HypeAuditor, l’outil indispensable pour analyser les comptes Instagram

Hello les amis connectés, ça va?

On va pas se le cacher, tout le monde passe son temps sur Instagram à l’heure actuelle. On veut tout voir sur nos potes, tout savoir sur telle ou telle marque, ou tout simplement glander en regardant la stories des uns et des autres… Instagram, au début, c’était sympa, mais de plus en plus on se pose des questions sur certains influenceurs… D’où sortent ils le nombre massif de followers ? Utilisent ils des outils du type : Mass Following, Pods de commentaires, auto likers, achat de followers…?

Pas évident de faire le tri entre les vrais ou les faux influenceurs, pour cela depuis peu il existe des outils en ligne. Je parle ici du site HypeAuditor que j’ai connu via l’influenceur Guillaume Ruchon. Il en parle en détail dans cette vidéo ci dessous qui date déjà de quelques mois.

Vous l’aurez compris, vous pourrez analyser n’importe quel compte y compris le votre pour connaitre mieux votre audience. Vous pourrez aussi comprendre et détailler les comptes qui vous intéressent… Je peux vous assurer que vous allez être surpris ! Vous verrez que beaucoup de monde utilise des méthodes peu recommandables pour gonfler artificiellement le nombre de followers de leur compte Instagram et leur taux d’engagement.

Je vous laisse ci dessous un code qui vous permettra d’avoir 3 crédits gratuits pour analyser 3 comptes: BLOG21. Sachant que l’analyse de votre propre compte est gratuite la première fois. Vous pouvez toutefois regarder quelques comptes sans avoir de crédits mais vous n’aurez pas toutes les analyses. Pour analyser les comptes, il faudra que le compte ait au moins 1000 followers.

A vous de jouer, je vous garanti que vous aurez des surprises parmi les comptes que vous suivez.

En toute transparence, je vous met à disposition mon rapport en pdf (jacktyphus-2019-06-07), ça vous donnera une idée.

N’hésitez pas à me dire ce que vous pensez de HypeAuditor et de la mode des fake influenceurs sur le réseau social Instagram dans les commentaires ci dessous.

A bientôt !

Interview de Supacat : collages streetart dans les rues de Strasbourg

Au détour d’une rue, j’ai découvert les collages de Supacat dans les rues de Strasbourg, j’ai voulu en savoir plus sur ce drôle de chat, voici donc les réponses à mes questions du street artist…

D’où t’es venue cette idée ?

L’idée du chat m’est venue un jour à la machine à café du taf, qui est souvent l’endroit où tu peux échanger de tout et de rien avec tes collègues et réfléchir à pas mal de choses. Je voulais créer quelque chose de sympa pour m’amuser et interagir avec avec des gens et des lieux que j’apprécie. Ainsi est né le Supacat.

Pourquoi un chat ? Parce que tout le monde aime les chats. Les chats passent aussi bien chez les enfants que chez les adultes. Un chat, c’est libre et indépendant et ça aime se balader partout sans être bridé. Un peu comme moi quoi ! Et puis ça fera plaisir à ma mère le jour où je lui dirais que je passe mes nuits à coller des chats lol.

J’ai commencé à en coller deux-trois, puis je me suis pris au jeu. J’ai commencé à cibler les lieux que j’aime bien et à personnaliser les chats en fonction, comme pour le Pixel Museum et certains restaurants et bars de Strasbourg. J’ai créé ensuite un profil instagram pour garder une trace des collages et pour pouvoir communiquer avec d’autres artistes ou avec des fans du chat.

Ça te prend combien de temps de préparer tes visuels ?

Le temps de préparation comprend la recherche des lieux, la visu avec la street view pour repérer où coller, puis ensuite la déclinaison du chat en fonction du lieu. Ça prend pas mal de temps mais le plus long, c’est le découpage. Quand je ne passe pas des heures à coller, je passe des heures à découper. Les ciseaux ne sont jamais loin. Je me mets un bon film ou une série puis je découpe en même temps.

Es-tu payé pour faire ça ?

Je ne perçois aucune rémunération pour mes collages. Je colle pour mon plaisir. C’est devenu comme une drogue. J’ai toujours un seau, de la colle, et des chats imprimés dans le coffre de ma voiture « en cas d’urgence ».

Quel est ton rapport à la ville de Strasbourg ? pour faire ça ici et pas ailleurs ?

J’ai collé des chats dans d’autres villes de l’Eurometropole mais ils ont rapidement été arrachés. Des villes peut-être trop « bourgeoises » ou « propres« . Je crois qu’il y a vraiment qu’à Strasbourg qu’ils ne sont pas arrachés. Il y a un certain respect du street-art à Strasbourg. Au début, quand je collais et que des gens m’interpellaient, j’avais toujours peur qu’ils prennent ça pour du vandalisme, me fassent la morale ou appellent la police.

C’était tout le contraire. Les gens veulent savoir pourquoi un chat, pourquoi cet endroit et surtout dans quel but. Ils veulent savoir pourquoi je fais ça. L’être humain a toujours besoin de raisons et de comprendre pourquoi on fait telle ou telle chose. Et quand je leur réponds que je fais ça parce que je veux donner le smile aux gens qui les remarquent, certains rigolent et d’autres repartent sans leur réponse. Strasbourg est un superbe terrain de jeu, il y a vraiment de quoi faire. Et si ça peut un peu égayer la ville, c’est vraiment cool.

Et au milieu du street art ?

J’adore le travail de Banksy. J’ai eu la chance il y a quelques années de tomber par hasard sur une expo non-officielle en Slovénie qui présentait ses plus grandes œuvres. C’est à partir de ce moment-là que j’ai eu envie de créer quelque chose de graphique que je pourrais afficher partout. Ayant pas mal de projets à côté, j’ai du mettre ça en attente avant de pouvoir enfin me lancer cette année. J’ai du me documenter sur les techniques, les pochoirs, le graff, le collage, c’était comme si je retournais sur les bancs de l’école. Ça tombe bien, j’aime chercher et expérimenter par moi-même de nouvelles choses.

Pourquoi tiens-tu à rester anonyme ?

Je souhaite rester anonyme car je trouve ça cool de garder le mystère autour du chat. Etant fan de Marvel et de l’univers Comics, j’apprécie la discrétion et le mystère autour de certains personnages. Le fait qu’ils agissent la nuit puis qu’ils reprennent leur vie « normale » le lendemain dès que le réveil sonne. J’avoue, quelques uns de mes amis proches sont dans la confidence, ce qui me permet de les envoyer à ma place pour récupérer du matériel ou pour certains événements.

Vas-tu décliner tes visuels sous d’autres formes ? Pourquoi pas des t-shirts, sweats, autocollants ?

On m’a déjà demandé si j’allais faire des tshirts du « Supreme Supacat« , qui détourne le logo mythique de la marque Supreme. Je ne suis pas contre cette idée mais ayant également envie de découvrir la sérigraphie, je ne veux pas tout faire dans l’urgence. J’aurais le temps de me pencher sur la question quand il fera vraiment trop froid pour coller. J’ai également envie de décliner les Supacats sur supports bois ou PVC. Faire des objets avec. J’ai pas mal d’idées et je pense qu’il me faudra 9 vies pour tout faire.

Ton artiste « street » strasbourgeois préféré ?

Mon artiste street strasbourgeois préféré est Jaek El Diablo. J’aime son style qui mélange tout ce que j’aime : culture US, comics, NBA/NFL, Hip Hop, détournements de personnages divers… Je me souviens lui avoir fait une demande de stage il y a 15 ans. Il ne prenait pas de stagiaires mais il avait pris le temps de me faire une réponse cool par mail. J’adorais son site web, très graphique et en Flash, une révolution à l’époque, les réseaux sociaux se limitant à MySpace… Dans ses créas, il y avait une photo d’un tableau avec des super-héros dont Magnéto, un de mes vilain préféré, je ne pouvais qu’aimer !

As-tu d’autres projets dans le genre ?

J’ai pas mal de projets à venir, comme la création de chats en bois et sur toiles. Dont un pour un événement spécial, mais je ne peux pas encore communiquer là-dessus pour le moment. Puis toutes les demandes diverses faites via Instagram. Certains me contactent même pour me demander de coller un chat personnalisé devant chez eux ou sur le chemin de l’école de leurs enfants, je trouve ça génial.

Peut-on te suivre sur d’autres réseaux sociaux ?

Je ne suis que sur Instagram. Facebook et Twitter, ça m’emmerde. Instagram c’est parfait pour choisir ce qu’on veut voir et communiquer avec des gens qui partagent les mêmes passions ou qui font également du street art.

www.instagram.com/supacat.sxb

STRASBOURG MINUTE, nouvelle façon de découvrir les strasbourgeois… en vidéo !

Après avoir participé au concept STRASBOURG MINUTE, j’ai posé quelques questions à Jérémie et Nicolas, pour qu’ils nous explique le principe…

Bonjour, pouvez-vous vous présenter et nous expliquer en quelques mots le principe de STRASBOURG MINUTE ?

Jérémie, 38 ans, concepteur multimédia/gérant au sein d’ILL [communications], agence de communication à dimension mono-humaine basée à Strasbourg.

Nicolas, 41 ans, SERGENT RECORDS.

Jérémie :

STRASBOURG MINUTE est né d’une envie commune de montrer un visage plus hétérogène de Strasbourg, ceci en mettant en avant ses habitants qui s’investissent au quotidien pour faire vivre la ville. C’est une plate-forme gratuite, ouverte à toutes et à tous, sans distinction autre que d’aimer Strasbourg, sous toutes ses formes. Le tout est mis en forme par le biais de portraits vidéos court sur ceux qui « vivent » Strasbourg, une database non exhaustive de gens avec qui échanger, avec qui collaborer ou tout simplement à découvrir. Un esprit et un regard positif.

Comment choisissez-vous les personnes pour vos portraits vidéo ?

Jérémie : Au départ, nous avons chacun regardé dans notre entourage direct et sélectionné des personnes qui avaient envie de partager leur amour de la ville, de présenter les différentes actions qu’ils mettent en place pour la faire vivre. Chaque fois que nous réalisons un portrait, nous demandons à la personne si elle aurait quelqu’un à nous recommander, ce qui nous permet de rencontrer des personnes différentes.
Depuis un peu plus d’un mois que le site est en ligne, de plus en plus de personnes sont séduites par le concept et nous sollicite afin d’y participer.

Nicolas : Si tu aimes Strasbourg, viens nous le dire, c’est aussi simple que ça !

Vous considérez vous comme un média ou un (futur) média strasbourgeois ?

Jérémie : A vrai dire nous ne nous sommes jamais posé la question. A mes yeux la force d’une ville ce sont ses habitants, ceux qui s’investissent au quotidien pour la faire bouger et la faire vivre.

Notre projet s’inscrit dans une démarche citoyenne dont le but est de montrer le pluralisme et la diversité culturelle de la ville. Chaque jour  de nombreux événements ont lieu. Ces événements sont organisés par des personnes passionnées et investies. Notre but est de les mettre en avant afin qu’elle puisse directement partager leur passion et leur regard positif en passant devant notre caméra.

Nicolas : On ne fait pas de politique, ce qui nous permet d’être relativement libres, c’est la rue qui nous parle, donc si Strasbourg Minute est (ou) devient un média strasbourgeois c’est parce que les gens nous auront choisi. Ça veut aussi dire que nous avons conscience qu’il faut éviter de se faire récupérer , et qu’il faut garder nos convictions , notamment de ne pas donner la parole à des gens allant contre nos valeurs ou qui verrait leur vidéo comme un défouloir , on est cool mais nous ne représentons pas pour autant le monde des Bisounours.

Notre démarche se veut positive voire atypique car détachée de toute influence externe à la nôtre, nous avons tous les deux notre identité propre au sein de ce projet commun, nous sommes visibles mais d’autres marchent avec nous.

Vous demandez aux gens comment ils vivent à Strasbourg, et vous… Comment et pourquoi appréciez-vous cette ville ?

Jérémie : Ce que j’apprécie à Strasbourg c’est la proximité, tant au niveau des déplacements qui sont rapides en bus, tram ou vélo, qu’à l’Allemagne qui est toute proche. De plus je tiens à saluer la politique de la ville qui a mis différents moyens en œuvre afin de la rendre plus agréable à vivre en développant les zones piétonnes en centre-ville, les espaces verts et les pistes cyclables. En résumé il fait bon vivre à Strasbourg.

Nicolas : J’apprécie cette ville  pour ce qu’elle est et ce qu’elle peut devenir, c’est à dire avoir une identité propre et ne pas essayer de copier  Paris, Berlin ou New York. Si une ville veut évoluer, grandir, arriver à maturité, il faut qu’elle arrête de regarder ce qu’il se passe ailleurs et qu’elle trouve, au sein de ses habitants, ses propres (re) sources d’existence. A terme , Strasbourg se doit d’être plus que la capitale européenne ou une capitale de Noël , il y a aussi peut-être une redistribution à faire à certains niveaux afin que tout le monde puisse avoir droit à la parole et que ce ne soit pas toujours les mêmes qui profitent de passe-droits , toute critique est bonne à partir du moment où elle est constructive , les habitants de Strasbourg ont des choses à dire , nous essayons de leur donner la parole , tant que cela reste positif  et en accord avec nos guidelines.

Ah ouais et je roule en Vél’hop donc, bonne idée ce service, mais arrêtez d’augmenter les prix, achetez juste plus de vélos, vue la demande vous ne devriez pas avoir de problèmes à rentabiliser, sans pour autant pénaliser les usagers de longue date.

Avez-vous d’autres projets dans les tuyaux ?

Un de nos autres projets est le site Sneakersminute.com, dédié aux amoureux des sneakers, qui reprend un peu les grandes lignes de Strasbourg Minute en axant les portraits sur des sneakers addicts (big up à la team SNEAKERS EMPIRE) et leurs paires favorites.

Où peut-on vous suivre sur les réseaux sociaux ?

 Jérémie : @strasbourgminute sur instagram et sur facebook, strasbourgminute.eu

Sur facebook : @jeremie.ill, sur instagram #jeremie_ill et le site de mon activité de concepteur multimédia sur https://www.ill-communications.com

Nicolas : www.sergentrecords.com

Pour terminer, avez-vous un bon plan ou une bonne adresse à partager avec les lecteurs du blog ?

Jérémie : Le dernier bon plan que j’ai découvert est La Consigne Store, c’est la bonne adresse pour tous les passionnés de Street Wear qui veulent faire des affaires, et cela pour toutes les bourses. Ils sont d’ailleurs présents dans l’épisode 06 de STRASBOURG MINUTE.

Nicolas : L’Occase de L’Oncle Tom, pour sa sélection de jazz, l’Orangerie, pour la bibliothèque en libre-service et les singes, la cordonnerie Roda au Neudorf , pour donner une seconde vie à sa paire de chaussures.

Merci pour vos réponses, à bientôt.

Événement Twitter : le retour du Twapéro au Pixel Museum le 7/11/2017 !

Le Twapéro STRASBOURG is Back !

Pour rappel, le « Twapéro » (contraction de tweet – apéro) est un événement destiné aux utilisateurs du réseau social Twitter quelque soit leur job ou leur utilisation du réseau (personnelle ou professionnelle). Le but de l’évènement est de partager un verre, découvrir un lieu différent à chaque édition, et créer des liens parmi cette communauté très ancrée à Strasbourg. 
En 2010 /2011, je participais à l’organisation de ce genre d’apéro sur Strasbourg, ça avait une plus petite dimension, mais c’était pour autant très sympa, cf mon article de l’époque.
Pour cette première date de la saison du Twapéro (#Twapero_SXB), il se déroulera à Schiltigheim le 7/11/2017 à partir de 18h30 au Pixel Museum et aura pour thématique STAR WARS.
Au programme de cet apéro connecté :
– Visite privée du musée et animations autour de la toute nouvelle exposition temporaire Star Wars.
– Dégustation de bières artisanales, de vins d’Alsace, et de soft drinks tout aussi locaux,
– Comme toujours, de quoi grignoter entre deux tweets,
– Des surprises, des goodies…
La soirée sera au tarif exceptionnel de 7€ (au lieu de 9€ l’entrée seule habituellement), uniquement en pré-vente jusqu’au 01/11 : donc n’oubliez pas de vous pré-inscrire (lien ici et dans le tweet ci-dessous) !
Pour cette édition, l’idée est de « convier » un twittos (utilisateur de Twitter) qui n’est jamais venu à un Twapéro. L’occasion de re-voir IRL (In Real Life) ce twittos, cette twittas avec qui vous gazouillez si souvent sur la toile.
Pour le « dress code » : il vous faudra choisir avec votre « binôme »  qui d’entre vous portera un haut noir. Ou blanc. Ou noir et blanc… A vous de jouer !
Pour toutes questions, contactez Géraud, l’organisateur de l’événement ->@SxbGG
Chargez vos batteries, et soignez prets à dégainer le hashtag de la soirée #Twapero_SXB !
Pour rappel, voici la vidéo d’une précédente édition du Twapéro (#TwelcomeOnBoard) : 

Et voici un court extrait de cette soirée :

StrasTonLook met en avant les looks des Strasbourgeois sur Instagram !

Bonjour Clara, présente toi en 2 phrases et explique-nous ton projet « STRAS TON LOOK »

Je suis Clara, je suis… une Strasbourgeoise, je suis …une passante, je suis …une trentenaire, je suis …une girl-power, je suis …une conseillère en mode, je suis …une inconnue, bref je suis StrasTonLook !

L’idée première de StrasTonLook est de prendre en photo les passants qui ont du style vestimentaire et de les publier sur Instagram. Mettre en valeur ces belles tenues qui parcourent nos rues et leurs offrir une visibilité ouverte à tous. Je trouve que dans notre ville, il y a une source inépuisable de supers looks.

Malheureusement je n’ose pas demander aux gens si je peux les prendre en photo, peur de les déranger. Je me dis que les gens ne me prendront pas au sérieux, si je publiais une photo d’eux. Lorsque tu débute et que tu n’as que 40 followers qui te suivent, t’es pas crédible.

Afin de développer StrasTonLook, je me prête au jeu et cela change l’image que j’ai de moi et me permet de m’assumer un peu plus chaque jour.  Je présente mes propres styles vestimentaires. Ainsi les personnes qui aiment mes tenues peuvent savoir d’où proviennent les vêtements ou tout simplement s’en inspirer pour créer leurs propres identités.

D’où viennent tes inspirations de tenues ? Et ton choix de boutiques ?

Mes inspirations sont personnelles, elle se composent de mes envies du moment, de ma propre vision de la mode, de mes 9 ans d’expérience en prêt-à-porter. Elle s’inspire aussi des autres, des tendances actuelles, des magazines de mode et de Pinterest.

J’essaie d’allier classique et moderne avec une touche d’originalité dans mes tenues, sans oublier les détails, c’est ce qui fait toute la différence.

Concernant mon choix de boutiques, les grosses enseignes sont idéales pour trouver des pièces basiques. Mais ce que j’adore le plus sont celles qui sont moins connues et qui respectent autant le produit, comme les employés et surtout les clients. Travaillant dans le prêt à porter je peux vous assurer, qu’il n’y a pas beaucoup de boutiques qui s’engagent réellement dans une démarche qualitative de conseil client. J’ai des affinités pour certaines enseignes comme FreemanT.Porter, La Bonne Etoile, Nomade/Cargo, Les Signes du Temps, Coach And Clothing, La Fée Maraboutée où l’on trouve des pièces que tout le monde n’a pas.

STRAS TON LOOK te prend beaucoup de temps ? Comment organises-tu tes journées ?

Oui, effectivement je me rends compte que je passe beaucoup de temps sur Insta. Au départ je n’imaginais pas que se serait aussi prenant. J’ai ouvert StrasTonLook en mai 2016, mais j’ai commencé sérieusement à m’y mettre en février 2017. StrasTonLook occupe tous mes petits temps morts de la journée. Cela peut être, en buvant mon café, dans le bus en allant au boulot, pendant mes pauses déj, en attendant une copine à une terrasse ou même sur le trône. 😉

Tu poses toi-même sur ce compte Instagram, je suppose que tu fais poser des amies aussi, choisis tu aussi d’autres modèles ?

C’est une bonne excuse pour se faire chouchouter entres copines, on sort le grand jeu ! Ma sœur est la photographe (@jscgram) et moi je m’occupe de la partie stylistique !!! Et Go…, on passe l’après-midi à jouer aux top models face à l’objectif.  On partage un bon moment tout en se faisant plaisir 😉

Ce serait avec grand plaisir de choisir d’autres modèles, d’ailleurs j’invite tous ceux qui souhaitent participer à prendre contact sur Insta.

Quel est le but final de STRAS TON LOOK : un blog ? un vlog ? Devenir une activité professionnelle à temps complet pour toi ?

Ni blog, ni vlog au programme pour le moment.  Je ne me suis pas encore projetée à long terme.

Si mes followers aiment mes styles et les photos que je propose, pourquoi pas un jour en faire du relooking personnalisé auprès d’eux, si cela me permet d’en vivre.

De temps en temps il m’arrive de faire du coaching à domicile, on me sollicite pour trier un dressing ou même créer des looks plus modernes à base de pièces existantes. Dans mon travail, J’adore la relation privilégiée que l’on peut avoir avec une personne lorsqu’on la relooke entièrement. Quand cette même personne vous fait totalement confiance et qu’elle se laisse guider, la voir sourire face au miroir, procure un magnifique sentiment. Donc pourquoi pas … !

Quel est ton rapport à la ville de Strasbourg ? As-tu des adresses préférées… ou au contraire des adresses que tu détestes ?

Comme beaucoup de Strasbourgeois, moi aussi j’en suis amoureuse. Pas commode pour une réunionnaise… j’ai le cœur partagé.

Strasbourg est très accueillante et on s’y sent vraiment bien, tout est à proximité. C’est petit, mais c’est un concentré d’architecture, de lieux insolites, de ruelles à découvrir et à redécouvrir sous chaque saison. Je déplore juste le manque de vies les soirs de semaine.

Quelques adresses coup de cœur :

Manger un succulent dessert à l’étage de la pâtisserie Kautzmann, boire un verre sur le ponton du Rafiot en plein cagnard, manger un bon repas au restaurant Le Stras, faire bronzette à Rivetoile…

Comment te places tu dans la galaxie des blogueuses / instagrammeuses mode ? Qu’est ce qui te différencie des autres ? As-tu des blogueuses strasbourgeoises ou alsaciennes préférées ?

Pour le moment StrasTonLook est un bébé dans la stratosphère des blogueurs et instagrameurs. J’espère le faire grandir mais avec toute la même simplicité qu’aujourd’hui. Et surtout que cela plaise aux gens et que cela les inspire.

Ce qui me différencie des autres, je pense que c’est la simplicité de mes photos et de mes tenues. Si l’on regarde bien dans mes différentes propositions de tenues, je mixe des pièces intemporelles avec d’autres qui sont plus tendances. Chacun peut s’identifier facilement à travers mes looks, pas la peine de changer sa garde-robe tous les 6 mois.

J’aime bien les instagrameurs tels que @Mononoeil, @freakybeanie, @benjaminstalter @lesgrandesgirls, @dan23instagram, … J’aimerais aussi vous parler des stylistes strasbourgeois comme @atelier.cerbu, @frey_lea, @adeline_ziliox, @izisgoita qui sont de véritables pépites de créativité, dont j’ai eu la chance de découvrir certains d’entre eux lors des Strasbourg Fashion Week.

As-tu des projets pour cette fin d’année 2017 ? A quand un STRASTONLOOK version masculine ?

Gagner en assurance pour pourvoir combiner le projet initial de StrasTonLook qui est de prendre en photo des passants de strasbourgeois avec mes photos personnelles. Ce serait top !!!

Pour la version masculine, les hommes sont plus discrets. Je te propose d’y participer ?

Rappelle-nous où peut on te suivre sur les réseaux sociaux ?

Pour le moment je publie essentiellement sur Instagram : Strastonlook.

Ceux qui ne participent pas à la sphère des instagrameurs, rendez-vous sur ma page Facebook : Strastonlook

Donc à bientôt ?

Invité n°41 : Krystel, strasbourgeoise sur le départ pour un tour du monde…

Krystel (du blog voyage UNE PART DU MONDE) strasbourgeoise et donc passionnée de voyages, nous raconte son nouveau projet…

De Strasbourg à un long voyage autour du monde…

Strasbourg est ma ville d’adoption. J’y suis venue pour mon premier job en 2010, et me voilà, 7 ans après. Pourtant durant ces années, je n’ai jamais oublié mon rêve de voyage au long cours.

Un besoin irrépressible de voir le monde

Eh oui, rester si longtemps au même endroit ne me ressemble pas. Et après un an d’expatriation à Montréal, des études aux Etats Unis et des voyages dès que possible, je rêvais de nouvelles aventures. Ma passion du voyage et de l’écriture m’ont menée à créer mon blog Une Part du Monde avec mon chéri, Olivier. Vous y trouverez mes carnets de voyages, mes conseils pour voyager pas cher, mais également ce voyage autour du monde…

Départ le 5 octobre pour le grand périple !

Mon voyage m’amènera au Maroc puis en Amérique du sud en commençant par le Brésil, et en remontant vers la Colombie. Puis je reverrai le Mexique, et me rendrai à Cuba. Ensuite, direction la Louisiane. Puis je m’envolerai au Japon et visiterai l’Asie du sud est en passant par Taiwan. Enfin, je finirai avec un rêve de gosse pour l’amoureuse des animaux et de la nature que je suis : l’Afrique du sud. Cependant, rien n’est figé dans ce périple : pas de date de retour, ni de trajet tout tracé.

Un rêve pour commencer une nouvelle vie

Ce voyage est aussi l’occasion pour moi de quitter mon travail de responsable Brand Content et de me mettre à mon compte en tant que rédactrice web. Un travail qui me permettra, pourquoi pas, de prolonger le voyage…:)

Merci Krystel de nous avoir expliqué ton périple, bon courage à vous !

Vous souhaitez suivre son voyage et la soutenir dans son projet ?

Suivez Krystel sur Facebook, Instagram et Twitter. Et bien évidemment sur son blog voyage !

De même, vous souhaitez collaborer avec elle ? RDV ici !

Vialsace challenge les blogueurs alsaciens avec un jeu de piste !

Vialsace joue avec les blogueurs alsaciens à un jeu de piste : c’est le #ChallengeVialsace !

Le dernier samedi du mois dernier, par une journée ensoleillée magnifique (enfin avant 19 h…), une petite « brochette » de blogueurs alsaciens (dont je fais partie) étions invités à nous défier les uns les autres à travers un jeu de piste axé sur la mobilité organisé par l’agence BlueBoat pour le compte de Vialsace.

Le principe était simple : 3 équipes de 2 ou 3 blogueurs partaient chacune de leur coté accompagnées par un organisateur et devait, au fil des épreuves et des indices, avancer grâce à l’application Vialsace (qui compare les modes de transports en Alsace). Le but étant, de passer un bon moment, découvrir l’appli pour ceux qui la connaissait pas et aussi (re)découvrir sa ville sous un autre angle !

Je faisais équipe avec la charmante (et néanmoins distinguée) Charlotte des Jumelles à Strasbourg, et nous représentions Strasbourg ! Accompagnés d’Elodie (notre guide pour la journée), nous avons commencé notre périple par une balade en vélo calèche au départ de la cathédrale de Strasbourg en passant par le Neustadt et la Petite France : assez reposant, au rythme des cyclistes: on a pu apprendre avec plaisir des anecdotes que l’on connaissait pas sur notre belle ville !

A peine descendus du vélo, une deuxième énigme nous emmène à….. (SURPRISE)…. Colmar ! On s’y attendait pas du tout, mais on saute quand même dans le train direction Colmar, et pendant le temps du trajet on utilise Vialsace pour trouver notre chemin pour arriver au Musée du jouet où nous attend notre enveloppe avec un nouvel indice ! Juste le temps de se plonger dans les jouets de l’époque et on arrive à la place où nous sommes arrivés premiers ! On se pose , on miam une glace, et nos collègues arrivent… On résout le puzzle et en route pour la dernière activité : un tour en braque à la Petite Venise : zen et détente entre blogueurs connectés au fil de l’eau…

Un petit apéro (sans alcool pour certains) pour nous remettre de nos émotions, et voilà déjà la journée finie…

Bilan de la journée :
Très belle opération organisée par Blueboat, sans aucun faux pas, merci encore à eux pour l’organisation et l’originalité de l’événement ! On a pu passer des beaux moments entre blogueurs (qu’on ne connaissait pas forcement) tout en découvrant de façon ludique et pratique l’application. Pour ma part, j’utilise souvent la version web de Vialsace pour mon boulot donc je partais avec un avantage mais pour autant j’ai pu découvrir que les nouveautés sont intéressantes : notamment l’autopartage et les cartes interactives.

Je vous invite à fouiller un peu sur l’article qui résume ce #ChallengeVialsace pour y découvrir le parcours des autres equipe de copines blogueuses et aussi en savoir plus sur Vialsace, ce site très pratique pour comparer tous les modes de déplacements en Alsace : tu économises du temps et souvent de l’argent en optimisant ta mobilité !

Portrait Kapoué n°35: Elle de Strasbourg, blogueuse strasbourgeoise

Elle de Strasbourg – blogueuse strasbourgeoise (comme son pseudo l’indique) et européenne convaincue !

« Elle de Strasbourg » présente sur son blog My Invisible Essentials un mix de mode, culture et lifestyle, en français mais aussi en anglais, voulant convaincre ses lecteurs non-francophones que Strasbourg est une destination « must-see ».

Qu’est ce qui te fait lever le matin ?
L’arôme du café 

Ta plus grande qualité ?
La sincérité envers moi-même.

Ton plus grand défaut ?
La sincérité envers autrui 

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté ?
La première chose que je fais après avoir ouvert les yeux le matin c’est de vérifier facebook, instagram, twitter, mes mails. Am I connected ? 

Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler ?
Le Petit Prince, pour sa persévérance, sa sagesse, pour sa naïveté accompagnée pourtant d’une intelligence naturelle, limpide. Sa quête des « essentiels invisibles » m’inspira.

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?
Professeur universitaire. Il n’est jamais trop tard…

Ton héros dans la vie réelle ?
Mon mari – pour son intelligence, sa détermination et son humanité.

La chanson que tu siffles sous la douche ?
Je ne chante pas sous la douche. Only in the rain!

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Strasbourgeoise. Un peu plus sage.

Ton film culte ?
Pas un mais deux : … and justice for all avec Al Pacino et La Grande Bellezza.

Ce que tu détestes par-dessus tout ?
L’hypocrisie.

Le talent que tu aimerais avoir ?
Savoir peindre.

Ta meilleure blague ?
Je ne pense pas être forte en blagues. Pourtant je fais toujours rire mes amis et mes proches.

Que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ?
Des horaires prolongés pour les magasins, les cafés et les restaurants. C’est dommage qu’une ville universitaire, eurométropole de surcroît, soit déjà endormie à 21h. Te souviens-tu du succès énorme qu’a eu la chanson Moscow never sleeps ? Les jeunes sont attirés par les villes qui ne dorment jamais et je pense qu’on devrait changer un peu les choses à Strasbourg dans ce sens-là.

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
Le quartier des institutions européennes : cosmopolite, moderne et symbole de l’Europe.

Ton restaurant strasbourgeois préféré ?
Monteleoneil ristorante italiano le plus authentique qui puisse exister dans la région, qui sert beaucoup de spécialités de Sardaigne.

Ton bar strasbourgeois préféré ?
Raven – pour le design, l’ambiance et l’emplacement, un peu moins pour le service.

Autre ville préférée en Alsace et pourquoi ?
Ribeauvillé, pour le joli centre-ville coloré, les caves et le spa 

Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais maire de Strasbourg ?
Je suis sure qu’il y a plus ardent, mais… rénover la Maison Rouge. Ça ne fait pas du tout honneur au centre-ville de la capitale de l’Europe…

Ta marque alsacienne préférée ?
Je privilégie tout ce qui est made in Alsace.

En 3 mots, décris nous ton Strasbourg ?
Historique, fleuri, accueillant.

Explique-nous ton attachement à la mode et à l’Europe… ?
Adolescente, j’ai commencé à collectionner les magazines ELLE et VOGUE de n’importe quel pays. J’étais fascinée par les photos, la manière dont les mannequins étaient maquillés, coiffés, habillés et j’essayais de comprendre le sens du style présenté, la manière dont se déroulent les séances photos, etc. Et puis, il y a cette hystérie lors des fashion weeks dans les quatre capitales de la mode et je me demandais toujours comment tous ces gens arrivaient à penduler frénétiquement entre Paris, Milan, Londres, New-York. J’ai découvert assez tôt les joies de la libre circulation en Europe et alors j’ai compris. Et c’est ainsi qu’est né mon attachement à la mode et à l’Europe – ce sont deux choses indissociables finalement. Peu importe si le créateur est Français ou Anglais, ses collaborateurs et ses mannequins, les matières qu’il utilise viennent un peu de partout et dans notre ère la rapidité est vitale. Et c’est grâce à l’espace Schengen et à l’Union douanière que cette rapidité est possible. Qui se souvient encore – hors « état d’urgence » – des queues à la douane, des contrôles systématiques et du devoir de réponse à des questions douanières pour le moins intrusives ?

Enfin, mon attachement à la mode et à l’Europe s’est concrétisé avec la Strasbourg Fashion Week 2016 : nous avons eu la chance de rencontrer tant de créateurs extraordinaires, venus de toute l’Europe. Comme quoi la mode ce n’est pas seulement Dior, Chanel, Armani et Versace, mais aussi Vahan Khachatryan, Julia Allert, Lana Dumitru ou Maisonnoée.

Comment vois-tu les autres blogueuses mode et qu’est ce qui te différencie d’elles ?
Je ne me perçois pas comme une « blogueuse mode« , car la mode n’est pas la thématique principale de mon blog, mais seulement une facette, une mise en perspective. L’objet de mon blog est plutôt un mélange de mode, culture et idées qui me tiennent à cœur. Par exemple, j’ai lancé récemment un projet dédié aux européens qui habitent Strasbourg, la capitale européenne. Qu’ils soient alsaciens ou européens d’ailleurs, ils ont tous une histoire qui inspire et qui montre que l’Europe est toujours une success story.

Ce qui me différencie des autres blogueuses ? Je pense que nous sommes toutes différentes car chacune a un style et des sources d’inspiration uniques. Moi j’essaye toujours d’associer les tenues que je présente à une histoire, un lieu, une occasion et d’expliquer la provenance et l’évolution de la pièce principale de ma tenue. A mon avis, la mode est un art à part entière et il serait réducteur de le vivre uniquement dans sa dimension matérielle.

Tes projets pour cet été et la saison prochaine ?

Cet été je veux voyager, lire et créer des beaux articles pour mes lecteurs. La saison prochaine ? Je n’y pense pas encore, j’aime naviguer à vue !

Elle de Strasbourg à lire (ou à relire) sur https://invisiblessentials.com/

300 articles écrits sur le Blog Kapoué: ça vaut bien un petit bilan, non?

300 articles sur le Blog Kapoué: ça vaut bien un petit bilan, non?

Ce que vous êtes en train de lire est le 300ème article écrit sur ce blog : ça parait beaucoup et en même temps peu à la fois sachant que ce même blog aura bientôt 5 ans en fin d’année… Voici donc quelques mots pour fêter ce « presque » anniversaire et une surprise à la fin de l’article !

Tout d’abord quelques chiffres :

Dans les 300 articles, il y en a des bons, et des moins bons, pas facile tout le temps de garder le rythme et l’intérêt au fil des publications…

Voici donc celui que vous avez le plus lu -> L’article sur la sortie de la vidéo #HAPPYSTRASBOURG après un grand relais dans les médias, un tournage excellent et une équipe toute aussi « happy » que réactive ! Super expérience, merci encore à tous ceux qui ont participé de près ou de loin au projet.

Et voici donc, le moins lu… -> Un article de soutien pour les Restos du Cœur via les blogueurs : C’était un article pour récolter des repas écrit en 2011 quelques mois après le démarrage du blog.

En règle générale les articles sur les restaurants sont les plus lus (bande de gourmands !), mais de plus en plus les autres articles lifestyle et les portraits sur Strasbourg vous plaisent, selon l’actualité et le thème.

Philosophie du blog :

Elle reste la même : mettre en avant Strasbourg et les strasbourgeois(es) de façon fun et sans se prendre au sérieux. Si possible trouver des sujets ou des endroits insolites et nouveaux au fil des jours : pas toujours évident car vous êtes, chers lecteurs, bombardés d’infos toutes la journée (réseaux sociaux, autres blogs, médias etc…).

Et la suite ?

Comme je n’ai pas la science infuse, je fais appel à vos lumières pour cet article : avez vous des idées de thèmes, d’articles ou de contenus que vous aimeriez retrouver sur le Blog Kapoué ? Je suis ouvert à vos propositions et remarques que vous pourrez me notifier dans les commentaires ci dessous.

Et enfin… Le cadeau !

Pour faire honneur à ceux qui font ce blog, c’est à dire : VOUS ! J’ai voulu vous offrir quelque chose. J’ai recherché le lecteur le plus fidèle du blog, ce qui est quasiment impossible à faire, alors, j’ai choisi celui qui commentais le plus les articles, de façon régulière, et je l’ai trouvé.
Il s’agit de Steve, que je ne connais d’ailleurs pas encore, mais qui a gagné un cadeau : je l’invite, à mes frais à tester un prochain restaurant : On fera donc l’article à deux, et j’espère que cet article vous plaira !

Pour conclure :

Petite précision pour la fin, puisqu’on me le demande souvent : je suis seul rédacteur pour ce blog, à part les articles Invités Kapoué, où je vous laisse champs libre pour présenter votre projet ou association ou les Kapoué tests que nous faisons à plusieurs (chacun écrit sa partie). Ce blog, je le tiens pour le fun, les rencontres que je fais et car j’aime ma ville, ce n’est pas un business pour moi, j’ai d’ailleurs un emploi à plein temps à coté. Pour éviter toute confusion aussi, je paye toutes mes additions dans les endroits que je teste et je ne vends aucun article à aucun restaurateur. Les publicités et les partenariats ne sont là que pour couvrir les frais inhérents au blog.

Voilà voilà, je vous remercie donc tous de votre fidélité de lecture, et je l’espère à très vite pour un nouvel article.

J.

Interview de Joël Irion, le twittos derrière le compte Twitter @PNationale67

Interview de Joël Irion, le twittos derrière le compte Twitter @PNationale67

Le compte Twitter @PNationale67 fait beaucoup parler de lui dans le département avec sa réactivité, sa pédagogie et son ton parfois décalé… J’ai voulu savoir qui se cachait derrière l’écran pour en savoir plus, voici donc une petite interview de Joël Irion, le chargé de communication de la Police dans le Bas-Rhin.

Comment êtes vous arrivé à ce poste ?
Je suis policier avant tout, mais comme dans ma vie privée, j’ai des activités artistiques, notamment la scène, j’ai une facilité pour la communication. Je m’occupe donc du compte Twitter de la Police dans le 67, mais aussi de la communication interne et externe de la Police pour le département et de la prévention médiatique (comme par exemple la caméra cachée sur les pickpockets à Strasbourg).

Êtes vous de Strasbourg ?
Oui, natif Strasbourgeois affecté à Strasbourg depuis 1996.

Êtes vous quelqu’un de connecté à titre personnel ?
Non, mais le compte @PNationale67, c’est mon bébé ! Je suis connecté partout : chez moi, en vacances, dans les transports et surtout, au bureau (smartphone, tablette)

Quelqu’un vous remplace pour la gestion de ce compte pendant vos congés ? La communication sur les réseaux sociaux étant « fragile », je préfère être le seul à avoir la main sur compte, c’est une décision personnelle. Du reste, lorsque je me déplace dans des endroits où je n’ai pas de Wifi (un drame), c’est Florian mon collaborateur qui prend le relais. Quelle est pour vous la vraie utilité de ce compte Twitter ? Mon but premier est de faciliter le rapprochement Police → Population (par exemple : Concours dessin avec visite enfants). Je ne supporte pas qu’on se fasse des fausses idées sur notre métier, j’ai envie de montrer le vrai visage simple et accessible de la Police.

Comment choisissez-vous les comptes à suivre sur Twitter ?
Le compte @PNationale67 a un devoir de neutralité, j’évite donc tous les comptes trop orientés politiquement, je suis plutôt des comptes qui ont besoin d’aide, les médias locaux et nationaux, ou des figures locales comme
MPokora un enfant du pays ou Brice Conrad (dont le papa est un ancien policier) par exemple.

Gérez vous d’autres réseaux sociaux pour la Police ? Que pensez vous de Periscope, la version vidéo live de Twitter ?
Je ne m’occupe que de Twitter ; pour Periscope, je n’en vois pas l’utilité car nous n’avons rien a vendre, et nous ne faisons pas non plus la course aux followers.

Avec ce compte Twitter, vous a t’on demandé des résultats précis ?
Non, la mission c’est d’être présent sur les Réseaux Sociaux. Au niveau départemental, nous sommes en phase de test. En tout, il y a 1 compte Twitter national @PNationale et 5 comptes départementaux «pilotes» dont le 67.

D’où viennent vos infos, et quelles sont celles que vous ne twittez pas ? Les infos viennent de l’hôtel de police et des médias, mais nous vérifions systématiquement si l’info peut être twittée ou pas : pas de messages anxiogènes, ni des messages sur des instructions en cours.

Y a t’il un compte Twitter équivalent à la Gendarmerie, et d’ailleurs avez vous la parodie d’Eric & Quentin du Petit Journal sur les gendarme qui tweetent?
Non en départementale chez les gendarmes, mais un compte Twitter national… J’ai vu la vidéo, ça m’a fait sourire mais c’est un peu caricatural.

Pour finir, que pensez vous du métier de Community Manager ?
J’ai fait déjà plusieurs postes à la Police. Quand je suis arrivé à la communication, mes collègues pensaient que c’était la planque alors que pour moi c’est essentiel : rien de pire que les non-dits ! La communication est indispensable.

NB : Voici un sondage mis en place pour évaluer les retours du compte, si vous avez un moment, répondez aux questions : https://docs.google.com/forms/d/1SpziEpgIsgTuSXKmsGLtZSPdwJ1BsSlDNd0miwE2Syc/viewform

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