Portrait Kapoué n°31: Nishan, l’expert des jeux vidéos à Strasbourg

Nishan, l’expert des jeux vidéos à Strasbourg

Qu’est ce qui te fait lever le matin ?
Chaque matin, je me dis qu’aujourd’hui je vais vivre une nouvelle expérience, rencontrer des gens, avancer sur mes projets ect .. et ca me boost pour la journée !

Ta plus grande qualité ?
Etre à l’écoute.

Ton plus grand défaut ?
Arf, c’est toujours la question piège en entretien… mais je dirai que je n’aime pas perdre.

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté ?
Oui bien évidemment ! J’utilise une multitude de réseaux sociaux sur mes 2 mobiles. J’adore ces nouveaux moyens de communication qui me donne l’impression d’être partout virtuellement. Et comme tout le monde, j’adore cette drogue nommée Facebook.

Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler ?
Wolverine sans hésiter ! Il a un charisme extraordinaire et il est quasi immortel…. enfin… plus maintenant (spoiler ?)

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?
Depuis tout petit je rêve d’être testeur de jeux vidéo. A l’époque je m’imaginais des gens qui sont enfermés dans des bureaux et qui sont payés pour jouer ! Aujourd’hui je me rends compte que c’est un métier complexe et qu’il ne suffit pas que de dire : « Oui le jeu est bien, je lui donne 9 sur 10. »

Ton héros dans la vie réelle?
J’admire toutes les personnes qui se sont réveillés un matin avec un idée ou un projet, et qui ont réussi à le lancer. C’est pas toujours facile parce qu’il faut avoir du courage et ne jamais baisser les bras !

La chanson que tu siffles sous la douche?
Je ne siffle rarement dans la douche.. mais quand ça m’arrive, ce sont souvent des thèmes de jeux vidéo comme Street Fighter, Mario Bros 😉

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Avec plus de cheveux gris malheureusement ! J’aimerai bien vivre de ma passion ou devenir un référant dans ce domaine, ça serait cool, lol.
Être à la tête d’un média et de manager une équipe de journalistes, chroniqueurs geeks… ou testeur de jeux vidéo mdr
Bref, réaliser mes rêves de gosses…

Ton film culte?
Usual Suspects ! J’ai dû le voir 30 fois et cette fin me fige toujours autant !

Ce que tu détestes par-dessus tout?
Avoir tort ou les légumes.. je ne sais pas quoi mettre en priorité.

Le talent que tu aimerais avoir?
Maîtriser plusieurs langues étrangères afin de pouvoir voyager dans le monde sans barrières. J’aimerai être bilingue japonais pour pouvoir jouer à des jeux qui ne sortiront jamais en Europe par exemple.

Que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe?
Un centre commercial ouvert 24h/24 7j/7.. Qui n’a jamais eu envie d’aller acheter une TV à 2h du mat??? Ça serait cool de pouvoir y aller à n’importe quelle heure et d’y retrouver de la « vie ».

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
Esplanade car j’y ai passé quasiment 25 ans. C’est un quartier qui devient de plus en plus beau. C’est vivant, ca bouge tout le temps !

Ton restaurant strasbourgeois préféré?
Le restaurant O’Brasil … C’est pas typiquement alsacien mais ils ont un plat que j’adore : le Frango Gratinado ou plus simplement du poulet gratiné au fromage.

Ton bar strasbourgeois préféré ?
Le Big Apple parce qu’on peut y suivre la NBA dans une ambiance US.

Quelle est la chose que tu changerais en premier si vous étiez maire de Strasbourg?
L’autorisation aux bars de rester ouverts jusqu’à 6h car un geek ne dort jamais.

Ta marque alsacienne préférée?
Elsass Co……. nan je déconne………..

En 3 mots, décris-nous ton Strasbourg?
Knacks, bières et cathédrale.

Ton actualité?
Pas mal de projets bien plus Geek les uns que les autres. Je suis toujours chroniqueur radio chez RBS le mercredi matin. Et après 3 ans, j’ai eu l’envie de lancer mon site internet : www.lachroniquedugeek.fr

On y parle d’actus jeux vidéo, d’E-sport, de débats et autres événements se déroulant dans la région. J’ai la chance d’avoir un équipe loufoque et motivée, qui m’aide à développer le site.

J’essaye d’être vraiment présent sur cette scène qui commence à prendre de l’ampleur en Alsace.

Et secrètement j’ai toujours voulu de monter un festival dans ce domaine… il parait que c’est prévu pour 2016 😉

Portrait Kapoué n°30: Christopher Giroud, chanteur de rue

Christopher Giroud, chanteur de rue à Strasbourg

Qu’est ce qui te fait lever le matin ?
La plupart du temps quand je me lève le matin c’est que j’ai assez dormi. En attendant d’être intermittent du spectacle je suis pour le moment uniquement musicien de rue donc, j’ai le luxe de me le permettre. Je considère le sommeil comme quelque chose de précieux !

Ta plus grande qualité ?
La tolérance.

Ton plus grand défaut ?
La paresse.

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté ?
Oui, néanmoins j’ai décidé de limiter ma présence online à Facebook et Youtube pour ne pas être trop envahi. Youtube car c’est canal privilégié pour la musique, et Facebook car c’est le réseau le plus utilisé.

Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler ?
Iron man. T’as une combi qui vole et une intelligence artificielle qui peut te donner des conseils pratiques.

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?
Professeur. Je m’imaginais bien établir une relation avec une classe pour leur enseigner l’anglais par exemple ; leur donner le goût d’apprendre.

Ton héros dans la vie réelle?
Elon Musk : c’est un esprit brillant au servir de l’humanité. Ils ont sortis avec Telsa un premier modèle de batterie pour maison, avec l’idée de rendre la consommation électrique plus intelligente, la batterie stock l’énergie en heure creuse pour quelle soit utilisable en journée. Couplée à un système photovoltaïque, une habitation peut devenir indépendante.
Le personnage d’Iron man est d’ailleurs en partie inspiré d’Elon Musk.

La chanson que tu siffles sous la douche?
Don’t worry be happy de Bobby McFerrin.

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Avec mes enfants, en train de faire de la musique avec eux et de leur faire découvrir les curiosités du monde. J’espère que je serai toujours en train de vivre de ma musique, avec plusieurs albums à mon actif, et d’autres à venir. Et surtout j’espère que je pourrai regarder en arrière en étant fier de ce que j’ai fait jusqu’à ce jour.

Ton film culte?
Usual suspects.

Ce que tu détestes par-dessus tout?
L’intolérance.

Le talent que tu aimerais avoir?
Avoir l’oreille parfaite, c’est pratique dans la musique. Ou bien être bon en math.

Que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe?
Elle l’est déjà à mon sens. Il y a tout ce qu’il faut, après c’est plus une question de taille pour « rivaliser » avec les autres villes d’Europe. Une plus grande Laiterie, peut-être.

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
Esplanade : jeune, diversité et populaire.

Ton restaurant strasbourgeois préféré?
L’Atelier de grand père. J’aime bien le concept des tartines franchouillardes.

Ton bar strasbourgeois préféré ?
Le Grincheux.

Autre ville préférée en Alsace et pourquoi ?
Etant donné que je ne suis resté pratiquement qu’à Strasbourg. Je dirai Colmar, car je garde un bon souvenir d’un concert que j’avais fait au Grillen.

Quelle est la chose que tu changerais en premier si vous étiez maire de Strasbourg?
J’augmenterai mes investissements en énergie verte. Avec quel argent ? bonne question.

Ta marque alsacienne préférée?
Fischer ? Ahah… C’est la seule qui m’est venue.

En 3 mots, décris-nous ton Strasbourg?
Curieux, ouvert et voyageur.

Ton actualité?
Un clip qui sort début Janvier, et mon premier CD fin Janvier. C’est un E.P. 5 titres : 2 chansons reggae, 1 chanson reggae/pop, 1 chanson soul/funk/RNB, 1 chanson rock. Il se trouve qu’en composant différents styles sont apparus spontanément, ça donne un ensemble assez éclectique.  Ca correspond à mon répertoire de reprises : Eminem, Maroon 5, Sting, Damian Marley, Cookie Dingler (un alsacien !), Aloe Blacc.

J’ai déjà commencé à composer pour l’album qui viendra par la suite et j’y perçois une direction plus soul, affaire à suivre…

La création d’un label avec mes partenaires de Bâle à l’occasion de la sortie du CD. Ainsi que la construction d’un studio, toujours dans la région de Bâle mais du côté français. Pour révéler et mettre en avant les musiciens que nous avons sur place et collaborer avec l’international. Il faudra certainement attendre 2017.

Je serai en concert au restaurant le Cyrano à côté de la Gare une fois par mois de Janvier à Avril. Et sinon vous pouvez parfois me croiser rue des Hallebardes, rue des Arcades et parfois Grand rue en train de chanter.

Je prévois en tant que musicien de rue d’aller découvrir Amsterdam, Metz, Bruxelles, Bâle dans l’année qui vient.

Je vais aussi avoir des scènes « officielles » mais je suis né en tant qu’artiste dans la rue et j’apprécie autant l’exercice que l’expérience procurée.

NB: Pour info, Christopher Giroud sera en concert le 5 janvier 2017 à 19h au bar du Hilton à Strasbourg

Portrait Kapoué n°29: Rémy & Geoffroy, fondateurs de « Epopia »

Rémy & Geoffroy, fondateurs de « Epopia »

Epopia, jeune entreprise strasbourgeoise, a développé un concept unique d’aventures épistolaires interactives pour les enfants de 5 à 12 ans. Par le biais d’une correspondance entre le jeune lecteur et des interlocuteurs imaginaires, la lecture et l’écriture deviennent un jeu. Epopia s’appuie sur le premier logiciel au monde d’intelligence rédactionnelle, sur l’imagination d’une équipe d’écrivains et sur les conseils de professionnels du monde de l’éducation. Forte de 1500 enfants conquis en à peine un an en France et à travers 15 pays, la société, primée à plusieurs reprises, lance une campagne Kickstarter pour adapter son modèle en anglais.

Rémy Perla, son fondateur et Geoffroy Planquart, co-fondateur, se livrent au jeu du portrait « made by Blog Kapoué ».

Qu’est-ce qui vous fait lever le matin ?
Rémy : L’envie de construire quelque chose de concret qui va faire rêver des enfants et leur donner des clés pour leur avenir.
Geoffroy : Le café et Epopia.

Vos plus grandes qualités ?
Rémy : Ayant connu des difficultés scolaires étant enfant, j’ai grandi dans l’échec. J’y suis donc devenu très résistant et ça me permet de traverser les grosses tempêtes sans trop vaciller.
Geoffroy : Ma détermination.

Vos plus grands défauts ?
Rémy : Avec l’âge, je deviens désespérément sérieux… pauvre de moi !
Geoffroy : Mon entêtement.

Vous considérez-vous comme des geeks ?
Rémy : Étant très empreint de toute la culture geek (SF, fantastique, jeux de rôle, jeux vidéo, informatique), oui, j’y baigne un peu. A 6 ans, je codais mon premier programme en BASIC, alors je dois certainement en être.
Geoffroy : Oui, sans aucun doute !

Les héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler ?
Rémy : Avant de devenir des héros, les personnages de fictions ont généralement d’abord une vie pourrie, du coup, ça ne me donne pas trop envie… Sinon, Bastien, de l’Histoire sans Fin, qui rentre tellement dans la lecture qu’il finit par passer de l’autre côté du miroir et entrer dans le monde de l’imaginaire : Fantasia ! Cette transgression est une véritable source d’inspiration dans mon travail de tous les jours.
Geoffroy : Batman.

Le job que vous avez toujours rêvé de faire ?
Rémy : Celui que je fais : entrepreneur. Créer et relever mille défis chaque jours, quoi de plus stimulant ?
Geoffroy : Bah c’est celui que je fais ^.^

Vos héros dans la vie réelle ?
Rémy : Les artistes (écrivain, musiciens, peintres…) : voir tout ce qu’ils sont capables de créer de beau et d’intelligent m’impressionne et me rappelle que l’imagination peut être vraiment sans limite.
Geoffroy : Le chat-monde de ma copine 🙂

La chanson que vous sifflez (honteusement) sous la douche ?
Rémy : « Allo allo monsieur l’ordinateur », de Dorothée. (Mais sans honte)
Geoffroy : Euh….

Comment vous voyez-vous dans 20 ans ?
Rémy : Toujours aussi actif, réactif et débordant de projets.
Geoffroy : Avec une plus grande moustache 🙂

Ce que vous détestez par-dessus tout ?
Rémy : Être en retard. Je fais toujours tout mon possible pour arriver en avance et quand je suis en retard, j’ai les nerfs !
Geoffroy : Commencer la journée sans café.

Le talent que vous aimeriez avoir ?
Rémy : Maîtriser des langues étrangères. Étant dyslexique, j’ai de grandes difficultés à sortir du français.
Geoffroy : Savoir dessiner.

Le dernier fou rire ?
Rémy : Nous recevons chaque jour des dizaines de lettres d’enfants et ils nous racontent souvent des histoires drôles. Mais, lorsqu’ils inventent leurs propres blagues, c’est là que ça devient vraiment marrant. Par exemple : « C’est deux oiseaux qui volent dans le ciel. Le premier demande « tu ne trouves pas qu’il fait chaud ? » Le second répond que non. Soudain le premier oiseau prend feu. Le second oiseau se pose doucement sur un étang. » …Et là, gros blanc, suivi d’un bon fou rire de toute l’équipe !
Geoffroy : Ce formulaire ?

Que manque-t-il, d’après vous, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe ?
Rémy : Un peu d’architecture loufoque qui interroge. Les rares qui osent se font vilipender.
Geoffroy : Une vie nocturne.

Si vous étiez un quartier de Strasbourg ?
Rémy : Neudorf -> c’est un village dans la ville.
Geoffroy : La Krutenau.

Restaurant préféré ?
Rémy : La Gallia (quand c’était encore le seul restaurant universitaire de France géré par des étudiants)
Geoffroy : L’Atlantico

Bar préféré ?
Rémy : La nouvelle Poste.
Geoffroy : L’Atlantico.

Endroit que vous adorez à Strasbourg, mais que vous avez honte de dire ?
Rémy : Non, là je ne vois pas, je n’ai honte de rien !
Geoffroy : Euh…

Votre marque alsacienne préférée ?
Rémy : La marque « Université de Strasbourg », j’en ai un sweat-shirt inédit.
Geoffroy : Epopia.

En 3 mots, décrivez-nous Strasbourg ?
Rémy : Tram, calme et Flam.
Geoffroy : Ville cosmopolite étudiante.

Votre actualité ?
Rémy : Epopia a publié une seconde histoire par correspondance où les enfants deviennent directeur et directrice d’une grande réserve naturelle et doivent protéger les animaux. En un an, Rêve aux lettres a ainsi plongé plus de 1600 lecteurs dans ses aventures fantastiques et, désormais parrainé par Tomi Ungerer, nous espérons pouvoir bientôt partager toute cette magie avec les enfants du monde entier grâce à la campagne de financement participatif que nous avons lancé sur Kickstarter.
Geoffroy : La campagne Kickstarter qui a mis toute l’équipe sur le pied de guerre depuis plusieurs semaines. On a de grandes ambitions et une belle solidarité dans l’équipe, même si on sait qu’on prend de gros risques…

Epopia : https://www.epopia.com/

Sur Facebook : https://www.facebook.com/Epopia/

Sur Instagram : https://www.instagram.com/Epopia_/

Pour les soutenir sur Kickstarter : https://www.kickstarter.com/projects/1427246697/dream-letters-turn-your-child-into-an-avid-reader

Portrait Kapoué n°28: Emmanuelle & Valérie de Insolit’Pro, conceptrices d’activités inédites

Emmanuelle et Valérie de Insolit’Pro, conceptrices d’activités inédites

Qu’est-ce qui vous fait lever le matin ?
Se dire que la journée qui nous attend ne sera jamais la même que celle de la veille. En d’autres termes : l’aventure dont on est dépendantes un peu plus chaque jour.

Vos plus grandes qualités ?
Se dire que rien n’est impossible.

Vos plus grands défauts ?
Se dire que rien n’est impossible.
On vous promet, à la limite de l’obsession. On est dans certains cas bien obligées de revoir nos exigences et revenir à la réalité (mais on fait tout pour ne pas en arriver là). Bref, vous avez compris, rien n’est impossible. CQFD.

Vous considérez-vous comme des geeks ?
C’est quoi ?
On plaisante ! Pas forcément geeks dans l’âme mais on a pas hésité à plonger dedans (tête la première) pour créer nos jeux immersifs sur tablettes numériques.

Les héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler ?
Valérie : Lois Lane parce qu’elle connait personnellement Superman et dans certains cas ça pourrait être utile d’avoir un super héros dans son réseau.


Emmanuelle : Freddy, la mascotte de notre jeu Opération Freddy. Sous ses airs de « badboy » au caractère bien singulier, il fait parfois (souvent) faire des choses assez loufoques aux équipes qu’il envoie en mission en ville.

On vous laisse faire connaissance avec lui ici en vidéo :

Le job que vous avez toujours rêvé de faire ?
La question peut se conjuguer au présent : être producteur d’activités ludiques inédites et faire de la ville un terrain de jeu : Si si, ce job existe, la preuve ici -> COUR DE RECRE

Vos héros dans la vie réelle ?
Les équipes de policiers dans notre jeu THE TARGET qui interceptent le gangster avant qu’il n’empoche 1 million d’euros. Plus sérieusement, les personnes passionnées qui entreprennent pour donner vie à leurs idées. On a plaisir à échanger avec ces personnes, d’ailleurs les bienvenues pour discuter autour d’un café.

La chanson que vous sifflez (honteusement) sous la douche ?
« On n’aime pas trop avoir une chanson en tête, mais on aime bien la purée mousseline ! » Bon, on avoue, ce n’est pas de nous mais ça nous a bien fait rire quand ça s’est balade sur les réseaux sociaux ! Par contre, un jeu de notre création « off » est de prendre la comptine « une poule sur un mur » et de chanter l’air d’une autre chanson avec ces paroles pour faire deviner ladite chanson à l’autre joueur/sans rigoler a la première phrase (kamoulox). Essayez, c’est rigolo 😉

Comment vous voyez-vous dans 20 ans ?
Dans notre hélico pour relier nos agences de New York et Singapour. Promis, on continuera a payer des taxes en France !

Ce que vous détestez par-dessus tout ?
A part faire le plein de l’hélico ? Le froid.
Bien que ce ne soit pas notre saison préférée pour l’organisation de nos événements, on fait toujours bonne figure devant nos groupes pour montrer que le froid ne nous atteint pas.

Le talent que vous aimeriez avoir ?
Le don d’ubiquité pour être sur plusieurs événements a la fois ou celui d’avoir 1000 bras pour faire encore plus de choses en même temps (et oui, on en est capable puisqu’on est des filles).

Le dernier fou rire ?
En général, les mythiques fous-rires se déclenchent de manière non désirable/intempestive voire à répétition lors de périodes de boulot intenses. Un rien nous amuse et personne (même nous avec un peu de recul) ne serait en mesure de nous comprendre. Pour info, on a eu un fou-rire il n’y a pas 5 minutes, cela vous donne un aperçu de l’actu de l’agence.

Que manque-t-il, d’après vous, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?
Des lieux privatisables atypiques, conceptuels. Si nous sommes la plupart du temps sollicitées pour organiser des activités ou animations originales, nos clients sèchent souvent sur LE lieu qui marquera les esprits et changera de l’année d’avant. On rêve de lieux surprenants, inhabituels, bouleversants voire même éphémères. A bon entendeur…

Si vous étiez un quartier de Strasbourg ?
Le centre ville (quand il y a de la place pour se garer … son vélo bien sûr. Ah mince, on est trop chargées pour s’y rendre à vélo) car il allie harmonieusement authenticité et modernité. Quand on anime un jeu en ville (Codecrackers par exemple où il faut déchiffrer des codes, résoudre des énigmes pour trouver un lieu mystère), beaucoup de curieux – tous profils confondus, nous interpellent à cause de notre tenue chartée « concepteurs d’activités inédites ». C’est agréable de voir que dans une ville qui tourbillonne et ou tout le monde se rend d’un point A à un point B souvent sans lever la tête de son téléphone, certaines personnes prennent le temps de s’arrêter pour s’intéresser aux gens, à leur ville et aux possibilités de découvertes insolites qu’elle offre.

Restaurant préféré ?
L’Argentoratum rue du Bain aux Plantes. Copieux, local et pas très loin de nos bureaux. Le tierce gagnant !

Bar préféré ?
Le XX bar à vins à la Krutenau car l’ambiance, le mobilier et particulièrement les gérants font qu’on s’y sent comme à la maison. (Caro, de rien pour la pub ! ;))

Endroit que vous adorez à Strasbourg, mais que vous avez honte de dire ?
New Nallo Nems (on ne s’est pas trompées dans l’orthographe), c’est un peu notre cantine. Ils ont une carte plutôt élaborée (on vous recommande d’ailleurs leur « pRince de crabes frit »). Bon, on vous avoue qu’on prend toujours la même chose pour être sures de ne pas être déçues. Et pourquoi on a honte ? Car dès qu’on appelle, ils savent que c’est nous. Il faut dire qu’on les appelle souvent et le pire, c’est qu’ils ne proposent pas de carte de fidélité (et qu’ils sont fermés le lundi midi, malheur !).

Votre marque alsacienne préférée ?
Fortwenger parce que c’est de saison (pas encore mais bientôt ; de plus en plus tôt d’ailleurs…) et qu’ils mettent le paquet pour transformer leur façade en véritable maison sortie tout droit d’un conte féérique avant les fêtes de Noël.

En 3 mots, décrivez-nous Strasbourg ?
Convivial(e), typique, historique.

Votre actualité?
En pleine préparation des fêtes de fin d’années de nos entreprises clientes, on travaille déjà sur les projets de séminaires, team building ou encore incentive du printemps prochain. A plus courte échéance, on fêtera d’ici quelques jours les 6 ans de l’agence. On était bien plus jeunes à l’époque et on est fières du chemin parcouru. On a eu raison de croire en nos rêves et on continuera encore (et encore) à créer sans cesse de nouveaux jeux et de nouvelles animations pour toujours plus vous surprendre !

Insolit’PRO, préférez l’original. -> www.insolitpro.com
Et n’hésitez pas à suivre nos aventures sur Facebook : NOTRE AGENCE

NOS JEUX :
Operation Freddy Alsace
The Target Alsace

Portrait Kapoué n°27: David Kodat, coiffeur solidaire strasbourgeois

David Kodat, coiffeur solidaire strasbourgeois

Qu’est ce qui te fait lever le matin?
Une des raisons qui m’aident à me lever le matin : aller prendre mon chocolat chaud (avec un petit pain :p) chaque matin avant d’aller bosser dans un des salons de thé de la ville. C’est un peu mon petit plaisir quotidien, j’adore faire ça avant d’aller travailler. Parmi les autres raisons qui me poussent à me lever est de me dire que c’est un jour de plus vers le dimanche. Ce n’est pas que j’aime pas mon métier, mais justement c’est parce-que je l’aime et que pendant ce jour, je mets mon savoir-faire au profit des plus démunis.

Ta plus grande qualité?
L’ambition ! Je fais tout pour arriver à mes buts. Mon autre qualité (en est-elle réellement une ?), ma spontanéité : si ça trouve, demain je serai à Hong-Kong ! Aussi, je ne suis pas quelqu’un qui me démoralise facilement ; j’ai appris à être patient et à relativiser les choses lors des échecs.

Ton plus grand défaut?
Pendant certains moments, j’ai tendance à être impatient : heureusement que j’ai appris à être patient, même si des fois je n’y arrive pas toujours.

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté?
Oui, j’le suis, comme beaucoup de personnes aujourd’hui. Je suis connecté sur les réseaux sociaux afin de pouvoir partager mon activité, ma vie un petit peu avec mes amis ; c’est aussi un bon facteur de communication. Concernant le reste (jeux vidéo etc.), ce n’est pas trop mon truc.

Le héros de fiction auquel t’aimerais ressembler?
Batman, le justicier et défenseur de Gotham City établissant la justice dans la ville au volant de sa fameuse moto : la bat-mobile !

Le job que tu as toujours rêvé de faire?
Etant enfant, je n’ai jamais rêvé de devenir coiffeur : comme beaucoup d’enfants, je voulais devenir astronaute. En grandissant, j’ai suivi les pas de mon père : je suis devenu coiffeur, chose que je ne regretterai pour rien au monde. Ce métier que j’aime beaucoup m’a beaucoup apporté et m’a permis d’entrer en relation avec des personnes de différentes classes sociales, de différents milieux.

Votre héros dans la vie réelle?
Mon père, tout simplement parce-qu’ il est parti de rien et que maintenant, il ne manque de rien ! Depuis petit, il a toujours pris soin de moi, m’a encadré. C’est grâce à lui si aujourd’hui j’en suis là !

La chanson que vous sifflez sous la douche?
Je siffle pas vraiment de chanson sous la douche, mais j’aime bien en écouter pendant.

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Qui sait ce que l’avenir nous réserve ? Dans vingt ans, je me verrai bien avec ma famille en train de sillonner le monde avec un camping-car.

Mon film culte?
La ligne verte, j’ai adoré ce film. L’un des passages qui m’a le plus marqué est le suivant lorsque Paul Edgecomb dit : « Le jour de mon jugement, quand je me présenterai devant Dieu, et qu’il me demandera pourquoi, comment j’ai pu tuer un des miracles qu’Il a créé… qu’est-ce-que je pourrais lui dire ? Que c’était mon travail ? Tu parles d’un travail ! » .

Ce que tu détestes par-dessus tout?
Je déteste quand le frigo est vide et qu’il n’y a rien à grignoter.

Le talent que t’aimerais avoir?
J’aimerais pouvoir comprendre et parler 32 langues, pour pouvoir communiquer et échanger avec plus de monde !

Le dernier fou rire?
J’en ai tellement que je ne m’en rappelle plus.

Que manque-t-il, d’après toi, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?
A mon avis, Strasbourg est une ville fantastique, où l’on ne manque de rien, si ce n’est qu’il est dommage que Strasbourg n’est pas en bord de mer, pour profiter de la plage, du soleil et de la mer !

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
La Petite France ! Cet endroit me charme par ses constructions anciennes et son ambiance.

Restaurant préféré?
J’aime manger de tout : pour moi, tous les restaurants se valent plus ou moins, puisqu’on n’y trouve dans l’un ce que l’on ne trouve pas dans l’autre. Pour moi, la véritable cuisine incontournable ne se trouve pas dans un restaurant, mais chez ma mère !

Bar préféré ?
Pas de bar préféré.

Endroit que t’adores à Strasbourg mais que tu as honte de dire?
Les toilettes publics à Place Kleber, ça m’arrange bien quand je suis pressé et que je me promène au centre-ville (rires).

Quelle est la chose que tu changerais en premier si t’étais maire de Strasbourg?
Je ferai en sorte qu’il n’y ait plus de SDF dans les rues, qu’ils ne dorment plus le ventre vide et qu’ils ne se réveillent plus le matin en grelottant de froid.

Ta marque alsacienne préférée?
Bretzel Burgard pour ses excellentes bretzels qu’on ne trouve pas partout !

En 3 mots, décris-nous Strasbourg?
Sympa, agréable et plaisante.

Ton actualité?
Je travaille dans mon salon au quotidien afin de contribuer fortement au plaisir de mes clients à travers mon savoir-faire. Mon seul jour de repos, le dimanche, je le consacre aux plus démunis de Strasbourg. Je mets ma profession au profit des sans-abris. C’est ici même à Strasbourg que j’ai commencé mon action en début d’année 2015 et cela chaque dimanche. Récemment, j’ai pris l’initiative d’élargir le champ de mon action et de la poursuivre dans d’autres villes : c’est pour cela que je suis allé à Londres et je compte aller dans d’autres villes européennes, puis même faire un tour du monde. Je cherche à travers cette action à influencer des personnes de secteurs différents en faveur des SDF. J’essaye de partager mes actions sur les réseaux sociaux de sorte à avoir un impact sur mon entourage ainsi que sur le monde entier; mon but étant de créer un impact (une prise de conscience) dans l’esprit de chacun. Je vis à travers les deux slogans suivants : « On est heureux uniquement dans le bonheur que l’on donne. » et « Remember to love (souviens-toi d’aimer) ».

Instagram : David Kodat

Portrait Kapoué n°26: Groupe strasbourgeois Redlight Dreams

Groupe strasbourgeois Redlight Dreams

Qu’est-ce qui vous fait lever le matin?
Si on parle d’un réveil le lendemain d’un concert, c’est d’abord la gorge sèche et le mal de tête, l’odeur ambiante de la bière… puis l’excitation de la veille nous fait nous lever pour prendre un bon café (et une bonne douche !).

Vos plus grandes qualités?
On pense être des personnes « vraies », fidèles à nous même. On avance au gré de nos envies, on sait se remettre en question très rapidement et se dire les choses pour avancer ou explorer d’autres voies.

Vos plus grands défauts?
Vider les frigos partout où on passe ! Désolé…

Vous considérez-vous comme des geeks ?
De plus en plus oui. Pour notre nouvel EP en préparation par exemple, on passe un temps fou devant l’écran pour créer nos sons, peser chaque note, etc. sans décoller de la chaise. En ce moment, on se prend le temps de composer, tester beaucoup de choses, et on en oublie même de manger (c’est peut-être pour ça qu’on vide les frigos de tout le monde) !

Les héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler?
Buzz l’Eclair, depuis qu’il nous a fait un autographe à DisneyLand, on le suit dans toutes ses aventures. C’est fantastique. Ça aurait pu être Mickey, mais depuis qu’on l’a croisé aux toilettes, ça a un peu cassé le mythe.

Le job que vous avez toujours rêvé de faire?
Pas très original, mais pour tous c’est la musique, les tournées, la vie en groupe…

Vos héros dans la vie réelle ?
Pour moi (Estelle), ça a toujours été Marilyn Monroe, femme-enfant, qui a rendu fous tous ceux qu’elle a rencontrés, elle a vraiment laissé sa marque dans le temps. Une femme a double facettes, elle était la star Marilyn pour le grand public, mais n’a jamais cessé d’être tourmentée par son passé, Norma Jeane. Je connais tout de cette héroïne, je pourrais vous en parler pendant des heures…

La chanson que vous sifflez (honteusement) sous la douche ?
Oui, honteusement. Dalida – « Itsi bitsi petit bikini. »

Comment vous voyez-vous dans 20 ans ?
Comme dirait Fred, batteur du groupe : Rock’n’roll, whisky, limousine, cacahuètes & stripteaseuses. Ça résume bien l’idée !

Ce que vous détestez par-dessus tout ?
Le hareng mariné et les routes limitées à 30km/h.

Le talent que vous aimeriez avoir ?
Si au moins un membre dans le groupe pouvait avoir un talent culinaire, ça nous éviterait pas mal de McDo.

Le dernier fou rire?
A chaque fois que Fred nous expose ses talents de Castafiore, il détient le record de montée dans les aigus.

Que manque-t-il, d’après toi, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?
J’adore cette ville, y vivre et elle n’a globalement rien à envier aux autres grandes villes d’Europe. Ce qui manque peut-être est une vie nocturne plus folle, plus de concerts et bar à concerts, moins de voisins chiants et de râleurs.

Si vous étiez un quartier de Strasbourg ?
Centre-ville Cathédrale & quartier St Etienne : vivant et authentique, Histoire, bars, restos, etc.

Restaurant préféré ?
Plus il y a de crème, plus on aime. Fin.

Bar préféré ?
Les frères Berthoms pour la bonne bière. Les Savons d’Hélène pour le cadre. Les Aviateurs (qui passent notre musique) pour la fin de soirée.

Endroit que vous adorez à Strasbourg, mais que vous avez honte de dire ?
La Ginguette du Rhin aux Jardins des Deux Rives : soirée Bal du Dimanche.

Quelle est la chose que vous changeriez en premier si vous étiez maire de Strasbourg ?
Peut-être que je devrais commencer par changer ma tenue?

Votre marque alsacienne préférée ?
Fischer (oui encore la bière…), surtout pour la Fischer Ambrée, même si elle a été rachetée par Heineken il y a quelques années.

En 3 mots, décrivez-nous Strasbourg ?
Cool – Crème – Europe

Votre actualité?
On prépare discrètement notre nouvel EP. Ce qu’on veut, c’est se prendre le temps de tester de nouvelles choses, aller plus loin dans la prod et sortir quelque chose quand on sentira que c’est totalement à notre goût. On travaille actuellement avec des arrangeurs et studio pour sortir l’EP fin de l’année. On prépare en même temps notre booking pour remonter sur scène au même moment. Vous pourrez suivre tout ça sur notre page Facebook :
Redlight Dreams > https://www.facebook.com/redlightdreams

Merci pour l’interview et à très bientôt !

Portrait Kapoué n°25: Sebastien blogueur people strasbourgeois

Sébastien blogueur people strasbourgeois

Qu’est ce qui te fait lever le matin?
Le matin je me lève en me disant que je vais aller retrouver mon ordinateur et mes collèges de boulot et effectuer un job qui me plait.

Ta plus grande qualité?
Je suis très drôle !

Ton plus grand défaut?
Je déteste que l’on me prend pour une poire et je peux devenir méchant, même très méchant.

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté?
Oh que oui, je dirais même à 300% : Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat, WhatsApp, mon blog …et même encore skyblog.

Le héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler?
Cruella dans les 101 dalmatiens.

Le job que tu as toujours rêvé de faire ?
Tester des hôtels pour tour operators.

Votre héros dans la vie réelle?

—-

La chanson que vous sifflez sous la douche?
« Homeless » de Marina Kaye.



Comment te vois-tu dans 20 ans ?

J’espère dans un endroit où je serais heureux et surtout en bonne santé.

Mon film culte?
Tatie Danielle.

Ce que vous détestez par-dessus tout?
L’hypocrisie.

Le talent que vous aimeriez avoir?
D’un coup de baguette magique pouvoir couper la parole à certaines personnes quand j’entend qu’ elles  racontent  des bêtises.

Le dernier fou rire?
Samedi soir par sms avec mon amie Delphine.

Que manque-t-il, d’après toi, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?
Pouvoir trouver un endroit pour dîner très très tard et quasiment mission impossible. Donc je dirais des restaurants ouvert 24h sur 24.

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
La petite France. Le soir j’aime me balader et me poser sur un banc.

Restaurant préféré?
Sans hésitation La Charmille. Ce restaurant est une merveille. Petit par la place donc le personnel est présent. La cuisine est absolument délicieuse.

Endroit que vous adorez à Strasbourg mais que vous avez honte de dire?
Par contre cela reste entre nous. J’aime aller à la boutique Fiesta Republic pour essayer les costumes, chapeaux et autres accessoires et me faire des selfies. Je sais un rien m’amuse.

Quelle est la chose que vous changeriez en premier si vous étiez maire de Strasbourg?
Le prix du tram qui pour moi devient de plus en plus cher et les prestations restent identiques.

Ta marque alsacienne préférée?
Bretzel Airlines est ma marque favorite. J’aime le design, leurs créations. Même si je ne suis pas du tout alsacien cette marque me plait beaucoup.

Qu’est que tu choisirais comme nom de catcheur mexicain?
Aucune idée car le sport et moi nous ne sommes pas amis !

En 3 mots, décris-nous Strasbourg?
Lumière, bijoux et fabuleux…

Ton actualité?
En plus de ma fonction au seins d’un groupe bancaire, je m’occupe également de mon blog qui parle de l’actualité musicale, du cinéma et du théâtre.

En partenariat avec 3 agences de communication, régulièrement des jeux concours sont mit en ligne ainsi que des interviews VIP.

Tout comme toi, cela me prend beaucoup de temps mais quand on aime on ne compte pas.

mesrendezvous.org

Portrait Kapoué n°24 : Laetitia, joueuse de Quidditch à Strasbourg

Laetitia, joueuse de Quidditch (sport fictif issu de la saga Harry Potter) à Strasbourg

Qu’est ce qui te fait lever le matin?
Et bien actuellement même si je ne suis pas quelqu’un de matinal, ce qui me fait sortir de mon lit est de pouvoir réaliser mon plus grand rêve : faire le tour du monde. Même si c’est un classique et qu’à la base j’aimerais vraiment parcourir le monde de A à Z, je me fixe comme objectif de faire le tour du monde et c’est cet objectif-là qui me donne l’énergie de me lever chaque matin.

Ta plus grande qualité?
Je dirais mon originalité et mon caractère assez indépendant.

Ton plus grand défaut?
Protectrice. Même si ça a l’apparence d’une qualité c’est clairement un défaut.

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté?
Oui et non. Je suis aux nouvelles de ce qui se passe dans notre pays et un peu ailleurs mais je ne cherche pas non plus à en savoir d’avantage. Je vis ma vie et si un soir je n’ai pas vu les infos à la télévision ce n’est pas la fin du monde à mes yeux.

Le héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler?
Maléfique. Oui elle fait peut-être de la catégorie des « méchants » à cause du dessin animé La Belle aux Bois Dormants mais pour moi c’est un personnage classe, indépendant et beau. En plus, elle a le respect de tous, certes par le biais de la peur mais c’est la classe de se faire respecter ainsi !

Le job que tu as toujours rêvé de faire ?
Je n’en ai pas vraiment, du moins pas actuellement. Tout ce que je sais c’est que je ne souhaite pas finir dans les bureaux, rester sur place pendant plusieurs heures, non merci !

Votre héros dans la vie réelle?
C’est peut-être un peu cliché mais mon héros de la vie réelle c’est ma mère. Malgré tout ce qu’elle a déjà vécu, elle reste souriante et positive.

La chanson que vous sifflez sous la douche?
I’ll keep loving you de David Guetta.

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Je ne me projette pas vraiment dans 20 ans, ni même dans 10 ans. Tout ce que je sais c’est, qu’au plus tard dans 2 ans à peu près, je vais faire ma globe-trotteuse et commencer à parcourir le monde !

Mon film culte?
Brother Bear. Ok c’est un dessin animé mais bon, ça n’enlève pas le fait que c’est une merveilleuse histoire avec des musiques magnifiques, un univers fascinant et une morale touchante.

Ce que vous détestez par-dessus tout?
Les personnes se croyant au-dessus de tout. Quand je vois ça je me dis qu’une bonne paire de claques ne ferait pas de mal.

Le talent que vous aimeriez avoir?
Quand vous dites talent vous parlez en tant que pouvoir ? Car si c’est le cas, j’aimerais beaucoup avoir le pouvoir de respirer et voir sous l’eau ! Sinon en tant que talent, comme par exemple savoir dessiner où autre, et bien je ne sais pas.

Le dernier fou rire?
Alors là, je n’en ai pas le souvenir. Je sais que j’en ai eu mais je ne pourrais plus vous les citer.

Que manque-t-il, d’après toi, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?
Rien. Honnêtement je ne vois pas ce qu’il manque actuellement à Strasbourg, elle a tout ce qu’il y a à avoir.

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
L’Orangerie. C’est un quartier peut-être bourgeois mais il reste magnifique à mes yeux.

Restaurant préféré?
Je ne vais pas vraiment au restaurant mais bon celui que je citerais sans hésiter c’est le Live sushi à l’arrêt Porte de l’Hôpital. J’adore ce qui est asiatique et puis entre tous ceux que j’ai testé il est le meilleur à mes yeux !

Bar préféré ?
Le Snooker. L’ambiance rock’n’roll donnée par la décoration du lieu ainsi que les nombreux billards donnent une ambiance conviviale où on a envie d’y rester.

Endroit que vous adorez à Strasbourg mais que vous avez honte de dire?
Je n’ai pas vraiment d’endroit où j’ai honte de le dire mais l’endroit le plus beau de Strasbourg, à mes yeux, est le haut de la cathédrale. La vue panoramique est absolument superbe !

Quelle est la chose que vous changeriez en premier si vous étiez maire de Strasbourg?
Honnêtement je ne vois rien à changer puisque je n’arrive même pas à m’imaginer maire.

Ta marque alsacienne préférée?
La Licorne (surtout la black). J’y ai goûté et maintenant je n’arrive plus à m’en détacher.

Qu’est que tu choisirais comme nom de catcheur mexicain?
Aucun, je ne compte pas me mettre au catch alors bon, à quoi bon essayer de se trouver un nom de catcheur mexicain ?

En 3 mots, décris-nous Strasbourg?
Belle, écologique, intemporelle.

Ton actualité?
Actuellement, je cherche un emploi afin de pouvoir économiser pour, par la suite, parcourir le monde !

J’aimerais aussi créer un site pour exposer les histoires que j’écris. Car oui, l’écriture est une de mes nouvelles passions et j’aimerais beaucoup, par la suite, exposer ce que j’écris pour partager ma passion et avoir l’avis de personnes sur mon travail.

Et pour terminer, ma capitaine de quidditch (Esther) ainsi que mon équipe on souhaite promouvoir à nouveau notre équipe pour essayer d’attirer du monde ! Pour le moment notre équipe est petite par rapport au nombre que l’on voudrait atteindre.

Je suis également en train de réaliser le logo de notre équipe pour pouvoir enfin créer nos maillots personnalisés. Donc bon, je fais un petit coup de pub mais pour ceux qui veulent essayer le quidditch venez visiter notre page des Silver Strasbrooms, tous les renseignements sont dessus !

Portrait Kapoué n°22: Trois membres des Hell’s Ass derby girls

Portraits de trois membres des Hell’s Ass derby girls

© Olivier Vax https://www.facebook.com/OlivierVaxPhoto

Qu’est-ce qui te fait lever le matin?

Orchidead : Les travaux juste à côté de chez moi qui commencent entre 7h et 8h le matin. Et si ce n’est pas ça, c’est la faim.

Bandyd’Ass : Probablement la bonne dizaine d’alarmes qui sonnent sur mon téléphone.

Holy Vétom : Certains jours les courbatures, mais le plus souvent c’est les gribouillis notés dans mon agenda qui me sortent du lit !

Ta plus grande qualité?

Orchidead : Je ne lâche rien. Au derby, je suis toujours à la poursuite de la jammeuse (et je me prends la faute qui va avec du coup)

Bandyd’Ass : Je suis combative ! Et c’est très pratique au derby !

Holy Vétom : Je suis persévérante, d’autres diraient « casse-couille », mais bizarrement je préfère persévérante. C’est ce qui m’a permis de progresser dans le Roller Derby, après chaque chute il faut se relever, réessayer, encore, encore et encore !

Ton plus grand défaut?

Orchidead : Je n’arrive pas à prendre parti. Je suis souvent neutre dans les situations de conflit, ce qui peut paraitre lâche quand un ami cherche du soutien.

Bandyd’Ass : Mon côté stressé et stressante… mais je le vis bien ! Les autres un peu moins…

Holy Vétom : J’ai évidemment des défauts à la pelle, mais je crois que mes coéquipières vont me vanner pendant des mois si je n’avoue pas que je suis une grosse tricheuse !

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté?

Orchidead :  Oui, je pense, même en ayant que Facebook comme réseau social.

Bandyd’Ass : Hélas oui… mais il faut l’être si on veut rester au courant des actualités, surtout dans le milieu du roller derby. Et rien de tel que les réseaux sociaux pour partager avec ses coéquipières et ami(e)s les souvenirs de nos « exploits » en tout genre.

Holy Vétom : J’imagine que pour les stalkers je ne le suis pas assez J (est-ce que le fait d’utiliser le mot « stalker » fait de moi quelqu’un de connecté ?)

Le héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler?

Orchidead : Les Cat’s Eyes, un mélange des 3.

Bandyd’Ass : Scrat, de l’Âge de Glace, car il est persévérant et s’accroche à son rêve coûte que coûte ! (Finalement, je lui ressemble peut être déjà un peu… )

Holy Vétom : Je suis totalement fan de Kelly Bailey, une des héroïnes de Misfits. Elle est vraiment cool, droite dans ses bottes, très attentionnée vis-à-vis de ses amis et elle à un sens de la répartie assez génial ! Même si elle est super vulgaire, je l’aime beaucoup !

Le job que tu as toujours rêvé de faire?

Orchidead : J’ai la chance de faire le métier dont j’ai toujours rêvé, la recherche scientifique. Mon autre rêve aurait été de faire réalisatrice, mais là ma famille m’aurait excommuniée

Bandyd’Ass : J’aurais rêvé être pilote de chasse! Je rêvais d’un métier qui allie le calcul, la stratégie, la discipline et le sport, avec en plus l’envie au fond de moi d’intégrer un corps militaire! L’idée de devenir pilote de chasse m’est venue après avoir fait de superbes voltiges aériennes en hélicoptère, et avoir adoré les sensations. Pas de chance, je n’ai pas mangé assez de soupe quand j’étais petite!

Holy Vétom : Petite je voulais être scientifique dans un sous-marin… Seulement je suis nulle en maths et un peu claustro J
 
Votre héros dans la vie réelle ?

Orchidead : Claude Bernard. C’est une personnalité du 19è siècle qui a réussi à allier le coté créatif (il écrivait des pièces de théâtre même si elles n’avaient pas beaucoup de succès), et surtout le coté scientifique: il a mine de rien inventé la discipline de la physiologie !

Bandyd’Ass : Kacy Catanzaro pour sa performance à l’American Ninja Warrior. Je l’ai découvert récemment, mais elle m’a bluffé ! Une vraie battante, qui va au bout de ses idées et qui s’est donné tous les moyens pour atteindre son objectif.

Holy Vétom : J’ai cherché parmi les scientifiques, les artistes, les sportifs, etc… mais je crois qu’en fait mes vrais héros et héroïne dans la vie réelle ce sont toutes les personnes qui se sont un jour fixé un objectif (même tout petit) et qui se sont donné les moyens de les atteindre !
 
La chanson que vous sifflez sous la douche ?

Orchidead : J’invente mes propres mélodies sous la douche, et c’est souvent très laid.

Bandyd’Ass : The boy is mine, de Brandy et Monica. Triste réalité. Mais mes coéquipières comprendront…

Holy Vétom : En ce moment c’est « Une bonne paire de claques » de Tété. La mélodie est tellement douce et les paroles tellement cinglantes, ça frôle le génie ! Impossible de me la sortir de la tête, mon pommeau de douche n’a qu’à bien se tenir !

Comment te vois-tu dans 20 ans ?

Orchidead : Oubliée dans mon labo et toute ridée à cause des produits chimiques. Sinon j’espère être encore dans le monde du roller derby en étant arbitre (de matchs de haut niveau, ça serait le rêve). C’est en tant qu’arbitre que je m’étais inscrite chez les Hell’s Ass à la base.

Bandyd’Ass : Toute cassée ? Mais toujours aussi heureuse ! Je ne sais pas vraiment comment ça vieilli une joueuse de roller derby… entre les coups, les chutes, les bleus voir mêmes les fractures… dans tous les cas, si je ne suis plus sur des patins, je serais dans les gradins à m’égosiller la voix pour encourager mon équipe !

Holy Vétom : Un peu comme Bandy, je serais certainement toute cassée de partout, mais bien contente (et un peu fière) de l’être. Et puis de temps en temps je me ferais une petite rando roller pour doser les p’tits jeunes !

Mon film culte ?

Orchidead : The Big Lebowski Ça m’a permis d’avoir droit à une partie de bowling en peignoir pour mon enterrement de vie de jeune fille, avec le russe blanc qui accompagne bien sûr.

Bandyd’Ass : Le diner de cons. Il ne m’en faut pas plus pour me faire rire… Qui a dit que c’était mal de se moquer ? 😉

Holy Vétom : The Fall de Tarsem Singh, je trouve ce film tellement beau, certains plans sont à couper le souffle. J’aime bien les belles histoires un peu cruelles. Et puis la scène d’ouverture sur fond de symphonie n° 7 de Beethoven est vraiment superbe !

Ce que vous détestez par-dessus tout ?

Orchidead : Pour avoir eu en retour des commentaires négatifs sur mes proches sans aucune raison valable (si ce n’est le besoin de se rassurer soi-même(?)), je dirais les langues de p…

Bandyd’Ass : Les gens hautains et prétentieux, qui se croient au-dessus de tout et de tout le monde. Que chacun reste à sa place !

Holy Vétom : Avoir mal aux pieds !

Le talent que vous aimeriez avoir ?

Orchidead : Le côté créatif: savoir dessiner, jouer de la musique, écrire.

Bandyd’Ass : Celui de « La femme invisible » dans les 4 Fantastiques. Rien de tel pour passer ni vu ni connu à travers un pack pendant les matchs.

Holy Vétom : J’aimerais beaucoup avoir le sens de l’orientation, c’est vraiment très pénible de se perdre tout le temps !

Le dernier fou rire?

Orchidead : Avec des copains rencontrés à l’improviste dans la rue et avec qui on a fini dans un bar.

Bandyd’Ass : C’était lors de mon dernier entrainement de roller derby. On a tenté de faire une pyramide humaine à cinq étages… mais, un jour, on y arrivera !

Holy Vétom : Je crois que c’était avec mes frères lors d’un repas de famille. Par contre impossible de me souvenir à propos de quoi…Mais j’avais super mal aux joues et c’est bien chouette comme sensation.

Que manque-t-il, d’après toi, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?

Orchidead : Les transports de nuit plus fréquents.

Bandyd’Ass : Je ne sais pas vraiment… Strasbourg réunit déjà énormément de choses.
Par contre, je trouve que pour une ville de cette envergure, le fait que tous (ou la majeure partie) des commerces soient fermés le dimanche est vraiment dommage. Je viens d’une ville où tout est constamment ouvert tout le weekend, c’était un peu frustrant à mon arrivée sur Strasbourg de voir porte close partout le dimanche!

Holy Vétom : Je trouve qu’on ne s’approprie pas assez notre espace public. J’ai souvent l’impression que la rue n’est qu’un lieu de passage et pas trop un lieu de vie à part entière.

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?

Orchidead : J’adore la Krutenau, c’est convivial. C’est un village dans la ville où tout le monde se connait et se salue.

Bandyd’Ass : Neudorf ! Je suis arrivée dans ce quartier par hasard quand j’ai posé mes valises dans cette ville, et je l’ai adopté. Bien placé, vivant, agréable à vivre et tout est à proximité. C’est une ville dans la ville !

Holy Vétom : Mon premier appartement à Strasbourg était situé Boulevard de la Marne, je garde une petite tendresse pour ce coin de la Ville.
 
Restaurant préféré ?

Orchidead : Com’o Resto, ce n’est pas un vrai resto certes, mais j’adore le concept de pouvoir manger dans son bar préféré des platsexcellentissimes. Sinon un vrai resto avec des vraies tables et des vraies chaises, la Ruche aux deux Reines.

Bandyd’Ass : J’aime beaucoup L’épicerie. Ça change des restaurants classiques habituels, que ce soit pour le contenu de son assiette (enfin, de sa tartine…), ou pour le cadre atypique du restaurant.

Holy Vétom : L’Acérola, rue du Renard Prêchant. Pour découvrir la cuisine brésilienne il n’y a pas mieux ! C’est vraiment très très bon et différent de ce qu’on a l’habitude de manger. J’y ai emmené ma maman quelques temps après l’ouverture et elle m’en parle encore aujourd’hui !

Bar préféré ?

Orchidead : Le Marché Bar, à la Krutenau. Les serveurs sont géniaux et ils servent la bonne bière de chez Uberach.

Bandyd’Ass : Le Xanadu, pour nos nombreuses soirées d’avant/après match depuis plusieurs années. Comment ne pas aimer un bar qui est fan des Hell’s Ass ?

Holy Vétom : Pour une soirée entre copains, le Chariot est tout indiqué, les serveurs sont adorables et on s’y sent bien !

Endroit que vous adorez à Strasbourg, mais que vous avez honte de dire ?

Orchidead : Le centre commercial de Rivétoile. Plus pour voir du monde que pour faire les magasins.

Bandyd’Ass : Les jeux d’eau et de lumière qui ont lieu tous les étés… je n’en ai pas loupé un en quatre ans.

Holy Vétom : Le marché de Noël…Je sais qu’il est de bon ton de le critiquer, que c’est trop commercial, qu’il y a trop de monde, etc…mais moi je m’en fous, j’adore Noël !!

Quelle est la chose que vous changeriez en premier si vous étiez maire de Strasbourg ?

Orchidead :Des créneaux dans des bonnes salles tous les jours pour les 2 équipes de roller derby, les Hell’s Ass et les Menneles. Non je plaisante,aucune idée je suis apolitique.

Bandyd’Ass : Je ferais d’office tracer un track de roller derby dans tous les gymnases de la ville !

Holy Vétom : Je prendrais mes deux coéquipières comme adjointes, j’aime bien leurs idées ! Mais surtout je déterrerais le projet du « Hall de la glisse », pour que les sports « alternatifs » puissent aussi avoir un lieu où pratiquer dans de bonnes conditions (genre dans un lieu avec des toilettes, une infirmerie…). Il y aurait aussi un bar et des dortoirs pour pouvoir organiser des mégas compétitions ! Il va sans dire qu’il y aurait surtout un track de Roller Derby !!

Ta marque alsacienne préférée ?

Orchidead : L’année dernière j’ai craqué pour un sac de la marque Bretzel Airlines (parenthèse girly close). Les créateurs sont très sympas et ils m’ont filé des super autocollants qu’un des Menneles m’a piqués pour coller sur son casque.

Bandyd’Ass : Cuisinella. ah-ah-ah-ah…

Holy Vétom : Sans hésiter les yaourts Alsace Lait, surtout ceux aux Myrtilles ! De toute façon ce n’est pas compliqué, c’est les seuls yaourts que j’achète !


 
Qu’est que tu choisirais comme nom de catcheur mexicain ?

Orchidead : Que signifie ton nom derby tu veux dire ? Un jeu de mots entre Orchidée (car je travaille sur les plantes) et la mort en anglais. Et puis surtout Orchis en latin ce sont les attributs masculins : si vous regardez la racine des Orchidées, vous comprendrez d’où vient leur nom. Donc oui ça veut aussi dire que je suis une casseuse de c……

Bandyd’Ass : Sans hésitations : Bandyd’Ass ! J’ai choisi ce derby-name il a 4 ans en débutant le roller derby, et je ne me vois pas en changer, peut importe le sport. D’ailleurs il a quasiment remplacé mon vrai prénom, presque personne ne m’appelle Céline! Pour la p’tite histoire de ce choix : je voulais retrouver le « as » de la fin de mon nom de famille et le « ass » du nom de l’équipe. Et puis j’ai découvert qu’au derby il y avait une zone « prison » où sont envoyées les vilaines joueuses. Sachant qu’avec mon caractère je risquais de faire pas mal de pénalités, je me suis dis que c’était plutôt ironique qu’un « bandit » finisse sa course en prison! Et hop du coup « Bandyd’ass » est née! (Et j’essaye toujours tant bien que mal de pas me faire envoyer en prison…^^) »

Holy Vétom : Mon nom Derby vient du dessin animé « Olive et Tom », j’ai choisi ce nom à cause des paroles du générique : « Olive et Tom ils sont toujours en forme, Tom Olivier sont super entraînés, Olive et Tom ils sont venus pour gagneeeeeeeeeeer », c’est pas mal pour impressionner l’équipe adverse non ? Et puis j’aime bien la tête des gens quand ils le disent à voix haute et qu’ils comprennent d’un coup « Holy Vétom ? Ah ouaiii OLIVE ET TOM !!!! ». Après ils ont la chanson en tête et ça, c’est encore plus cool !

En 3 mots, décris-nous Strasbourg ?

Orchidead : Elégante, humaine, historique.

Bandyd’Ass : Accueillante, attractive, surprenante.

Holy Vétom : Charmante, mystérieuse, en mouvement.

Ton actualité?

Orchidead : C’est tout frais, c’est tout récent, j’ai trouvé un travail à l’étranger et je commence dès juillet. Je suis un peu triste de quitter mes amis, mon équipe des Hell’s Ass et celle des Menneles que j’avais commencé à entrainer, mais c’est une super opportunité pour moi. Le point positif c’est qu’il y a de bonnes équipes derby là-bas.

Bandyd’Ass et Holy Vétom : Nous on reste à Strasbourg, sauf si Orchidead nous emmène dans ses valises !

On va profiter de l’été pour rouler en extérieur et attendre patiemment septembre et la reprise des entraînements pour une saison qui, on l’espère, sera encore meilleure que celle qu’on termine !

Ride to Hell !
hell sass derby girls.com

© Olivier Vax https://www.facebook.com/OlivierVaxPhoto

Portrait Kapoué n°21: L’atelier du barbu, végétarien et strasbourgeois

L’atelier du barbu, végétarien et strasbourgeois

Qu’est ce qui te fait lever le matin?

C’est une question que je pose dans mes rencontres de passionnés et il est plus facile de la poser que d’y répondre. Mais j’ai la réponse, c’est la chance de faire ce que j’aime aujourd’hui , de pouvoir laisser libre cours à mon imagination en cuisine, aller sur les marchés, parler avec les producteurs, découvrir les produits de saison pour ensuite imaginer des recettes et les partager avec les gens qui me suivent .

Ta plus grande qualité?

Je suis persévérant, quand une recette n’est pas à la hauteur de ce que j’aurais envisagé, je la reprends encore et encore, jusqu’à qu’elle le soit.

Ton plus grand défaut?

Quand j’ai une idée en tête, je dois la mettre à exécution immédiatement ! Je travaille un peu à l’intuition. Quand j’ai une idée de recette, il faut que je la teste tout de suite.

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté?

Oui, je suis quelqu’un de connecté, présent sur 3 réseaux sociaux, pas forcément pour voir ce que font mes amis sur tel ou tel réseau mais plutôt pour rester informé puisqu’aujourd’hui la plupart des nouveautés et des informations passent par là.

Le héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler?

Oggy de Oggy et les Cafards, parce qu’il lui arrive toujours des tuiles mais qu’il trouve toujours une solution, et ça, avec le sourire et avec une bonne dose d’humour. J’ai gardé une petite part d’enfant, j’aime bien les cartoons.

Le job que tu as toujours rêvé de faire?

Etant gamin, je rêvais d’être égyptologue, l’Egypte ancienne est restée une passion mais aujourd’hui je fais ce que j’aime, je cuisine tous les jours.

Votre héros dans la vie réelle?

J’admire beaucoup Michael Jordan, parce qu’on lui a toujours dit qu’il n’arriverait pas à jouer à haut niveau mais il a fait plus que ça, il est devenu LE meilleur joueur de tous les temps. Il est passé outre tous les gens qui voulaient le rabaisser, il a prouvé qu’avec de la persévérance et du travail on pouvait faire mentir ses détracteurs.

La chanson que vous sifflez sous la douche?

En ce moment, Chaque nouvelle page de Dub Incorporation.

Comment te vois-tu dans 20 ans ?

Chauve ! Mais toujours barbu ! J’aurais rencontré plein de gens, j’aurais voyagé, j’aurais vécu la vie que j’ai toujours voulu vivre.

Mon film culte?

Mon nom est personne, avec Terence Hill. Une bonne piqûre d’humour sur fond de Western. Familial mais fun !

Ce que vous détestez par-dessus tout?

Le mensonge, ça n’apporte strictement rien et un jour tout fini par se savoir.

Le talent que vous aimeriez avoir?

Les mêmes griffes que Wolverine, comme ça je n’aurais plus besoin d’aiguiser mes couteaux !

Le dernier fou rire?

Avec un copain à l’appart autour d’un quizz sur « Quelle bière es-tu ? »

Que manque-t-il, d’après toi, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?

D’après moi, bien que les choses commencent à changer, il nous manque une vraie culture « végé » qui pourrait se traduire par un plus grand choix de restaurants végétariens et végétaliens en ville.

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?

J’aime bien la Krutenau parce que ça bouge et en même temps je suis super bien dans mon quartier de la Neustadt.  J’aime l’architecture de ce quartier, personne ne se prend la tête, c’est propre et calme, et je suis à 5 minutes du centre-ville.

Restaurant préféré?

J’adore le Petit Mezze, situé rue Sainte Barbe, en tant que végétarien, on y a toujours un choix complet de spécialités libanaises et j’apprécie beaucoup la cuisine du Liban. C’est un mélange de textures, des saveurs complexes qui se marient très bien entre elles, à chaque plat tu as des sensations nouvelles, tu voyages !

Bar préféré ?

Sans hésitation, les Savons d’Hélène, j’aime l’ambiance chaleureuse et conviviale de ce lieu, même pour manger, il y a du choix pour les végétariens. On peut s’y retrouver avec ses amis autour de grandes tablées. Ils proposent toujours des petits concerts et des tables de langues, ils font sortir la culture d’un carcan et la mettent à la portée de tous.

Endroit que vous adorez à Strasbourg mais que vous avez honte de dire?

Hyper cliché et très touristique, j’aime assister aux illuminations estivales à la cathédrale et au barrage Vauban. Je n’y vais qu’une fois pour voir ce que ça donne mais je ne les rate pas

Quelle est la chose que vous changeriez en premier si vous étiez maire de Strasbourg?

Je fermerais le zoo de l’Orangerie, les animaux ne sont pas là pour nous divertir, leur place est dans leur milieu naturel. Je ne supporte pas de voir les singes, entre autres, s’ennuyer ferme sous le regard des curieux, pensant faire un safari en plein cœur de Strasbourg.

Ta marque alsacienne préférée?

Peu de marques alsaciennes proposent des produits végétariens, encore moins végétaliens ! Spontanément, je citerais les Confitures du Climont.

Qu’est que tu choisirais comme nom de catcheur mexicain?

El Barbo !

En 3 mots, décris-nous Strasbourg?

Majestueuse, chaleureuse, humaine.

Ton actualité?

Je lance L’Atelier du Barbu, végétarien et strasbourgeois. Qu’est-ce que c’est me direz-vous ?

Un projet inédit à ce jour à Strasbourg, le Barbu propose des ateliers culinaires à domicile pour végétariens, végétaliens et omnivores curieux, des recettes végétariennes et végétaliennes, des rencontres de passionnés alsaciens, et des tests de restaurants où je découvre les offres végétariennes proposées par les restaurateurs strasbourgeois, si offre (s) il y a.

Et l’aventure va plus loin, très prochainement, le Barbu fera le marché pour vous et complétera ses paniers de trouvailles végétales pour faciliter la vie des végé strasbourgeois et promouvoir ce mode de vie.

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