Jeu d’enquête à Strasbourg : Disparition à la tour du Schloessel

Jeu d’enquête à Strasbourg : Disparition à la tour du Schloessel

J’ai eu l’occasion de participer à une enquête en plein air samedi dernier organisée par la Ville de Strasbourg, avec la Maison des Jeux, le Parc Naturel Urbain Ill Bruche et les Tisseurs d’Etoiles.

Principe du jeu :
Une disparition suspecte a eu lieu dans la nuit du 10 au 11 mai 2017. La Police Nationale a du mal à trouver le coupable, elle fait donc appel à des enquêteurs supplémentaires : nous, les joueurs !
Affublés d’une liste de suspects et de cartes du coin, on va devoir aller interroger ces personnes pour trouver la solution à l’énigme et le coupable. Nous avions environ 3 heures pour tout faire. Le parcours commençait à pied de l’Elsau en passant par Koenigshoffen et la Montagne Verte.

Pitch de l’histoire :
11 mai 2017 : les habitants des quartiers de Koenigshoffen, de la Montagne Verte et de l’Elsau sont en train de préparer la fête du Parc Naturel Urbain qui a lieu les 3 prochains jours. Mais l’on commence à s’inquiéter : la maison du PNU reste désespérément fermée. Très vite, la rumeur se répand : il semblerait que Robert Schmitt, le gardien de la tour du Schloessel, ait disparu subitement dans la nuit du 10 mai. Des témoins affirment d’ailleurs l’avoir vu errer la nuit avant sa disparition, totalement désorienté, dans le parc Albert Schweitzer. Qu’a-t-il bien pu lui arriver ? Le commissaire Bosco est dépêché sur les lieux afin de faire toute la lumière sur cette affaire et au vu de l’ampleur du quartier, décide de faire appel à des enquêteurs volontaires. Percez l’énigme de la disparition de Robert en allant à la rencontre de personnages hauts en couleur, dans des lieux emblématiques du parc naturel urbain.

Avis sur cette après-midi de jeu :
Très fun, on a bien marché, on a posé les bonnes questions (ou presque !). Ça m’a fait pensé à un escape game au grand air ! Les acteurs étaient à fond dans leurs personnages et on s’est pris vraiment au jeu. Le but de l’événement était aussi de faire découvrir le coin : ces parcs, le camping, la Tour du Schloessel : super idée de la ville de Strasbourg, car ludique et surtout gratuite ! On a réussi à trouver l’énigme, tout est rentré dans l’ordre et le (ou les) coupable(s) a été arrêté ! Dommage que ce genre d’événement ne soit pas plus souvent… Apparemment le prochain sera le 14 Octobre 2017, surveillez Facebook, et inscrivez vous !

Batorama organise la première « Duck Race » à Strasbourg !

Batorama organise la première « Duck Race » à Strasbourg !

Dans le cadre des festivités de son 70ème anniversaire, Batorama propose une opération insolite et totalement inédite à Strasbourg. Le 27 mai aura lieue la toute première « Duck Race » – course de canards en plastiques – sur l’Ill : 15 000 canards en plastique seront mis à l’eau du côté du Pont Saint-Martin à la Petite-France et se disputeront le franchissement de la ligne d’arrivée à hauteur du Pont Saint-Guillaume, au gré des courants.
Sur le parcours, les « compétiteurs » et leurs supporteurs seront accompagnés par une déambulation musicale. L’ensemble sera clôturé par un événement des plus festifs, ouvert à tous. (L’opération est organisée avec le concours de Voies Navigables de France et de la ville de Strasbourg.)

Adoptez un canard pour la « course »

D’ici là, les strasbourgeois sont invités à « adopter » l’un des 15 000 petits canards qui sera sur la ligne de départ de cette course inédite et à venir l’encourager le jour J. « L’adoption » du canard se fait en ligne, sur batoramashop.com et dans la boutique Batorama, place de la Cathédrale à Strasbourg.
Proposés à 3 €, les petits canards en plastique pourront être récupérés par leurs « parrains » après la course.

Un parrainage ludique pour une noble cause.

Dans le cadre de ce « parrainage » ludique, un montant de 1,5 € par canard, sera reversé à l’association Rêves, dont l’objectif est de collecter des fonds permettant d’exaucer les rêves d’enfants gravement malades. L’objectif est donc de susciter un élan de générosité qui permette de s’approcher le plus possible du nombre total de petits canards mis à l’eau.

Pour ma part, je viens d’acheter le mien, alors à vous de jouer les amis, c’est pour la bonne cause !

Toi aussi #adopte1canardcoache-le et poste tes vidéos ou tes photos sur les réseaux sociaux.

Plus d’infos sur Batorama.com !

Après un évènement haut en couleurs et en soleil, voici la petite vidéo que j’ai pu faire du lancement des canards à l’arrivée :

Bal des pompiers de Strasbourg le 13 juillet 2016

BAL DES POMPIERS DE STRASBOURG LE 13 JUILLET 2016

Les strasbourgeoises et les strasbourgeois, toutes générations confondues, sont conviés à partager une soirée estivale et festive à la caserne Ouest de Strasbourg (Cronenbourg) qui ouvre spécialement ses portes  pour cette seconde édition du célèbre Bal des Pompiers.

DJ, surprises et gourmandises sont au rendez-vous de cet événement qui s’annonce inoubliable et dans le respect d’une tradition aussi mystérieuse qu’incontournable !

Si ce bal est centenaire dans certaines villes de France, il est tout jeune dans notre belle capitale européenne et à l’initiative d’une équipe de pompiers dynamiques issus de quatre casernes : Nord – Sud – Ouest et Finkwiller.

L’équipe organisatrice caresse le doux rêve de proposer un événement convivial qui pourrait, au fil des années, s’inscrire dans le calendrier des sorties incontournables de l’été, à la veille du 14 juillet.

Infos pratiques :
À partir de 18h / 5€ l’entrée dont une consommation offerte
Animations – DJ – buvette – restauration sur place
Au Centre d’Incendie et de secours Ouest de Strasbourg, 4, rue du Zielbaum.

Pour communiquer autour de cet événement, une page Facebook est animée par l’équipe en charge de la communication et une vidéo teaser réalisée par deux étudiants de la MJM circule sur les réseaux sociaux :

Page Facebook

Bal des pompiers de Strasbourg – 13 juillet 2016 from David Bynch on Vimeo.

Invité Kapoué n°31 : Papy Guy redynamise les dictées !

Soutenez Papy Guy pour redynamiser les dictées !

La dictée, cet exercice autant redouté par les enfants que les parents, est pratiqué depuis de nombreuses années. Ça commence à prendre la poussière, non ? Heureusement, Papy Guy est là ! 😉

 Et si le moment était venu de moderniser la dictée?

C’est ce qu’a décidé le magazine Bibouille  en s’associant à un ancien enseignant Français Langue Étrangère, à un label pop-rock-électro et à une illustratrice.

C’est un projet éditorial sous forme de livre-disque, proposant des dictées distrayantes et éducatives. Elles sont conçues selon la méthode pédagogique de Guy Schelté (Papy Guy), professeur à la retraite de français langue étrangère et formateur.

Cet ouvrage mêle donc dictées courtes, dessins originaux de Delphine Harrer, musique pop-electro de Tristan Lepagney (du groupe Colt Silvers) accompagnée de la voix de Gilles Evrard.

L’objectif ?
Redonner le goût de la dictée aux enfants et ainsi les éveiller à la maîtrise de la langue .

Campagne de crowfunding

Pour réunir les fonds nécessaires au démarrage du projet, l’équipe a lancé une campagne de financement participatif sur Ulule. Elle espère recueillir 8 000 € d’ici fin juin, sur les 20 000 € nécessaires pour mener à bout le projet et rémunérer l’intégralité des artistes.

78% de la somme a déjà été récoltée

Il reste une semaine pour atteindre les 8 000 euros ! Foncez soutenir ce projet sur Ulule afin  que ce livre voit le jour : https://fr.ulule.com/dictees-papy-guy/

Vidéo de présentation :

Les BLACKBLITZ invitent (en vidéo) Elon Musk à installer son usine Tesla en Alsace

Les BLACKBLITZ invitent (en vidéo) Elon Musk à installer son usine Tesla en Alsace

En février dernier, le PDG de Tesla, Elon Musk annonçait la possibilité pour sa marque de voitures électriques de venir implanter dans le futur une usine en Alsace. Pour confirmer l’idée que notre région était idéale pour accueillir cette usine, l’équipe de BlackBlitz (agence spécialisée dans le web et la création de contenus) a concocté un clip vidéo mettant en situation une jolie Tesla noire sur les routes alsaciennes (plans tournés dans les alentours du Mont Sainte Odile, à Rosheim et au Parc d’Innovation d’Illkirch) avec en fond sonore un discours du patron de la marque.

Pour arriver à ce résultat, l’équipe a travaillé main dans la main avec Jérémy Wies (de Synovo et New Web, 2 start-up strasbourgeoises), et grâce au financement de Crédit Mutuel Porte Alsace de Dannemarie. Jérémy étant propriétaire de la Tesla et conducteur dans le clip.

Le but de ce clip étant qu’il arrive aux yeux et aux oreilles d’Elon Musk je compte sur vous pour partager cet article et cette vidéo le plus possible. La presse en a déjà parlé notamment les DNA, France 3 Alsace, et RTL…

« Elon, we’re ready for Tesla, let’s continue the magic in Alsace !« 

NB: Ce clip s’inscrit dans les projets vidéos annexes de BLACKBLITZ tels que HappyStrasbourg, BikingStrasbourg ou Strasbourg est Super sur lesquels j’ai pu contribué.

Invités Kapoué n°28: Cat and Cake, bar à chat à Strasbourg

Cat and Cake, le premier bar à chat à Strasbourg

Cat and Cake est plus qu’un salon de thé, c’est un bastion pour la cause animale et la plénitude, une bulle de détente et de tendresse dans nos quotidiens grisés,pour développer le bien-être de tous, défenseurs de la cause animale ou grands gourmands ! Ferventes partisanes des saveurs de notre région et des productions concernées par l’environnement, nous avons le désir de valoriser l’artisanat local et l’agriculture raisonnée. Ce sont toutes ces valeurs essentielles pour nous que vous retrouverez chez Cat and Cake, du bon et des ronrons !

Les porteuses du projet :

Nous sommes 3 étudiantes en communication à Strasbourg. Agées de 20 à 27 ans passionnées de chats et de sorties, nous avons voulu associer ces deux passions en proposant aux Alsaciens de découvrir un univers peu commun. Adhérez à notre projet, c’est mettre en avant entrepreneuriat féminin et étudiant local.

Voici ces 3 drôles de dames :
Amandine : 27 ans, la sagesse et la force tranquille
Eva : 20 ans, le punch et le dynamisme
Mélodie : 22 ans, la douceur et la stabilité

Nous suivons les deux formations obligatoires à l’ouverture de ce type d’établissement :

– La formation Hygiène en restauration.
– La formation CCAD option chat (Certificat de Capacité pour les personnes exerçant des activités liées aux Animaux de compagnie d’espèces domestiques) dispensée par le LOOF.

Description du projet :

A l’heure de la rapidité et du stress quotidien, venez profiter d’un instant de pure douceur dans un espace atypique. Participez à l’ouverture d’un salon de thé hors du commun à StrasbourgLe salon de thé Cat and Cake sera un espace convivial d’échanges et de partage entre humains… et chats ! Ce lieu sera habité par des chats venant de refuges ou sauvés d’euthanasie. Vous pourrez donc venir déguster ou emporter des boissons chaudes et froides et goûter de délicieuses pâtisseries et snacks salés, préparés par des artisans locaux, tout en passant ce moment au milieu des chats, qui pourront être câlinés, cajolés et surtout adoptés ! En effet, tous les chats présents dans le salon de thé pourront trouver une nouvelle famille aimante.

Cat and Cake, ce projet inédit en Alsace est né d’une passion pour le partage et les animaux. Il s’agit d’un salon de thé communautaire, axé sur la protection des animaux, l’artisanat local et l’éco-responsabilité.

Motivations :

Les effets bénéfiques des animaux sur la santé ne sont plus à prouver. Les chats par exemple ont la capacité de faire baisser le rythme cardiaque, c’est ce que révèlent les études nommées « ronron thérapie ». Ils réduisent le stress, l’anxiété et apportent bien être et apaisement.

Notre salon de thé s’oriente sur 3 valeurs qui nous tiennent à cœur :

– La cause animale :
Chaque année, des milliers de chats se retrouvent abandonnés, livrés à eux même, leur durée de vie dans la rue n’excède quelques mois. Nous voulons donc nous engager dans cette cause en sauvant ces chats et en leur permettant d’avoir une seconde chance afin de combler de bonheur leur nouvelle famille.

– Promouvoir le savoir-faire local :
Toutes nos collations seront préparées par des artisans locaux. Nous voulons ainsi mettre en avant les qualités et le savoir-faire Alsacien. Proposer les fabrications de ces artisans leur permet de faire connaître et valoir leur travail, mais également de vous sustenter.

– Le partage et l ’échange :
Notre salon de thé sera un espace de rencontre et de bien-être. Tant bien, entre humain ; partager un moment de bien-être entre amis ou en famille. Mais aussi entre humain et chat, les deux pourront s’apporter tendresse et affection.

Localisation :

Ces cafés existent déjà en France, mais pas encore à Strasbourg. De grandes villes européennes ont déjà leur bar à chat ; Paris, Vienne,Budapest etc… Pourquoi pas l’Eurométropole de Strasbourg ? Celui-ci se trouvera en hyper centre, sur la Grande Ile.

Avancement du projet :

Nous avons décidé de promouvoir le projet sur KISSKISSBANKBANK. Le financement participatif est un moyen actuel de faire connaître et avancer des projets innovants. Nous partons sur un minimum de 7000€ afin de garantir le fond de roulement nécessaire au démarrage de l’activité.

Contact :
Eva DA ROSA SANTOS : 06 16 54 11 56 / catandcakecontact@gmail.com
Facebook : Cat and Cake

Note du BlogKapoué (24/05/2016) : Entre temps, le Cat and Cake a ouvert au 24 rue Thomann à Strasbourg : les premiers échos sont plutôt bons, les pâtisseries, la décoration plaisent mais il y a en effet peu de chats à caresser… A vous d’aller tester !

Invité Kapoué n°26: Cheeba, la reine de l’urbex

Aujourd’hui, j’ai laissé Cheeba, présenter le temps d’un article sa passion dévorante pour l’urbex :

« J’ai commencé à m’intéresser à l’urbex (diminutif du terme Exploration Urbaine – Urban Exploration) il y a quelques années, en voyant quelques photos passer sur internet. Cela m’a donné envie de me lancer dans l’aventure.

Ce que j’aime particulièrement dans ce monde, c’est la recherche : c’est comme un grand jeu de piste.

Ce jeu commence quand un urbexeur poste des photos de bâtiments intéressants. En général, la région est donnée mais rien de plus. Pas de ville ou de coordonnées GPS ni de photos extérieures avec des éléments permettant de reconnaître le lieu (panneaux, véhicules avec plaques d’immatriculations etc.). Parfois un petit historique ou un surnom du lieu permettant de donner le thème ou style du lieu visité « Sanatorium du Diable », « Brasserie K. », « Manoir à la Verrière ».

J’ai visité quelques manoirs et maisons de maîtres mais j’ai une certaine préférence pour tout ce qui est friches industrielles. Mon père avait l’habitude de nous emmener visiter des chantiers mon frère et moi quand nous étions petits, c’est resté un très bon souvenir.

Ce mélange d’odeurs d’essence, de métal, de poussière et ces grands bâtiments abandonnés, l’ambiance lors des visites, c’est un peu comme une drogue. C’est toujours impressionnant de constater que des gens ont bossé sur ces lieux pendant des années et que du jour au lendemain, les lieux sont abandonnés avec le matériel, les dossiers administratifs et mêmes des objets personnels, comme s’il y avait un fléau ou une guerre et qu’il fallait se barrer dans l’urgence.

Qui dit urbex, dit également réactivité, car quand il y a des lieux qui deviennent trop connus, ils deviennent rapidement la cible des pilleurs, des casseurs, des squatteurs. C’est souvent le cas en ville, comme avec la Maison du Bâtiment ou France Telecom et Istra à Schiltigheim.

Niveau loi:
On frôle souvent l’illégalité en entrant sur une friche ou un manoir abandonné, car le lieu appartient toujours à quelqu’un, que ce soit à la mairie ou à la région, ce n’est jamais totalement abandonné. Certains gardiens sont plus compréhensibles que d’autres, voient qu’on a des appareils photos et comprennent qu’on ne vient pas pour voler du matériel, mais certains propriétaires peuvent être moins sympa quand ils constatent des dégradations, des vols. En fait, ce n’est pas impossible que toi, aussi innocent que tu puisses êtres, prenne pour tous les autres avec une amende et même de la garde à vue.

Je me suis déjà fait arrêtée deux fois, mais ce n’est jamais allé plus loin et ça ne m’empêche pas d’y retourner. Il y a des lieux qu’on peut faire et d’autres qui sont déconseillés, après il faut savoir ou s’arrêter. Et ne jamais y aller seul.

La suite ?
Je pense aller traîner du côté du Port du Rhin dès qu’il fera un peu meilleur, c’est une zone immense avec un gros potentiel et quelques spots abandonnés qui ne demandent qu’à être trouvés ! »

« Cheeba »

Portrait Kapoué n°29: Rémy & Geoffroy, fondateurs de « Epopia »

Rémy & Geoffroy, fondateurs de « Epopia »

Epopia, jeune entreprise strasbourgeoise, a développé un concept unique d’aventures épistolaires interactives pour les enfants de 5 à 12 ans. Par le biais d’une correspondance entre le jeune lecteur et des interlocuteurs imaginaires, la lecture et l’écriture deviennent un jeu. Epopia s’appuie sur le premier logiciel au monde d’intelligence rédactionnelle, sur l’imagination d’une équipe d’écrivains et sur les conseils de professionnels du monde de l’éducation. Forte de 1500 enfants conquis en à peine un an en France et à travers 15 pays, la société, primée à plusieurs reprises, lance une campagne Kickstarter pour adapter son modèle en anglais.

Rémy Perla, son fondateur et Geoffroy Planquart, co-fondateur, se livrent au jeu du portrait « made by Blog Kapoué ».

Qu’est-ce qui vous fait lever le matin ?
Rémy : L’envie de construire quelque chose de concret qui va faire rêver des enfants et leur donner des clés pour leur avenir.
Geoffroy : Le café et Epopia.

Vos plus grandes qualités ?
Rémy : Ayant connu des difficultés scolaires étant enfant, j’ai grandi dans l’échec. J’y suis donc devenu très résistant et ça me permet de traverser les grosses tempêtes sans trop vaciller.
Geoffroy : Ma détermination.

Vos plus grands défauts ?
Rémy : Avec l’âge, je deviens désespérément sérieux… pauvre de moi !
Geoffroy : Mon entêtement.

Vous considérez-vous comme des geeks ?
Rémy : Étant très empreint de toute la culture geek (SF, fantastique, jeux de rôle, jeux vidéo, informatique), oui, j’y baigne un peu. A 6 ans, je codais mon premier programme en BASIC, alors je dois certainement en être.
Geoffroy : Oui, sans aucun doute !

Les héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler ?
Rémy : Avant de devenir des héros, les personnages de fictions ont généralement d’abord une vie pourrie, du coup, ça ne me donne pas trop envie… Sinon, Bastien, de l’Histoire sans Fin, qui rentre tellement dans la lecture qu’il finit par passer de l’autre côté du miroir et entrer dans le monde de l’imaginaire : Fantasia ! Cette transgression est une véritable source d’inspiration dans mon travail de tous les jours.
Geoffroy : Batman.

Le job que vous avez toujours rêvé de faire ?
Rémy : Celui que je fais : entrepreneur. Créer et relever mille défis chaque jours, quoi de plus stimulant ?
Geoffroy : Bah c’est celui que je fais ^.^

Vos héros dans la vie réelle ?
Rémy : Les artistes (écrivain, musiciens, peintres…) : voir tout ce qu’ils sont capables de créer de beau et d’intelligent m’impressionne et me rappelle que l’imagination peut être vraiment sans limite.
Geoffroy : Le chat-monde de ma copine 🙂

La chanson que vous sifflez (honteusement) sous la douche ?
Rémy : « Allo allo monsieur l’ordinateur », de Dorothée. (Mais sans honte)
Geoffroy : Euh….

Comment vous voyez-vous dans 20 ans ?
Rémy : Toujours aussi actif, réactif et débordant de projets.
Geoffroy : Avec une plus grande moustache 🙂

Ce que vous détestez par-dessus tout ?
Rémy : Être en retard. Je fais toujours tout mon possible pour arriver en avance et quand je suis en retard, j’ai les nerfs !
Geoffroy : Commencer la journée sans café.

Le talent que vous aimeriez avoir ?
Rémy : Maîtriser des langues étrangères. Étant dyslexique, j’ai de grandes difficultés à sortir du français.
Geoffroy : Savoir dessiner.

Le dernier fou rire ?
Rémy : Nous recevons chaque jour des dizaines de lettres d’enfants et ils nous racontent souvent des histoires drôles. Mais, lorsqu’ils inventent leurs propres blagues, c’est là que ça devient vraiment marrant. Par exemple : « C’est deux oiseaux qui volent dans le ciel. Le premier demande « tu ne trouves pas qu’il fait chaud ? » Le second répond que non. Soudain le premier oiseau prend feu. Le second oiseau se pose doucement sur un étang. » …Et là, gros blanc, suivi d’un bon fou rire de toute l’équipe !
Geoffroy : Ce formulaire ?

Que manque-t-il, d’après vous, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe ?
Rémy : Un peu d’architecture loufoque qui interroge. Les rares qui osent se font vilipender.
Geoffroy : Une vie nocturne.

Si vous étiez un quartier de Strasbourg ?
Rémy : Neudorf -> c’est un village dans la ville.
Geoffroy : La Krutenau.

Restaurant préféré ?
Rémy : La Gallia (quand c’était encore le seul restaurant universitaire de France géré par des étudiants)
Geoffroy : L’Atlantico

Bar préféré ?
Rémy : La nouvelle Poste.
Geoffroy : L’Atlantico.

Endroit que vous adorez à Strasbourg, mais que vous avez honte de dire ?
Rémy : Non, là je ne vois pas, je n’ai honte de rien !
Geoffroy : Euh…

Votre marque alsacienne préférée ?
Rémy : La marque « Université de Strasbourg », j’en ai un sweat-shirt inédit.
Geoffroy : Epopia.

En 3 mots, décrivez-nous Strasbourg ?
Rémy : Tram, calme et Flam.
Geoffroy : Ville cosmopolite étudiante.

Votre actualité ?
Rémy : Epopia a publié une seconde histoire par correspondance où les enfants deviennent directeur et directrice d’une grande réserve naturelle et doivent protéger les animaux. En un an, Rêve aux lettres a ainsi plongé plus de 1600 lecteurs dans ses aventures fantastiques et, désormais parrainé par Tomi Ungerer, nous espérons pouvoir bientôt partager toute cette magie avec les enfants du monde entier grâce à la campagne de financement participatif que nous avons lancé sur Kickstarter.
Geoffroy : La campagne Kickstarter qui a mis toute l’équipe sur le pied de guerre depuis plusieurs semaines. On a de grandes ambitions et une belle solidarité dans l’équipe, même si on sait qu’on prend de gros risques…

Epopia : https://www.epopia.com/

Sur Facebook : https://www.facebook.com/Epopia/

Sur Instagram : https://www.instagram.com/Epopia_/

Pour les soutenir sur Kickstarter : https://www.kickstarter.com/projects/1427246697/dream-letters-turn-your-child-into-an-avid-reader

Invité Kapoué n°9 : Court métrage « E Elssasisches Axt-Massaker »

Invité Kapoué n°9 : Court métrage « E Elssasisches Axt-Massaker »

Aujourd’hui, voici un mini article pour soutenir un projet fun et alsacienE Elssasisches Axt-Massaker qui sera tourné en fin novembre prochain.

E Elssasisches Axt-Massaker est un conte horrifique qui prend la forme d’un court-métrage de 12 minutes. Né de l’esprit tourmenté du réalisateur Hervé FREIBURGER et soutenu en dépit du bon sens par les gentils tarés de SYNOVIE, le film s’articule autour de la rencontre entre Chris, Parisien pure souche venu en Alsace pour tirer un coup, et Jean, un local aussi accueillant que mystérieux qui va le mettre en garde sur la menace qui rôde dans les bois…

Pourquoi soutenir ce projet ?

Vous êtes indispensables à la réussite du projet. E Elssasisches Axt-Massaker est un court-métrage de genre, réalisé avec rigueur, et demande donc des moyens à la hauteur du résultat souhaité.

Une équipe de professionnels passionnés a déjà été réunie et le tournage est imminent, puisqu’il s’étendra sur une semaine fin novembre-début décembre, notamment de nuit. Dans le froid. En forêt.

C’est donc bien pour assurer un tournage et une post-production optimale que nous avons besoin de votre soutien. Et plus précisément :

  • pour donner la meilleure image possible et ainsi louer une caméra 4K, des optiques cinéma et tout le matériel lumière nécessaire pour l’éclairage travaillé du film
  • pour réaliser des maquillages et des effets spéciaux de plateau ambitieux, et concevoir une créature à la hauteur de sa légende
  • pour construire des décors et créer des costumes qui vont donner corps à cette histoire
  • pour créer une séquence complexe en studio
  • pour développer des effets numériques en post-production
  • pour la création et l’enregistrement de la musique du film
  • pour nourrir, hydrater et réchauffer une équipe qui travaillera d’arrache-pied durant une semaine de décembre qui s’annonce glaciale…

Les références de E Elssasisches Axt-Massaker ?

Le projet cherche à rendre hommage à ces slashers fauchés mais francs, ces contes à la Creepshow et ces bandes d’horreur à la morale sincère d’une époque où la production cinématographique n’était pas encore envahie d’œuvres cyniques et désabusées. Nous voulons retrouver l’atmosphère particulière de ces films qui arrivent à mêler adroitement horreur et humour. Ainsi Evil DeadFantômes contre Fantômes, Drag Me to Hell, Le Bal des Vampires et L’Auberge Rouge de Autant-Lara sont autant de références pleinement assumées pour ce court-métrage tout en ambiance lugubre et en situations comiques.

Comment soutenir le projet et suivre les infos ?

La page Facebook pour nous suivre : https://www.facebook.com/axtmassaker/

La page Ulule pour contribuer : http://fr.ulule.com/axt-massaker/

Interview de Joël Irion, le twittos derrière le compte Twitter @PNationale67

Interview de Joël Irion, le twittos derrière le compte Twitter @PNationale67

Le compte Twitter @PNationale67 fait beaucoup parler de lui dans le département avec sa réactivité, sa pédagogie et son ton parfois décalé… J’ai voulu savoir qui se cachait derrière l’écran pour en savoir plus, voici donc une petite interview de Joël Irion, le chargé de communication de la Police dans le Bas-Rhin.

Comment êtes vous arrivé à ce poste ?
Je suis policier avant tout, mais comme dans ma vie privée, j’ai des activités artistiques, notamment la scène, j’ai une facilité pour la communication. Je m’occupe donc du compte Twitter de la Police dans le 67, mais aussi de la communication interne et externe de la Police pour le département et de la prévention médiatique (comme par exemple la caméra cachée sur les pickpockets à Strasbourg).

Êtes vous de Strasbourg ?
Oui, natif Strasbourgeois affecté à Strasbourg depuis 1996.

Êtes vous quelqu’un de connecté à titre personnel ?
Non, mais le compte @PNationale67, c’est mon bébé ! Je suis connecté partout : chez moi, en vacances, dans les transports et surtout, au bureau (smartphone, tablette)

Quelqu’un vous remplace pour la gestion de ce compte pendant vos congés ? La communication sur les réseaux sociaux étant « fragile », je préfère être le seul à avoir la main sur compte, c’est une décision personnelle. Du reste, lorsque je me déplace dans des endroits où je n’ai pas de Wifi (un drame), c’est Florian mon collaborateur qui prend le relais. Quelle est pour vous la vraie utilité de ce compte Twitter ? Mon but premier est de faciliter le rapprochement Police → Population (par exemple : Concours dessin avec visite enfants). Je ne supporte pas qu’on se fasse des fausses idées sur notre métier, j’ai envie de montrer le vrai visage simple et accessible de la Police.

Comment choisissez-vous les comptes à suivre sur Twitter ?
Le compte @PNationale67 a un devoir de neutralité, j’évite donc tous les comptes trop orientés politiquement, je suis plutôt des comptes qui ont besoin d’aide, les médias locaux et nationaux, ou des figures locales comme
MPokora un enfant du pays ou Brice Conrad (dont le papa est un ancien policier) par exemple.

Gérez vous d’autres réseaux sociaux pour la Police ? Que pensez vous de Periscope, la version vidéo live de Twitter ?
Je ne m’occupe que de Twitter ; pour Periscope, je n’en vois pas l’utilité car nous n’avons rien a vendre, et nous ne faisons pas non plus la course aux followers.

Avec ce compte Twitter, vous a t’on demandé des résultats précis ?
Non, la mission c’est d’être présent sur les Réseaux Sociaux. Au niveau départemental, nous sommes en phase de test. En tout, il y a 1 compte Twitter national @PNationale et 5 comptes départementaux «pilotes» dont le 67.

D’où viennent vos infos, et quelles sont celles que vous ne twittez pas ? Les infos viennent de l’hôtel de police et des médias, mais nous vérifions systématiquement si l’info peut être twittée ou pas : pas de messages anxiogènes, ni des messages sur des instructions en cours.

Y a t’il un compte Twitter équivalent à la Gendarmerie, et d’ailleurs avez vous la parodie d’Eric & Quentin du Petit Journal sur les gendarme qui tweetent?
Non en départementale chez les gendarmes, mais un compte Twitter national… J’ai vu la vidéo, ça m’a fait sourire mais c’est un peu caricatural.

Pour finir, que pensez vous du métier de Community Manager ?
J’ai fait déjà plusieurs postes à la Police. Quand je suis arrivé à la communication, mes collègues pensaient que c’était la planque alors que pour moi c’est essentiel : rien de pire que les non-dits ! La communication est indispensable.

NB : Voici un sondage mis en place pour évaluer les retours du compte, si vous avez un moment, répondez aux questions : https://docs.google.com/forms/d/1SpziEpgIsgTuSXKmsGLtZSPdwJ1BsSlDNd0miwE2Syc/viewform

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