Interview de Marynn, la nouvelle star alsacienne de TikTok !

Présente toi Marynn, tu viens d’où, tu fais quoi dans la vie ?
Je viens de Strasbourg, je suis vendeuse au Super U à Lingolsheim depuis plus de 2 ans et hôtesse de caisse pendant le Covid19.

Je t’ai découverte, comme beaucoup de personnes, sur Tiktok, comment as-tu démarré sur ce réseau social ?
Quand j’ai accouché le 16 octobre 2019, deux mois plus tard, ma chef de caisse, est passée voir ma fille. Elle est venue avec sa fille qui adorait faire des TikTok. Elle m’a dit : « Viens Marynn, on fait un TikTok…! » et je lui ai répondu : « Mais, c’est quoi ça TikTok ?! » Elle m’a donc fait découvrir en mettant une musique et en faisant une petite chorégraphie. J’ai trouvé ça rigolo puis j’ai continué pour m’occuper quand ma fille était à la sieste vu que j’étais encore en congés maternité. Ensuite, mon entourage, ainsi que ma maman, m’ont dit : tu es faite pour la comédie, filme-toi en faisant des sketchs ! Je me suis donc lancé à imiter les clients, ça a plu, les abonnés ont commencé à monter… Cela me fait chaud au cœur car je ne pensais pas que ça allait arriver jusque-là ! Une amie (Laeticia) m’a beaucoup partagé sur les réseaux également.

Depuis le confinement puis le déconfinement, tu cartonnes sur TikTok, comment explique-tu ce succès ?
Je cartonne sur TikTok comme vous dites parce que les gens se reconnaissent dans mes vidéos. Je suis une personne très simple qui part de rien, ça plaît à pas mal de personnes surtout les hôtesses de caisse se reconnaissent dans mes sketchs (les clients aussi, les Alsaciens, tout simplement !).  Avec la nouvelle génération, on perd aussi cet accent et les personnages alsaciens que j’adore imiter. Je fais aussi des sketchs avec mon papa sur TikTok : on imite un peu de tout en restant simples car on est simples, et des fois même, on imite personne ! Le confinement a chamboulé tout le monde donc la caméra est posée sur moi et je n’ai pas besoin de réfléchir, je suis complètement habitée haha ! 😉

Dans tes vidéos, tu te moques mal de l’accent alsacien, as-tu déjà eu des remarques à ce sujet ?
J’ai un cœur énorme, je ne me moque de personne, c’est très affectueux, je suis moi-même alsacienne et fière de l’Alsace : je suis le phénomène alsacien ! Je n’ai jamais eu de mauvaise remarque, ni de mauvais commentaires, les gens le ressentent que c’est affectueux. J’ai aussi l’accent alsacien mais pas autant que sur mes vidéos. Et puis j’accepte les mauvais commentaires cela ne vas pas m’empêcher de dormir la nuit…

Tu affiches clairement dans tes vidéos ton métier et où tu bosses… Qu’en-penses ton employeur ?
J’ai plus de 60 000 abonnés et 800 tous les jours…  Je pense que mon employeur est content que je fasse de la pub pour son magasin ! Cela lui est arrivé de rigoler aussi sur certaines de mes vidéos, il ne m’a jamais rien dit à part de ne pas faire de vidéos dans les locaux et que les vidéos sur le Super U doivent être positives évidement, c’est normal. Après, je fais aussi des imitations clients et je ne mets pas le gilet Super U car pour moi j’ai tout à fait le droit d’imiter qui je veux sur mes sketchs sans dicter personne et ni le Super U. En tout cas, je suis fière de travailler au Super U à Lingolsheim, je suis très bien là-bas et épanouie et j’ai une vie bien remplie à côté. Après, il m’arrive de faire des sketchs aussi sur le supermarché Match, ou autres, mon TikTok n’est pas que pour le Super U, c’est pour m’éclater davantage ! Je fais comme je veux en dehors de mon boulot.

Tu ne fais pas que des vidéos Tiktok… Parle nous de ce que tu fais d’autre ?
Effectivement, je suis chanteuse j’ai déjà un premier album qui s’appelle  » je drone  » et mon deuxième album je suis en train de travailler dessus je l’enregistre fin septembre à Genève chez mon producteur avec mon papa car mon papa et associé à mon producteur. Un nouveau clip sera en ligne, tout se trouve sur Youtube : vous tapez « Marynn je drone » et ma page Facebook pour suivre tout ça c’est Marynn.

Te considères-tu comme une « influenceuse » ?
Non, car je ne cours pas après les abonnés ni les likes et les petits mots en privé. Les commentaires de tout le monde me font chaud au cœur. Tiktok, je le fais quand j’ai un peu le temps en allant au travail ou quand ma fille est à la sieste car mon temps, si je ne travaille pas, je le passe avec ma fille et pas sur mon téléphone.

On pourrait presque te comparer à Cyril Schreiner, car tu es du coin et tu joues pas mal sur le côté « alsacien »… Que penses-tu de cet influenceur ?
J’ai mon propre style ma propre personnalité incomparable même s’il y a plusieurs alsaciens sur terre et du coin ! Je ne connaissais pas du tout Cyril Schreiner. Quand une de mes vidéos a fait le buzz, des collègues m’ont dit :  » T‘a vu Marynn, Cyril Schreiner à commenté ta vidéo, regarde ! » et j’ai répondu : » c’est qui !? ». On m’a montré son compte TikTok et j’ai dit : « ah ok, il n’est pas mal connu, ça me fait plaisir ! ». Puis, j’ai regardé ses vidéos, c’était il y a mois ou 2, avant ça je ne le connaissais pas. Cyril Schreiner est sympa, j’ai même fait une vidéo pour lui pour son anniversaire du coup, le 14 mai : un fan à lui m’a demandé et j’ai accepté car on s’est échangé deux trois mots sur Instagram, il m’avait dit qu’il aimait aussi mes vidéos, cela m’a fait plaisir venant de Cyril.

Quels sont très projets dans les mois à venir ? Quel est le message que tu veux faire passer à tes followers ?
Préparation de mon deuxième album et toujours me donner à fond au Super U à Lingolsheim car je ne vis pas de la musique ni de mes sketchs pour le moment haha ! Cela dit, j’aime aussi ma vie comme elle est je ne cherche pas à être une super star ! Je fais ça à côté si ça marche et si ça ne marche pas je suis quand même fière de mes musiques et de mes clips sur le net et de surtout passer du temps avant mon mari et ma fille eux passent avant tout le reste mon bonheur je l’ai déjà. Le message que j’aimerais faire passer à mes followers c’est : vivez pour vous, n’écoutez personne : osez ! Et surtout, restez comme vous êtes; faites ce que vous avez envie. Les vrais amis restent même si vous ne les voyez presque jamais. Profitez de chaque instant, la vie est courte.

Merci pour tes réponses, à bientôt sur Tik Tok et Instagram alors ! 😉

Kapoué test n°178: La Vieille Enseigne, une Winstub de très bon goût à Strasbourg

J’ai eu l’occasion de tester un dimanche midi, ce restaurant alsacien « La Vieille Enseigne » au centre-ville de Strasbourg. Je ne connaissais pas du tout l’endroit mais j’ai eu une très bonne surprise !

La Vieille Enseigne, c’est quoi ?

Cet établissement a été repris il y a quelques mois par Cyril Woberschar et Andrea Passone (La Cantina, In Vino Veritas, Cornichon Masqué). Cette winstub a donc été refaite à ce moment-là (5 mois de travaux): nouvelle décoration et nouvelle carte. Cette carte met à l’honneur la cuisine alsacienne traditionnelle et les producteurs locaux, dans l’assiette comme dans les verres. (Tous les vins sont à minima en Agriculture Biologique ou en Biodynamie certifiée, souvent nature (400 références – 8 000 bouteilles en stock )).

On mange quoi à la Vieille Enseigne ?

Tout d’abord parlons de la décoration : on est ici dans une winstub, mais une winstub moderne ! Tous les éléments de la décoration rappellent l’Alsace mais avec des touches modernes et des matériaux nobles et de qualité : on s’y sent bien… Mention particulière pour la Salle Tomi Ungerer (au fond de l’établissement, privatisable) où vous pouvez vous régaler en admirant les tableaux du maître de l’illustration alsacienne.

Niveau repas, nous étions deux, et nous nous sommes fait plaisir en dégustant à la carte avec les vins correspondants aux plats.

En entrées :

Terrine de foie gras de canard d’Alsace (de la ferme Nonnenmacher au naturel, chutney aux fruits du Baerewecke) , et une salade mixte à l’Alsacienne (cervelas paysan bio et emmental de la Maison Lohro)

En plats :

La bouchée à la reine de la Vieille Enseigne aux truffes (volaille et veau, petits légumes bouillon) et la fameuse choucroute et ses sept garnitures !

Et enfin, en desserts :

Le kougelopf façon pain perdu avec sa compotée de fruits rouges au Pinot Noir, glace vanille et une Douceur Chocolat praliné (suggestion du jour, pas à la carte)…

Vous avez compris qu’on s’est fait plaisir. Peut être même un peu trop, car les quantités étaient assez impressionnantes et tout, absolument tout était très bon ! Bien cuisiné, belles saveurs, de quoi en profiter. Rien à redire, tout était excellent, difficile de trouver un défaut à ce qu’on a mangé…

Nous avons , par contre, pas pu finir nos plats de résistance,voulant garder une place pour le dessert. Notre serveuse nous a proposé le doggy bag que nous avons bien sur accepté ! D’ailleurs, concernant le service : un gros coup de cœur pour notre serveuse qui était top : souriante, disponible, de bon conseil pour les vins… Elle a permis à ce qu’on passe un bon moment et mettait une bonne ambiance décontractée et pro dans toute la salle. Chapeau !

Pour conclure…

Il y a en effet, pas mal de winstubs à Strasbourg, je ne les ai pas toutes testées mais je pense que c’est la meilleure que j’ai pu faire pour le moment. Son coté moderne me plait, ainsi que la qualité des produits et du service. A tester donc si vous ne connaissez pas l’adresse, pour les grandes et petites occasions.

Qu’en pensez-vous ?  Avez-vous envie de tester cette « nouvelle » Vieille Enseigne ? J’attends vos commentaires sous l’article, à bientôt pour un nouveau test.

La Vieille Enseigne
9 rue des Tonneliers
67000 Strasbourg
03 88 75 95 11
Page Facebook

Kapoué test n°177: Hey Mama, restaurant qui mêle Food & Culture !

Il y a quelques jours, j’ai testé (enfin, oui, je sais, je suis à la bourre…) le nouveau restaurant / brunch HEY MAMA, basé rue des Pucelles à Strasbourg. Il était impossible pour moi de ne pas tester cet endroit….

Tout d’abord parce que j’y ai passé 3 ans de ma vie quand j’avais ma boutique (de t-shirts personnalisés nommée « TYPHUS »), j’ai donc un grande nostalgie à chaque fois que je rentre dans ce local. Et puis aussi car j’ai loupé les brunchs HEY MAMA à l’époque où ils le faisaient au Graffalgar. J’avais donc aucune excuse de ne pas y aller !

HEY MAMA Strasbourg, c’est quoi ?

Hey Mama, c’est un restaurant aux saveurs africaines où vous pouvez manger des plats traditionnels revisités par la maîtresse de la cuisine (Sokhna) avec des ingrédients africains ou créoles. Mais ce n’est pas tout, car Hey Mama, c’est aussi un lieu de vie où vous pourrez assister à des concerts, des conférences, des afterworks, des cours de yoga entre autres…

Ils proposent des petits déjeuners, des déjeuners et aussi des brunchs. Tous les plats sont d’ailleurs déclinables en mode végétariens ou végans.

Mon avis sur HEY MAMA :

J’y suis allé un samedi midi vers 13 heures : c’était plein à craquer ! On s’est posé dans une salle à l’arrière et on a profité de la bonne ambiance… Le problème c’est qu’on en a profité un peu trop longtemps… On a été servi qu’au bout de 45 minutes et encore notre commande n’était pas complète (il manquait nos boissons chaudes, que l’on a du réclamer plus tard). Heureusement, on avait bien reçu nos jus de bissap rouge en tout début, cela nous a permis de patienter…

Nous avions pris la formule brunch HEY MAMA à 20 euros et là… Grosse déception au niveau quantité : tout était très bon, mais c’était tout petit ! Pas assez de quantité pour la partie salée pour moi. Cependant, il faut bien avouer que c’était très bon ! Les plats étaient bien présentés et bien assaisonnés et relevés : rien à dire de ce coté.

Petit coup de cœur d’ailleurs pour le « patate douce » cake : à tomber !

Conclusion de ce test de HEY MAMA Strasbourg :

Cuisine jolie, originale et relevée : j’adore ! Mais le service, les quantités et la durée d’attente sont à revoir... La serveuse était pas forcement sympa avec nous, sans doute un peu débordée. Je pense que toute l’équipe est sans doute encore en phase de rodage, cela devrait s’arranger au fil du temps…

Sinon le concept est sympa, une bonne ambiance en découle, je pense que les concerts devraient bien se prêter au lieu. Par contre, attention, beaucoup de restaurants ont tenté leur chance dans ce local sans jamais avoir réussi à s’imposer du fait du faible passable dans la rue (dernier exemple en date : En Voiture Simone).

NB : Aller « profiter » des WC, ils sont décorés de façon colorée par des artistes strasbourgeois.

NB 2: Vous pouvez commander un café avec un message ou un logo imprimé directement sur votre mousse de café, à tester !

Et vous, avez-vous déjà testé le HEY MAMA, si oui, qu’en pensez vous ? J’attends vos commentaires ci-dessous… A bientôt pour un nouveau test !

HEY MAMA STRASBOURG
3, rue des Pucelles
67000 Strasbourg
03 88 59 14 73
Page Facebook

Primark Strasbourg ouvre (enfin) le 8 septembre 2020 !

Primark Strasbourg ouvre le…

Pour les fans de shopping qui me l’ont souvent demandé… Je me permets de vous faire cette petite news concernant le futur Primark Strasbourg :

Primark devait ouvrir le 16 avril 2020 à 10h00 sur les berges du Quai Kellerman de la capitale européenne.

Cette enseigne de « mode » à très bas prix, autant aimée que détractée, ouvrira enfin ses portes après plusieurs mois de travaux.

Il s’agira du 18ème magasin de l’enseigne en France. Ce Primark Strasbourg sera le premier en Alsace et sera sur 4 niveaux pour un total de 5 200m².

Pour faire tourner la boutique, Primark compte recruter 250 personnes en CDI (Il semblerait d’ailleurs que les postes soient déjà pourvus. Cependant, si vous êtes intéressés, vous pouvez surveiller la partie job du site de Primark)

Que pensez-vous de cette ouverture ?

Un soucis (de plus) pour les commerçants du centre-ville de Strasbourg ?

J’attends vos avis dans les commentaires sous cet article.

Mise à jour du 3 Septembre 2020 sur l’ouverture de Primark Strasbourg :

Apres plusieurs reports et fausses informations, Primark Strasbourg ouvrira bien le 8 Septembre 2020 ! Prévoyez du monde et des filles d’attentes aux caisses….

Pour rappel concernant l’enseigne PRIMARK basée à Strasbourg:

Son histoire : Primark est une enseigne de mode irlandaise fondée en 1969 à Dublin sous le nom de Penneys. Appartenant à l’entreprise britannique Associated British Foods, Primark a réussi à s’imposer rapidement sur le marché grâce à sa stratégie de prix très bas. L’entreprise a étendu son réseau en dehors de l’Irlande en 1973 en ouvrant son premier magasin en Grande-Bretagne. Au fil des décennies, Primark a continué son expansion en Europe et aux États-Unis, devenant une chaîne reconnue pour ses articles de mode à faible coût.

Son positionnement : Primark s’est positionnée comme acteur majeur du « fast fashion », proposant des vêtements, des accessoires et des produits de beauté à des prix défiant toute concurrence. L’enseigne cible principalement le segment de marché à la recherche de mode abordable, avec un renouvellement fréquent de ses produits pour suivre les tendances sans engendrer de gros frais pour les consommateurs. Outre le prix, Primark se distingue par ses volumineux espaces de vente, qui offrent une grande variété de produits sous un même toit.

Vide-dressing responsable au centre commercial Place des Halles à Strasbourg

Le recyclage est très à la mode… Alors pourquoi ne pas recycler la mode ?

Le centre commercial Place des Halles à Strasbourg organise (dans les prochains jours) un vide-dressing qui s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire éco-responsable et d’une nouvelle tendance, très prisée des consommateurs.

Ce vide dressing vous permettra d’une part d’offrir une seconde vie à vos vêtements plutôt que de les jeter. Et d’autre part, il vous donnera la possibilité (dans un second temps) d’acquérir des vêtements et accessoires de mode de qualité, en bon état, le tout pour un prix raisonnable.

Cette opération se déroulera en deux phases :

PHASE 1 : LES SAMEDIS 22 ET 29 FÉVRIER 2020.

Ceux qui le désirent pourront venir déposer les vêtements qui les encombrent ou qu’ils ne portent plus. Vous pourrez donc y amener tous types de vêtements, chaussures et accessoires (à l’exception des bijoux) pour femmes, hommes et enfants. Nos hôtesses décideront des articles sélectionnés pour la vente lors de ces deux journées.

Ils seront alors soigneusement sélectionnés et triés.

C’est pour eux, une nouvelle vie qui commence !

PHASE 2 : DU SAMEDI 14 AU SAMEDI 21 MARS 2020.

Le centre accueillera un carré shopping où les vêtements reconditionnés seront ouverts à la vente.

Comme dans une véritable boutique, les vêtements seront exposés et mis en valeur dans ce pop-up store très chic. Les client(e)s disposeront de cabines d’essayage, d’hôtesses de vente et d’un espace dédié au paiement de leurs articles.

A l’issue de la vente, les vendeurs pourront récupérer leurs gains, le 28 mars 2020, sous forme de cartes cadeaux valables dans les enseignes du centre commercial.

Ils pourront également choisir de reprendre leurs invendus ou de faire une bonne action en les offrant à une association.

Quelle que soit l’issue, une nouvelle aventure attend vos vêtements habitués à traîner au fond de vos armoires ! 😉

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à visiter la page suivante : https://www.placedeshalles.com

ou les réseaux sociaux de la Place des Halles Strasbourg :
Page Facebook / événement Facebook
Compte Instagram

MISE A JOUR DU 29 Mai 2020 :

Le Vide Dressing va pouvoir reprendre, avec de nouvelles modalités afin de respecter les mesures sanitaires :

  • Le carré shopping du rez-de-chaussée ainsi que le point de vente à l’étage ouvriront leurs portes du 10 juin 2020 au 18 juillet 2020, tous les mercredis et les samedis de 10h00 à 19h00.
  • Les essayages et les retours seront malheureusement impossibles, et la capacité d’accueil des deux points de vente est limitée pour des raisons de sécurité.
  • Pour chaque pièce vendue, les commerçants de Place des Halles reverseront 1€ à la Fondation des Hôpitaux de France.

Comme prévu initialement, tous les invendus qui ne seront pas récupérés par leurs propriétaires à l’issue de la vente seront donnés à l’association Le Relais Est. Les paiements ne pourront s’effectuer que par carte bancaire.

Invité Kapoué n°60: Katalysart, nouvel espace récréatif à Strasbourg

L’atelier Katalysart nous invite, le temps de 2 heures de déconnexion, à nous plonger dans un bain de créativité effervescente, pour retrouvez le plaisir spontané de jouer avec les couleurs, et nous émerveiller devant nos créations…  quels que soient notre âge et notre expérience. Sa fondatrice, Kathleen Rousset, nous ouvre ses portes et nous présente sa technique-phare.

 À qui sont destinés tes ateliers ?

Katalysart accueille tous les publics de 5 à 105 ans, hommes et femmes, des débutant·e·s aux plus chevronné·e·s. J’ai imaginé l’atelier comme un lieu chaleureux et bienveillant, où tout le monde se retrouve sur un pied d’égalité, en privilégiant des techniques basées sur l’expérimentation ludique, le lâcher-prise… et la surprise.

Tu proposes une technique encore peu connue en France…

Oui : ma technique de prédilection, c’est le « gelli print », un procédé à mi-chemin entre impression et peinture, venu des États-Unis. Les participants l’adoptent très vite car il est accessible à tous, et donne des résultats étonnants dans un temps court, en combinant à merveille le jeu (le hasard jouant une part importante dans le procédé) et le plaisir créatif, avec un effet immersif particulièrement favorable à la détente.

Comment est née l’idée de Katalysart ?

Graphiste à mon compte depuis 2002, j’ai eu la chance de collaborer à des projets passionnants, en travaillant pour des théâtres, des musées, des artisans… Mais au fil des années, avec la dématérialisation de la création numérique, et un contexte économique plus tendu, j’ai eu besoin d’un nouveau souffle dans mon expression artistique, avec le souhait de remettre l’humain au cœur de mes activités.

Le déclic s’est produit en 2016, grâce à ma « rencontre » avec le gelli print sur un blog américain. J’ai immédiatement été fascinée par le potentiel du médium. Et comme je fréquentais à l’époque un fablab local (la CabAnne des Créateurs à Schiltigheim), les choses se sont faites naturellement d’y proposer mes premiers ateliers, avant d’être invitée par des bibliothèques, avec un accueil très enthousiaste. Et de fil en aiguille, j’ai ouvert l’année dernière mon espace à Strasbourg.

Vidéo réalisée par D., 11 ans, lors de sa visite en famille…

 

Tu parlais de jeu et de déconnexion…

Je pense qu’on a particulièrement besoin aujourd’hui de ces bulles de récréation, qui nous permettent de nous retrouver « autrement », avec nous-même ou avec nos proches. On peut pratiquer le yoga, le chant, s’immerger dans un escape game… Chez Katalysart, l’idée c’est de déconnecter, tout en reconnectant avec son potentiel créatif.  C’est ma façon d’œuvrer à mon échelle à plus de bien-être. Et d’inviter à s’offrir des moments partagés plutôt que des choses matérielles : « Collect moments, not things », comme disent les anglais…

Comment fonctionnent tes ateliers ?

Les ateliers « gelli print » fonctionnent à la demande, en semaine et les week-ends. Il suffit de compléter le calendrier en ligne pour renseigner ses disponibilités, et c’est moi qui confirme ensuite les séances entre 3 et 6 participants (me consulter pour des groupes plus grands). J’accueille aussi bien des groupes d’amis, des personnes en solo que des parents avec enfants, en mélangeant volontiers les publics !
Les séances durent 2 heures, dont 1 heure et demi de production effective, ce qui permet de créer une dizaine d’œuvres de format 15 x 15 cm. Tout le matériel et les tabliers sont fournis.

Et les tarifs ?

Les tarifs sont dégressifs : on peut acheter 1 à 5 séances non nominatives, entre 20 et 25 € pour 2 heures, matériel inclus.

Point avantageux : si une personne est convaincue à l’issue de sa première séance, celle-ci pourra être déduite de son abonnement. Des bons cadeaux sont également disponibles.

À noter que Katalysart propose aussi des ateliers en entreprise, et des stages plus poussés pour se lancer dans la création d’œuvres personnalisées, autour de la techniques du transfert et de pochoirs sur mesure…

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à me contacter directement et/ou à vous abonner à ma page Facebook !

Ateliers Katalysart

10, rue des Francs-Bourgeois

Tram Langstross Grand’Rue

06 20 21 13 19 | info@katalys.art

www.katalys.art | Facebook : katalysart

Calendrier des ateliers en ligne ici

Invité Kapoué n°59 : La boutique ALSATRUCS qui propose de l’artisanat 100% local à Strasbourg

Alsatrucs, késako ?!

Alsatrucs est un collectif d’artisans d’art proposant une gamme originale d’objets entièrement créés et réalisés en Alsace. En deux mots, c’est du 100 % made in Alsace, par des alsaciens, pour des alsaciens et amoureux de l’Alsace !

L’idée est de s’inspirer des traditions et symboles de notre belle région pour faire des objets funs et décalés, à la fois utiles et décoratifs. On retrouve donc la belle Cathédrale de Strasbourg (une de nos muses préférées) sur des bouchons en liège, parfaite pour conserver un bon Gewurtz pour le prochain apéro. La Bretzel ? Elle se transforme en dessous de plat en bois, simple, sobre et efficace ! Et pour les touts petits, quoi de mieux qu’une Bretzel à bascule ou des toupies pour jouer pendant que Papa fait un Kougelhopf dans le moule Alsatrucs et que Maman décapsule une IPA locale avec son décapsuleur Cigogne et découpe un saucisson sur une planche maison à colombages ?

Au final, chaque objet reflète une facette de l’identité alsacienne, de manière évidente ou plus subtile, en mettant en avant la créativité et le savoir-faire alsacien.

Nos valeurs :

Le point de départ du projet Alsatrucs était le constat que de nombreux touristes visitent notre région, et Strasbourg en particulier, à la recherche d’une authenticité et d’un artisanat local, quête souvent vaine ou déçue…

En 2012, la frémaa (Fédération des métiers d’art d’Alsace) a initié ce projet collectif, afin de développer une production locale (et aider nos créateurs à vivre de leurs métiers et savoir-faire) et pour que chaque visiteur continue de s’émerveiller sur les richesses de l’Alsace.

À ses débuts, Alsatrucs était principalement présent aux marchés de Noël alsaciens, dans le but de véhiculer une éthique forte : préserver l’âme de ces marchés de Noël en proposant aux visiteurs des produits authentiques et éco-responsables (parce que pour nous la provenance est primordiale !) .

Les créateurs ont alors mobilisé tous leurs savoir-faire pour répondre aux attentes du public : trouver des cadeaux originaux et de qualité, au juste prix, pour faire plaisir et se faire plaisir.

Notre projet : l’ouverture d’une boutique au centre-ville de Strasbourg :

Cet été, nous avons répondu à un appel à projet de la Ville de Strasbourg pour investir l’ancienne Boutique culture située place de la Cathédrale. Cette boutique éphémère changera d’occupant tous les 11 mois et mettra en avant l’artisanat local à travers de nouveaux créateurs.

Une belle occasion de faire connaître la marque Alsatrucs aux strasbourgeois et aux visiteurs de passage ( au pied de la plus belle ! ), et de faire un test grandeur nature pour une boutique 100% Alsatrucs à Strasbourg, et ainsi pérenniser l’activité !

Aidez-nous dans ce projet :

Les investissements pour aménager cette boutique étant assez conséquents, nous avons lancé une campagne de financement participatif sur KissKissBankBank !!

Au programme : un mobilier tout beau tout neuf (modulable pour une éventuelle future autre boutique puisque celle-ci est éphémère), et tout ce qui va avec l’aménagement de la boutique (vitrines, signalétique, éclairage (le casse-tête dans un bâtiment classé patrimoine historique!!), la communication, et de quoi faire vivre nos supers vendeuses Laura et Christine !!

Allez, on vous fait rêver un peu avec un petit croquis de la future boutique telle qu’on l’imagine :

Du coup on a vraiment besoin de vous !!

La collecte à atteint (en ce jour) les 41 %, c’est bien mais on peut faire mieux !!

Plus que 8 jours pour atteindre l’objectif (Deadline le 10 février 2020) sinon on rentre bredouille et chacun récupère ses dons ! Et ce serait vraiment trop dommage, sachant qu’on a déjà récolté presque 2 470 € !

En plus on a préparé des contreparties hyper sympas, pour tous les budgets : avec des produits Alsatrucs personnalisés, des ateliers chez un de nos créateurs, une visite d’atelier avec démonstration chez un autre…

Il te faut encore un petit argument pour passer le cap ?

Donc si vous aimez l’artisanat et l’Alsace, soutenez notre projet avec un petit don et partagez le lien autour de vous !!

De tout cœur merci ! On a hâte de vous accueillir dans notre petit cocon… à partir du 14 février 2020 (pour fêter les amoureux de l’Alsace ! )

Lien de la collecte : https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/alsatrucs-artisanat-local-boutique-strasbourg/preview

Facebook : https://www.facebook.com/alsatrucs67/

Instagram : https://www.instagram.com/alsatrucs/

Event de l’ouverture de la boutique : https://www.facebook.com/events/166296207979406/

Kapoué test n°175: Pola Melting Bowls, les « poké bowls » du bout du monde à Strasbourg

Situé au bout de la Presqu’ile Malraux à Strasbourg, le restaurant Pola Melting Bowls a ouvert ses portes le 28 janvier 2020 ! Fondé par Laetitia Fluckiger et Morad Baadache (propriétaire des resto Sushi’s (Strasbourg, Colmar et Sélestat)), vous proposent dans un cadre industriel et ethnique, un voyage des plus exotiques au cœur de la cuisine hawaïenne et de ses fameux poké bowls !

Le poké bowl, c’est quoi ?

A l’origine, le poké bowl, à prononcer « pokaï » est un plat traditionnel d’Hawaï qui signifie « trancher » ou « couper » et qui désigne également une salade de poissons crus originaires des îles hawaïennes. A mi-chemin entre le maki, le chirachi et la salade, le poké bowl, véritable phénomène healthy, ce plat s’avère la nouvelle passion des « foodies » des quatre coins du monde.

Pola Melting Bowls c’est d’abord la promesse de produits sains, ultra-frais et de qualité. Pour ma part et comme vous le voyez sur les photos, j’ai pu découvrir l’endroit que pendant son inauguration. J’ai testé les plats et en effet, j’ai adoré : c’est frais, fin et les recettes sont parfois surprenantes. Je n’ai pas pu voir à quoi ressemble la taille des bowls qui seront vendus mais cela semble très correct !

A savoir que les recettes sont élaborées par un chef étoilé par le Guide Michelin : Laurent Huguet, ce qui est un gage de qualité !

Pola Melting Bowls c’est donc un lieu qui se veut unique à Strasbourg où tout est fait pour se sentir comme à la maison : chaises suspendues, mur végétal, ambiance cosy, prises USB… Les jours de soleil, ils prévoient une terrasse avec du sable qui vous permettra d’apprécier la vue depuis votre transat sur le quartier de Neudorf en pleine ébullition !

A vous de tester ! Dites-moi dans les commentaires ci-dessous ce que je vous en pensez ? Et si vous êtes motivés pour tester cette endroit la première semaine de février, je vous réserve une surprise sur mon compte Instagram…

NB: Les plats sont disponibles en commande à domicile avec Deliveroo.

Pola Melting Bowls
1 rue Alice Guy
67100 Strasbourg
Tour Red Sky I
Presqu’ile André Malraux
Tramway – Winston Churchill
03 67 34 63 46
Ouvert 7 jours sur 7.

Interview de Jean-Yves pour son projet « 16 x Strasbourg »

Bonjour Jean-Yves, je viens de découvrir ton projet un peu fou sur la ville de Strasbourg et ses homonymes, peux-tu nous expliquer un peu l’origine de ce projet ?

16 x Strasbourg (16 fois Strasbourg) est né du hasard et de la curiosité. En 2016, j’étais en formation en photographie à La Chambre et à la recherche d’un sujet d’exposition, et j’ai remarqué la ville de Strasburg, Colorado sur une carte en préparant un voyage qui n’avait rien à voir. Je me suis dit que j’avais envie de voir à quoi ça ressemblait et que ça pourrait intéresser d’autres gens. J’ai donc passé 4 jours sur place à arpenter la ville et à rencontrer ses habitants, et assez vite je me suis dit que c’était une expérience assez fascinante pour en faire un projet plus vaste, qu’il y avait une communauté de lieux et de personnes liées par ce nom de Strasbourg et ses variantes à documenter. Dans le musée de cette première commune, il y avait d’ailleurs un vieil article de journal qui parlait d’autres villes de Strasb(o)urg.

Sous combien de temps vas-tu relever ce défi ?

J’espère avoir visité les 16 villes d’ici 2022 et préparer un livre photo pour 2023. J’en suis à 10 (en comptant notre lieu de résidence !). J’ai un travail à plein temps par ailleurs, donc cela dépend beaucoup de contraintes de temps, d’argent et de logistique. Je bricole un planning comme je peux.

As-tu des sponsors, ou d’autres financements ? Voire une aide de la ville de Strasbourg ?

Je n’ai aucun financement, ce qui devient d’ailleurs assez problématique pour la suite. J’aimerais présenter mon projet à la ville (j’ai d’ailleurs été très surpris qu’il n’existe aucun jumelage avec d’autres communes homonymes) mais je n’en ai pas encore eu l’occasion ni le temps. En attendant j’invite tous vos lecteurs et lectrices riches à se manifester auprès de moi !

Emmène-tu des amis, de la famille avec toi ?

J’ai effectué les neuf premiers voyages (États-Unis, Canada, Allemagne) seul. Il y a vraiment du travail à faire à chaque fois et un emploi du temps dense, j’aurais plus besoin d’un assistant que d’amis dans ce cadre ! Mais pour les prochaines étapes, la Pologne et l’Autriche, prévues en avril 2020, j’ai la chance d’être accompagné par deux ami-e-s qui connaissent bien les pays en question et parlent la langue. Je suis aussi à la recherche de personnes pour m’aider en Roumanie, Ukraine et Russie, principalement aussi pour des questions linguistiques.

Pour faire un tel périple, je suppose qu’il faut être amoureux de sa ville ? Est-ce le cas pour toi ?

J’ai une relation sans doute un peu plus nuancée que ça avec Strasbourg. Lorsqu’une cigogne m’a largué sur terre (si j’ai bien compris) il y a 36 ans, c’était en Provence, et j’ai été habitué à vivre sous un climat plus clément, disons. Du coup, chaque hiver et chaque été je me dis que je vais partir. Mais puisque ça fait désormais 14 ans que j’habite ici, il faut bien reconnaître que la ville exerce un certain pouvoir d’attraction et que c’est une présence immense dans ma vie, et ce projet est clairement pour moi un moyen de lui rendre hommage, de la remercier, d’une manière très indirecte et absurde.

Parlons de Strasbourg en Alsace : As-tu ici des endroits préférés dans la ville ? (Restaurants, shopping, loisirs ou monuments ?) Si oui pourquoi ceux-là ?

Il y en a plein, mais pour en citer quelques-uns, j’aime beaucoup ma chambre (pas d’accès public, désolé), le cinéma Star (en particulier la salle 5), le magasin Bibine et Pinard et son sémillant tenancier, Quai des Brumes, et quand je serai riche (encore une fois, je tiens mon RIB à disposition, car j’aimerais bien devenir riche sans effort), je mangerai des pizzas à l’Oro di Napoli et des gâteaux Thierry Mulhaupt toutes les semaines. C’est sain comme régime, non ?

Pour terminer, peux-tu nous indiquer où et comment pouvons-nous te suivre le projet « 16 x Strasbourg » ?

Plusieurs solutions : soit en contactant un hacker russe, ou alors plus traditionnellement en allant voir mon site personnel, la page Facebook pour suivre l’actualité du projet, ou encore  Instagram.

Merci Jean-Yves pour tes réponses et bon courage pour tes futures découvertes « strasbourgeoises » !

Merci à toi !

Kapoué test n°174: Avobowl, le restaurant spécialisé dans l’avocat à Strasbourg

Il y a quelques jours, j’ai eu (enfin) l’occasion d’aller tester le nouvel endroit à la mode dans la capitale alsacienne : Avobowl, rue du fossé des tanneurs. Le principe de ce restaurant strasbourgeois est très simple : proposer différents types de plats avec de l’avocat dedans sous toutes ses formes.

Nous y étions pour le repas du midi, un samedi. La salle était pleine, donc impossible de réserver. Le serveur m’a proposé de m’envoyer un sms quand une table se libérerai… Pratique, car un bon quart d’heure plus tard, le sms arrivait et ma table m’attendait. L’ambiance était plutôt sympa en mode cool avec des toilettes remplies de feuillages…

La carte est courte mais on ne sert ici que des produits frais ce qui est plutôt un bon signe. Je commande une tartine « Avotoast » MAMA’MARIA : crème d’avocat, jambon de parme, burratina, tomate séchée, basilic et piment. Quand à ma co-testeuse, elle opte pour le curry de bœuf. Mon toast est bon et relevé mais par contre le curry trop cuit… Dommage.

Quant aux boissons, on part sur un jus d’orange pressé et un thé glacé en bouteille : dommage le jus d’orange nous est servi de façon un peu « négligée » qui donnait pas trop envie… Je finis par un carrot cake assez bon par contre, même si il manquait un petit glaçage ou une petite crème pour l’accompagner.

 

On a passé un petit repas sympa, mais vous l’avez compris, il faudra un peu de rodage à l’équipe du Avobowl pour être complètement prête. Mais l’idée est sympa, et prometteuse : la preuve étant le nombre de personnes présentes un samedi midi et la façon assez élégante de présenter les plats. Je pense y retourner bientôt pour goûter d’autres plats à la carte ou tout simplement pour tester le brunch.

Au niveau du prix, pour info : on en a eu pour 34 € pour le tout : les deux plats, le dessert, les deux boissons et une tisane.

Et vous, qu’en pensez-vous ? Êtes vous aficionados de l’avocat ? Avez-vous déjà testé l’endroit ? J’attends vos commentaires ci-dessous. A bientôt pour un nouveau test !

Mise à jour du 28 décembre 2023 : 

Repas rapide un midi entre les fêtes : pour moi je reste sur mon avis précédent, sympa mais sans plus, un peu cher pour ce que c’est. Malgré un accueil de la serveuse au top, et de la bonne musique, je reste dubitatif. Et vous ?

AVOBOWL
57 Rue du Fossé-des-Tanneurs
67000 Strasbourg
03 88 14 06 85
Page Facebook

Quitter la version mobile