Invitée Kapoué n°66: Johanna Kaufmann, pour son livre « Déjeuner chez Jojo »

DÉJEUNER CHEZ JOJO : RÉCITS, RECETTES ET ASTUCES DE CUISINE

Mes recettes, je les ai servies dans des livres, dans des librairies, dans mon appartement, dans un salon de coiffure, dans des restaurants, dans des cafés, dans des centres d’art, dans des châteaux, dans des foires, dans une ex-supérette, dans des parkings, dans des jardins, dans des cours, sous les rames du métro, dans la cuisine d’un relais maternel, dans le couloir d’une fac, à ciel ouvert, sur internet, sous une tente ou par-dessus une couette.

Simples, gourmandes et coquettes, les voilà ravies de venir s’acoquiner à vos déjeuners, apéros, brunchs, buffets, dinettes, desserts, goûters, piques-niques et plateaux télé ; parées à inspirer votre cuisine pour un, pour deux, pour une fine équipe ou pour un régiment.

L’intention éditoriale

Je cuisine comme j’écris, et mes recettes me sortent des mains et de la tête, ni guindées ni figées, nourries de ma sensibilité́ d’auteure méditerranéo-alsacienne et de cantinière tantôt sédentaire tantôt nomade. Autodidacte et ravie de l’être, j’appréhende l’assiette comme un support expérimental et émotionnel. J’œuvre dans la perspective de libérer le désir, et j’ose le faire sans complexe et sans pesanteur. Pas franchement encline à la sacralisation (d’un produit, d’une technique, d’une saison), si je balise le terrain de certaines lignes à suivre, je n’éprouve ni scrupule ni obligation à m’en détacher. Voilà pourquoi, au-delà de son aspect donneur de recettes, «Déjeuner chez Jojo» cherche avant tout à témoigner de la façon – à la fois simple et peaufinée – dont je procède, et à offrir la possibilité de s’en émouvoir ou de s’en inspirer.

Le contenu du livre « Déjeuner chez Jojo »

«Déjeuner chez Jojo» propose tout d’abord une série de mini-récits d’humeur et d’expérience culinaires qui font écho à mon parcours d’auteure-photographe et créatrice culinaire, parfois aussi conceptrice-rédactrice, restauratrice ou cantinière, et qui reflètent ma façon de réfléchir, de mettre en œuvre, de présenter et de transmettre ma cuisine. Et pour passer de la théorie à la pratique, l’ouvrage se poursuit ensuite avec une avalanche de 85 recettes simples gourmandes et coquettes, qui se cuisinent en solo ou en collectif, à l’avance ou à l’arrache, avec mobile ou sans préméditation.

Côté salé, on va par exemple du « Bibeleskäs au gingembre, à l’ail et au citron vert » à la « Pizza tomate-moutarde au boudin blanc » en passant par la « Salade de riz jaune et noir aux épinards » et les « Chaussons au munster et aux pommes ». Côté sucré, on papillonne entres autres entre « Cheesecake mirabelles, noix de pécan et basilic », « Escargots à la frangipane chocolatée » et « Tarte citron, grenade et meringuettes ».

Comment se le procurer ?

En circuit-court, « Déjeuner chez Jojo » est commandable depuis le 1er octobre sur le site des Editions Mediapop. Dans la mesure où il ne sera imprimé que courant octobre 2020, il sera envoyé dès début novembre (les frais de port sont offerts et il est possible de demander une dédicace). En librairie, la mise en rayon est programmée le 20 novembre 2020.

Interview de Leïla Martin pour son nouveau livre : « L’Alsace enchantée »

Hello Leïla, peux-tu déjà te présenter pour ceux qui ne te connaissent pas ?

Je suis maman de deux enfants et chef d’entreprise. Mon quotidien s’articule autour de la communication et de la cuisine. J’aime autant manier la plume que la casserole. Et j’ai la chance de pouvoir exprimer mes passions pour la création culinaire et l’écriture à travers mon blog jevaisvouscuisiner.com dédié à l’Alsace gourmande.

Tu as sorti fin 2018 ton premier livre de recettes, d’où te viennent les idées ?

Ce sont surtout les étals des marchés, les produits de saison et issus du terroir qui me soufflent les idées. Le patrimoine culinaire alsacien est également une précieuse et infinie source d’inspiration que je suis d’ailleurs loin d’avoir fini d’explorer. Je prends beaucoup de plaisir à réinterpréter les recettes traditionnelles et à les partager. Il y a pas mal de vieilles recettes du registre familial qui ont fini par tomber en désuétude. Et j’aime l’idée de les faire revivre en les remettant au goût du jour.

Aimes tu travailler les produits frais, de saison, locaux ?

Bien plus encore qu’aimer ! Ce n’est pas une option mais un impératif. Hors de question pour moi d’acheter des tomates ou des fruits rouges en hiver. J’attends que ce soit la pleine saison en Alsace. Je suis carrément inflexible là-dessus et mes enfants le savent. D’ailleurs, ils ont maintenant acquis le réflexe de demander systématiquement si le produit qui leur fait envie est bien de saison. Et puis, nous avons en Alsace pléthore de merveilleux produits et tant de talents pour les mettre à notre disposition. Ce serait si dommage de ne pas en profiter ! En cuisinant frais, local et de saison, on profite non seulement de produits au top de leur maturité et de leur saveur, mais on opte aussi pour une consommation responsable, plus respectueuse de notre planète. Je n’y vois que des avantages !

 

Dans tes recettes, tu revisites les plats alsaciens, y a-t-il d’autres cuisines qui tu voudrais revisiter ?

La cuisine alsacienne fait vraiment partie de mon ADN et restera, je pense, mon principal terrain d’investigation et d’expérimentations. Ceci dit, mon approche est très ouverte sur toutes les autres cultures culinaires et j’aime beaucoup imaginer des métissages : nems ou makis de choucroute, fleischkiechle à l’orientale, griesknepfle aux épices d’Azerbaïdjan ou encore grumbeerekiechle aux saveurs méditerranéennes… Finalement, je revisite la cuisine alsacienne pour l’emmener ailleurs autant que je revisite les cuisines du monde pour les emmener en Alsace !

Quelle est ta recette préférée dans ce nouveau livre ?
C’est super difficile pour moi de faire un choix ! Je vais donc te faire part du coup de cœur de mon fils Oscar (9 ans) : le baeckeoffe de poissons. Il me le réclame très régulièrement. Et c’est aussi un plat sur lequel les lecteurs du livre m’ont fait de nombreux retours très positifs.

Tu es aussi blogueuse, combien de temps cela te prend ? Comment arrives-tu à tout gérer au quotidien ?

Quand on aime on ne compte pas ! Alimenter un blog est très chronophage, je pense que tu en sais quelque chose… Publier une recette sur le blog, c’est de nombreuses heures de travail (et de plaisir heureusement) que ne mesurent très certainement pas les lecteurs : il faut faire les courses, réaliser le plat, rédiger la recette, la mettre en scène, la prendre en photo, rédiger un article d’introduction, optimiser le référencement, mettre l’article en ligne et le partager sur des plateformes du web et sur les réseaux sociaux pour le faire vivre. C’est au bas mot une journée de boulot (6 à 8h). Comment je gère tout au quotidien ? Il y a belle lurette que j’ai accepté l’idée de ne pas tout gérer ! Je ne suis pas Wonderwoman.

J’apprends (à ne presque) pas culpabiliser quand j’ai 5 lessives de retard ou quand on ne voit presque plus à travers les vitres de mon appartement. Je me console en me disant que je ne suis pas trop mauvaises sur la gestion des repas. Mes enfants mangent des produits frais locaux et de saison tous les jours. On ne peut pas être au top sur tous les fronts. En tout cas, moi je ne le suis clairement pas !

Il y a de plus en plus d’influenceurs sur Strasbourg avec pleins de thématiques différentes… Qu’en penses-tu ? Penses-tu qu’il y en a de trop ? Lesquels suis-tu ?

Je t’avoue que j’ai un peu de mal avec ce terme d’influenceurs. Je le trouve très réducteur et j’ai du mal avec la notion mercantile qu’il sous-entend. On ne se lève pas un beau matin en se disant « tiens et si je devenais influenceur ». C’est plutôt l’envie ou même le besoin de s’exprimer qui nous tenaille, un peu à la manière d’un artiste qui a besoin de son art pour donner du sens à sa vie. Comme un artiste touche son public, un « influenceur » rencontre son audience. Pas parce qu’il a décidé de faire la pluie et le beau temps. Mais parce qu’il a créé son propre univers et que cet univers devient inspirant. Et pour devenir inspirant, il ne suffit pas de le décréter. Il faut avoir une démarche authentique, désintéressée, sincère. Et beaucoup, beaucoup travailler.

J’ai donc tendance à m’intéresser aux « influenceurs » qui proposent de vrais contenus de qualité. Je visite par exemple régulièrement les blogs food très inspirants de Sandra Thomann (Cuisine addict) et de Réjane Candela (Food for love).

Ton réseau social préféré ? Où peut-on te suivre sur le net ?

Incontestablement Facebook pour ma part. C’est le premier réseau social que j’ai apprivoisé. Et une belle communauté très intéressée et impliquée,s’est développée autour de ma page Je vais vous cuisiner. Sinon, il y a mon blog bien-sûr ! Et tout bientôt, certaines de mes recettes seront visibles sur le site https://www.visit.alsace/.

Tu es de Strasbourg, où vas-tu manger le midi en ville ? Et le soir pour une soirée entre amis et pourquoi ?

La Cantina pour profiter de la terrasse, de leurs délicieux plats ensoleillés et du service très avenant à midi et l’Alma en soirée pour l’ambiance feutrée, l’accueil à la fois discret et très attentionné et la cuisine fusion entre Japon et Pérou absolument divin.

Des projets pour cet été ? Un nouveau livre en approche ?

J’ai très envie d’un deuxième livre et je commence à y songer très sérieusement (un projet qui pourrait peut-être se concrétiser pour l’automne 2020). Sinon, j’ai pas mal de projets vidéos qui s’annoncent. Et bien-sûr, je travaille au développement de mon entreprise qui propose notamment des prestations de communication (rédaction d’articles et conception de vidéos), de création culinaire (conception de recettes et création de cartes pour les restaurants) et d’animations culinaires (show-démo culinaires, ateliers de cuisine, cuisine en direct).

CONCOURS: Gagnez un cours de cuisine à EGAST 2016 !

CONCOURS: Gagnez un cours de cuisine à EGAST 2016 !

 

Dans le cadre de la 16ème édition du Salon professionnel EGAST à Strasbourg du 13 au 16 mars 2016 et de son « plus grand cours de cuisine d’Alsace », je vous propose de gagner 2 cours pour 2 personnes (soit 4 places).

Le cours se déroulera le Lundi 14 mars à 19h00  avec le Chef Arnaud BARBERIS du restaurant La Belle Vue à Saulxures. 

Au menu de ce cours :
St Jacques en bouillon de lait de coco, parfumé aux épices d’ailleurs, râpé de poires et de champignons de Paris aux 5 épices, jeunes pousses d’épinard.

Pour participer, il vous suffit tout simplement de répondre à cette question dans les commentaires sous l’article :
Quel est votre point fort en cuisine ?

Et de partager cet article sur un de ces réseaux sociaux suivant en mentionnant le Blog Kapoué ! -> Facebook, Twitter, ou Instagram.

Les 2 gagnants seront tirés au sort le 8 Mars à 20h.

Bonne chance à vous, et bon appétit aux futurs gagnants !

Pour plus de renseignements sur le salon EGAST : www.egast.fr

Afterwork chez Cuisine Aptitude avec les Ambassadeurs d’Alsace

Afterwork chez Cuisine Aptitude avec les Ambassadeurs d’Alsace

Voilà, tout est dit (ou presque) dans le titre… En effet, j’ai eu la chance de participer avec les ambassadeurs d’Alsace à un sympathique atelier cuisine chez notre ami Nicolas Jean de chez Cuisine Aptitude : LA référence des cours de cuisines pour les pros et les particuliers à Strasbourg.

(Une de photos prises par Jean Marc de Balthasar à retrouver sur la page Facebook des Ambassadeurs)

Cet afterwork se passait le 27 juin dernier et se déroulait avec plusieurs « équipes » en rotation avec des divers ateliers  :

ATELIER 1 : Comment faire des rillettes de truite parfumées à la livèche

ATELIER 2 : Découverte du métier de brasseur et de ces process par Christian Arztner pour la bière Perle et son renouveau par des recettes audacieuses

ATELIER 3 : Ou comment exceller dans la préparation d’un finger feuilleté de foie gras à la fleur de sel, chou à choucroute caramélisé au cumin.

 

ATELIER 4 : Atelier cocktail à base de bière et de Vieille Prune.

Voilà, en gros, pas grand chose à dire de cette soirée à part une ambiance bonne enfant, un concept sympa et la possibilité de nouer des contacts avec d’autres ambassadeurs d’Alsace autour d’une activité ludique.

La soirée coûtait 25 euros par personne, je trouve ça correct étant donné l’équipe et l’accueil, surtout que bien évidemment, on a passé la soirée à se délecter de nos créations culinaires.

A noter qu’il s’agissait aussi de fêter en amont le 5 eme anniversaire du club des ambassadeurs d’Alsace, je leur tire mon chapeau et je suis content de pouvoir participer à cette aventure avant tout humaine de la promotion de notre région même si… je ne suis pas né ici ! 😉

J’ai volontairement pas détailler les recettes car je ne suis pas un blog culinaire (y en a qui font ça beaucoup mieux que moi !) et aussi pour vous inciter à aller prendre un cours chez Cuisine Aptitude, vous ne serez pas déçus. Ils ont, par exemple, une formule tous les midis qui vous permet de cuisiner un plat sympa et de le manger dans la foulée pour 13 € : pas mal non ?

Kapoué Test n°9: Restaurez vous au royaume du fromage savoyard : L’Etoile des Neiges Strasbourg

Restaurez vous au royaume du fromage savoyard : L’Etoile des Neiges

« En Mai, fait ce qu’il te plait… » Ok, alors, je m’exécute en testant ce nouveau restaurant de spécialités de la montagne. C’est vrai après tout, quoi de mieux qu’une journée de semi soleil fériée en début Mai pour manger fromage, lard et féculents dans l’ambiance boisée de la Savoie?

Façade de l’Etoile des Neiges à Strasbourg

Je me suis donc retrouvé à « L’Etoile des Neiges« , nouveau restaurant du groupe FHB (de notre ami Franck Meunier), qui a ouvert il y a déjà quelques semaines juste avant le fameux Franky’s Diner. Les mauvaises langues diront que c’est toujours les même qui ouvrent des restos sympas à Strasbourg… Mais en attendant, faut il avoir encore une bonne idée avant les autres et les fonds pour se lancer, et je ne doute pas un seul instant que M. Meunier et ses collègues ont les 2 qualités sinon, ça ferait longtemps qu’il aurait mis la fourchette sous le paillasson ! Bref, attaquons plutôt dans le vif du sujet : La bouffe savoyarde !

En effet, vous vous doutez bien qu’on ne va pas manger dans ce genre de lieu pour manger light ou même équilibré : votre estomac va prendre cher, et c’est exactement pour cela que vous allez payer !
Petite planchette mixte & légère de charcuterie pour commencer, sympathique mais sans plus. On attendait plutôt le plat de résistance !

Planchette mixte de charcuterie

Nous étions 3, on a donc varié les plaisirs :

1er plat : Une écorce de sapin servies avec son seau en bois remplis de pitites pommes de terre (16,90€)

Ecorce de sapin

2eme plat : Escalope savoyarde gratinée servie avec des crozets (petites pâtes carrées baignant dans le fromage et le vin blanc) (18,60€) (Plat correct mais sans plus, les champignons étaient pourtant top, mais les crozets trop gorgés de vin blanc…)

Escalope savoyarde gratinée au jambon et ses creusets

Et enfin, 3eme plat : un mastodonte -> une marmite de la marmotte ( pommes de terres, jambon, raclette…) Bref, un plat de tueur impossible à finir sauf si tu es accompagné par une famille de bucherons anémiques (14,60€)

The « ULTIMATE » Marmite de la Marmotte

Au niveau de la décoration, on peut dire que comme à son habitude, FM nous a gâté : Bois, bois, bois, bois avec un soupçon de boiseries dans les coins. Le chalet suisse ou savoyard est respecté, on s’y croirait presque avec les bruits d’animaux diffusés en guise de radio locale (ça plombe un peu l’ambiance quand la salle est vide par contre…).

WC Hommes rustiques et boisées

Non, sérieusement, la déco m’a bcp plu, que ça soit les marmottes en peluches (kitschs ?) dans les WC ou les tables taillées dans le bois brut… Heureusement que nous avions la chance d’avoir José, notre serveur à l’accent espagnol pour nous rappeler qu’on était qu’à Strasbourg capitale européenne et non à Annecy avec nos amis les bronzés font du ski. On a cependant eu le droit à une (fausse?) peau de bête morte en guise de coussin de chaise, sympa et très tribal…

Tablée centrale du restaurant

Forcement avec des plats comme ça, après tu as plus faim, on a donc fait l’impasse sur les desserts qui sont pourtant faits maison, sauf les glaces, dixit José et on a opté pour un café gourmand très bien présenté avec une jolie clef de sol au fond de l’assiette… (Je vois pas le rapport avec la Savoie mais bon… l’art de la cuisine m’échappe parfois! )

Petit reproche par contre, le mini cake du café gourmand réchauffé au micro ondes à la va vite… et dur quand il est servi, ça le fait pas trop!

Que dire de plus…? Les plats vont de 11 à 22€ , il y a une formule midi Entrée Plat Dessert à 11€…

Comptoir avec José notre serveur skieur espagnol des montagnes

Pour conclure, c’est un bon restaurant de « genre » : on vient pour se casser le bide, et l’objectif est réussi. L’ensemble est convivial, et cohérent au niveau des prix, pas grand chose à rajouter. Apparemment, il y a une offre Groupon en ce moment sur la raclette donc à tester avant que le lieu soit pris d’assaut par les gourmands strasbourgeois…

Tentez le coup en été, par 30°C à l’ombre, il y aura sans doute peu de candidats pour se taper une raclette !

Je suis comme d’habitude, friand de vos avis si vous connaissez l’établissement, car il faut être honnête, nous y étions un jour très très calme… Difficile donc de se faire une vraie idée, notamment au niveau du service. A bientôt pour un nouveau test !

Coordonnées :
L’ETOILE DES NEIGES
14 RUE MUNCH
67000 STRASBOURG
03 88 37 16 17
Site : http://etoiledesneiges.net/

 

NB: ce restaurant est maintenant fermé au profit de « Mémé dans les Orties« 

Kapoué Test : La case de l’ile Bourbon à Strasbourg

Tada ! Voici en grandes pompes le second Kapoué Test, cette fois ci dans un restaurant créole réunionnais : La case de l’ile Bourbon à Strasbourg !

Façade du restaurant

Voici donc l’avis des 3 testeurs suivi du mien :

Kapoué Testeur n°1 :

Ivy for vendetta, 31 ans, Membre des Hell’s Ass Derby Girls depuis peu, passionnée de cinéma et d’Asie, vidéothécaire, maquilleuse SFX en amateur et dingue de cuisine

Compte Ivy Forvendetta sur Facebook

Le décor est quelconque. Un service très rapide (trop ?), des plats parfumés sans être trop relevés. Dommage le riz est à peine tiède ! La patronne se déride peu à peu et ramène même un extra, ce qui est toujours plaisant…

Art local

Point négatif : la banane flambée est bien arrosée mais manque cruellement de sucre et de cuisson, pas la moindre trace de caramel et la banane est presque crue.

Tarifs et portions corrects. A privilégier pour un déjeuner entre potes plutôt qu’un repas en amoureux.

Note : 6/10

Décoration générale et créole du restaurant

Kapoué Testeur n°2 :

Sébastien G. 34 ans, marketeur, amateur de bonnes tables entre amis et de dépaysement par l’assiette et le goût !

Twitter: @gradeux

Une déco défraichie et un accueil quelque peu rafraîchi… pas de très bon augure pour démarrer. Heureusement, les samoussas de poisson et, un peu plus tard, les épices créoles du rougail saucisse, viendront apporter un peu de chaleur à ce restaurant réunionnais. Les plats arrivent vite (trop ?) et la sensation de dépaysement n’aura finalement pas complètement opéré. Après une coupe de fruits exotiques frais, il est temps de retrouver la fraîcheur de la nuit strasbourgeoise…

Note : 6/10

Kapoué Testeur n°3 :

Sébastien Lopez qui est un peu retard pour son texte, et qui le donnera bientôt ! 😉

Petites épices au centre de la table

Kapoué Testeur n°4 :

Votre serviteur Jack !

J’ai aimé la simplicité du restaurant et le semblant d’exotisme… Les plats sont classiques mais pas spécialement fins, le dessert est à revoir par contre… J’ai pas trop aimé qu’on soit servis trop vite afin de faciliter le service de la grande tablée présente au 1er étage…

Note : 6,5/10 (surtout pour la rareté de ce genre de restaurants à Strasbourg)

Tarte Coco en dessert, un peu léger…

Voilà, vous avez tout pour vous faire un avis, il ne vous reste plus qu’à tester vous même !

Coordonnées :
La case de l’ile Bourbon
34 Grand Rue
67000 Strasbourg

03 88 32 60 93

Redécouvrez les saveurs de l’Alsace avec le webzine « Goûts d’Alsace »

Redécouvrez les saveurs de l’Alsace avec le webzine « Goûts d’Alsace »

Fans de délices de l’Est ou gourmands alsaciens, je vous annonce brièvement et rapidement la création d’un nouveau webzine Goûts d’Alsace (ou web magazine pour les non initiés) : GoutsdAlsace.fr

En effet, j’ai eu la chance d’être convié à la soirée de lancement lundi dernier au Relais de la Poste à la Wantzenau, où nombre de personnes de l’élite de la cuisine alsacienne s’était donné rdv pour assister au lancement de ce site par sa créatrice : Flora-Lyse Mbella ( journaliste gastronomique travaillant notamment pour la presse écrite spécialisée et chez TOP MUSIC tous les samedis matins)

Nous avons pu passer une soirée très sympathique, en dévorant des yeux et du palais tous les buffets tous aussi fins les uns que les autres… Sans même parler des bons crus pour les accompagner !

Vous l’aurez compris, il faudra à l’avenir consulter Goutsdalsace.fr pour découvrir toutes les diverses facettes de la cuisine alsacienne… Enfin une journaliste culinaire qui mouille sa toque et qui se lance sur internet avec son avis précis et expérimenté…  Rien à voir avec certains blogs pseudo culinaires strasbourgeois qui se la pètent en société, et qui commencent par un K… 😉

Coordonnées :
Goûts d’Alsace

Site : www.goutsdalsace.fr
Facebook : http://www.facebook.com/goutsdalsace
Twitter : @Goutsdalsace

Recette Flop Chef n°1 : le Croque-Madame

Vu la déferlante de la cuisine dans les médias, j’ai décidé de m’y mettre aussi MAIS d’une façon différente… Pourquoi se faire chier à bien faire la cuisine proprement et avec subtilité alors qu’au fond on le fait jamais! On va tjs au plus simple, au plus rapide alors autant faire partager ces astuces à tous, non?

Dans cette rubrique Flop Chef, je vous parlerai de recettes simples, pleines d’amour et pleines de gras aussi des fois aussi MAIS vous arriverez à les refaire et cela vous coûtera pas un bras.

Pour commencer, je me devais de vous parler d’une recette efficace qui a valu ma réputation : Le croque-madame.

Etapes:

1) Prendre 2 tranches de pain de mie complet si possible de paquets différents ( ça donne du goût, faut finir et pas gâcher quand même !) et les mettre au toaster.

Pains de mie complet

2) Sortir une planche vieille et humide achetée chez Ikea Strasbourg ( très important, il faut que tu sentes le goût du pin suédois qui te râpe le fond de la gorge!)

Sur cette planche, disposer le pain toasté, beurrer une tranche et crémer une autre tranche, y disposer du fromage fondu 1er prix. ( ne pas utiliser du vrai fromage, on est pas là pour que ça soit de la cuisine fine ! )

Beurrage et crémage du pain

3) Se faire cuire un œuf sur le plat, avec beaucoup de poivre et pendant ce temps, faire griller la tranche de pain de mie avec le fromage au four.

Hop hop hop, pas trop de poivre qd meme !

4) Rajouter une demi tranche de jambon ( ou du blanc de poulet pour ceux qui surveillent leur poids ), refermer le croque monsieur.

Hmm le bon fromage fondu !

5) Disposer l’oeuf en vrac sur le croque monsieur, pas grave si ça fait moche car je vous rappelle qu’on est dans une recette Flop Chef !

6) Dressage sur une assiette Ikea Strasbourg encore une fois, ou pour les addicts de la nature, je vous conseille la vaisselle en plastique des années 70 que vos parents vous ont refilé en douce.

C’est presque fini !

Vin : pas de vin, (on est pas au Ritz ! ), mais je vous conseille un cru nord américain à base de plantes, de caramel et d’aspartame nommé « Coca Cola Light »

Très bon cru…

Suggestion de présentation: Couper le croque-madame en 2 dans la diagonale, et rajouter une tomate ( car la tomate, c’est la vie, et ça fait stylé sur n’importe quel plat, non? )

PS: Je rappelle que pour des raisons sanitaires, il est conseillé de ne faire qu’une recette Flop Chef par semaine et d’être régulièrement suivi par un nutritionniste ou un plombier.

PS2: Ikéa, Super U, & Coca Cola n’ont malheureusement pas sponsorisés cet article.

Présentation finale : Bon App !

A bientôt pour une nouvelle recette !

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