HypeAuditor, l’outil indispensable pour analyser les comptes Instagram

Hello les amis connectés, ça va?

On va pas se le cacher, tout le monde passe son temps sur Instagram à l’heure actuelle. On veut tout voir sur nos potes, tout savoir sur telle ou telle marque, ou tout simplement glander en regardant la stories des uns et des autres… Instagram, au début, c’était sympa, mais de plus en plus on se pose des questions sur certains influenceurs… D’où sortent ils le nombre massif de followers ? Utilisent ils des outils du type : Mass Following, Pods de commentaires, auto likers, achat de followers…?

Pas évident de faire le tri entre les vrais ou les faux influenceurs, pour cela depuis peu il existe des outils en ligne. Je parle ici du site HypeAuditor que j’ai connu via l’influenceur Guillaume Ruchon. Il en parle en détail dans cette vidéo ci dessous qui date déjà de quelques mois.

Vous l’aurez compris, vous pourrez analyser n’importe quel compte y compris le votre pour connaitre mieux votre audience. Vous pourrez aussi comprendre et détailler les comptes qui vous intéressent… Je peux vous assurer que vous allez être surpris ! Vous verrez que beaucoup de monde utilise des méthodes peu recommandables pour gonfler artificiellement le nombre de followers de leur compte Instagram et leur taux d’engagement.

Je vous laisse ci dessous un code qui vous permettra d’avoir 3 crédits gratuits pour analyser 3 comptes: BLOG21. Sachant que l’analyse de votre propre compte est gratuite la première fois. Vous pouvez toutefois regarder quelques comptes sans avoir de crédits mais vous n’aurez pas toutes les analyses. Pour analyser les comptes, il faudra que le compte ait au moins 1000 followers.

A vous de jouer, je vous garanti que vous aurez des surprises parmi les comptes que vous suivez.

En toute transparence, je vous met à disposition mon rapport en pdf (jacktyphus-2019-06-07), ça vous donnera une idée.

N’hésitez pas à me dire ce que vous pensez de HypeAuditor et de la mode des fake influenceurs sur le réseau social Instagram dans les commentaires ci dessous.

A bientôt !

Portrait Kapoué n°49: Laura Theodori, Miss Bas-Rhin 2019

Laura Theodori, Miss Bas-Rhin 2019

Laura, qu’est ce qui te fait lever le matin ?

Mon réveil (haha), non plus sérieusement me dire que chaque journée est une nouvelle occasion de vivre des moments exceptionnels remplis de belles choses , de joie et d’amitié.

Le héros (réel ou fiction) auquel tu aimerais ressembler ?

Michelle Obama, je trouve cette femme très inspirante sur de nombreux points de vue notamment sur son combat pour l’éducation des jeunes filles dans le monde.

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?

Vétérinaire, j’adore les animaux, j’ai d’ailleurs un chat.

Comment et où te vois-tu dans 20 ans ?

Dans 20 ans, je me vois gérer ma propre entreprise à l’étranger, j’aimerais habiter en Australie, ses plages de sables fins et ses paysages me font rêver depuis toujours. J’aimerais y créer un concept éco-responsable.

Ton film ou série TV culte ?

Gossip Girl, j’ai vu la série au moins 5 fois…

Ce que tu détestes par-dessus tout ?

La méchanceté gratuite, en tant que nouvelle Miss, j’ai aussi du faire face à la critique et au début ce n’était pas facile mais j’ai appris à m’en détacher.

Ta meilleure blague du moment ?

 Connaissez vous la différence entre le repas de Noel et l’élection de Miss France ?
Aucune, la dinde est accompagnée de pommes dauphines !

Parle-nous un peu plus de toi : pourquoi avoir tenté l’aventure Miss Bas-Rhin ?

Pour tout vous dire, au début j’étais hésitante à me présenter, je me disais que ce monde de « strass et paillettes » ne me correspondait pas et puis j’ai eu la chance de discuter avec deux amies (MademoiselleSoph et Claire Godard (ancienne miss)) qui ont réussi à trouver les bons arguments. Je n’ai pas grande confiance en moi donc c’était pour moi un réel défi. Je me suis lancée et aujourd’hui je ne regrette rien, c’est une aventure exceptionnelle faite de belles rencontres.

Quelles sont tes ambitions à la suite de ce concours ?

Il y aura l’élection de Miss Alsace le 8 septembre à Monswiller, qui sera pour moi une chance de représenter ma région, on verra ce qu’il adviendra mais je suis motivée et déterminée à emmener mon département le plus loin possible.

D’autres projets d’ici la fin de l’année 2019 ?

Préparer mon tour du monde… c’est un rêve de petite fille.

Te considères-tu comme quelqu’un de connectée ? Si oui sur quels réseaux peut-on te suivre ?

Oui je me considère comme quelqu’un de connecté dans le sens ou je suis sur Facebook et Instagram . Je partage des petits moments de ma vie quotidienne sans prise de tête.

Pour finir, parlons un peu de Strasbourg : d’après toi, que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ?

Un marathon sans hésitation !! Je suis une sportive qui pratique régulièrement la course à pied et je trouve dommage qu’il y ai un semi marathon mais que l’aventure s’arrête là, à Strasbourg nous avons de l’ambition !

Si tu étais un quartier de Strasbourg, tu serais lequel ?

Je serais la Krutenau, un quartier cool, toujours en effervescence mais parfois plus calme contrairement à l’hyper-centre qui est toujours en ébullition.

Ton restaurant ou bar strasbourgeois préféré ?

Mon restaurant préféré est Lamian, un restaurant de nouilles chinoises faites devant vous par un chef ! Un vrai délice.

Autre ville préférée en Alsace et pourquoi ?

Je dirais Colmar pour sa vieille ville et sa petite Venise. Je trouve cette ville très apaisante (quand il n’y a pas trop de touristes haha).

Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais maire de Strasbourg ?

Pas grand chose, j’aime Strasbourg avec ces qualités et ses défauts c’est ce qui fait tout son charme.

Ta marque alsacienne préférée ?

Ma marque strasbourgeoise préférée est @villedecoeur, ce sont des t-shirts responsables en coton 100 % bio. Ils disposent de l’accréditation Fair Wear Fondation (respect des conditions de travail) et du label Global Organic Textile Standard.

En 3 mots, décris-nous ton Strasbourg ?

Multiculturalité, simplicité, joie de vivre

Interview de Supacat : collages streetart dans les rues de Strasbourg

Au détour d’une rue, j’ai découvert les collages de Supacat dans les rues de Strasbourg, j’ai voulu en savoir plus sur ce drôle de chat, voici donc les réponses à mes questions du street artist…

D’où t’es venue cette idée ?

L’idée du chat m’est venue un jour à la machine à café du taf, qui est souvent l’endroit où tu peux échanger de tout et de rien avec tes collègues et réfléchir à pas mal de choses. Je voulais créer quelque chose de sympa pour m’amuser et interagir avec avec des gens et des lieux que j’apprécie. Ainsi est né le Supacat.

Pourquoi un chat ? Parce que tout le monde aime les chats. Les chats passent aussi bien chez les enfants que chez les adultes. Un chat, c’est libre et indépendant et ça aime se balader partout sans être bridé. Un peu comme moi quoi ! Et puis ça fera plaisir à ma mère le jour où je lui dirais que je passe mes nuits à coller des chats lol.

J’ai commencé à en coller deux-trois, puis je me suis pris au jeu. J’ai commencé à cibler les lieux que j’aime bien et à personnaliser les chats en fonction, comme pour le Pixel Museum et certains restaurants et bars de Strasbourg. J’ai créé ensuite un profil instagram pour garder une trace des collages et pour pouvoir communiquer avec d’autres artistes ou avec des fans du chat.

Ça te prend combien de temps de préparer tes visuels ?

Le temps de préparation comprend la recherche des lieux, la visu avec la street view pour repérer où coller, puis ensuite la déclinaison du chat en fonction du lieu. Ça prend pas mal de temps mais le plus long, c’est le découpage. Quand je ne passe pas des heures à coller, je passe des heures à découper. Les ciseaux ne sont jamais loin. Je me mets un bon film ou une série puis je découpe en même temps.

Es-tu payé pour faire ça ?

Je ne perçois aucune rémunération pour mes collages. Je colle pour mon plaisir. C’est devenu comme une drogue. J’ai toujours un seau, de la colle, et des chats imprimés dans le coffre de ma voiture « en cas d’urgence ».

Quel est ton rapport à la ville de Strasbourg ? pour faire ça ici et pas ailleurs ?

J’ai collé des chats dans d’autres villes de l’Eurometropole mais ils ont rapidement été arrachés. Des villes peut-être trop « bourgeoises » ou « propres« . Je crois qu’il y a vraiment qu’à Strasbourg qu’ils ne sont pas arrachés. Il y a un certain respect du street-art à Strasbourg. Au début, quand je collais et que des gens m’interpellaient, j’avais toujours peur qu’ils prennent ça pour du vandalisme, me fassent la morale ou appellent la police.

C’était tout le contraire. Les gens veulent savoir pourquoi un chat, pourquoi cet endroit et surtout dans quel but. Ils veulent savoir pourquoi je fais ça. L’être humain a toujours besoin de raisons et de comprendre pourquoi on fait telle ou telle chose. Et quand je leur réponds que je fais ça parce que je veux donner le smile aux gens qui les remarquent, certains rigolent et d’autres repartent sans leur réponse. Strasbourg est un superbe terrain de jeu, il y a vraiment de quoi faire. Et si ça peut un peu égayer la ville, c’est vraiment cool.

Et au milieu du street art ?

J’adore le travail de Banksy. J’ai eu la chance il y a quelques années de tomber par hasard sur une expo non-officielle en Slovénie qui présentait ses plus grandes œuvres. C’est à partir de ce moment-là que j’ai eu envie de créer quelque chose de graphique que je pourrais afficher partout. Ayant pas mal de projets à côté, j’ai du mettre ça en attente avant de pouvoir enfin me lancer cette année. J’ai du me documenter sur les techniques, les pochoirs, le graff, le collage, c’était comme si je retournais sur les bancs de l’école. Ça tombe bien, j’aime chercher et expérimenter par moi-même de nouvelles choses.

Pourquoi tiens-tu à rester anonyme ?

Je souhaite rester anonyme car je trouve ça cool de garder le mystère autour du chat. Etant fan de Marvel et de l’univers Comics, j’apprécie la discrétion et le mystère autour de certains personnages. Le fait qu’ils agissent la nuit puis qu’ils reprennent leur vie « normale » le lendemain dès que le réveil sonne. J’avoue, quelques uns de mes amis proches sont dans la confidence, ce qui me permet de les envoyer à ma place pour récupérer du matériel ou pour certains événements.

Vas-tu décliner tes visuels sous d’autres formes ? Pourquoi pas des t-shirts, sweats, autocollants ?

On m’a déjà demandé si j’allais faire des tshirts du « Supreme Supacat« , qui détourne le logo mythique de la marque Supreme. Je ne suis pas contre cette idée mais ayant également envie de découvrir la sérigraphie, je ne veux pas tout faire dans l’urgence. J’aurais le temps de me pencher sur la question quand il fera vraiment trop froid pour coller. J’ai également envie de décliner les Supacats sur supports bois ou PVC. Faire des objets avec. J’ai pas mal d’idées et je pense qu’il me faudra 9 vies pour tout faire.

Ton artiste « street » strasbourgeois préféré ?

Mon artiste street strasbourgeois préféré est Jaek El Diablo. J’aime son style qui mélange tout ce que j’aime : culture US, comics, NBA/NFL, Hip Hop, détournements de personnages divers… Je me souviens lui avoir fait une demande de stage il y a 15 ans. Il ne prenait pas de stagiaires mais il avait pris le temps de me faire une réponse cool par mail. J’adorais son site web, très graphique et en Flash, une révolution à l’époque, les réseaux sociaux se limitant à MySpace… Dans ses créas, il y avait une photo d’un tableau avec des super-héros dont Magnéto, un de mes vilain préféré, je ne pouvais qu’aimer !

As-tu d’autres projets dans le genre ?

J’ai pas mal de projets à venir, comme la création de chats en bois et sur toiles. Dont un pour un événement spécial, mais je ne peux pas encore communiquer là-dessus pour le moment. Puis toutes les demandes diverses faites via Instagram. Certains me contactent même pour me demander de coller un chat personnalisé devant chez eux ou sur le chemin de l’école de leurs enfants, je trouve ça génial.

Peut-on te suivre sur d’autres réseaux sociaux ?

Je ne suis que sur Instagram. Facebook et Twitter, ça m’emmerde. Instagram c’est parfait pour choisir ce qu’on veut voir et communiquer avec des gens qui partagent les mêmes passions ou qui font également du street art.

www.instagram.com/supacat.sxb

StrasTonLook met en avant les looks des Strasbourgeois sur Instagram !

Bonjour Clara, présente toi en 2 phrases et explique-nous ton projet « STRAS TON LOOK »

Je suis Clara, je suis… une Strasbourgeoise, je suis …une passante, je suis …une trentenaire, je suis …une girl-power, je suis …une conseillère en mode, je suis …une inconnue, bref je suis StrasTonLook !

L’idée première de StrasTonLook est de prendre en photo les passants qui ont du style vestimentaire et de les publier sur Instagram. Mettre en valeur ces belles tenues qui parcourent nos rues et leurs offrir une visibilité ouverte à tous. Je trouve que dans notre ville, il y a une source inépuisable de supers looks.

Malheureusement je n’ose pas demander aux gens si je peux les prendre en photo, peur de les déranger. Je me dis que les gens ne me prendront pas au sérieux, si je publiais une photo d’eux. Lorsque tu débute et que tu n’as que 40 followers qui te suivent, t’es pas crédible.

Afin de développer StrasTonLook, je me prête au jeu et cela change l’image que j’ai de moi et me permet de m’assumer un peu plus chaque jour.  Je présente mes propres styles vestimentaires. Ainsi les personnes qui aiment mes tenues peuvent savoir d’où proviennent les vêtements ou tout simplement s’en inspirer pour créer leurs propres identités.

D’où viennent tes inspirations de tenues ? Et ton choix de boutiques ?

Mes inspirations sont personnelles, elle se composent de mes envies du moment, de ma propre vision de la mode, de mes 9 ans d’expérience en prêt-à-porter. Elle s’inspire aussi des autres, des tendances actuelles, des magazines de mode et de Pinterest.

J’essaie d’allier classique et moderne avec une touche d’originalité dans mes tenues, sans oublier les détails, c’est ce qui fait toute la différence.

Concernant mon choix de boutiques, les grosses enseignes sont idéales pour trouver des pièces basiques. Mais ce que j’adore le plus sont celles qui sont moins connues et qui respectent autant le produit, comme les employés et surtout les clients. Travaillant dans le prêt à porter je peux vous assurer, qu’il n’y a pas beaucoup de boutiques qui s’engagent réellement dans une démarche qualitative de conseil client. J’ai des affinités pour certaines enseignes comme FreemanT.Porter, La Bonne Etoile, Nomade/Cargo, Les Signes du Temps, Coach And Clothing, La Fée Maraboutée où l’on trouve des pièces que tout le monde n’a pas.

STRAS TON LOOK te prend beaucoup de temps ? Comment organises-tu tes journées ?

Oui, effectivement je me rends compte que je passe beaucoup de temps sur Insta. Au départ je n’imaginais pas que se serait aussi prenant. J’ai ouvert StrasTonLook en mai 2016, mais j’ai commencé sérieusement à m’y mettre en février 2017. StrasTonLook occupe tous mes petits temps morts de la journée. Cela peut être, en buvant mon café, dans le bus en allant au boulot, pendant mes pauses déj, en attendant une copine à une terrasse ou même sur le trône. 😉

Tu poses toi-même sur ce compte Instagram, je suppose que tu fais poser des amies aussi, choisis tu aussi d’autres modèles ?

C’est une bonne excuse pour se faire chouchouter entres copines, on sort le grand jeu ! Ma sœur est la photographe (@jscgram) et moi je m’occupe de la partie stylistique !!! Et Go…, on passe l’après-midi à jouer aux top models face à l’objectif.  On partage un bon moment tout en se faisant plaisir 😉

Ce serait avec grand plaisir de choisir d’autres modèles, d’ailleurs j’invite tous ceux qui souhaitent participer à prendre contact sur Insta.

Quel est le but final de STRAS TON LOOK : un blog ? un vlog ? Devenir une activité professionnelle à temps complet pour toi ?

Ni blog, ni vlog au programme pour le moment.  Je ne me suis pas encore projetée à long terme.

Si mes followers aiment mes styles et les photos que je propose, pourquoi pas un jour en faire du relooking personnalisé auprès d’eux, si cela me permet d’en vivre.

De temps en temps il m’arrive de faire du coaching à domicile, on me sollicite pour trier un dressing ou même créer des looks plus modernes à base de pièces existantes. Dans mon travail, J’adore la relation privilégiée que l’on peut avoir avec une personne lorsqu’on la relooke entièrement. Quand cette même personne vous fait totalement confiance et qu’elle se laisse guider, la voir sourire face au miroir, procure un magnifique sentiment. Donc pourquoi pas … !

Quel est ton rapport à la ville de Strasbourg ? As-tu des adresses préférées… ou au contraire des adresses que tu détestes ?

Comme beaucoup de Strasbourgeois, moi aussi j’en suis amoureuse. Pas commode pour une réunionnaise… j’ai le cœur partagé.

Strasbourg est très accueillante et on s’y sent vraiment bien, tout est à proximité. C’est petit, mais c’est un concentré d’architecture, de lieux insolites, de ruelles à découvrir et à redécouvrir sous chaque saison. Je déplore juste le manque de vies les soirs de semaine.

Quelques adresses coup de cœur :

Manger un succulent dessert à l’étage de la pâtisserie Kautzmann, boire un verre sur le ponton du Rafiot en plein cagnard, manger un bon repas au restaurant Le Stras, faire bronzette à Rivetoile…

Comment te places tu dans la galaxie des blogueuses / instagrammeuses mode ? Qu’est ce qui te différencie des autres ? As-tu des blogueuses strasbourgeoises ou alsaciennes préférées ?

Pour le moment StrasTonLook est un bébé dans la stratosphère des blogueurs et instagrameurs. J’espère le faire grandir mais avec toute la même simplicité qu’aujourd’hui. Et surtout que cela plaise aux gens et que cela les inspire.

Ce qui me différencie des autres, je pense que c’est la simplicité de mes photos et de mes tenues. Si l’on regarde bien dans mes différentes propositions de tenues, je mixe des pièces intemporelles avec d’autres qui sont plus tendances. Chacun peut s’identifier facilement à travers mes looks, pas la peine de changer sa garde-robe tous les 6 mois.

J’aime bien les instagrameurs tels que @Mononoeil, @freakybeanie, @benjaminstalter @lesgrandesgirls, @dan23instagram, … J’aimerais aussi vous parler des stylistes strasbourgeois comme @atelier.cerbu, @frey_lea, @adeline_ziliox, @izisgoita qui sont de véritables pépites de créativité, dont j’ai eu la chance de découvrir certains d’entre eux lors des Strasbourg Fashion Week.

As-tu des projets pour cette fin d’année 2017 ? A quand un STRASTONLOOK version masculine ?

Gagner en assurance pour pourvoir combiner le projet initial de StrasTonLook qui est de prendre en photo des passants de strasbourgeois avec mes photos personnelles. Ce serait top !!!

Pour la version masculine, les hommes sont plus discrets. Je te propose d’y participer ?

Rappelle-nous où peut on te suivre sur les réseaux sociaux ?

Pour le moment je publie essentiellement sur Instagram : Strastonlook.

Ceux qui ne participent pas à la sphère des instagrameurs, rendez-vous sur ma page Facebook : Strastonlook

Donc à bientôt ?

Portrait Kapoué n°43 : Foxy Evie, chanteuse folk strasbourgeoise

Portrait Kapoué n°43 : Foxy Evie, chanteuse folk strasbourgeoise

Foxy Evie, qu’est ce qui te fait lever le matin ?

Là, actuellement, mon réveil! En automne et en hiver, je galère totalement à me lever le matin.. En revanche quand reviendront les beaux jours je pense que ça sera le fait de sentir un doux rayon de soleil et d’entendre les oiseaux dehors qui vont me motiver à sauter hors du lit! Ça fait très Blanche-Neige cette histoire, mais ouais en gros c’est ça! Après selon le programme de la journée, j’ai évidemment aucun mal à me bouger d’en dehors de la couette 🙂

 Ta plus grande qualité ?

Je ne sais pas vraiment quoi te répondre alors du coup je vais reprendre une chose qu’on me dit souvent. Je suis quelqu’un de très souriante! Un emoji sur pattes dit-on! Bon comme tout le monde, parfois, je fais la gueule haha. Mais oui il paraît que c’est une de mes qualités les plus frappantes et tant mieux!!

 Ton plus grand défaut ?

Être une hypersensible qui se cache (ou non!). Mais quand on est comme ça et qu’on le cache, ça fait parfois pas bon ménage. Et puis au vue de mon métier (je suis infirmière), selon les cas, on se retrouve très vite affectée. Il faut savoir laisser tout ça au vestiaire mais finalement je reste humaine et même si c’est une très bonne chose dans ma prise en charge, ça me pèse parfois en rentrant chez moi. En revanche, cette hypersensibilité, ça m’aide beaucoup pour trouver l’inspiration.

 Te considères-tu comme quelqu’un de connectée ?

Hmm oui ! Et peut être même un peu trop, j’avoue! Je passe majoritairement mon temps sur Instagram, j’adore cette application, je suis à fond dans le visuel et il y a vraiment des comptes coup de cœur dont j’ai beaucoup de plaisir à suivre quotidiennement! Et puis, ça a été aussi un moyen de faire quelques belles rencontres par ici et Dieu sait que c’est pas toujours évident de débarquer dans une nouvelle ville quand on connaît pas grand monde. Autrement, Facebook, Twitter, Pinterest, .. Les classiques ! Oui, je suis vraiment TRÈS connectée !

Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler ?

Difficile de choisir, il y a pleins de héros de fiction que j’adore. Mais allez, comme c’est une de mes séries préférées en ce moment, je dirais Maggie ou Carol dans Walking Dead! C’est mon petit côté féministe qui parle, mais, elles sont tellement badass, courageuses et fortes que je les trouve totalement fascinantes! Des véritables wondernénettes!

 Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?

Pendant longtemps j’ai voulu travailler dans le spectacle ou l’audiovisuel.. J’ai donc démarrer mon cursus scolaire dans cet optique là et finalement.. Je suis infirmière ! Comme quoi ! Et finalement, hormis pour la musique, je pense que j’aurais beaucoup de mal à exercer un autre métier. Malgré la situation complexe actuelle dans le domaine de la santé et le milieu hospitalier, j’aime mon métier et m’occuper de mes patients. C’est un métier profondément gratifiant si l’on sait faire la part de choses et essayer d’en oublier certains aspects difficiles ou négatifs. Je me verrais pas ailleurs que dans mon super pyjama-blouse!

 Ton héros dans la vie réelle ?

Ma Maman! Je voue une admiration inconditionnelle à sa façon d’avancer dans la vie quoi qu’il arrive. Et plus les années passent, plus elle relativise. Elle développe une sacrée sagesse dont j’essaie de m’inspirer. Malgré tout ce qu’elle a pu traverser, elle a toujours le sourire, elle a toujours ses convictions et c’est une battante! Et en bonus, elle a plus de 60 ans et elle sait ce que c’est que twerker. C’est pas trop classe ça ?

La chanson que tu siffles sous la douche ?

Tu vas te dire cliché et je m’excuse 1000 fois auprès de mes voisins mais majoritairement je crois que celle que je chante le plus c’est « I will always love you » haha ! J’ai du mal à assumer mais oui, cliché cliché! Autrement « What’s up » des 4 non blondes.. Cette chanson c’est définitivement THE chanson 🙂

 Comment te vois-tu dans 30 ans ?

Dans 30 ans.. Wow bon déjà j’aurais 53 ans, donc j’imagine que je serais un peu défraîchie, sûrement un peu aigrie, ménopausée quoi haha ! Non sérieusement, j’ai déjà beaucoup de mal à me projeter dans 2 semaines alors 30 ans.. J’espère simplement que je serais en bonne santé, entourée des gens que j’aime et toujours une guitare et un micro a porté de main!

 Ton film culte ?

Hm difficile de n’en choisir qu’un mais je dirais Grease! J’admets c’est totalement kitsch, mais j’aime tellement cet univers vintage, rétro avec les fameuses « Pink Ladies » et mon 1er crush Kenickie.. Chut, je devais avoir genre 8 ans! Après, en tant que chanteuse/musicienne, un film musical ça me parle forcément et sans déconner, qui n’a jamais fredonné un petit « Youdeuouonedédaïwouant » (tu vois laquelle c’est je crois haha!)

Ce que tu détestes par-dessus tout ?

J’ai énormément de mal avec le manque de respect et les critiques gratuites.. Comme je t’ai répondu avant, je suis quelqu’un de très connectée et c’est quelque chose qui me frappe d’autant plus sur les réseaux sociaux. Toutes les critiques et le manque de respect visible sur la toile. Pff parfois c’est d’une violence, ça me débecte. Les gens se sentent beaucoup trop forts derrières leurs claviers.. Et bon, malheureusement on retrouve aussi ce comportement dans la vie de tous les jours et pas que chez les jeunes d’ailleurs..!

Le talent que tu aimerais avoir ?

Savoir cuisiner. Mon frangin qui est chef de cuisine a sûrement volé le talent de toute la fratrie.. Je suis vraiment pas douée. Sauf en pâtisserie, je me défend! En attendant, vive les pâtes!

 Ta meilleure blague?

T’es prêt ? Elle est naze mais alors archi naze :

Comment appelle-t-on un chien qui n’a pas de pattes ?

On l’appelle pas, on va le chercher…

J’adore les animaux hein, mais je sais pas c’est tellement naze que ça me fait rire. Ok. Et maintenant, je pars loin en courant!

Que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ?

Du street art et encore du street art ! Je sais qu’il y a déjà quelques jolies pièces planquées dans Strasbourg mais ça serait énorme d’en trouver autant qu’à Londres par exemple ! Je trouve que ça apporte tellement de classe à une ville, ça lui forge davantage son identité et puis l’art ne peut qu’apporter de bonnes choses! Mention spéciale au sublime graff de Nelson Mandela rue Finkwiller 🙂

 Si tu étais un quartier de Strasbourg ?

Ça fait un peu moins d’un an que j’habite à Strasbourg et j’ai eu un coup de foudre pour la Petite France. Ça serait définitivement mon quartier si je devais en choisir un. J’aime le charme que cet endroit renvoie, c’est, je trouve, un quartier qui reflète parfaitement la culture et la vie en Alsace.

 Ton restaurant strasbourgeois préféré ?

Et bien en tant que fraîche strasbourgeoise (je ne suis là que depuis mars 2016), je n’ai pas eu maintes occasions de tester des restaurants par ici, mais c’est une de mes résolutions 2017 🙂

J’ai dernièrement été à l’inauguration de « L’Algorythme » à la Krutenau et j’ai pu y manger un burger avec du pain bretzel.. Rolala rien que d’y repenser, ça me fait saliver! Du coup, je conseille vivement!

Ton bar strasbourgeois préféré ?

Cruel dilemme! Je n’ai pas eu l’occasion d’en tester des centaines mais j’ai énormément aimé l’alchimiste pour sa déco et en bonus une gérante plus que sympathique. Après, j’aime beaucoup aussi le grincheux et sa diversité de choix niveau bières! Sans blagues, c’est juste une petite tuerie d’avoir autant de choix! Autrement, je pense qu’on peut me trouver facilement aux Berthoms, chez Jeannette et les cycleux ou à l’Excalibur. (et maintenant je vais arrêter d’en citer, sinon on va s’imaginer des choses obscures :-P)

 Autre ville préférée en Alsace et pourquoi ?

Aah sans hésitation, Colmar ! Parce que c’est ma ville de cœur, de naissance & malgré un manque certain d’animations & de choses cool à faire.. Je serais éternellement fan de son côté rustique, touristique & certains de ses paysages « cartes postales » (Mention spéciale à la sublime déco du champs de mars pour le marché de Noël 2016 d’ailleurs!)

 Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais maire de Strasbourg ?

Bon ça paraît peut être un peu bête, mais j’adorerais que les tram circulent toujours entre minuit et demi et 4h30.. Non parce que c’est frustrant quand t’habites pas au centre ville même, de devoir rentrer tôt d’une soirée!
Résolution 2017: me trouver un vélo pourri pour m’accompagner pendant les heures obscures (aka sans tram)!

 Ta marque alsacienne préférée ?

On a le droit à un joker? J’avoue que je ne pourrais pas dire, rien ne me viens à l’esprit dans l’immédiat.

En 3 mots, décris-nous ton Strasbourg ?

Dynamisme, culture et diversité!

Foxy Evie, décris-nous à présent ton style musical…

Là, tu me poses une colle ! En fait, j’écoute tellement de choses différentes et j’aime chanter tellement de choses différentes aussi, que je t’avoue que je ne sais pas vraiment comment me définir musicalement.. Je suis assez folk, rock, jazzy dans ce que je propose mais il m’arrive fréquemment de tenter d’autres styles lorsque je m’entraîne en technique vocale et du coup sur mon SoundCloud ou YouTube par exemple, tu pourras retrouver une reprise de Balavoine comme une reprise de Etta James comme une reprise des 4 non blondes, Muse, Nirvana, … Je pense que c’est ça qui est cool avec la musique. Il n’y a pas de limites, pas de contraintes, pas forcément de genre à suivre (même si bien sûr on définit différents styles), rien n’est prédéfini, tout est possible!

 Si tu avais pu percer dans un autre art que la musique ça serait lequel ?

La danse ! J’en ai fais de mes 5 ans jusqu’à mes 15 ans mais suite à des blessures, j’ai décidé de m’arrêter et puis j’avais perdu la passion à l’époque.. Je pense tout de même m’y remettre prochainement, ça me manque.

 As-tu déjà pensé postuler à un TV crochet du style THE VOICE ou NOUVELLE STAR ?

Et bien en fait, il y a deux ans j’ai eu la chance de déjà pouvoir accéder aux pré-castings de The Voice sur Paris (juste avant les auditions à l’aveugle) ainsi qu’au casting qu’ils avaient organisé à l’Illiade à Illkirch, mais je me suis laissée totalement embarquée par les émotions et le stress et du coup je ne suis pas allée plus loin que ça. Ensuite, je pense que à cet époque je manquais aussi d’une certaine maturité et de technique. Je suis autodidacte et c’est vrai que je sens que j’ai des lacunes niveau technique musical et vocal.

 Souhaites-tu percer dans ce domaine ou est-ce uniquement une passion pour toi ?

Ça serait mentir de dire que je ne souhaiterai pas percer dans ce milieu, mais je reste néanmoins réaliste sur ce point. Bien évidemment, si la vie et les opportunités se présentent de sorte que j’arrive à avancer dans la musique, je serais la fille la plus heureuse du monde! Mais c’est déjà que du bonheur de partager sur internet majoritairement et de temps en temps face aux gens de bonnes ondes musicales et de recevoir aussi de bonnes ondes de la part des gens qui me suivent, que ça me va déjà amplement. Advienne que pourra!

Y a-t-il une vraie scène musicale strasbourgeoise ?

Totalement ! Et je suis justement venue par ici pour ça, car je trouve qu’il y a une énorme diversité musicale à Strasbourg et tellement de beaux et bons talents déjà connu ou encore à découvrir! Vraiment, rien que pour ça, je peux le dire, les Strasbourgeois vous gérez à mort!

As-tu déjà fait des collaborations avec d’autres artistes locaux ?

Je n’ai pas eu encore l’occasion de vraiment faire de collabo par ici, hormis un titre enregistré avec « 2Grump » disponible sur mon SoundCloud. J’ai également assurée la première partie de la release party du premier EP de « Stories in colours » en mai dernier à la Popartiserie. À côté de mon projet solo, je suis entrain de monter un projet de reprises acoustiques avec un ami guitariste et chanteur qui s’appelle « Go Plug Yourself » (oui, le nom est tendancieux haha mais nous parlons bien du terme de Plug dans le sens de brancher une guitare.. Haha). Autrement, j’aimerai aussi monter un projet jazzy-blues-folk avec des inspirations tirées de chanteuses telles que Etta James, Aretha Franklin, Amy Winehouse, … Avis aux amateurs! 🙂

Tes projets pour 2017 ?

Continuer à travailler ma technique, développer le projet « Go Plug Yourself » avec mon pote et monter une setlist opérationnelle pour des lives dans les bars strasbourgeois. J’aimerai aussi donc reprendre la danse et peut être m’initier au théâtre pour être vraiment une « artiste » complète et peut être encore élargir mes horizons. Je suis une curieuse maladive, remplie de rêves et d’ambitions 🙂

NB: Crédit photo de la couverture de cet article : owly_pix

Découvrez ici les autres portraits de strasbourgeois…

Compte Instagram de Strasbourg Tourisme vu par le Blog Kapoué !

Compte Instagram de Strasbourg Tourisme vu par le Blog Kapoué !

Pour ce début d’été, on m’a demandé de piloter du bout de mes doigts le compte Instagram de l’Office de tourisme de Strasbourg et sa région et ce, pour 1 semaine. Je vais donc essayer d’y poster quelques jolies photos qui montreront à nos amis les touristes estivaux et même aux Strasbourgeois ma vision de la ville sous son plus bel angle. Il me reste plus qu’à charger mon iPhone 6, ma GoPro et me lancer.

Ça commence lundi 29 juin et finira le dimanche 5 juillet à minuit. N’hésitez donc pas à me donner des bonnes idées de photos dans les commentaires de cet article.

Pour rappel, voici le lien du compte Instagram de Strasbourg tourisme et le mien :

https://instagram.com/strasbourgtourisme/

https://instagram.com/jacktyphus/

Foire européenne 2013: Suivez les bons plans avec #mafoireurop !

Foire européenne 2013 à Strasbourg

Dans la jungle des mauvaises nouvelles de la rentrée, je vais vous donner un peu d’espoir amis strasbourgeois… !

En effet, comme chaque année depuis environ 80 ans la Foire européenne de Strasbourg revient pour égayer votre rentrée et vous changer les idées le temps de votre visite.

Comme l’année dernière, j’ai eu la chance d’être sélectionné comme « blogueur ambassadeur » pour cet événement.  Ma mission est la suivante : repérer les bons plans, astuces insolites, les innovations, ou encore les surprises que nous réservent le pays invité cette année : le Vietnam.

Deux autres blogueuses de choc complètent l’équipe des ambassadeurs : Wafa du blog « Wafa’s blog » (spécialiste tendance, mode et enfant) et la célèbre Rejane de « In the food for love » spécialiste culinaire.

Vous pourrez donc suivre nos parcours et nos contenus sur les réseaux sociaux avec le hashtag #mafoireurop et sur le site officiel de la Foire européenne. Je vous invite donc à suivre nos comptes respectifs sur Twitter et Instagram pour en prendre plein les yeux et vous donner des idées pour votre visite à la Foire.

De plus,  avec ce même mot dièse #mafoireurop, vous aurez la possibilité de gagner des places (sur Instagram) pour Europa Park en prenant des clichés originaux durant votre visite.

Bien évidemment, il y a plein de nouveautés cette année, mais chut, je ne dis rien pour le moment, par contre, je vous conseille vivement de venir à l’afterwork du 12/09 de 18 à 20h, l’entrée y sera gratuite, des animations et des DJ assureront l’ambiance !

Voilà, comme vous l’aurez compris, je serais assez présent dans les allées des différents halls, alors si vous me croisez, vous avez le droit de venir partager vos trouvailles avec moi ou même me payer une bière et une knack ! 😉

Bonne foire à tous !

Site officiel de la Foire européenne
Comptes Twitter / Instagram
Page Facebook

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Geeks, êtes vous tous devenus des datasexuels ?

Geeks, êtes vous tous devenus des datasexuels ?

Tiens, en voilà une bonne question! Tout d’abord, savez-vous ce que l’on nomme « datasexuel« ? C’est tout simple en fait, c’est un modèle théorique qui dit que le datasexuel est l’évolution numérique du métrosexuel : en gros, tu es un mix entre un geek et un métrosexuel, tu passes ton temps à partager tes données (les fameuses « data »), et tu le vis plutôt pas mal puisque tu trouve cela classe voir même « sexy » !

Je ne connaissais pas le terme il y a quelques mois, je l’ai connu par ma chère et tendre qui après avoir vu un reportage sur la Matinale de Canal + à ce sujet, me traita un matin de « datasexuel« . Premièrement énervé voir même un peu con car je connaissais pas la signification de ce sobriquet, j’ai du faire quelques recherches pour m’apercevoir qu’elle avait raison : j’étais bien devenu DATASEXUEL ! Je vous rassure, ça fait pas mal, sauf à la batterie de votre smartphone… Car, en effet, être datasexuel, c’est avoir une troisième main en forme de pomme (Apple) ou de robot (Androïd) et faire mumuse toute journée à détailler via des données connectées toute sa vie: ces endroits préférés avec Foursquare, le film qu’on vient de mater avec GetGlue, le nombre de kms fait à la course à pied avec RunKeeper… La liste est longue, et c’est là où on s’aperçoit qu’on le fait quasiment tous maintenant, avec certes, un degrés d’addiction variable selon les individus. Mais en général, on peut remarquer facilement que moins tu as une vie qui t’éclate, plus tu as envie de la partager en « data » sur ces nombreux réseaux ou applis: en gros, si tu n’existes pas dans la vraie vie, tu te dis que tu peux tenter le coup dans le virtuel?


Il est clair que ce coté datasexuel a été boosté par les réseaux sociaux, car bcp d’entre eux sont interconnectés provoquant un meilleur impact certes mais une plus grande dépendance. On en revient toujours au même problème: Communiquer Beaucoup ne veut pas tout le temps dire Bien Communiquer, il nous faut donc gérer nos datas ou tout simplement être réfractaires au système et rester à la lisière de la technologie sans y toucher… (Ça peut marcher, la preuve, nos parents et grand parents le font en ce moment même, et ils sont pas moins heureux !)

Donc oui, pour moi, je milite pour les datasexuels à partir du moment où ils maitrisent leur communication personnelles selon un but précis et sans exagérer :

Exemple numéro 1 : Tu es créatrice de mode, tu postes tes dernières créations sur Instagram, tu les retweetes avec le compte Twitter de ton blog pour avoir les avis de tes followers : OK !

Exemple numéro 2 : Tu es ambulancier, tu prends une photo de ton plateau repas pris à la cantine de l’hôpital service oncologie, tu y checkes avec Foursquare, et tu partages cette photo sur Facebook avec tes cousins ados et attardés : NON !

Etre datasexuel: pourquoi pas, mais ça doit pas t’empêcher de respecter les gens qui te suivent, t’entourent ou partagent ta vie IRL (In Real Life).

En conclusion, je vois que cet article n’a donc ni queue, ni tête (rien à voir avec le coté « sexuel » évoqué précédemment) mais j’espère au moins qu’il vous aura appris un nouveau mot (utilisable au Scrabble, ça fait pas mal de points).

Cependant, si le sujet vous intéresse, je vous conseille l’article sur SLATE : Le «datasexuel», le nouveau métrosexuel connecté ou encore ce graphique qui a fait le tour de la toile et vu sur Le Journal du Geek : Quel #Datasexuel es-tu?

Enfin, je vous conseille le dossier spécial Datasexuel dans le prochain numéro de GQ papier (normalement octobre 2012) pour le lequel j’ai été interviewé par un journaliste très sympa qui m’a repéré sur Twitter car j’y assume mon coté datasexuel jusque dans ma bio numérique ! (Je mettrais à un scan de l’article ici dès le numéro de GQ sera sorti en kiosques).

NB: j’ai pas parlé des geekettes, mais sachez que tout ce que je dis pour les mecs est valable pour les filles, même si les datasexuelles sont plus rares que les datasexuels ! 😉

Vision « filtrée » de Strasbourg via Instagram…

Vision « filtrée » de Strasbourg via Instagram…

Je suis devenu accroc depuis peu de Instagram, et je fais donc joujou avec mon iPhone 4 dans les rues de Strasbourg

Certes, j’aurai pu faire une vidéo bien moisie pour faire la pub de mes photos comme Nikos Aliagas, mais bon… Je n’ai pas son talent ! 😉

Voici plutôt mes clichés, sans prétention aucune, juste pour partager…

NB: Je mettrais ces photos à jour tous les mois…

NB 2: Mon pseudo (JackTyphus)  reste le même sur Instagram si vous voulez me suivre sur ce réseau social .

Be « Blog », Be « Mode », Become « Blogueuse mode » !

Be « Blog », Be « Mode », Become « Blogueuse mode » !

Bon, c’est vrai, ça fait longtemps que j’ai pas écrit… Ca vous manque tant de ça? Pas sur, non, il fallait que je trouve un sujet béton, fédérateur et tellement innovant que toute la bulle 2.0 n’aurait que les yeux rivés sur ce futur et malheureux enchaînement de mots que je suis sur le point de vous pondre… Bon, ce FAMEUX sujet, je l’ai pas, alors je vais devoir broder… J’avais pensé me moquer ouvertement des blogueuses mode… Mais c’est déjà fait dans cette magnifique vidéo que j’ai déjà tweeté cette semaine :

Et puis après tout, c’est un peu « tirer sur l’ambulance » de se foutre des blogueuses… Non?

Surtout si elles parlent de mode en plus… Quoi de plus important qu’une jeune fille fauchée sortant de sa campagne qui t’explique que la chemise de son grand frère est le dernier accessoire à la mode et que la tong chez les mecs c’est interdit car « les tongs, c’est un peu comme les string du pied : c’est forbidden pour les mecs car ils ont du poil au pied ! Tu vois quoiiiiii….. » (j’aime pas les tongs mais j’irai pas expliquer cette théorie à nos amis Allemands qui savent tant varier les plaisirs de la claquette avec chaussette inside !).

Je me demande même comment on faisait avant sans les blogueuses: ma chère et tendre Maman ne m’aurait pas fait subir la cagoule si elle avait pu lire un blog de mode dans les années 80… Je n’aurai été pas traumatisé non plus par les bottes en plastique « de quand il pleut  » !

Donc on se moque pas, surtout que j’en connais des biens, des blogueuses mode… J’en connais aussi des moisies mais je donnerai pas le nom car j’ai trop peur d’avoir toutes les kikoolol du 8ème continent sur le dos.

Une blogueuse mode, c’est un peu comme une cousine lointaine, encore ado, que t’aime bien mais que tu veux pas écouter: tu regardes son album photo Facebook, mais tu lis surtout pas le texte en commentaire au risque de vomir ton cerveau sur ton clavier… La mode OUI, les belles photos OUI, les looks approximatifs OUI mais c’est tout… Pas d’engagement, pas de polémiques non plus sinon « c’est pas cool tu vois… »

Et puis, comment en vouloir à une jeune femme qui te vend du rêve : Te conseiller pour t’habiller avec des fringues que tu trouves nulle part c’est quand même mieux que la géopolitique du Moyen Orient, non?

Alors, je vous invite tous à devenir « blogueuse mode » et pour cela, je vous donne mes astuces :

– Prends 1 accessoire à ta mère, le gilet de ton père (si possible avec un ou deux boutons en moins), un pantalon « vintage » acheté sur un site de fringues anglais ( là tu dois te plaindre du prix élevé du pantalon, et du temps qu’il a mis pour arriver par la Poste !)

– Décoiffe toi, lave toi ( mais pas trop… oublie pas que tu es dans le « vintage » )

– Prends toi en photo dans ton studio que tu loues au CROUS pendant tes études de Psycho ( « mais de toutes les façons, la Psycho c’est nul, l’année prochaine, je fais du Design dans une université dans le sud ou je pars en Erasmus… »)

– Oublie pas les gros plans sur tes pieds ( tu as des vieux pieds mais c’est pas grave, ils sont si « chous » dans ces spartiates achetés chez Zara)

– Regarde par terre sur toutes les photos… Pourquoi, je sais pas… Mais regarde, comme si tu avais marché dans une m**** de chien !

– Et surtout oublie pas :  le vernis à ongles de couleur « Schtroumph » aux mains et au pieds… Classique pour une blogueuse : on est « in » ou on y est pas…

Tu es donc prêt(e) à devenir blogueuse mode et à sauver le monde de ton « fashion » savoir!

Grace à toi, les 30 personnes mensuelles qui visitent ton blog sauront comment s’habiller (…ou pas! ). Merci d’avance, c’est comme ça qu’on fait avancer le monde et que les générations futures pourront dire que 2011 était une si belle année…

PS: Comme je suis beau joueur, j’invite toute blogueuse mode qui lira cet article et qui prendra mal ces quelques mots, d’écrire un post tout aussi ironique sur le blog Kapoué!

PS2: Allez, au fond, je vous aime bien, chères amies blogueuses… BISOUS ! 😉

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