La strasbourgeoise Élina Rose déconstruit les clichés féminins avec esprit dans son nouveau livre

Connue sous le nom @Elina_rose sur Instagram, Elina vient de fêter ses 33 ans, elle n’est toujours pas mariée, elle n’a toujours pas d’enfants (elle avoue ne pas être sûre d’en vouloir) et elle n’est pas propriétaire, mais devinez quoi ? Elle est heureuse et épanouie parce qu’elle se moque des injonctions sociales et elle compte bien le faire savoir.

Il y a maintenant 3 ans, elle fait une entrée remarquée sur les réseaux sociaux avec cette photo :

Derrière ce slogan, c’est une femme profondément déterminée à libérer la parole et à vivre comme elle l’entend que l’on retrouve.

Hôtesse de l’air, elle a tout plaqué pour reprendre à zéro. Sur les réseaux elle partage son quotidien avec beaucoup d’humour sur les différents aspects de sa vie.

« Imagine si tu étais vraiment toi » est un guide pour montrer à chaque femme qu’elles sont capables de beaucoup plus qu’elles ne le pensent et surtout que le bonheur est déjà en elles et qu’il ne dépend pas des autres. À travers son livre Elina partage avec bienveillance le chemin qu’elle a entrepris afin de créer ses propres codes sans suivre ceux imposés par la société. Peu importe votre vision, vos rêves, vos objectifs, l’essentiel étant qu’ils soient alignés à qui vous êtes profondément.

Divisé en 3 grandes parties, la première pour se reconnecter à soi, la suivante pour croire en soi, et enfin la dernière pour se reconnecter aux autres. Vous retrouverez dans le livre une philosophie de vie, des exercices pratiques, des conseils, des story times pour illustrer ses propos.

Ce livre se veut intemporel et déculpabilisateur pour toutes celles qui n’oseraient pas vivre trop fort, trop différemment : à découvrir !

Invitée Kapoué n°80 : Violaine De Charnage, auteure strasbourgeoise à la plume rouge viscère

VIOLAINE DE CHARNAGE : DE L’HORREUR, DU FANTASTIQUE, DU GORE, DU TRASH, DU WTF, DU SEXE, DE L’HUMOUR NOIR !

Amoureuses et amoureux (de lecture, c’est mieux), de cinéma de genre, de bande dessinée, de culture pop des années 80 et 90, je vous en prie, entrez, il y a le feu !

Les Vilaines Nouvelles de Violaine et autres Transgressions Littéraires s’inscrivent dans une littérature de mauvais genre, décomplexée, rebelle, transgressive et jouissive à lire. Une cousine éloignée de la littérature « pulp » : à l’origine les romans de gare des années 1930 aux États-Unis, imprimés sur du papier de basse qualité (pâte de copeaux de bois « pulp »).

Précisons que ces textes s’adressent à des lecteurs majeurs, avertis et pervertis !

 Les Vilaines Nouvelles de Violaine, les Vilainologies (recueils), les Transgressions littéraires : la nouvelle comme genre de prédilection.

Genre tombé en désamour de ce côté de l’Atlantique, la nouvelle est pourtant un terrain de jeu exceptionnel. Ce format court, droit au but, permet d’explorer les sous-genres de l’horreur et du fantastique, une nuée de thématiques, de s’autoriser des revisites de contes et de mythes…

Au détour de ces histoires à dévorer d’une traite, prenez garde de croiser : une Blanche-Neige zombie et vengeresse, un Leprechaun dentiste, une baby-doll serial-killeuse, un tueur possédé par un lapin…

Mais jouer avec le fantastique et l’horreur ce n’est pas nécessairement déballer de l’intestin au kilomètre… Chaque nouvelle renferme un sous-texte, interroge des sujets de société de toujours (par exemple : l’inceste), et contemporains (ex. : la maltraitance animale).

Parmi mes thèmes de prédilection : la femme et le corps féminin, la liberté et la violence sous toutes ses formes (physique, psychologique, sociale…)…

 Un peu beaucoup d’actualité strasbourgeoise.

  • Rencontrez-moi sur le Village du Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg FEFFS, place Saint-Thomas, pendant le WE d’ouverture du Festival, les 23, 24 et 25/09.
  • Je serai en dédicace à la Librairie Le Tigre, au 36 quai des Bateliers, le samedi 15 octobre à partir de 15 h.

Où trouver ma littérature ?

  • Sur le Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg ( FEFFS ) pendant ces quelques jours !!

J’y proposerai mon second recueil, La Vilainologie II, en avant-première.


Je délivre mes sévices (littéraires) sans rendez-vous sur :

https://www.instagram.com/violaine_de_charnage/

https://www.facebook.com/ViolaineDeCharnage

www.violainedecharnage.com

Merci Blog Kapoué pour l’accueil !

Interview de Cassandre Gasnier, candidate à Miss Alsace 2022

Bonjour Cassandre Gasnier, tu es étudiante en dernière année de Master et tu te présentes à Miss Alsace le 10 septembre prochain à Colmar : Présente-toi d’abord en quelques mots.

Je m’appelle Cassandre Gasnier, j’ai 22 ans, je vis à Strasbourg, et je suis la candidate numéro 12 pour l’élection de Miss Alsace 2022. Après une licence de sciences de l’éducation, je suis actuellement en dernière année de master des métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation afin de devenir professeure des écoles.

Raconte-nous un peu, comment t’es venue cette idée ? Quel est le chemin personnel qui t’as emmené jusqu’à la candidature ?

« Pourquoi pas moi ? », voici la question toute simple que je me suis posée devant l’élection Miss France en voyant toutes ces filles de mon âge en train de vivre un moment et une aventure incroyable, ça a été un déclic ! Je n’ai pas toujours été la fille que je suis aujourd’hui, celle qui a confiance en elle, je n’ai pas toujours été considérée comme étant dans les critères de beauté et cela m’a valu de nombreuses moqueries au début de mon adolescence. Alors quand j’ai eu cet élan de détermination, j’ai directement envoyé ma candidature sans réfléchir. Il ne faut pas trop se poser de questions, sinon on ne se lance pas.

Quelles sont les valeurs que tu veux défendre avec ta candidature ? Quels sont les éléments différenciants qui font que le jury te choisira et pas une autre candidate ?

Quand on me demande de me définir, je me définis généralement comme quelqu’un de généreuse, bienveillante, naturelle et déterminée. J’aimerai continuer de transmettre ces valeurs tout le long de mon aventure. Je pense que ces quatre traits de ma personnalité pourront d’ailleurs faire la différence auprès du jury, mais également auprès du public qui sera présent le soir de l’élection, car j’ai bien l’intention de les mettre en avant sur scène.

Les règles du concours ont évolué cette année (la limite de 24 ans a sauté et le fait d’être maman est autorisé), qu’en penses-tu ?

Chacun être maître de sa vie et j’estime que nous sommes les mieux placés pour savoir ce qui est bon pour nous-même. Si je n’étais plus dans la limite d’âge ou si j’étais mère de famille, je n’aurais pas aimé que l’on décide à ma place. Si une femme de plus de 24 ans ou une mère de famille se sent également prête pour ce genre d’aventure, alors il n’y a aucune raison qu’elle n’ait pas sa place.

Dans tes rêves les plus fous, as-tu déjà la tête à la future élection de Miss France ?

Plus l’élection approche, plus je réalise que je suis peut-être la future Miss Alsace ! Alors je réalise également de plus en plus qu’il est possible que, dans un peu plus de 3 mois, je sois sur le plateau de Miss France. C’est difficile à réaliser, mais plus l’élection approche, plus cela devient concret dans ma tête, alors je le réalise de plus en plus, et me prépare de plus en plus à cette aventure qui peut continuer après l’élection de Miss Alsace qui se déroulera le 10 septembre 2022.

Connais-tu bien notre région Alsace ?  Si oui, peux-tu me citer un endroit préféré par département ?

Dans le Bas-Rhin, je dirais Strasbourg ! Ça parait peut-être un peu trop simple comme réponse, mais c’est la ville où j’habite, ma ville de cœur, et je m’y sens vraiment bien.

Dans le Haut-Rhin, je dirais Colmar. Depuis le début de cette aventure, beaucoup d’évènements se déroulent dans cette ville. L’aventure a commencé à Colmar avec le casting dans le Musée Unterlinden, et elle se terminera à Colmar également, au Parc des Expositions dans lequel se déroulera l’élection. Cette ville est assez symbolique pour moi.

Parles-tu alsacien ? Ou même quelques mots ?

Je ne parle malheureusement pas Alsacien, mais je vais vous partager quelques expressions typiquement alsaciennes :

« Faire un schmoutz » (faire un bisou), ou « Hopla ! » (un « allez ! » de motivation, d’encouragement). Je sais également que « Service ! » (pour dire « de rien » après qu’on nous ait remercié pour un service rendu), et « Ils veulent du beau temps » (pour dire que du beau temps est prévu) sont des expressions qui existent seulement chez nous.

Il y en a tellement d’autres, mais je vais m’arrêter là !

As-tu une cause qui te tient à cœur et que tu souhaites défendre si tu es élue ?

Je suis particulièrement touchée par de nombreuses causes et je pense que je suis loin d’être la seule, mais celle dans laquelle je m’engage depuis quelques années maintenant c’est l’inclusion scolaire, dans l’objectif de rendre l’école accessible à tous les enfants en s’adaptant à eux le plus possible. C’est l’école qui doit s’adapter à chaque enfant, et non pas les enfants qui doivent s’adapter à l’école.

Je souhaite devenir professeur des écoles, et je ferai de cette cause une lutte quotidienne. Pendant ma licence, je faisais partie d’une association qui luttait contre les inégalités scolaires dans les milieux défavorisés.

En dehors de tes études, as-tu des loisirs ? des passions ?

J’ai fait de la danse avant de commencer mes études. Aujourd’hui mes études me prennent une grande partie de mon temps libre, mais l’avantage de faire un métier-passion, c’est que ce n’est pas une corvée ! A côté de ça, je profite de mes proches et prends du temps pour moi.

Pour contacter et soutenir Cassandre Gasnier, vous pouvez la contacter sur son compte Instagram

NB : Bonne chance à toute les candidates à Miss Alsace ! 😉

Interview de Marie Ka, chanteuse strasbourgeoise qui nous parle de sa nouvelle chanson très personnelle

Bonjour Marie Ka, tout d’abord dis-nous un peu d’où tu viens et que fais tu dans la vie à part chanter ?

Alors je suis Belfortaine, mais je dis souvent alsacienne de cœur et d’esprit (#sourire)  ; Je suis venue faire mes études sur Strasbourg quand j’avais 18 ans. Et depuis, j’ai posé mes valises et je n’ai jamais eu envie de repartir. Je suis ce que l’on pourrait appeler un profil « atypique », et je souris en écrivant ces mots car, je travaille actuellement en tant que Consultante en recrutement pour un cabinet. Je recrute des profils techniques en ingénierie & Industrie, profils Bac+2 à Bac+5, sur le Bas-Rhin. Mais je n’ai pas toujours fait ça puisque je me suis réorientée en 2015. Avant ça je travaillais comme enseignante en Arts plastiques dans l’Education Nationale. Eh oui cela surprend toujours. Sinon, même si j’aime mon travail, j’ai pour habitude de dire que je travaille pour vivre. Alors j’ai effectivement des loisirs en dehors de mon activité professionnelle. De façon générale je suis une passionnée d’Arts avec un grand [A], j’aime le sport et toute activité qui me permet de découvrir, ressentir et partager de nouvelles expériences. J’aime me laisser surprendre par la vie et je m’enrichis des rencontres.

Tu as décliné ta communication via 5 vidéos, pourquoi ce format ?

Pour resituer les choses, j’ai décidé de lancer un projet de compositions personnelles sous « Marie Ka« , et il était évident pour moi de commencer par cette chanson « Ne m’en veux pas », qui est très forte symboliquement par rapport à mon histoire. Il me semblait nécessaire d’expliquer ma démarche à ceux qui allaient m’écouter. Je cherche toujours le sens dans ce que j’entreprends, et je tends à écouter « l’évidence » quand elle se présente.

Ce format s’est donc imposé à moi comme une évidence pour plusieurs raisons :

  • J’ai tout d’abord fait une belle rencontre avec un jeune vidéaste qui m’a donné envie de collaborer avec lui (Alexandre Stoeffler). Et j’ai sans doute une déformation professionnelle : j’analyse et je perçois le potentiel des personnes. En tout cas je fais rapidement des liens entre les éléments.
  • A ce moment-là, je recherchais un moyen de mettre en lumière les personnes qui participaient au clip mais que l’on ne verrait pas à l’écran. Comme par exemple les élèves de l’Ecole Candice Mack. Et je souhaitais aussi que les participants qui avaient une activité puissent en parler. Naturellement j’avais envie de remercier les personnes qui m’aidaient à concrétiser ce projet et cela passait par le fait de les laisser s’exprimer devant la caméra.
  • Dans ma tête les connexions se sont faites rapidement et j’ai proposé à Alexandre de faire ces vidéos. J’avais pressenti beaucoup de rigueur dans sa pratique, une grande motivation et un bel état d’esprit. Il avait également été touché par mon histoire et il souhaitait m’aider. Et pour moi, une main tendue est le plus beau des cadeaux. Je suis très sensible au fait que certaines personnes vous aident par bonté et de façon désintéressée. Ce qui est d’autant plus fort dans la musique quand vous débutez et que vous n’avez pas une renommée, une expérience à mettre en avant pour être reconnu, accepté et respecté en tant que chanteur/musicien.
  • A travers ces vidéos je souhaitais donc expliquer ma démarche et raconter cette histoire si particulière avec Micheline. C’est un peu une chanson « hommage », un Grand merci du fond du cœur pour ce qu’elle m’a apporté. Je voulais pouvoir la mettre en lumière afin qu’elle puisse aussi parler de son activité.

A 68 ans elle a repris avec son compagnon Philippe, le camping le moins cher de France, le Camping du Cœur et de l’Amitié. C’est une femme exceptionnelle, d’une générosité sans fond qui m’a beaucoup touché quand je l’ai revue l’année dernière.

Et pour finir, j’essaie toujours d’avoir une vision à 360°. J’avais besoin d’un support visuel de communication pour annoncer le projet et ce format des 5 vidéos me semblait très pratique et original. Pour moi les maîtres mots étaient : « respect », « partage » et « authenticité ».

Il est à noter que tous les participants sont passés devant la caméra sans aucune préparation. Ils ont découvert les questions lorsque Alexandre leur a posé (et moi aussi d’ailleurs). Et je dois dire que j’ai découvert les interviews par après et j’ai pris un réel plaisir à tous les écouter. Cela a été un très bon moment, très touchant pour moi. C’est un exercice qui n’est pas simple, et je veux vraiment encore les remercier pour leur participation.

Dans ces vidéos tu mets en avant les lieux, l’équipe technique : est ce des partenariats ou bien est ce juste pour mettre en avant les personnes de façon désintéressée ?

Alors comme mentionné précédemment, j’ai souhaité remercier les personnes qui m’ont aidé à concrétiser ce projet. Je n’ai pas noué à proprement parlé de partenariats.

Tu es accompagnée dans ta carrière par un agent ou une équipe communication ?

Alors là je souris… Non, pas du tout. J’ai financé et entrepris ce projet « seule », même si j’ai collaboré avec de multiples personnes que ce soit pour la musique ou le tournage du clip.

Je n’ai pas l’habitude de me lancer des fleurs, mais je dois dire que je suis assez fière du travail réalisé compte tenu de tout ce que cela implique.

Pour le tournage du clip, j’ai dû tout organiser sur une journée. Je n’avais pas le choix. Cela comprenait 2 lieux différents, 17 personnes à encadrer, et un timing hyper serré de 08h00 à 16h00. Certaines prises de vues devaient être réalisées en 10 minutes, sachant que c’était une première pour tout le monde (j’entends pour la petite Naelle, Micheline et moi). Je pense que j’ai bien géré (#sourire) et j’étais vraiment contente de mes choix. D’ailleurs le résultat est là je pense. Je me suis sentie un peu comme un chef d’orchestre et j’ai pris beaucoup de plaisir à penser le projet dans sa globalité. Ma plus grande satisfaction reste le fait de m’être entourée de personnes bienveillantes et que j’apprécie. D’ailleurs, chacune a contribué à la réussite du tournage. L’ambiance était vraiment agréable ce jour-là malgré les contraintes. Et je tiens aussi à remercier la petite Naelle et sa maman. J’ai pris énormément de plaisir à jouer avec elle et à la regarder s’amuser. Car j’ai ressenti chez elle beaucoup de joie et pour moi c’était important qu’elle le vive bien.

Sinon sur l’aspect de la communication, je regrette de ne pas avoir pu diffuser la chanson à une audience plus large que celle de « proximité » via mes réseaux sociaux personnels. En 3 jours j’avais déjà 1600 vues, sans avoir un support de diffusion comme on peut en avoir quand on lance un projet musical (j’entends par là passer à la radio, faire des interviews, diffusion sur les plateformes, etc..). Malheureusement, j’ai aussi fait avec les moyens dont je disposais. En tout cas, cette première chanson m’incite fortement à continuer car les retours ont été bons et on m’a déjà demandé d’autres chansons (#petite joie intérieure). C’est vraiment gratifiant pour un artiste d’avoir ces soutiens. Car se lancer demande du courage et aussi le fait de pouvoir accepter un éventuel échec. Et là en l’occurrence, j’ai monté ce projet pour plusieurs raisons, et même si j’en tire une grande satisfaction personnelle (et cela aura été ma priorité), je suis contente et soulagée que ma chanson ait été bien accueillie. Dire l’inverse serait mentir.

J’intègre totalement la critique du public dans ma pratique et c’est vraiment un échange réciproque. J’aspire à faire ressentir de l’émotion, mais le public m’en donne également. Donc je tiens à le redire : 1000 fois mercis aux personnes qui me soutiennent et qui ont écouté et partagé ma chanson.

J’ai pu voir que tu bosses avec Steeve Josch pour la vidéo et la photo, comment ça se passe avec lui ?

Cela se passe très bien (#sourire). La collaboration avec Steeve aura été assez évidente. Tout à commencer en 2019 quand j’ai contribué au projet Ulule de Steeve (projet Movies 80/90’s). Suite à ma participation, j’ai eu droit à un shooting photo que j’ai décidé de réaliser l’année dernière. Cela aura été ma première rencontre avec lui. Il est à noter que j’ai toujours été sensible à ses photos que je trouvais très poétiques, et à ce que j’assimile chez lui comme étant son côté « artiste décalé». Lors du shooting il m’a photographié avec ma guitare, en train de jouer, et sans rien dire, il a réalisé une courte captation vidéo. Il me l’a montré et là j’ai tout de suite pensé à mon projet de clip. Au risque de me répéter, je le dis toujours : dans ma tête les connexions se font et quand l’évidence se fait ressentir, je fonce.

J’ai donc proposé à Steeve de réaliser mon clip et il a accepté. J’avais une idée assez précise de ce que je voulais et compte tenu de mon histoire, j’avais besoin d’une sensibilité et d’un regard différent. Je recherchais l’émotion et l’originalité. Et je dois dire que Steeve a répondu à toutes mes attentes.

Ton rapport avec Micheline est particulier, ce n’est pas trop difficile d’en parler ouvertement en vidéo comme ça ?

#sourire. Eh bien au risque de surprendre, je dirais que non. Pas du tout. Je pense que si j’en suis arrivée à réaliser ce projet et donc à partager mon histoire c’est tout simplement que j’étais prête et que j’en avais envie. De façon générale, je suis une femme spontanée, très communicante, j’échange facilement et je n’ai aucune difficulté à parler de moi et de mon vécu. Je considère que chaque expérience nourrie les êtres que nous sommes et sans ces événements de mon enfance, sans mes blessures, je ne serais pas la femme que je suis aujourd’hui. Je pense qu’il est important d’être honnête envers soi-même et d’accepter « ce qui est ». En tout cas pour ma part, je suis en paix avec mon passé et je regarde l’avenir de façon positive.

Cette chanson est très forte symboliquement. Elle constitue un point de départ dans ma pratique musicale personnelle. J’ai également expliqué mon rapport à la musique dans mon interview et j’invite les lecteurs à la regarder pour mieux comprendre ma démarche.

Concernant Micheline, notre histoire est très singulière et je suis ravie qu’elle m’ait cherché sur Facebook 30 ans après. Je ne vais pas revenir sur les faits. Son interview est assez explicite et j’invite les lecteurs à la regarder pour mieux comprendre ce qu’il s’est passé mais surtout à voir la femme exceptionnelle qu’elle est.

Quels sont tes objectifs avec ce projet ?

Avec ce projet je souhaitais avant toute chose entamer un projet d’écriture et de compositions personnelles: 1ère page Youtube sous Marie Ka, 1ère page Facebook. C’est une façon de m’affirmer en tant qu’artiste compositrice interprète. J’ai envie de montrer qui est véritablement Marie Ka, qu’elle est la musique qui la fait vibrer, qu’elle est sa sensibilité, etc. Au quotidien je suis une femme spontanée, entière, « simple » et sensible, et je tends à partager aussi cette partie de moi. Musicalement j’adore la chanson française, j’ai envie de raconter des histoires, de mettre en lumière des personnes qui m’ont touchée. Car pour moi il n’y a pas de hasard dans la vie et je m’enrichis des rencontres. « L’ Autre » m’inspire et m’anime de l’intérieur. Et je souhaite véritablement, à travers mes mots qui sont assez simples, dans un style assez direct, m’adresser « aux cœurs ».

Parallèlement à ce projet, je chante dans un groupe qui s’appelle Train de Nuit. J’ai débuté il y a peu de temps avec mes camarades et ma démarche est différente. J’interprète des reprises et des compositions pop/rock, en anglais et en français, ce qui me permet de développer mes compétences musicales et scéniques. Je débute véritablement et je tends à progresser et m’affirmer dans ma pratique. J’aime le fait de travailler en groupe mais aussi il me parait important de pouvoir réaliser mes chansons. Car il n’y a rien de plus gratifiant que de pouvoir créer un titre par rapport à sa propre sensibilité.

Par ailleurs, avec ce projet je souhaitais également remercier Micheline et nous créer un souvenir que l’on pourrait garder des années durant. Sa participation au clip aura été d’une évidence. Je ne me serais pas vu faire ce clip sans elle. Pour moi c’est un projet qui a du sens, c’est une véritable histoire qui est mise en images et je suis assez fière de pouvoir la porter. J’assume entièrement et je pense que c’était une étape importante dans mon cheminement musical et personnel.

Penses-tu déjà à la suite, d’autres projets ? d’autres histoires de vie à partager ?

Pour la suite j’envisage clairement d’autres compositions personnelles. Je travaille en ce moment sur l’écriture de mes textes, et j’aimerais vraiment faire un EP dans les mois à venir. Dans ma tête les choses sont assez claires. Je sais ce que je veux et je me donnerai les moyens d’y arriver. Après ça prendra le temps que ça prendra. Je suis une passionnée, parfois impulsive mais surtout je suis persévérante et tenace. Et j’ai envie de vous dire, la suite résonne en moi de façon évidente, alors au risque de me répéter : quand c’est évident, je fonce (# sourire).

En tout cas je peux déjà vous dire que la deuxième chanson parlera de mon père que j’ai perdu en 2020. Alors oui on pourrait penser que cette chanson sera triste, mais en vrai, je perçois beaucoup de beauté et de force dans les événements douloureux. Comme ce premier titre « Ne m’en veux pas », qui est vraiment à ressentir de façon positive. Pour moi il s’agit d’une belle histoire et je ne la ressens pas comme un événement triste. C’est vraiment un message au final très positif. Je ne souhaitais pas tomber dans le pathos. J’en parle vraiment avec le sourire aux lèvres et la joie au cœur.

Une ou un artiste strasbourgeois ou alsacien avec qui aimerais travailler ?

Alors cette question n’est pas évidente. Je connais un certain nombre de musiciens et artistes alsaciens, que j’ai rencontré, ou simplement à travers leur création et leur musique. Ce qui est chouette est de voir la diversité des pratiques et des parcours. A titre personnel, je suis très éclectique et je peux aussi bien aimer en musique du rap, du rock, de la chanson française, du jazz que de la musique classique.

Cela est difficile à expliquer mais j’ai besoin de ressentir les personnes. C’est avant tout une rencontre, un échange « sain » avec un bon état d’esprit et du respect mutuel, qui décidera d’une collaboration. Un peu comme dans le cadre de mon travail, je vais tacher de ressentir ce que l’on pourrait s’apporter mutuellement et je vais faire des liens. Et je pense que je pourrais surprendre.

Par exemple, je pense naturellement au fils d’une amie : le rappeur Nebbiu. Je pense que j’apprécierais de poser ma voix sur ses textes. Ça reste comme ça un exemple qui me vient en tête et qui me fait dire que je ne me mets aucune limite de style.

Autre exemple : j’ai pu rencontrer le chanteur du groupe Ernest. J’ai également pu voir le groupe en concert, et je dois dire que j’ai beaucoup aimé. Bien sûr il y a le niveau technique mais moi je ne m’arrête pas à ça. Je ressens surtout que le chanteur interprète ses titres avec beaucoup de profondeur et je suis sensible à l’intensité dégagé.

Merci Marie Ka pour cet échange, bonne chance pour tes prochains projets musicaux, et à bientôt !

Pour Octobre rose, soutenez La Strasbourgeoise en offrant vos soutiens-gorge usagés !

Chers tous, comme vous le savez sans doute déjà, du 1er au 31 octobre, chaque année, c’est le mois d’Octobre rose.

La Strasbourgeoise a besoin de vous !

Jusqu’au 30 octobre, cette boite sera déposée Place à la Vie au cœur de Place Des Halles Strasbourg.

Cette boite sert à récolter des demi soutiens-gorge avec des petits mots qui permettront de créer une future œuvre d’art.

Cette œuvre d’art sera en vente l’année prochaine lors de Octobre rose 2022 et tous les bénéfices iront à l’association la Strasbourgeoise pour la lutte contre le cancer du sein.

Alors, n’hésitez plus ! Si vous êtes de passage à Place des Halles, faites le tri et venez déposer vos vieux soutiens gorge !

Et si vous en plus vous pouviez relayer l’information, ce serait vraiment super sympa ! 😉

Portrait Kapoué n°50 : Marina sort sa caméra, youtubeuse gourmande

Marina, qu’est ce qui te fait lever le matin ?
L’impatience de démarrer la journée, de vivre 1 000 expériences, et d’être ultra productive. J’ai toujours le cerveau qui turbine.

Le héros (réel ou fiction) auquel tu aimerais ressembler ?
Je ne sais pas s’il existe, mais j’aimerai être le « héros » qui apporte bienveillance et confiance en soi à toutes les personnes qu’il croise, à la force de son sourire et de son regard.

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?
Rien d’extraordinaire, mais dès mon entrée au collège, j’ai toujours voulu faire professeure d’EPS. Ces hommes et ces femmes en jogging toute la journée qui nous faisaient vivre de nouvelles expériences, le corps en mouvement, j’ai trouvé ça beau. Bon, comme tout rêve d’enfant, j’ai déchanté plus tard, en voyant quels étaient réellement les tenants et les aboutissants.
Toujours est-il que je le suis, et ce que j’apprécie à l’heure actuelle dans mon métier c’est les challenges dans la relation prof – groupe classe. Réussir à cerner chaque individualité mais aussi la dynamique du groupe, mon seul objectif est de leur donner confiance pour qu’ils se libèrent et acceptent d’ouvrir le champ des possibles.

Comment (et où) te vois-tu dans 20 ans ?
Je me vois apporter un maximum d’ondes et d’émotions positives, mais cette fois ci auprès d’une plus grande audience : YouTube, théâtre, TV, cinéma ?

Ton film ou série TV culte ?
Je regarde tellement mais tellement peu de films et encore moins de séries. Des films qui m’ont marqué, impacté, à l’époque où j’en regardai, je citerai Narnia, Harry Potter, et les Orphelins Baudelaire, pour leur capacité à te démontrer que tout est possible, que seule ton imagination est limitante.

Ce que tu détestes par-dessus tout ?
La question est large, dans quel domaine ? En général je dirai l’injustice.

Ta meilleure blague du moment ?
Le covid19 ? 20, 21, 22 ? je ne sais pas.

Maintenant, parle-nous un peu plus de toi : pourquoi avoir lancé ta chaine YouTube « Marina sort sa camera » ?
C’était fin 2017, j’étais en 1ère année de master en fac de sport à Metz, je traînais toujours avec un même mec. Et c’est lui en fait qui m’a dit : « il faut que tu fasses une chaîne YouTube, t’as vraiment une personnalité à part entière, les gens vont accrocher ». De fil en aiguille l’idée a mûrit dans ma tête, et comme j’avais une passion pour l’alimentation et le sport : hoplà j’ai créé « Marina foodporn & diététique »
Depuis de l’eau a coulé sous les ponts, je suis passée par pleins de phases et j’ai renommé la chaîne en « Marina sort sa camera » pour me libérer de tout carcan.

Quelles sont les ambitions de cette chaine ?
Cette chaîne a l’ambition de s’adresser à la France entière, en leur faisant passé un agréable moment.

As-tu beaucoup d’échanges avec ta communauté ?
De l’adolescent au papy, bien que ma manière d’être attire davantage les 25-50 ans. Je pense qu’inconsciemment c’est eux que je veux toucher, les adultes sensibles au subtil, à l’absurde mais aussi à la profondeur.
Alors oui énormément d’échanges, sur Instagram, Facebook et YouTube c’est quotidien, sans exception. Mais c’est ça qu’est bon.

 

Tu as un coté décalé dans tes vidéos, pourquoi ce ton ?
Pourquoi être soi-même, c’est ça la question ? Non, sérieusement, je pense que ce côté décalé me sert à faire passer un message. Prendre du recul sur les choses qui existent et qui arrivent, en d’autres termes détendre son string. De toute manière tout est question de perception, donc vivons notre meilleure réalité.

Te considères-tu comme quelqu’un de connectée ? Si oui, sur quels réseaux peut-on te suivre ?
Beaucoup trop malheureusement. Instagram majoritairement, sinon Facebook et bien entendu YouTube.

Parlons un peu de Strasbourg : d’après toi, que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ?
Des MOF (meilleurs ouvriers de France) dans tous les métiers de bouche (cuisine, boulangerie, pâtisserie, chocolaterie, …). J’exagère peut-être, mais c’est mon Strasbourg idéal.

Si tu étais un quartier de Strasbourg, tu serais lequel ?
Un mélange entre la Krutenau et de la Petite France, cool décontractée mais fière de notre patrimoine.

Ton restaurant (ou bar) strasbourgeois préféré ?
Le labo food, ils sont dans le futur. Faut voir leur énergie et la quantité d’efforts qu’ils investissent pour nous proposer une offre qui sort des sentiers battus.

Une autre ville préférée en Alsace, si oui laquelle ?
Obernai, une sérénité sans pareille, et une âme remplie de chaleur.

Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais maire de Strasbourg ?
Je remettrai des parkings gratuits !

Ta marque alsacienne préférée ?
Il y a beaucoup d’entreprises sympas. J’aime la démarche de Bio Ethic, j’ai rencontré les fondateurs, c’est une histoire de famille, c’est fait avec le cœur et un maximum de sincérité. + 18 !
En ce moment se développe une autre marque alsacienne, « T’heim » sur le textile, à voir ce qu’ils nous proposent en 100% local … !

En 3 mots, décris-nous ton Strasbourg ?
Eclectique, dynamique et douillet.

Merci Marina pour tes réponses ! 

Retrouvez MARINA SORT SA CAMERA sur Instagram, Facebook et YouTube !

Invitée Kapoué n°71: Laurine Defrance, comédienne strasbourgeoise en train de lancer son ONE WOMAN SHOW

MAIS QUI EST DONC CETTE DONZELLE ?

Moi c’est Laurine Defrance Lehmann, jeune femme de caractère, comme le bon vin ou le bon fromage, mais sans l’odeur. Et ça tombe bien j’adore les deux !

J’évolue actuellement dans le milieu du spectacle à Strasbourg, en tant que comédienne et assistante metteur en scène (notamment pour la Compagnie Hors Sujet), improvisatrice au sein de LA LOLITA, et professeur de théâtre ; principalement en dehors des tempêtes covidiennes, mais je m’accroche malgré les vents contraires !

Depuis un an et demi, une petite flamme me brûle de l’intérieur et s’accroît de jours en jours, le désir de me lancer dans l’humour !J’ai donc entrepris l’écriture de mon one woman show, et s’il y a bien un bon point que je peux accorder à cette année de quasi-sommeil que nous a imposé cette pandémie, c’est que j’ai bien avancé !
Ecriture, correction, réécriture avec la collaboration de personnes extérieures : j’ai désormais une quarantaine de minutes solides à présenter à un public, et je continue de nourrir ce travail en commençant celui de l’interprétation pour arriver à une bonne heure de spectacle.

Bien décidée à tester ma capacité à faire rire, mais aussi à émouvoir, j’avais l’intention de tester mon entrée dans le milieu du stand-up cet automne, par le biais des scènes ouvertes et des comedy clubs. Mais patatras, horreur et putréfaction, reconfinement oblige, tout est tombé à l’eau.
Pourtant toujours animée par ce feu intérieur, plutôt que de laisser la combustion spontanée m’emporter dans la tombe, j’ai tenté de rebondir.

MON ACTU :

C’est par cette envie de me réinventer encore compte tenu des circonstances, mais également de tester mon humour, et pouvoir m’exprimer pleinement que je me suis lancé dans l’écriture de chroniques humoristiques. Plutôt incisives, j’y exprime avec mon amie l’ironie, mon regard sur l’actualité, la politique, les questions et travers de notre société.

Vous pouvez les retrouver sur mon compte Instagram : @uto.peace (https://www.instagram.com/uto.peace/?hl=fr)

MON PROJET ET COMMENT VOUS POUVEZ M’AIDER A LE REALISER :

Le reconfinement m’a permis d’avoir du temps pour pouvoir travailler sur un projet d’auto-financement afin de pouvoir à la fois me produire sur scène lorsque cela sera à nouveau possible, mais également de continuer à alimenter les réseaux sociaux avec du matériel de qualité (c’est sympa de faire tenir son téléphone en équilibre sur une pile de livres, mais en plus quand on se rend compte que le micro de son cellulaire enregistre tous les bruits environnants de la pièce… On a envie de pouvoir investir techniquement !). D’autant plus que, force d’idées se bousculant sans cesse dans ma tête, j’ai l’envie de pouvoir me lancer dans des podcasts.

Ainsi, j’ai lancé le 27/11/2020 mon crowdfunding afin de réunir des fonds pour concrétiser mon one woman show sur scène, payer des artistes ou techniciens associés (graphiste, régisseur, photographe, vidéaste…) et du matériel.

Vous pouvez retrouver tout le détail de mon projet, les explications du budget nécessaire, sur la page de mon financement participatif :

https://www.leetchi.com/c/laurine-defrance-lehmann

Vous pourrez également y retrouver une courte vidéo explicative, si vous préférez m’écouter :

 

Mon financement participatif a plutôt bien démarré grâce au soutien de mon entourage, maintenant c’est vous qui pouvez m’aider à le faire avancer !
Si mon projet vous intéresse, que ce que je fais vous semble pertinent, si vous avez envie de me permettre d’évoluer, de pouvoir vous en offrir plus, n’hésitez pas vous aussi à faire un don (en plus vous pouvez obtenir des contreparties symboliques !)

Sachez qu’il n’y a pas de somme inutile, et que même si vous avez peu de moyens c’est l’addition des petites sommes qui peut permettre d’atteindre celle espérée. Demandez à Picsou de vous raconter l’histoire de son sou fétiche, c’est lui qui m’a aider à préparer ce projet de financements, par contre il est trop radin pour y contribuer, donc n’hésitez pas à venir lui donner une leçon de morale par le biais d’un don !

Bien entendu je n’oblige personne à donner, et vous pouvez également partager le lien de cette cagnotte autour de vous, cet article, une de mes vidéos sur Instagram

Et si tu n’en as pas envie ou que tu t’en tamponnes le coquillard ben c’est pas grave tu peux aussi ne rien faire du tout, et je ne ferais pas de vodou sur une poupée à ton effigie pour te maudire sur 7 générations !

En attendant merci pour votre attention !

Invitée Kapoué n°70 : Les Petits Bonheurs de Margot, savonnerie cosmétique artisanale à Strasbourg

« Les petits bonheurs de Margot » c’est le rêve devenu réalité et la promesse de proposer des produits cosmétiques de haute qualité, Made in Strasbourg ! La marque a obtenu la mention Slow Cosmétique®.

Votre savonnerie cosmétique artisanale à Strasbourg :
La méthode de saponification à froid (SAF) utilisée par Margot pour confectionner ses savons, leur confère des propriétés hydratantes grâce à la glycérine formée naturellement pendant la réaction :

  • savons doux pour la peau
  • préservation du film hydrolipidique de la peau
  • ne dessèche pas la peau.

Composés d’huiles végétales issues de l’agriculture biologique et de cire d’abeille locale et biologique, les produits « Les petits bonheurs
de Margot
» ne contiennent que des ingrédients à haute qualité garantie. Ils sont faits-mains, respectueux de l’environnement et non testés sur les animaux. Installé dans le sous-sol de sa maison, le laboratoire répond aux bonnes pratiques de fabrication. C’est là que Margot concocte ses « petits bonheurs » (et quelle bonne odeur lorsqu’on le visite !)
Concernant les ingrédients utilisés, la priorité est donnée aux matières premières locales et aux matières bio. La cire d’abeille vient d’Alsace et la lavande est cultivée et distillée au pied du mont Ventoux.
Les huiles végétales utilisées sont choisies en fonction de leurs vertus.

Qui est Margot qui distille « ses petits bonheurs » ?
Diplômée de chimie, ancienne Cheffe de service laboratoire de chimie et Responsable qualité, Margot est d’abord une professionnelle dans son domaine. Margot est aussi intervenante au sein de l’AFA (Association
Francophone d’Apithérapie
)
Passionnée par les huiles essentielles et la cosmétologie, elle s’est aussi
formée en aromathérapie et en cosmétologie naturelle et biologique .

Comment est née l’aventure « Les petits bonheurs de Margot » ?
Suite à ses propres problèmes de peau dont elle ne parvient pas à se défaire, Margot décide de fabriquer elle-même ses propres savons. Elle réussit à trouver la formule adaptée pour rendre la peau douce et hydratée. Fini alors les problèmes de peau sèche et d’inconfort. Un vrai bonheur !
En 2018, Margot crée sa savonnerie “ Les petits bonheurs de Margot ”. Le savon SURGRAS à la cire d’abeille est né ! La gamme des produits s’est élargie.
Depuis la réalisation de son premier savon surgras, Margot a développé toute une gamme de produits pour le corps et la maison.

Les produits cosmétiques sont adaptés à toute la famille et à tous les types de peaux, même les plus sensibles (sauf mention contraire pour les cosmétiques aux huiles essentielles)

Les produits phares sont :
Pour le corps :

  • Les savons surgrasLe classique de Margot
    (avec ou sans huile essentielle).
    Le saviez- vous ?
    La cire d’abeille a des propriétés: Cicatrisantes Hydratantes Adoucissantes Nourrissantes Protectrices.
    La cire forme un film imperméable sur la peau qui la protège des agressions extérieures et du dessèchement.
    Même les peaux grasses peuvent en bénéficier car la cire d’abeille n’obstrue pas les pores de la peau.
    Elle fonctionne comme une deuxième peau et vient renforcer la barrière protectrice naturelle de la peau.
    De plus, utiliser la cire des abeilles n’est pas délétère pour elles car l’action de récolte de cette cire permet le nettoyage des ruches
    .
  • Les savons douches – Le savon liquide haut de gamme pour le corps et le visage, sans tensio-actif et rechargeable ! (avec ou sans huile essentielle).
  • Les savons mains – Le « pousse – pousse » rechargeable, pour des mains douces et protégées.
  • Le shampooing solide à l’huile de babassu. – Mousseux à souhait et tout doux pour toute la famille.
  • Pour la maison :
  • Le multi-usages
  • La lessive
  • Le savon solide vaisselle
    Tous ces produits sont fabriqués avec des huiles végétales et des huiles essentielles BIO, sans tensio-actif, sans conservateur, sans additif chimique. De par la nature des huiles végétales utilisées, ils
    sont biodégradables .
  • Où trouver tous ces « petits bonheurs » :
  • En ligne, sur le site www.lpbdm-savonnerie.fr
  • En boutique : Voir la liste des revendeurs
  • Pensez aux cadeaux !
  • Margot est train de concocter de jolies surprises pour Noël
    (connectez-vous à ses réseaux sociaux pour suivre ses annonces)
    En attendant, on vous livre ici un aperçu d’un cadeau original : le
    savon personnalisé.
    (cadeaux d’anniversaire, de Noël, mariage, baptême, entreprise..)
  • Margot Valera
    Tél : 06 18 68 62 88
    Mail : contact@lpbdm-savonnerie.fr

Invitée Kapoué n°66: Johanna Kaufmann, pour son livre « Déjeuner chez Jojo »

DÉJEUNER CHEZ JOJO : RÉCITS, RECETTES ET ASTUCES DE CUISINE

Mes recettes, je les ai servies dans des livres, dans des librairies, dans mon appartement, dans un salon de coiffure, dans des restaurants, dans des cafés, dans des centres d’art, dans des châteaux, dans des foires, dans une ex-supérette, dans des parkings, dans des jardins, dans des cours, sous les rames du métro, dans la cuisine d’un relais maternel, dans le couloir d’une fac, à ciel ouvert, sur internet, sous une tente ou par-dessus une couette.

Simples, gourmandes et coquettes, les voilà ravies de venir s’acoquiner à vos déjeuners, apéros, brunchs, buffets, dinettes, desserts, goûters, piques-niques et plateaux télé ; parées à inspirer votre cuisine pour un, pour deux, pour une fine équipe ou pour un régiment.

L’intention éditoriale

Je cuisine comme j’écris, et mes recettes me sortent des mains et de la tête, ni guindées ni figées, nourries de ma sensibilité́ d’auteure méditerranéo-alsacienne et de cantinière tantôt sédentaire tantôt nomade. Autodidacte et ravie de l’être, j’appréhende l’assiette comme un support expérimental et émotionnel. J’œuvre dans la perspective de libérer le désir, et j’ose le faire sans complexe et sans pesanteur. Pas franchement encline à la sacralisation (d’un produit, d’une technique, d’une saison), si je balise le terrain de certaines lignes à suivre, je n’éprouve ni scrupule ni obligation à m’en détacher. Voilà pourquoi, au-delà de son aspect donneur de recettes, «Déjeuner chez Jojo» cherche avant tout à témoigner de la façon – à la fois simple et peaufinée – dont je procède, et à offrir la possibilité de s’en émouvoir ou de s’en inspirer.

Le contenu du livre « Déjeuner chez Jojo »

«Déjeuner chez Jojo» propose tout d’abord une série de mini-récits d’humeur et d’expérience culinaires qui font écho à mon parcours d’auteure-photographe et créatrice culinaire, parfois aussi conceptrice-rédactrice, restauratrice ou cantinière, et qui reflètent ma façon de réfléchir, de mettre en œuvre, de présenter et de transmettre ma cuisine. Et pour passer de la théorie à la pratique, l’ouvrage se poursuit ensuite avec une avalanche de 85 recettes simples gourmandes et coquettes, qui se cuisinent en solo ou en collectif, à l’avance ou à l’arrache, avec mobile ou sans préméditation.

Côté salé, on va par exemple du « Bibeleskäs au gingembre, à l’ail et au citron vert » à la « Pizza tomate-moutarde au boudin blanc » en passant par la « Salade de riz jaune et noir aux épinards » et les « Chaussons au munster et aux pommes ». Côté sucré, on papillonne entres autres entre « Cheesecake mirabelles, noix de pécan et basilic », « Escargots à la frangipane chocolatée » et « Tarte citron, grenade et meringuettes ».

Comment se le procurer ?

En circuit-court, « Déjeuner chez Jojo » est commandable depuis le 1er octobre sur le site des Editions Mediapop. Dans la mesure où il ne sera imprimé que courant octobre 2020, il sera envoyé dès début novembre (les frais de port sont offerts et il est possible de demander une dédicace). En librairie, la mise en rayon est programmée le 20 novembre 2020.

Interview du compte Instagram consacré aux Portes de Strasbourg !

Bonjour, « Portes de Strasbourg », peux-tu te présenter et nous expliquer le concept de ton compte Instagram ?
Bonjour ! Je préfère rester anonyme, car les portes sont plus importantes que ma personne sur ce projet ! Mais ceux qui cherchent vraiment pourront me retrouver ! (En avant mes petits Sherlock 🤓). Je suis souvent en déplacement à travers notre magnifique ville de Strasbourg et je m’amuse à prendre en photo les portes de chez vous/nous sans jamais en divulguer leurs locations ! J’essaie de capturer la beauté et les émotions qu’elles m’évoquent (détails, couleurs, matières, géométries etc.). Cela peut se retranscrire à travers une citation, parfois mes réflexions ou anecdotes.

Pourquoi les portes ??
Beaucoup de personnes font attention à l’architecture d’un bâtiment, mais peu notifient la porte. Elle est pourtant le point de passage entre l’extérieur et l’intérieur. La porte dégage une énergie, une poésie qui reflètent une idée architecturale parfois cohérente avec l’ensemble du bâtiment parfois singulière. Elle est donc chargée d’histoire ! Beaucoup de gens passent les portes sans y prêter attention. Il est normal que de marcher tous les jours à travers des entrées à la fin on y prête moins attention. J’essaie de mettre en perspective à travers mon regard des éléments presque oubliés du quotidien.

Et surtout, pourquoi Strasbourg ? As-tu un attachement particulier à cette ville ?
Strasbourg ?! C’est beaucoup plus pratique quand on vit sur place ! 😆. J’ai la chance d’être quasi-quotidiennement dans les rues de la ville. J’essaie constamment d’avoir un regard neuf et de montrer la beauté de la ville avec un regard simple et naïf. Nous sommes tous d’accord pour dire que Strasbourg a un charme unique. Les pierres en grès rose aux tonalités chaudes ; son architecture médiévale aux bâtiments à la géométrie courbée ; l’encerclement par la rivière de l’Ill qui amène au Rhin etc. Tous ces détails et plus encore amènent un caractère et une beauté exceptionnelle à la ville de Strasbourg.

As-tu trouvé des pépites ? Des magnifiques portes que personne ne connait ?
Je ne vais pas dire que personne ne connaît, mais il est vrai que certaines sont moins connues que les portes frontales de la cathédrale ! Il est difficile de choisir, chaque porte a une énergie et une mise en contexte. Au moment où je prends la photo les conditions peuvent varier (de jour ou de nuit, la météo, l’inclinaison du soleil etc.).

En voici quelques-unes et je suis sympa, je vous donne les locations :

– Une des portes du Palais Rohan, Strasbourg. Libre d’accès aux horaires d’ouverture dans la cour au bout à droite.

– Voici une porte d’entrée vue de l’intérieur au 10 rue du Travail, Strasbourg. Une propriétaire m’a donné l’autorisation pour prendre cette magnifique photo ! Le soleil du matin donné sur les vitraux à l’extérieur. C’est ce qui donne ces tonalités chaudes et de belles couleurs. Petite anecdote, la dame en question m’a expliqué qu’il existait 4 portes de ce type dans tout Strasbourg.

– Une petite exclusivité à venir ! 1 rue des Aveugles, Strasbourg. J’ai eu l’autorisation de faire cette photographie après avoir demandé à un habitant. Je trouve que la géométrie, le contraste et l’harmonie des couleurs sont « punchy » !

Pour trouver des portes, fais-tu aussi de l’URBEX ?
C’est la première étape ! Je flâne, explore les rues de Strasbourg pour m’y perdre et découvrir des trésors architecturaux ! Je capture ensuite le moment pour présenter mes trouvailles aux habitants ou curieux. Je partage mes sentiments et la poésie que je ressens.

As-tu des soucis de droit à l’image ? (Car tu prends des photos de propriétés privées parfois ?)
C’est une excellente question en effet. La Loi du 7 juillet 2016 relative à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine dit en son article 1er que : « la création artistique est libre ». Mais cette liberté, comme toutes les libertés, n’est pas sans limite ! Elle ne peut s’exprimer qu’à condition de ne pas porter atteinte aux droits d’autrui. Une des jurisprudences postule que la prise de vue de la propriété par un tiers est possible à condition de ne pas causer un trouble anormal au propriétaire du bien. Je demande toujours l’accès à l’intérieur d’une cour ou d’un bâtiment. Évidemment, je ne porte jamais atteinte à la vie privée. Je ne divulgue pas de noms sur les sonnettes etc. Le plus souvent j’explique ma démarche artistique et demande si besoin une autorisation à l’habitant. Les gens ont jusqu’ici toujours été bienveillants et m’ont ouvert avec plaisir les portes de chez eux. Et pour ça je les en remercie ! 🙏❤️

Vas-tu décliner ton concept dans d’autres villes ou dans la région Alsace ?
Ce serait un rêve si je pouvais voyager et donner des détails, des histoires architecturales ou anecdotes derrière chaque porte ! Dans mes stories sur Instagram, je poste déjà des portes prisent durant mes voyages ! C’est un début et on sent des différences culturelles en fonction des villes, régions et pays. Ce que j’aimerais le plus, c’est de pouvoir photographier des portes insolites sur Strasbourg. Je pense à certaines au niveau de la cathédrale par exemple. Ou encore des portes difficiles/impossibles d’accès au public !

Je trouve que ta démarche peut se rapprocher de celle de SUPACAT, que penses tu de ce compte insta ?
Nous sommes tous dans le fond des amoureux de la ville. Notre relation avec Strasbourg nous inspire et se ressent dans notre création/art. J’adore le Street-art ! Ayant les yeux grands ouverts, c’est vrai que nos démarches sont très proches, j’ai presque envie de dire complémentaires. Je pense également au compte : « Les murs ont des oreilles » qui fait également un merveilleux travail de collage.

As-tu des objectifs avec ce compte ou tu le fais uniquement pour le fun ?
Le fun est essentiel ! Je prends évidemment plaisir à explorer et découvrir. Avoir ce regard enfantin, émerveillé. Mon premier objectif est de rappeler aux habitants de la ville à quel point leurs portes, peuvent être belles et envoûtantes. J’essaie ensuite de donner l’envie au plus grand nombre de venir visiter, d’explorer et de voir la poésie de la ville à travers des éléments du quotidien.

Des projets pour les prochains mois ? Peut être une exposition de tes photos ? Une collaboration avec un autre artiste ?
Continuer à explorer, à trouver des beautés cachées. Également mettre en avant les portes du quotidien qui semblent simples, moins typiques, mais qui ont le mérite d’exister. J’aimerais dans un futur proche, obtenir des autorisations/invitations pour photographier des portes rares et secrètes ! (Directrices/directeurs/propriétaires etc. Je suis ouvert aux propositions ! 😍). Je n’ai pas encore prévu de faire une exposition, mais c’est une superbe idée !

Si tu devais donner 2 comptes Instagram strasbourgeois à suivre… Ça serait lesquels ?
Ahhhh c’est hyper difficile ! Il y en a énormément ! Des univers et richesses tellement variables qu’en sélectionner uniquement 2 m’est impossible ! On ressent une influence de la ville chez énormément de créateurs de contenus. Je vais donner des comptes qui mettent en avant uniquement la ville mais j’adorerai évidemment en mettre plus ! Le compte de l’office de tourisme de Strasbourg qui partage des informations pratiques : https://instagram.com/strasbourgtourisme. Un grand classique de la ville qui partage le contenu des habitants et amoureux de Strasbourg : https://instagram.com/strasbourg_eurometropole

Merci pour tes réponses, à bientôt sur Instagram alors !
Merci à toi, plein de bisous à tous ! 😘❤️

Retrouvez sur Insta toutes les photos du compte Portes de Strasbourg

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