte.

Merci pour tes réponses, à bientôt sur Tik Tok et Instagram alors ! 😉

Invitée Kapoué n°63: EVENT HIGH, agence d’événements sportifs à Strasbourg

Hakima, jeune trentenaire, jeune maman, dynamique, sportive depuis l’âge légal, j’ai toujours aimé l’humain et j’ai toujours su que c’est en ce sens que je construirais ma vie. C’est d’ailleurs ce qui me fera choisir mon cursus sportif et ainsi porter des valeurs d’humilité, de solidarité et de challenge en faisant de son capital santé, sa plus grande priorité.

Après 10 années à œuvrer dans le domaine du sport et de la remise en forme, j’ai décidé de prendre un nouveau virage : celui de re-mobiliser l’humain par le sport et plus précisément sur son lieu de travail. C’est en observant la sédentarité s’installer à vive allure (dans tous les domaines) que m’est venue l’idée de trouver des solutions afin de limiter les dégâts tant sur le plan économique et social (arrêt maladies, turnover, désengagement au travail, burn-out), que sur le plan physique et mental (prise de poids, négligence, perte de confiance, fragilité). J’ai donc durant une année entière étudié un panel d’entreprises sur lesquelles j’ai analysé leurs fonctionnements généraux (temps de pause, mise à disposition de moyens, conditions, comportements, souhaits…).

Constats récurrents : un manque de cohésion au sein des équipes, des hiérarchies, des conditions de travail sur-connectés, un climat défavorable à un quelconque « Point E » (épanouissement).

Audacieuse et créative, je souhaite réellement développer la « digital detox » et ainsi permettre de se déconnecter pour mieux se reconnecter à soi et aux autres dans une ère où le numérique esquinte le corps et l’esprit.

Nous proposons aux entreprises et organisations des team-building, séminaires, incentives, pour faire découvrir de nouvelles sensations et partager des instants suspendus via ce dénominateur commun : le sport-santé, avec des activités variées, inédites et adaptées aux objectifs et à l’état d’esprit de l’entreprise.

Du challenge sportif en version «commando», à la gastronomie, « healthy food », des ateliers de sensibilisation à la nutrition, des conférence d’influence positive jusqu’à la formation sur la qualité de vie au travail, avec un seul objectif: celui de conjuguer les efforts pour mener à bien le collectif et délivrer des messages de bienveillance, créant ainsi, un climat serein, convivial, en santé. Ici commence l’histoire de mon projet fou de création d’entreprise, l’histoire de ma vie :

Replacer l’humain au cœur des relations professionnelles via le sport-santé et la « digital detox »

Emerson disait : « La première richesse est la santé »…

Cette phrase m’a toujours accompagnée, on dirait bien qu’elle n’est pas prête de me quitter…

HAKIMA PUCCIO
Directrice et Fondatrice de EVENT HIGH
Mail : info@event-high.fr

Rejoignez moi aussi sur les Réseaux sociaux :
Instagram : eventhigh_by_hakima
Facebook + Linkedin : Event High
Site: event-high.fr

Invitée Kapoué n°62 : Anaïs de l’Atelier du Téton, reconstruction mammaire grâce au tatouage

Je m’appelle Anaïs Miniandee, j’ai 34 ans et je vous ouvre les portes de  l’Atelier du Téton à Strasbourg ! Passionnée depuis toujours par l’art, je me suis à travers les années, imprégnée de danse, de dessin et de peinture.

Après avoir fait des études dans les métiers du secrétariat, j’ai souhaité me former dans le maquillage professionnel. L’intégration de l’école Candice Mack à Strasbourg m’aura permis de découvrir que la beauté des femmes sera toujours au cœur de mon attention et c’est avec beaucoup d’application et de respect que j’ai pris plaisir à les révéler.

Après 15 années dans le social, aujourd’hui je ressens le besoin de revenir à « mes premiers amours » : L’envie d’être à l’écoute des femmes, de mettre mon savoir faire artistique au service de la féminité.

Passionnée par le tatouage et les bienfaits thérapeutiques que mes nombreux tattoos ont eu sur moi, j’ai découvert, grâce à une amie, un reportage sur le métier de tatoueur de tétons au Canada :

Mon sang n’a fait qu’un tour, RÉVÉLATION !

Après de nombreuses recherches sur les pratiques et les formations, j’ai pris le temps de faire grandir l’idée et le projet dans ma tête. Fin 2018, c’est en rencontrant Pauline (Bluejeanne), la plus pédagogue et bienveillante illustratrice et tatoueuse de Strasbourg que le projet pris enfin vie. Elle m’offra l’opportunité de me former au tatouage artistique traditionnel dans son atelier et c’est ainsi que l’aventure commença !

Grâce à la collecte participative sur Kiss Kiss Bank Bank, j’aurai la chance de pouvoir m’envoler vers les Pays-Bas mi mars afin de perfectionner mon geste et ma technique avec la meilleure tatoueuse canadienne reconnue dans le métier.

Tatoueuse à l’Atelier du Téton, c’est quoi ?

Dans le cadre d’une reconstruction mammaire suite à un cancer du sein, je souhaite proposer aux femmes de redessiner les contours de leur aréole mammaire et d’en finaliser leur aspect grâce à une technique de tatouage artistique. Par un effet de trompe l’oeil, jeux d’ombres et de lumière naturelle, le dessin réaliste simulant la 3 dimensions donne des résultats esthétiques satisfaisants et durables. Au delà du tatouage, j’ai à cœur de prendre le temps d’accueillir et d’écouter les attentes de ces femmes afin de travailler au plus juste, dans le respect de la personne. C’est avec bienveillance, que je souhaite proposer de participer à la reconquête de leur estime de soi, ultime étape vers la reconstruction.

L’Atelier du Téton, le studio :

J’ai investi tout récemment un atelier au Fort Kleber à Wolfisheim, un lieu atypique et authentique, au milieu de la nature. Depuis plusieurs mois, je mets tout mon cœur à transformer cet espace en un cocon douillet, où les patientes seront accueillies avec bienveillance et professionnalisme; Je souhaite leur proposer un moment hors du temps où il sera possible de laisser derrière soi un vécu douloureux et entamer un nouveau chapitre de leur vie.

Inauguration de l’Atelier du Téton en mai 2020 !

Bien plus qu’un métier, c’est avec engagement et conviction que je souhaite soutenir leur féminité.

Lien vers la campagne de financement participatif de l’Atelier du Téton

Contact : latelierduteton@gmail.com

Interview de Leïla Martin pour son nouveau livre : « L’Alsace enchantée »

Hello Leïla, peux-tu déjà te présenter pour ceux qui ne te connaissent pas ?

Je suis maman de deux enfants et chef d’entreprise. Mon quotidien s’articule autour de la communication et de la cuisine. J’aime autant manier la plume que la casserole. Et j’ai la chance de pouvoir exprimer mes passions pour la création culinaire et l’écriture à travers mon blog jevaisvouscuisiner.com dédié à l’Alsace gourmande.

Tu as sorti fin 2018 ton premier livre de recettes, d’où te viennent les idées ?

Ce sont surtout les étals des marchés, les produits de saison et issus du terroir qui me soufflent les idées. Le patrimoine culinaire alsacien est également une précieuse et infinie source d’inspiration que je suis d’ailleurs loin d’avoir fini d’explorer. Je prends beaucoup de plaisir à réinterpréter les recettes traditionnelles et à les partager. Il y a pas mal de vieilles recettes du registre familial qui ont fini par tomber en désuétude. Et j’aime l’idée de les faire revivre en les remettant au goût du jour.

Aimes tu travailler les produits frais, de saison, locaux ?

Bien plus encore qu’aimer ! Ce n’est pas une option mais un impératif. Hors de question pour moi d’acheter des tomates ou des fruits rouges en hiver. J’attends que ce soit la pleine saison en Alsace. Je suis carrément inflexible là-dessus et mes enfants le savent. D’ailleurs, ils ont maintenant acquis le réflexe de demander systématiquement si le produit qui leur fait envie est bien de saison. Et puis, nous avons en Alsace pléthore de merveilleux produits et tant de talents pour les mettre à notre disposition. Ce serait si dommage de ne pas en profiter ! En cuisinant frais, local et de saison, on profite non seulement de produits au top de leur maturité et de leur saveur, mais on opte aussi pour une consommation responsable, plus respectueuse de notre planète. Je n’y vois que des avantages !

 

Dans tes recettes, tu revisites les plats alsaciens, y a-t-il d’autres cuisines qui tu voudrais revisiter ?

La cuisine alsacienne fait vraiment partie de mon ADN et restera, je pense, mon principal terrain d’investigation et d’expérimentations. Ceci dit, mon approche est très ouverte sur toutes les autres cultures culinaires et j’aime beaucoup imaginer des métissages : nems ou makis de choucroute, fleischkiechle à l’orientale, griesknepfle aux épices d’Azerbaïdjan ou encore grumbeerekiechle aux saveurs méditerranéennes… Finalement, je revisite la cuisine alsacienne pour l’emmener ailleurs autant que je revisite les cuisines du monde pour les emmener en Alsace !

Quelle est ta recette préférée dans ce nouveau livre ?
C’est super difficile pour moi de faire un choix ! Je vais donc te faire part du coup de cœur de mon fils Oscar (9 ans) : le baeckeoffe de poissons. Il me le réclame très régulièrement. Et c’est aussi un plat sur lequel les lecteurs du livre m’ont fait de nombreux retours très positifs.

Tu es aussi blogueuse, combien de temps cela te prend ? Comment arrives-tu à tout gérer au quotidien ?

Quand on aime on ne compte pas ! Alimenter un blog est très chronophage, je pense que tu en sais quelque chose… Publier une recette sur le blog, c’est de nombreuses heures de travail (et de plaisir heureusement) que ne mesurent très certainement pas les lecteurs : il faut faire les courses, réaliser le plat, rédiger la recette, la mettre en scène, la prendre en photo, rédiger un article d’introduction, optimiser le référencement, mettre l’article en ligne et le partager sur des plateformes du web et sur les réseaux sociaux pour le faire vivre. C’est au bas mot une journée de boulot (6 à 8h). Comment je gère tout au quotidien ? Il y a belle lurette que j’ai accepté l’idée de ne pas tout gérer ! Je ne suis pas Wonderwoman.

J’apprends (à ne presque) pas culpabiliser quand j’ai 5 lessives de retard ou quand on ne voit presque plus à travers les vitres de mon appartement. Je me console en me disant que je ne suis pas trop mauvaises sur la gestion des repas. Mes enfants mangent des produits frais locaux et de saison tous les jours. On ne peut pas être au top sur tous les fronts. En tout cas, moi je ne le suis clairement pas !

Il y a de plus en plus d’influenceurs sur Strasbourg avec pleins de thématiques différentes… Qu’en penses-tu ? Penses-tu qu’il y en a de trop ? Lesquels suis-tu ?

Je t’avoue que j’ai un peu de mal avec ce terme d’influenceurs. Je le trouve très réducteur et j’ai du mal avec la notion mercantile qu’il sous-entend. On ne se lève pas un beau matin en se disant « tiens et si je devenais influenceur ». C’est plutôt l’envie ou même le besoin de s’exprimer qui nous tenaille, un peu à la manière d’un artiste qui a besoin de son art pour donner du sens à sa vie. Comme un artiste touche son public, un « influenceur » rencontre son audience. Pas parce qu’il a décidé de faire la pluie et le beau temps. Mais parce qu’il a créé son propre univers et que cet univers devient inspirant. Et pour devenir inspirant, il ne suffit pas de le décréter. Il faut avoir une démarche authentique, désintéressée, sincère. Et beaucoup, beaucoup travailler.

J’ai donc tendance à m’intéresser aux « influenceurs » qui proposent de vrais contenus de qualité. Je visite par exemple régulièrement les blogs food très inspirants de Sandra Thomann (Cuisine addict) et de Réjane Candela (Food for love).

Ton réseau social préféré ? Où peut-on te suivre sur le net ?

Incontestablement Facebook pour ma part. C’est le premier réseau social que j’ai apprivoisé. Et une belle communauté très intéressée et impliquée,s’est développée autour de ma page Je vais vous cuisiner. Sinon, il y a mon blog bien-sûr ! Et tout bientôt, certaines de mes recettes seront visibles sur le site https://www.visit.alsace/.

Tu es de Strasbourg, où vas-tu manger le midi en ville ? Et le soir pour une soirée entre amis et pourquoi ?

La Cantina pour profiter de la terrasse, de leurs délicieux plats ensoleillés et du service très avenant à midi et l’Alma en soirée pour l’ambiance feutrée, l’accueil à la fois discret et très attentionné et la cuisine fusion entre Japon et Pérou absolument divin.

Des projets pour cet été ? Un nouveau livre en approche ?

J’ai très envie d’un deuxième livre et je commence à y songer très sérieusement (un projet qui pourrait peut-être se concrétiser pour l’automne 2020). Sinon, j’ai pas mal de projets vidéos qui s’annoncent. Et bien-sûr, je travaille au développement de mon entreprise qui propose notamment des prestations de communication (rédaction d’articles et conception de vidéos), de création culinaire (conception de recettes et création de cartes pour les restaurants) et d’animations culinaires (show-démo culinaires, ateliers de cuisine, cuisine en direct).

Portrait Kapoué n°49: Laura Theodori, Miss Bas-Rhin 2019

Laura Theodori, Miss Bas-Rhin 2019

Laura, qu’est ce qui te fait lever le matin ?

Mon réveil (haha), non plus sérieusement me dire que chaque journée est une nouvelle occasion de vivre des moments exceptionnels remplis de belles choses , de joie et d’amitié.

Le héros (réel ou fiction) auquel tu aimerais ressembler ?

Michelle Obama, je trouve cette femme très inspirante sur de nombreux points de vue notamment sur son combat pour l’éducation des jeunes filles dans le monde.

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?

Vétérinaire, j’adore les animaux, j’ai d’ailleurs un chat.

Comment et où te vois-tu dans 20 ans ?

Dans 20 ans, je me vois gérer ma propre entreprise à l’étranger, j’aimerais habiter en Australie, ses plages de sables fins et ses paysages me font rêver depuis toujours. J’aimerais y créer un concept éco-responsable.

Ton film ou série TV culte ?

Gossip Girl, j’ai vu la série au moins 5 fois…

Ce que tu détestes par-dessus tout ?

La méchanceté gratuite, en tant que nouvelle Miss, j’ai aussi du faire face à la critique et au début ce n’était pas facile mais j’ai appris à m’en détacher.

Ta meilleure blague du moment ?

 Connaissez vous la différence entre le repas de Noel et l’élection de Miss France ?
Aucune, la dinde est accompagnée de pommes dauphines !

Parle-nous un peu plus de toi : pourquoi avoir tenté l’aventure Miss Bas-Rhin ?

Pour tout vous dire, au début j’étais hésitante à me présenter, je me disais que ce monde de « strass et paillettes » ne me correspondait pas et puis j’ai eu la chance de discuter avec deux amies (MademoiselleSoph et Claire Godard (ancienne miss)) qui ont réussi à trouver les bons arguments. Je n’ai pas grande confiance en moi donc c’était pour moi un réel défi. Je me suis lancée et aujourd’hui je ne regrette rien, c’est une aventure exceptionnelle faite de belles rencontres.

Quelles sont tes ambitions à la suite de ce concours ?

Il y aura l’élection de Miss Alsace le 8 septembre à Monswiller, qui sera pour moi une chance de représenter ma région, on verra ce qu’il adviendra mais je suis motivée et déterminée à emmener mon département le plus loin possible.

D’autres projets d’ici la fin de l’année 2019 ?

Préparer mon tour du monde… c’est un rêve de petite fille.

Te considères-tu comme quelqu’un de connectée ? Si oui sur quels réseaux peut-on te suivre ?

Oui je me considère comme quelqu’un de connecté dans le sens ou je suis sur Facebook et Instagram . Je partage des petits moments de ma vie quotidienne sans prise de tête.

Pour finir, parlons un peu de Strasbourg : d’après toi, que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ?

Un marathon sans hésitation !! Je suis une sportive qui pratique régulièrement la course à pied et je trouve dommage qu’il y ai un semi marathon mais que l’aventure s’arrête là, à Strasbourg nous avons de l’ambition !

Si tu étais un quartier de Strasbourg, tu serais lequel ?

Je serais la Krutenau, un quartier cool, toujours en effervescence mais parfois plus calme contrairement à l’hyper-centre qui est toujours en ébullition.

Ton restaurant ou bar strasbourgeois préféré ?

Mon restaurant préféré est Lamian, un restaurant de nouilles chinoises faites devant vous par un chef ! Un vrai délice.

Autre ville préférée en Alsace et pourquoi ?

Je dirais Colmar pour sa vieille ville et sa petite Venise. Je trouve cette ville très apaisante (quand il n’y a pas trop de touristes haha).

Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais maire de Strasbourg ?

Pas grand chose, j’aime Strasbourg avec ces qualités et ses défauts c’est ce qui fait tout son charme.

Ta marque alsacienne préférée ?

Ma marque strasbourgeoise préférée est @villedecoeur, ce sont des t-shirts responsables en coton 100 % bio. Ils disposent de l’accréditation Fair Wear Fondation (respect des conditions de travail) et du label Global Organic Textile Standard.

En 3 mots, décris-nous ton Strasbourg ?

Multiculturalité, simplicité, joie de vivre

Interview de Supacat : collages streetart dans les rues de Strasbourg

Au détour d’une rue, j’ai découvert les collages de Supacat dans les rues de Strasbourg, j’ai voulu en savoir plus sur ce drôle de chat, voici donc les réponses à mes questions du street artist…

D’où t’es venue cette idée ?

L’idée du chat m’est venue un jour à la machine à café du taf, qui est souvent l’endroit où tu peux échanger de tout et de rien avec tes collègues et réfléchir à pas mal de choses. Je voulais créer quelque chose de sympa pour m’amuser et interagir avec avec des gens et des lieux que j’apprécie. Ainsi est né le Supacat.

Pourquoi un chat ? Parce que tout le monde aime les chats. Les chats passent aussi bien chez les enfants que chez les adultes. Un chat, c’est libre et indépendant et ça aime se balader partout sans être bridé. Un peu comme moi quoi ! Et puis ça fera plaisir à ma mère le jour où je lui dirais que je passe mes nuits à coller des chats lol.

J’ai commencé à en coller deux-trois, puis je me suis pris au jeu. J’ai commencé à cibler les lieux que j’aime bien et à personnaliser les chats en fonction, comme pour le Pixel Museum et certains restaurants et bars de Strasbourg. J’ai créé ensuite un profil instagram pour garder une trace des collages et pour pouvoir communiquer avec d’autres artistes ou avec des fans du chat.

Ça te prend combien de temps de préparer tes visuels ?

Le temps de préparation comprend la recherche des lieux, la visu avec la street view pour repérer où coller, puis ensuite la déclinaison du chat en fonction du lieu. Ça prend pas mal de temps mais le plus long, c’est le découpage. Quand je ne passe pas des heures à coller, je passe des heures à découper. Les ciseaux ne sont jamais loin. Je me mets un bon film ou une série puis je découpe en même temps.

Es-tu payé pour faire ça ?

Je ne perçois aucune rémunération pour mes collages. Je colle pour mon plaisir. C’est devenu comme une drogue. J’ai toujours un seau, de la colle, et des chats imprimés dans le coffre de ma voiture « en cas d’urgence ».

Quel est ton rapport à la ville de Strasbourg ? pour faire ça ici et pas ailleurs ?

J’ai collé des chats dans d’autres villes de l’Eurometropole mais ils ont rapidement été arrachés. Des villes peut-être trop « bourgeoises » ou « propres« . Je crois qu’il y a vraiment qu’à Strasbourg qu’ils ne sont pas arrachés. Il y a un certain respect du street-art à Strasbourg. Au début, quand je collais et que des gens m’interpellaient, j’avais toujours peur qu’ils prennent ça pour du vandalisme, me fassent la morale ou appellent la police.

C’était tout le contraire. Les gens veulent savoir pourquoi un chat, pourquoi cet endroit et surtout dans quel but. Ils veulent savoir pourquoi je fais ça. L’être humain a toujours besoin de raisons et de comprendre pourquoi on fait telle ou telle chose. Et quand je leur réponds que je fais ça parce que je veux donner le smile aux gens qui les remarquent, certains rigolent et d’autres repartent sans leur réponse. Strasbourg est un superbe terrain de jeu, il y a vraiment de quoi faire. Et si ça peut un peu égayer la ville, c’est vraiment cool.

Et au milieu du street art ?

J’adore le travail de Banksy. J’ai eu la chance il y a quelques années de tomber par hasard sur une expo non-officielle en Slovénie qui présentait ses plus grandes œuvres. C’est à partir de ce moment-là que j’ai eu envie de créer quelque chose de graphique que je pourrais afficher partout. Ayant pas mal de projets à côté, j’ai du mettre ça en attente avant de pouvoir enfin me lancer cette année. J’ai du me documenter sur les techniques, les pochoirs, le graff, le collage, c’était comme si je retournais sur les bancs de l’école. Ça tombe bien, j’aime chercher et expérimenter par moi-même de nouvelles choses.

Pourquoi tiens-tu à rester anonyme ?

Je souhaite rester anonyme car je trouve ça cool de garder le mystère autour du chat. Etant fan de Marvel et de l’univers Comics, j’apprécie la discrétion et le mystère autour de certains personnages. Le fait qu’ils agissent la nuit puis qu’ils reprennent leur vie « normale » le lendemain dès que le réveil sonne. J’avoue, quelques uns de mes amis proches sont dans la confidence, ce qui me permet de les envoyer à ma place pour récupérer du matériel ou pour certains événements.

Vas-tu décliner tes visuels sous d’autres formes ? Pourquoi pas des t-shirts, sweats, autocollants ?

On m’a déjà demandé si j’allais faire des tshirts du « Supreme Supacat« , qui détourne le logo mythique de la marque Supreme. Je ne suis pas contre cette idée mais ayant également envie de découvrir la sérigraphie, je ne veux pas tout faire dans l’urgence. J’aurais le temps de me pencher sur la question quand il fera vraiment trop froid pour coller. J’ai également envie de décliner les Supacats sur supports bois ou PVC. Faire des objets avec. J’ai pas mal d’idées et je pense qu’il me faudra 9 vies pour tout faire.

Ton artiste « street » strasbourgeois préféré ?

Mon artiste street strasbourgeois préféré est Jaek El Diablo. J’aime son style qui mélange tout ce que j’aime : culture US, comics, NBA/NFL, Hip Hop, détournements de personnages divers… Je me souviens lui avoir fait une demande de stage il y a 15 ans. Il ne prenait pas de stagiaires mais il avait pris le temps de me faire une réponse cool par mail. J’adorais son site web, très graphique et en Flash, une révolution à l’époque, les réseaux sociaux se limitant à MySpace… Dans ses créas, il y avait une photo d’un tableau avec des super-héros dont Magnéto, un de mes vilain préféré, je ne pouvais qu’aimer !

As-tu d’autres projets dans le genre ?

J’ai pas mal de projets à venir, comme la création de chats en bois et sur toiles. Dont un pour un événement spécial, mais je ne peux pas encore communiquer là-dessus pour le moment. Puis toutes les demandes diverses faites via Instagram. Certains me contactent même pour me demander de coller un chat personnalisé devant chez eux ou sur le chemin de l’école de leurs enfants, je trouve ça génial.

Peut-on te suivre sur d’autres réseaux sociaux ?

Je ne suis que sur Instagram. Facebook et Twitter, ça m’emmerde. Instagram c’est parfait pour choisir ce qu’on veut voir et communiquer avec des gens qui partagent les mêmes passions ou qui font également du street art.

www.instagram.com/supacat.sxb

Invitée Kapoué n°53: Fanny du Studio Fan Déco, décoratrice d’intérieur à Strasbourg

Fanny, c’est moi, trentenaire, maman, décoratrice d’intérieur diplômée et fondatrice de Studio Fan Déco : une agence de conseils en aménagement et décoration d’intérieur.

Je travaille avec les particuliers et les professionnels qui souhaitent se faire accompagner dans leur projet d’aménagement et de décoration d’intérieur. En général, des personnes overbookées qui n’ont pas de temps à consacrer à leur intérieur mais qui néanmoins sont sensibles au fait d’avoir un intérieur différent de celui de Monsieur et Madame Tout-le-Monde.

J’aime créer, imaginer de nouvelles ambiances, j’aime me tenir informée de tout ce qui se fait dans ce domaine si vaste.

Je crois que nos intérieurs sont le reflet de notre propre intérieur. Nos habitations sont l’écho de qui nous sommes et doivent nous permettre de nous sentir au top de nous même !

J’apprécie participer au bien-être de mes clients, en les aidant à créer un intérieur singulier, adapté à eux, leurs modes de vie, leur habitation, leur budget, leur goûts…

Je suis sensible au respect de la nature, des animaux et des hommes. J’encourage une économie vertueuse, je pense que cela est devenu une nécessité, un enjeu principal dans nos vies actuelles. Nous aspirons à devenir des consom’acteurs : ‘acheter’ n’est plus un acte anodin mais une action responsable. C’est pourquoi chacune des mes propositions en terme de mobilier/matériaux/revêtements est réfléchie dans ce sens.

Pourquoi j’ai crée Studio Fan Déco ?

Studio Fan Déco est le résultat de mon cheminement personnel. Après 10 ans dans un domaine où je m’endormais à petit feu, j’ai décidé en 2014 je prendre ma vie professionnelle en main en sortant de ma zone de confort en retournant sur les bancs de l’école pour apprendre un nouveau métier !

Aujourd’hui je me sens tellement bien à faire ce que je fais, que j’ai pris l’engagement de continuer la suite de ma vie professionnelle à aider les personnes à trouver l’ambiance, la décoration dans laquelle ils se sentent bien et apaisés chez eux… C’est ce qui me fait vibrer ! 😀

De la visite conseils [La Fan Visite] où je me déplace pendant 1h30 à 2h00 au domicile de mes clients pour les conseiller sur une problématique précise jusqu’à La Fan étude qui est une prestation clé en main. Tout y est étudié : style, ambiance, aménagement, mobiliers, revêtements, coloris, je propose dans cette prestation une visualisation 3D qui permet de se projeter dans son futur intérieur avant même d’avoir commencé les travaux !

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Portrait Kapoué n°48: Plume de Chat, graphiste / tatoueuse strasbourgeoise

Plume de Chat, qu’est ce qui te fait lever le matin ?

Le plaisir de faire un travail passionnant et la joie d’être émerveillée un jour de plus.

Le héros (réel ou fiction) auquel tu aimerais ressembler ?

C’est un choix difficile haha ! Je dirais que le héros du livre « La Ligne Verte » de Stephen King, John Coffey, est vraiment inspirant. De la douceur, de la force et un incroyable pouvoir de guérison.

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?

J’ai toujours rêvé de travailler dans un milieu artistique et d’améliorer le quotidien des gens. Et pour ça le métier de tatoueuse me faisait rêver depuis longtemps.

Comment et où te vois-tu dans 20 ans ?

Dans 20 ans ? Difficile à dire mais je me verrais bien vivre dans une maison en bordure de forêt avec un shop et un gîte pour proposer une expérience plus complète du tatouage dans toute sa dimension sacrée.

Ton film ou série TV culte ?

J’aime énormément de films mais celui qui me fascine le plus est « The Fountain » de Darren Aronofsky.

Ce que tu détestes par-dessus tout ?

L’injustice et l’insincérité me révoltent.

Ta meilleure blague du moment ?

Une petite araignée demande à sa mère :

  • Maman, qu’est-ce qu’on mange pour le dessert ?
  • Une mouche au chocolat ! 😉

Parle-nous un peu de toi : explique-nous ton activité et (aussi) d’où vient ton pseudo ?

Je suis tatoueuse sur Strasbourg depuis un peu plus d’un an. Je travaille en salon privé, cela me permet de vraiment prendre le temps avec mes clients car pour moi la séance de tatouage est presque aussi importante que le tatouage en lui-même. Un tatouage c’est un travail à deux dans un climat de confiance.

Pour mon pseudo, je souhaitais quelque chose de doux et singulier. Une plume pour la douceur et un chat pour son côté affectueux mais un peu douloureux.

Arrives-tu à vivre de ton art ? Si non, arrives-tu facilement à gérer ton boulot et ta vie artistique ?

Oui et c’est vraiment un plaisir de pouvoir vivre de sa passion !

Parle-nous de tes inspirations et des techniques que tu utilises pour les tattoos…

Je travaille beaucoup en dot (j’aime les petits points) dans un style minimaliste où je mêle l’organique (animaux, insectes, plantes…) et la géométrie.

Je trouve mes inspirations dans la nature, dans la beauté d’un lever de soleil et dans les vieux musées de Strasbourg.

As-tu déjà fait des collaborations avec des artistes locaux ?

Pas pour le moment mais qui sait ce que l’avenir me réserve…

Tes projets pour cette fin d’année 2018 ?

Pour cette fin d’année, je vais travailler sur un projet de Street Art en partenariat avec La Poste Place Broglie. Je prépare également une nouvelle série d’illustrations.

Te considères-tu comme quelqu’un de connectée ? Si oui sur quels réseaux peut on te suivre ?

La technologie et moi on ne s’aime pas trop. Mais pour promouvoir et partager mon travail j’utilise Instagram (https://www.instagram.com/plume.de.chat/) et Facebook (https://www.facebook.com/plumedechat.tattoo/).

Pour finir, parlons un peu de Strasbourg : d’après toi, que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ?

Une odeur de bredele et de vin chaud toute l’année !

Si tu étais un quartier de Strasbourg, tu serais lequel ?

La Robertsau pour son ambiance de village et ses jolis parcs.

Ton restaurant ou bar strasbourgeois préféré ?

Pour une petite pause en milieu de journée, j’aime tout particulièrement le salon de thé What The Cake au 51 rue du Fossé-des-Tanneurs.

Mais quand il s’agit de manger mon cœur balance entre Momo Tibétain au 12 Grand’Rue et les délicieuses pizzas de chez Pizz’arôme au 15 rue de la Croix.

Autre ville préférée en Alsace et pourquoi ?

Je dirais Ribeauvillé pour son centre historique et sa jolie vue sur le château de Saint Ulrich.

Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais maire de Strasbourg ?

Je rendrais les transports en commun gratuits pour les chômeurs, les personnes âgées et les jeunes de moins de 26 ans.

Ta marque alsacienne préférée ?

Les Jardins de Gaïa pour les thés délicieux et bio.

En 3 mots, décris-nous ton Strasbourg ?

Mon Strasbourg, c’est un Strasbourg un peu magique qui laisse échapper de douces notes de piano par une fenêtre ouverte, qui te laisse entrevoir des petits jardins cachés et qui te met des étoiles dans les yeux quand vient l’hiver.

Portrait Kapoué n°47: Nawelle’K, chanteuse strasbourgeoise

Portrait Kapoué n°47: Nawelle’K, chanteuse strasbourgeoise

Nawelle’K, qu’est ce qui te fait lever le matin ?
Le réveil haha ! Mon projet musical.

Ta plus grande qualité ?
Mes amis diraient ma générosité.

Ton plus grand défaut ?
Je suis assez rancunière.

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?
Travailler dans l’événementiel & la communication ce que je fais aussi 🙂

La chanson que tu siffles (uniquement) sous la douche ?
« Ave Maria » version Céline Dion ou celle de Pavarotti.

Comment et où te vois-tu dans 20 ans ?
Avoir réussi mes projets ou réussir dans le métier que me plait. Vivre au soleil ou aux Etats Unis : LA ou NYC entourée de mes amis.

Ton film ou série TV culte ?
Friends.

Ce que tu détestes par-dessus tout ?
Le mensonge & La trahison.

Quel autre talent (que le chant) aimerais-tu avoir ?
La danse, je danse comme un pied tout le monde le sait

Ta meilleure blague du moment ?
J’me casse comme dirait Patricia, oui je sais c’est nul mais ça fait des années que je la dis !

D’après toi, que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ?
Un aéroport digne de ce nom… Des magasins ouverts jusqu’à 21H ( supermarché, pharmacie, boutique, boulangerie) et le dimanche !!

Si tu étais un quartier de Strasbourg, tu serais lequel ?
J’ai pas de préférences : j’aime beaucoup trop ma ville pour choisir… Allez, en favoris, je dirais Les Quais et Gutenberg / Cathédrale.

Ton restaurant ou bar strasbourgeois préféré ?
J’ai un gros penchant pour Houmous & Co qui a ouvert à côté de chez moi il y a 1 an c’est tout petit mais tu y manges très très bien !! Sinon étant une grosse fan de pizza Aedaen Pizzeria, Milano Torino, Oro Di Napoli. Pour les bars, j’ai aucune préférence à partir du moment où les gens sont cools, on y retourne !

Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais maire de Strasbourg ?
Je ferais un grand studio de répétitions comme le studio bleu à Paris.

En 3 mots, décris-nous ton Strasbourg ?
Beau / Proximité / Cool.

Nawelle’K, pour ceux qui te connaissent pas encore : décris-nous à présent ton style musical…
Comme je le dis souvent, je n’ai pas un style de musique préféré .. J’aime toutes les musiques qui peuvent me parler, me faire bouger, ou me marquer… J’ai voulu à travers mes sons mettre à l’honneur la pop, le pop rock, le reggae, le RnB et en faire un joli mix pour créer mon propre style 🙂

As-tu déjà pensé postuler à un TV crochet du style THE VOICE ou NOUVELLE STAR ?
J’y ai pensé et longuement réfléchi … Au final j’ai toujours pas trouvé la réponse haha !

Arrives-tu facilement à gérer ton boulot et ta vie artistique ?
Il y a des jours où c’est très simple et d’autres où c’est très très compliqué mais je tiens le coup parce que je fais ce que j’aime dans les deux cas.

Pour toi, existe-t-il une vraie scène musicale strasbourgeoise ?
Je pense qu’il en existe oui et avec de très bons artistes… Même si je ne suis pas souvent concernée par la chose pour mes projets à moi… Mais de ce que j’ai pu voir en bookant des gens pour différents events il y a un vrai réseaux local avec des artistes très doués !!

As-tu déjà fait des collaborations avec d’autres artistes locaux ?
Collaboration non, mais je suis très souvent accompagnée à la guitare par des guitaristes locaux.

Il y a quelques jours tu as tourné ton dernier clip « Is it love », raconte nous comment s’est passé le
tournage..?
Le tournage s’est fait en 4 jours dont 3 d’affilé avec une température d’avec d’environs 30° plein soleil… Pas besoin de vous expliquer que c’était la folie… J’ai voulu avoir mes amis les plus proches / famille dans ce premier clip plein de bonne de bonne humeur… On a aussi fait une annonce pour avoir un maximum de figurants car on voulait absolument que les gens s’éclatent et qu’on ressente cette joie de vivre !! On a eu l’idée de faire ça avec de la poudre de couleurs … Le dernier jour on ne la supportait plus haha ! Surtout ma meilleure amie Lydie qui elle a dû en avoir toute les scènes sur elle 🙂

Tes projets pour cette deuxième partie de l’année 2018 ?
Continuer sur ma lancée et sortir un maximum de hit qui peuvent plaire à tous !! Continuer de travailler aussi dur et réussir ce projet !

Pour finir, te considères-tu comme quelqu’un de connectée ? Si oui sur quels réseaux peut on te suivre ?
Très connectée, mon premier réflexe le matin est de prendre mon téléphone et de regarder ce qu’il se passe sur les réseaux …
On peut me retrouver sur Instagram / Facebook et Youtube !

La musique est maintenant disponible sur : 

MINITOPO, l’application gratuite de micro-learning dédiée à la culture

Éléonore, une jeune strasbourgeoise très curieuse, nous raconte sa participation à l’application mobile « Minitopo » qui souhaite moderniser l’accès à la culture.

« Entrez dans un monde de passions » …

C’est ainsi que Clémentine, la fondatrice de Minitopo, m’a présenté le projet pour la première fois. Cette nouvelle application propose un format d’apprentissage novateur, basé sur la lecture d’histoires courtes rédigées sous la forme de conversations (ce qu’on appelle aussi « chat stories »). L’application met à la disposition des assoiffés de culture et de nouveautés une vaste librairie de ces histoires-conversations, classée par thématiques (arts, voyages, littérature, etc.) et alimentée par des passionnés (des gens comme moi par exemple !).

J’ai tout de suite été séduite par le concept et je n’ai pas beaucoup hésité lorsqu’elle m’a proposé d’y participer en mettant à l’honneur ma ville : Strasbourg ! Quel plaisir de pouvoir partager avec des utilisateurs de la France entière (et même du monde entier) : son univers, sa plume, ses photos, ses anecdotes, etc.

Mon objectif était de présenter Strasbourg en parcourant tous les recoins de la ville, aussi bien ses quartiers, ses rues, son histoire, ses espaces verts, ses musées, ses institutions, etc. J’ai ajouté beaucoup de photos dans mes histoires-conversations pour immerger au maximum le lecteur. J’avoue que vous y trouverez aussi pas mal d’émojis ?.

Je trouve que ce format est une nouvelle façon très originale de découvrir progressivement une ville (ou encore une passion) et qui peut être très utile en amont d’un voyage dans la région ou lorsqu’on prévoit de s’y installer par exemple. Je ne vais pas vous cacher que j’ai moi-même appris plus d’une chose sur ma ville que je pensais déjà très bien connaitre, donc cela peut être également très intéressant pour… les strasbourgeois !

N’hésitez pas à essayer l’application qui est disponible gratuitement sur iOs et Android. Vous trouverez plus d’informations sur leur site internet : www.minitopo.com

Et si vous souhaitez partager une passion, n’hésitez pas à l’équipe de Minitopo à l’adresse suivante : partager@minitopo.com

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