HypeAuditor, l’outil indispensable pour analyser les comptes Instagram

Hello les amis connectés, ça va?

On va pas se le cacher, tout le monde passe son temps sur Instagram à l’heure actuelle. On veut tout voir sur nos potes, tout savoir sur telle ou telle marque, ou tout simplement glander en regardant la stories des uns et des autres… Instagram, au début, c’était sympa, mais de plus en plus on se pose des questions sur certains influenceurs… D’où sortent ils le nombre massif de followers ? Utilisent ils des outils du type : Mass Following, Pods de commentaires, auto likers, achat de followers…?

Pas évident de faire le tri entre les vrais ou les faux influenceurs, pour cela depuis peu il existe des outils en ligne. Je parle ici du site HypeAuditor que j’ai connu via l’influenceur Guillaume Ruchon. Il en parle en détail dans cette vidéo ci dessous qui date déjà de quelques mois.

Vous l’aurez compris, vous pourrez analyser n’importe quel compte y compris le votre pour connaitre mieux votre audience. Vous pourrez aussi comprendre et détailler les comptes qui vous intéressent… Je peux vous assurer que vous allez être surpris ! Vous verrez que beaucoup de monde utilise des méthodes peu recommandables pour gonfler artificiellement le nombre de followers de leur compte Instagram et leur taux d’engagement.

Je vous laisse ci dessous un code qui vous permettra d’avoir 3 crédits gratuits pour analyser 3 comptes: BLOG21. Sachant que l’analyse de votre propre compte est gratuite la première fois. Vous pouvez toutefois regarder quelques comptes sans avoir de crédits mais vous n’aurez pas toutes les analyses. Pour analyser les comptes, il faudra que le compte ait au moins 1000 followers.

A vous de jouer, je vous garanti que vous aurez des surprises parmi les comptes que vous suivez.

En toute transparence, je vous met à disposition mon rapport en pdf (jacktyphus-2019-06-07), ça vous donnera une idée.

N’hésitez pas à me dire ce que vous pensez de HypeAuditor et de la mode des fake influenceurs sur le réseau social Instagram dans les commentaires ci dessous.

A bientôt !

Interview de Leïla Martin pour son nouveau livre : « L’Alsace enchantée »

Hello Leïla, peux-tu déjà te présenter pour ceux qui ne te connaissent pas ?

Je suis maman de deux enfants et chef d’entreprise. Mon quotidien s’articule autour de la communication et de la cuisine. J’aime autant manier la plume que la casserole. Et j’ai la chance de pouvoir exprimer mes passions pour la création culinaire et l’écriture à travers mon blog jevaisvouscuisiner.com dédié à l’Alsace gourmande.

Tu as sorti fin 2018 ton premier livre de recettes, d’où te viennent les idées ?

Ce sont surtout les étals des marchés, les produits de saison et issus du terroir qui me soufflent les idées. Le patrimoine culinaire alsacien est également une précieuse et infinie source d’inspiration que je suis d’ailleurs loin d’avoir fini d’explorer. Je prends beaucoup de plaisir à réinterpréter les recettes traditionnelles et à les partager. Il y a pas mal de vieilles recettes du registre familial qui ont fini par tomber en désuétude. Et j’aime l’idée de les faire revivre en les remettant au goût du jour.

Aimes tu travailler les produits frais, de saison, locaux ?

Bien plus encore qu’aimer ! Ce n’est pas une option mais un impératif. Hors de question pour moi d’acheter des tomates ou des fruits rouges en hiver. J’attends que ce soit la pleine saison en Alsace. Je suis carrément inflexible là-dessus et mes enfants le savent. D’ailleurs, ils ont maintenant acquis le réflexe de demander systématiquement si le produit qui leur fait envie est bien de saison. Et puis, nous avons en Alsace pléthore de merveilleux produits et tant de talents pour les mettre à notre disposition. Ce serait si dommage de ne pas en profiter ! En cuisinant frais, local et de saison, on profite non seulement de produits au top de leur maturité et de leur saveur, mais on opte aussi pour une consommation responsable, plus respectueuse de notre planète. Je n’y vois que des avantages !

 

Dans tes recettes, tu revisites les plats alsaciens, y a-t-il d’autres cuisines qui tu voudrais revisiter ?

La cuisine alsacienne fait vraiment partie de mon ADN et restera, je pense, mon principal terrain d’investigation et d’expérimentations. Ceci dit, mon approche est très ouverte sur toutes les autres cultures culinaires et j’aime beaucoup imaginer des métissages : nems ou makis de choucroute, fleischkiechle à l’orientale, griesknepfle aux épices d’Azerbaïdjan ou encore grumbeerekiechle aux saveurs méditerranéennes… Finalement, je revisite la cuisine alsacienne pour l’emmener ailleurs autant que je revisite les cuisines du monde pour les emmener en Alsace !

Quelle est ta recette préférée dans ce nouveau livre ?
C’est super difficile pour moi de faire un choix ! Je vais donc te faire part du coup de cœur de mon fils Oscar (9 ans) : le baeckeoffe de poissons. Il me le réclame très régulièrement. Et c’est aussi un plat sur lequel les lecteurs du livre m’ont fait de nombreux retours très positifs.

Tu es aussi blogueuse, combien de temps cela te prend ? Comment arrives-tu à tout gérer au quotidien ?

Quand on aime on ne compte pas ! Alimenter un blog est très chronophage, je pense que tu en sais quelque chose… Publier une recette sur le blog, c’est de nombreuses heures de travail (et de plaisir heureusement) que ne mesurent très certainement pas les lecteurs : il faut faire les courses, réaliser le plat, rédiger la recette, la mettre en scène, la prendre en photo, rédiger un article d’introduction, optimiser le référencement, mettre l’article en ligne et le partager sur des plateformes du web et sur les réseaux sociaux pour le faire vivre. C’est au bas mot une journée de boulot (6 à 8h). Comment je gère tout au quotidien ? Il y a belle lurette que j’ai accepté l’idée de ne pas tout gérer ! Je ne suis pas Wonderwoman.

J’apprends (à ne presque) pas culpabiliser quand j’ai 5 lessives de retard ou quand on ne voit presque plus à travers les vitres de mon appartement. Je me console en me disant que je ne suis pas trop mauvaises sur la gestion des repas. Mes enfants mangent des produits frais locaux et de saison tous les jours. On ne peut pas être au top sur tous les fronts. En tout cas, moi je ne le suis clairement pas !

Il y a de plus en plus d’influenceurs sur Strasbourg avec pleins de thématiques différentes… Qu’en penses-tu ? Penses-tu qu’il y en a de trop ? Lesquels suis-tu ?

Je t’avoue que j’ai un peu de mal avec ce terme d’influenceurs. Je le trouve très réducteur et j’ai du mal avec la notion mercantile qu’il sous-entend. On ne se lève pas un beau matin en se disant « tiens et si je devenais influenceur ». C’est plutôt l’envie ou même le besoin de s’exprimer qui nous tenaille, un peu à la manière d’un artiste qui a besoin de son art pour donner du sens à sa vie. Comme un artiste touche son public, un « influenceur » rencontre son audience. Pas parce qu’il a décidé de faire la pluie et le beau temps. Mais parce qu’il a créé son propre univers et que cet univers devient inspirant. Et pour devenir inspirant, il ne suffit pas de le décréter. Il faut avoir une démarche authentique, désintéressée, sincère. Et beaucoup, beaucoup travailler.

J’ai donc tendance à m’intéresser aux « influenceurs » qui proposent de vrais contenus de qualité. Je visite par exemple régulièrement les blogs food très inspirants de Sandra Thomann (Cuisine addict) et de Réjane Candela (Food for love).

Ton réseau social préféré ? Où peut-on te suivre sur le net ?

Incontestablement Facebook pour ma part. C’est le premier réseau social que j’ai apprivoisé. Et une belle communauté très intéressée et impliquée,s’est développée autour de ma page Je vais vous cuisiner. Sinon, il y a mon blog bien-sûr ! Et tout bientôt, certaines de mes recettes seront visibles sur le site https://www.visit.alsace/.

Tu es de Strasbourg, où vas-tu manger le midi en ville ? Et le soir pour une soirée entre amis et pourquoi ?

La Cantina pour profiter de la terrasse, de leurs délicieux plats ensoleillés et du service très avenant à midi et l’Alma en soirée pour l’ambiance feutrée, l’accueil à la fois discret et très attentionné et la cuisine fusion entre Japon et Pérou absolument divin.

Des projets pour cet été ? Un nouveau livre en approche ?

J’ai très envie d’un deuxième livre et je commence à y songer très sérieusement (un projet qui pourrait peut-être se concrétiser pour l’automne 2020). Sinon, j’ai pas mal de projets vidéos qui s’annoncent. Et bien-sûr, je travaille au développement de mon entreprise qui propose notamment des prestations de communication (rédaction d’articles et conception de vidéos), de création culinaire (conception de recettes et création de cartes pour les restaurants) et d’animations culinaires (show-démo culinaires, ateliers de cuisine, cuisine en direct).

Concours: Gagnez vos places pour la venue de Camille Combal de Virgin Radio à Strasbourg !

Le 24 octobre prochain, Camille Combal et toute l’équipe du Virgin Tonic vous réveilleront en direct de Strasbourg !

L’équipe du Virgin Tonic a rempilé pour une toute nouvelle saison et évidemment, Camille Combal, Ginger, Nico du bureau, Mélanie et Clément L’incruste ont prévu quelques surprises pour cette année à venir. La première de cette saison, c’est une émission en direct du Palais de la Musique et des Congrès de Strasbourg le 24 octobre 2018 de 7h à 10h !

Au programme : des happening, de la bonne humeur, des invités, des surprises et, comme toujours, des loyers offerts.

Vous voulez assister à l‘émission ? Rien de plus simple !

  • Pour cela, il vous suffit de partager cet article sur les réseaux sociaux au choix Facebook, Twitter, ou même Instagram en mentionnant le Blog Kapoué et d’inscrire ci-dessous, dans les commentaires de cet article, vos noms et e-mails respectifs sachant qu’il y a 5 pass pour 2 personnes à gagner.
  • Merci donc d’indiquer les noms et e-mails des deux personnes qui viendront à la matinée au PMC.

DATE LIMITE DU CONCOURS : Mercredi 17/10/2018 à 18h00 (les gagnants seront prévenus par mails)

Pour rappel, regardez un peu l’ambiance qu’il y avait lors du dernier réveil de Camille Combal le 29 juin 2018 au Grand Rex !

On murmure d’ailleurs dans les couloirs la présence de Louane, Jenifer, Hyphen Hyphen, Amir & Diva Faune… 😉

Alors, prêts à venir vous réveiller dans la bonne humeur ? 

STRASBOURG MINUTE, nouvelle façon de découvrir les strasbourgeois… en vidéo !

Après avoir participé au concept STRASBOURG MINUTE, j’ai posé quelques questions à Jérémie et Nicolas, pour qu’ils nous explique le principe…

Bonjour, pouvez-vous vous présenter et nous expliquer en quelques mots le principe de STRASBOURG MINUTE ?

Jérémie, 38 ans, concepteur multimédia/gérant au sein d’ILL [communications], agence de communication à dimension mono-humaine basée à Strasbourg.

Nicolas, 41 ans, SERGENT RECORDS.

Jérémie :

STRASBOURG MINUTE est né d’une envie commune de montrer un visage plus hétérogène de Strasbourg, ceci en mettant en avant ses habitants qui s’investissent au quotidien pour faire vivre la ville. C’est une plate-forme gratuite, ouverte à toutes et à tous, sans distinction autre que d’aimer Strasbourg, sous toutes ses formes. Le tout est mis en forme par le biais de portraits vidéos court sur ceux qui « vivent » Strasbourg, une database non exhaustive de gens avec qui échanger, avec qui collaborer ou tout simplement à découvrir. Un esprit et un regard positif.

Comment choisissez-vous les personnes pour vos portraits vidéo ?

Jérémie : Au départ, nous avons chacun regardé dans notre entourage direct et sélectionné des personnes qui avaient envie de partager leur amour de la ville, de présenter les différentes actions qu’ils mettent en place pour la faire vivre. Chaque fois que nous réalisons un portrait, nous demandons à la personne si elle aurait quelqu’un à nous recommander, ce qui nous permet de rencontrer des personnes différentes.
Depuis un peu plus d’un mois que le site est en ligne, de plus en plus de personnes sont séduites par le concept et nous sollicite afin d’y participer.

Nicolas : Si tu aimes Strasbourg, viens nous le dire, c’est aussi simple que ça !

Vous considérez vous comme un média ou un (futur) média strasbourgeois ?

Jérémie : A vrai dire nous ne nous sommes jamais posé la question. A mes yeux la force d’une ville ce sont ses habitants, ceux qui s’investissent au quotidien pour la faire bouger et la faire vivre.

Notre projet s’inscrit dans une démarche citoyenne dont le but est de montrer le pluralisme et la diversité culturelle de la ville. Chaque jour  de nombreux événements ont lieu. Ces événements sont organisés par des personnes passionnées et investies. Notre but est de les mettre en avant afin qu’elle puisse directement partager leur passion et leur regard positif en passant devant notre caméra.

Nicolas : On ne fait pas de politique, ce qui nous permet d’être relativement libres, c’est la rue qui nous parle, donc si Strasbourg Minute est (ou) devient un média strasbourgeois c’est parce que les gens nous auront choisi. Ça veut aussi dire que nous avons conscience qu’il faut éviter de se faire récupérer , et qu’il faut garder nos convictions , notamment de ne pas donner la parole à des gens allant contre nos valeurs ou qui verrait leur vidéo comme un défouloir , on est cool mais nous ne représentons pas pour autant le monde des Bisounours.

Notre démarche se veut positive voire atypique car détachée de toute influence externe à la nôtre, nous avons tous les deux notre identité propre au sein de ce projet commun, nous sommes visibles mais d’autres marchent avec nous.

Vous demandez aux gens comment ils vivent à Strasbourg, et vous… Comment et pourquoi appréciez-vous cette ville ?

Jérémie : Ce que j’apprécie à Strasbourg c’est la proximité, tant au niveau des déplacements qui sont rapides en bus, tram ou vélo, qu’à l’Allemagne qui est toute proche. De plus je tiens à saluer la politique de la ville qui a mis différents moyens en œuvre afin de la rendre plus agréable à vivre en développant les zones piétonnes en centre-ville, les espaces verts et les pistes cyclables. En résumé il fait bon vivre à Strasbourg.

Nicolas : J’apprécie cette ville  pour ce qu’elle est et ce qu’elle peut devenir, c’est à dire avoir une identité propre et ne pas essayer de copier  Paris, Berlin ou New York. Si une ville veut évoluer, grandir, arriver à maturité, il faut qu’elle arrête de regarder ce qu’il se passe ailleurs et qu’elle trouve, au sein de ses habitants, ses propres (re) sources d’existence. A terme , Strasbourg se doit d’être plus que la capitale européenne ou une capitale de Noël , il y a aussi peut-être une redistribution à faire à certains niveaux afin que tout le monde puisse avoir droit à la parole et que ce ne soit pas toujours les mêmes qui profitent de passe-droits , toute critique est bonne à partir du moment où elle est constructive , les habitants de Strasbourg ont des choses à dire , nous essayons de leur donner la parole , tant que cela reste positif  et en accord avec nos guidelines.

Ah ouais et je roule en Vél’hop donc, bonne idée ce service, mais arrêtez d’augmenter les prix, achetez juste plus de vélos, vue la demande vous ne devriez pas avoir de problèmes à rentabiliser, sans pour autant pénaliser les usagers de longue date.

Avez-vous d’autres projets dans les tuyaux ?

Un de nos autres projets est le site Sneakersminute.com, dédié aux amoureux des sneakers, qui reprend un peu les grandes lignes de Strasbourg Minute en axant les portraits sur des sneakers addicts (big up à la team SNEAKERS EMPIRE) et leurs paires favorites.

Où peut-on vous suivre sur les réseaux sociaux ?

 Jérémie : @strasbourgminute sur instagram et sur facebook, strasbourgminute.eu

Sur facebook : @jeremie.ill, sur instagram #jeremie_ill et le site de mon activité de concepteur multimédia sur https://www.ill-communications.com

Nicolas : www.sergentrecords.com

Pour terminer, avez-vous un bon plan ou une bonne adresse à partager avec les lecteurs du blog ?

Jérémie : Le dernier bon plan que j’ai découvert est La Consigne Store, c’est la bonne adresse pour tous les passionnés de Street Wear qui veulent faire des affaires, et cela pour toutes les bourses. Ils sont d’ailleurs présents dans l’épisode 06 de STRASBOURG MINUTE.

Nicolas : L’Occase de L’Oncle Tom, pour sa sélection de jazz, l’Orangerie, pour la bibliothèque en libre-service et les singes, la cordonnerie Roda au Neudorf , pour donner une seconde vie à sa paire de chaussures.

Merci pour vos réponses, à bientôt.

Tous derrière Mittelbergheim pour « le village préféré des Français » !

Tous derrière Mittelbergheim pour « le village préféré des Français »

La traditionnelle émission télé « Le village préféré des Français » c’est le 19 juin à 21H sur France 2 ! Stéphane Bern présentera l’émission en direct de Kaysersberg dans le Haut-Rhin, lauréat l’année dernière du village préféré des Français.

Tout au long de la soirée, 14 villages sont en compétition et vont concourir pour devenir le village préféré des Français 2018.

Cette année, c’est Mittelbergheim dans le Bas-Rhin qui représentera notre région ! Alors un seul mot d’ordre : #JEVOTEMITTEL !

Mittelbergheim, ou Mittel pour les habitués c’est 650 habitants et surtout une petit commune viticole authentique qui aura toutes ses chances pour séduire les téléspectateurs le 19 juin 2018 !

J’étais avec une équipe de blogueuses et communicantes pour soutenir la candidature de Mittel, lors d’un barbecue cette semaine dans la jolie commune

Pourquoi voter pour Mittelbergheim le 19 juin ?

  • Ne dit-on pas « Jamais 2 sans 3 »… Après Eguisheim élu village préféré des Français en 2013 et Kaysersberg l’année dernière, Mittelbergheim serait le troisième village alsacien à gagner le concours en 7 émissions ! #Alsaceenforce
  • Situé sur la Route des Vins, Mittelbergheim est entouré de vignes et est classé parmi ‘Les plus beaux villages de France’ depuis 1983
  • Il y a du bon vin à Mittel ! Le Zotzenberg, situé à Mittelbergheim est classé Alsace Grand Cru #S’gelt
  • Le village dispose de nombreuses activités artisanales et industrielles dont une tannerie qui élabore les cuirs utilisés par les plus grandes marques françaises et internationales telles que Chanel… #waouh

Découvrez aussi la vidéo officielle :


Comment voter pour Le Village préféré des Français 2018 ?

Le vote se déroulera en direct lors de la diffusion de l’émission, le 19 juin au soir.

Vous pourrez découvrir les 14 villages et désigner votre village préféré soit par téléphone ou par sms. Le numéro d’appel et le numéro SMS sera dévoilé pendant l’émission.

MITTELBERGHEIM : c’est aussi sur les réseaux sociaux !

Suivez la page officielle Facebook de Mittelbergheim, village préféré des Français, le compte Twitter @JevoteMittel

Et surtout, n’hésitez pas à partager vos photos et messages de soutien avec le # officiel : #JEVOTEMITTEL !

Merci à tous.

Interview de Nora, candidate strasbourgeoise des Reines du Shopping

Interview de Nora, ancienne candidate strasbourgeoise des Reines du Shopping

Nora, raconte nous ton parcours avant les Reines du Shopping…
Alors je suis illkirchoise à la base d’origine mauricienne. J’ai suivi toute ma scolarité sur Strasbourg et je suis très attachée à ma ville d’ailleurs. J’ai une passion pour la danse plus récemment le fitness. Je suis pleine de vie, de nature positive j aime profiter des soirées strasbourgeoises avec mes copines et je suis une bonne vivante ma passion principale est de manger. C’est pour cela que je cuisine tous les jours et je découvre les endroits où l’on peut se faire exploser la panse. Mes weekends sont souvent dans ma deuxième maison : les centres commerciaux. Même si en journée je suis de nature psychorigide j’ai un sacré grain de folie la nuit tombée !

Comment t’es venu l’idée de postuler aux Reines du Shopping ?
Ma fille est gardée par ma mère et je l’emmène depuis toujours lors de mes virée shopping. Du coup vu notre complicité, elle m’en avait parlé depuis qu’elle avait vue une émission mère fille. Donc, on s’est inscrite ensemble sous l’intitule casting mère/fille.

Détaille nous un peu le tournage…
C’est un rythme particulier surtout quand c’est la 1ère fois que l’on est sur une dynamique de tournage hebdomadaire. On doit se préparer nous mêmes donc je vais casser le mythe mais pas de maquilleuse ni de coiffeuse, ni de personne pour nous habiller ce sont nos propres habits. Une fois la gêne des premiers temps avec toutes les caméras c’était un pur moment de plaisir et de kiffe d’être sur ce plateau. Et puis, il y a les lumières qui rendent jolie. Pour finir, c’est un rythme militaire car les journées sont longues car on attend les retours des candidates qui sont parties en shopping et ensuite il faut les commenter. Quand il y a le défilé, on sait que ça va être la fin. On a quand même la chance d’avoir une « nounou » qui nous suit et s’occupe de nous rendre la journée la moins pénible possible.

L’ambiance était comment entre les candidates ?
C’est tout un chapitre sur lequel je pourrais m’étaler des heures… Comme ça au début elles avaient l’air sympa mais juste l’air. A part la gagnante, beaucoup d’hypocrisie et beaucoup de volonté de gagner. Après, je ne rentrerais pas dans le débat sur la cadette qui a été un amour devant nous et vraiment une « double face » devant la caméra surtout vis à vis des autres candidatures qui l’ont vraiment pris sous leur ailes…
As-tu pu échanger avec la « magnifique » Cristina Cordula ?
Oui, mais vraiment brièvement. Elle est vraiment très belle en vrai mais surtout très grande. J’espère être aussi bien qu’elle à son âge.

Pour ceux qui n’ont pas vu l’émission, combien es-tu arrivée ?
Alors, très bonne question. Etant donné que je n’ai pas regardé la diffusion de mon passage je n’ai pas la réponse. Comme l’être humain peut de temps en temps être bête et méchant derrière son écran j’ai préféré éviter tout énervement et rester positive. Je suis à fond dans l’épanouissement personnel en ce moment. Sinon quelque soit ma place pour moi j’ai fait l’émission et c’est déjà énorme.

Strasbourg est remplie de candidat(e)s de TV réalité, en connais tu personnellement ?
Je les connais de nom mais je n’en ai pas en amie très proche peut être juste une avec qui j ai de temps en temps discuté qui a fait reine du shopping et qui aurait du gagner d’après moi parce qu elle était topissime.
Attendais-tu des retombées suite à l’émission? Si oui, lesquelles ?
Non pas spécialement. De nature introvertie à la base, j aime mon petit cocon familial même si j aime faire de la figuration participer à des jeux télévisés ( c’est ma 3ème participation à un jeu télévisé ) je ne me prend pas pour une grande star. Et jamais de la vie je quitterais Strasbourg. J’y suis attachée profondément. Alors pour en revenir aux Reines du Shopping, j’ai eu beaucoup de sollicitation de personnes sur les réseaux sociaux et puis une flopée de tweet sympa et moins sympa… Ce qui m’à apporte beaucoup c’est le nombre de personnes qui sont venus me parler et il y a eu un échange en réel et ça j’adore. J’aime beaucoup discuter. Et ça m’à fait chaud au cœur que l’on me félicite de ne pas avoir mis des sales notes juste pour gagner je suis rester juste et authentique. Du moins j ai essayé. Après dans la vie, j’ai ce petit grain de folie qui fait que je suis moi #noratouch

Enfin, pour toi qui fait partie des Reines du Shopping : donne-moi stp le nom de tes 3 boutiques de mode strasbourgeoises préférées…
Personnellement, j’en ai pas particulièrement je flâne partout là où j’ai un coup de cœur ça peut être du COS : atypique, décalé mais classe. J’aime beaucoup aussi le rétro chic. Pour tous les jours, je reste sur les incontournables Zara et Mango.
NB: Pour rappel, Nora avait aussi participé au clip HAPPYSTRASBOURG.  Merci à elle pour sa disponibilité et son sourire à l’époque.
Si vous voulez découvrir l’univers de Nora, allez faire un tour sur son compte Instagram !

Kapoué test n°140: La Baie Des Anges, restaurant sauvé par le chef Etchebest ?

Ceci est un « Kapoué test » un peu particulier aujourd’hui : D’habitude, j’essaie de tester les nouveautés de notre belle ville de Strasbourg, ici c’était plutôt ma curiosité qui m’a poussé à tester La Baie Des Anges, restaurant de spécialités provençales rue Kuhn… En effet, ce restaurant, je ne le connaissais pas avant que je prenne connaissance en mai dernier du tournage de l’émission de M6 : Cauchemar en Cuisine avec le chef Philippe Etchebest. Etant grand fan du show, et très gourmand, j’ai donc voulu voir ce que donnait ce restaurant après avoir été « retapé » par le chef Etchebest. Sachant qu’en plus la diffusion de l’émission se fera le samedi 30 septembre à 21 heures sur M6. Certes, je n’ai ni le charisme, ni la barbe (enfin presque), ni l’expertise culinaire du chef, mais je sais donner mon avis ! 😉

J’ai donc mangé là-bas, vite fait un midi de cette semaine, décidé à goûter le menu qui a été concocté lors de l’émission… J’ai réussi à réserver rapidement, je pensais que le restaurant allait être plein, mais ce n’était pas le cas. Je ne suis pas vraiment fan de la cuisine provençale, mais pour autant, je ne peux pas dire que je n’aime pas : tout simplement, je ne la connais pas assez ! De toute façon, peu importe, puisque j’ai même pas choisi, j’ai directement pris le menu Etchebest à 22€ : plat + dessert ! Impossible de le louper, il est placardé dehors et sur les menus… De plus, je dois avouer que le plat du jour ne me tentais pas trop : escalope de poulet à la crème avec des frites avec un fondant au chocolat en dessert (on n’avait pas dit « cuisine provençale » ?)

Le menu du chef s’était donc : Épaule d’agneau confite sur panisse (spécialité provençale à base de farine de pois chiche), caviar d’aubergines avec sa sauce vierge au poivron doux et en dessert « Comme un calisson en verrine »

Mon avis sur le plat :
Orginal, je mange pas souvent d’agneau au restaurant mais je devrais d’ailleurs. La viande bonne, bien cuite. Belle assiette, bien présentée. Par contre, trop gras : le panisse était sans doute frit à la friteuse ou à la poêle du coup gras et en plus de ça, le plat baignait littéralement dans l’huile d’olive…

Et pour le dessert :
Servi hyper vite (sans doute préparé à l’avance) : une très bonne surprise ! Frais, mousseux, avec un petit gout de calisson, j’ai adoré… Je pense même que j’aurais pu en manger un deuxième… Rien à redire.

Pour le reste, pas grand chose à dire, on a été bien accueilli. Servis vite, on a mangé en 1 heure. On n’a pas pu goûter les poissons à la carte, ni même les moules, mais c’est sans doute à faire pour pouvoir se donner une vraie idée du restaurant. Prix de l’addition : 50,80 euros pour 2, boissons comprises et sans cafés (un peu cher, non ?).

Bilan de mon repas à la Baie Des Anges :

Satisfait du menu du chef Etchebest, même si j’aurai bien aimé une petite entrée avec et surtout moins d’huile dans le plat. Concernant, le reste du restaurant, je ne suis pas plus convaincu que ça, j’ai pas du tout accroché avec la décoration et j’ai pas eu le temps, ni l’appétit pour découvrir le reste de la carte… Honnêtement, je ne pense pas revenir mais j’espère vraiment que l’émission aidera cette famille du restaurateur Damir Delic à prendre un nouveau départ et à recentrer et de développer au mieux leur activité. On leur souhaite donc bonne chance et espérons que l’émission soit riche en moments épiques comme sait nous en donner le chef Phillipe Etchebest.

A vous d’aller goûter au plat de la Baie Des Anges et de me dire dans les commentaires ci-dessous, ce que vous en pensez ?

La Baie Des Anges
28 Rue Kuhn
67000 Strasbourg
03 69 82 50 43

Interview du Tomimag: le blog impertinent d’Alsace Lorraine !

Interview du Tomimag: le blog impertinent d’Alsace Lorraine !

Comment t’es venue l’idée du Tomimag ?

L’idée d’un blog humoristique a été lancée sur un coin de table, dans un bistrot, après la défaite de l’équipe de France face à l’Allemagne en quart de finale de la coupe du monde 2014. Nous étions déçus… et de discussions en blagues, autour d’un verre, nous avons eu l’idée de mettre en ligne un petit blog qui a ensuite évolué vers le portail d’actualités satiriques et humoristiques que vous connaissez.

Depuis combien de temps existe le Tomimag ?

Depuis 2 ans et demi, le portail a été lancé pendant l’été 2014.

Vous êtes combien de rédacteurs ?

Nous sommes 3 rédacteurs : Marie-Christine, Samir et moi-même Jean-Luc.

D’où vous viennent ces idées les plus délirantes les unes que les autres ?

Nous sommes avant tout des consommateurs assidus de presse sous toutes ses formes : internet, radio, TV, presse écrite… On s’amuse beaucoup à inventer des faits-divers humoristiques complètement absurdes et loufoques. D’une manière générale, c’est notre vie de tous les jours qui est notre source principale d’inspiration… avec un intérêt particulier pour l’Est de la France.

Vous êtes pas mal présents sur Facebook où vos articles cartonnent mais peu sur les autres réseaux sociaux, pourquoi ?

Tout simplement parce que nos premiers articles ont d’abord été partagés auprès de notre famille et de nos amis sur Facebook. C’est historiquement sur Facebook que nous avons démarré, et un peu sur Twitter aussi… Nous n’imaginions pas à l’époque que le site allait connaître un tel succès.

Quels sont les retours que vous avez en général ? Tous vos lecteurs comprennent-ils le second degré, ou certains tombent ils dans le panneau ..?

Les retours sont positifs : les lecteurs s’amusent en lisant nos blagues et n’hésitent pas à les partager sur les réseaux sociaux.

Bien sûr, tout le monde ne comprend pas le second degré et il est arrivé que certains lecteurs n’aient pas perçu le ressort humoristique ou satirique de certains de nos articles… en pensant que c’était vrai. Notre objectif est de faire rire ou réagir, mais jamais de tromper ou de désinformer. Tout est expliqué dans la rubrique « qui sommes-nous ».

Parfois, des articles ont même un impact au niveau national… et ça nous fait rire. A titre d’exemples :

Vous participez à votre manière « au rayonnement » de la région Grand Est, que pensez-vous de ce nouveau découpage régional ?

Nous avons la chance de vivre dans une belle région qui compte de nombreuses richesses en termes d’atouts culturels, artistiques et touristiques. Au-delà de la réforme territoriale, l’essentiel pour nous est de valoriser le Grand-Est dans son ensemble, dans sa diversité. Nos articles mettent très souvent en opposition alsaciens et lorrains, mais ce n’est que pour mieux en rire… et souligner leur complémentarité.

Quel est votre article qui a fait plus de « bruit » ?

Le  « déneigeur ivre des Vosges » qui comptabilise à ce jour 1.400.000 vues depuis sa publication, et plus de 200.000 partages sur les réseaux sociaux.

Depuis 2 ans et demi, notre site a comptabilisé au total 12 millions de pages vues, dont 11 millions de vues uniques.

 Vous gardez un certain anonymat, avez-vous eu déjà des soucis suite à des articles ?

Ce sont des pseudonymes car nous ne souhaitons pas nous mettre en avant, nous avons des activités professionnelles n’ayant aucun lien avec Tomimag.

Nous n’avons jamais eu de soucis à titre personnel… Bien entendu, nous avons déjà dû faire face à des insultes ou des injures par mail ou sur les réseaux sociaux, mais rien de grave. On nous a menacés deux fois de poursuites judiciaires (à chaque fois lorsque des intérêts financiers ou l’utilisation d’une marque étaient en jeu) mais ça n’est pas allé plus loin.

Pensez-vous qu’il y ait une sorte de filiation entre le Tomimag et le Gorafi ?

Non pas vraiment… On ne lit pas les autres sites de fausses informations humoristiques ou satiriques. Notre filiation vient plutôt de la rubrique « faits-divers » de l’Est Républicain, de Vosges matin ou des Dernières Nouvelles d’Alsace.

Pour terminer, quels sont vos projets pour le Tomimag ?

Continuer à publier de temps en temps de faux articles humoristiques, au gré de nos envies… sans se prendre la tête.

Tous les articles sont à lire sur Tomimag.fr

Mes coups de cœur de la conférence TEDxAlsace 2017 Strasbourg

Mes coups de cœur du TEDxAlsace 2017

Ce samedi, j’ai pu assister (à la Cité de la Musique de Strasbourg) pour la première fois à une conférence TEDx : le TEDxAlsace 2017, qui avait pour thème cette année  » Est-ce la limite « .

Historique :
Les conférences TED (Technology, Entertainment and Design) sont une série internationale de conférences organisées par la fondation à but non lucratif The Sapling foundation. Cette fondation a été créée pour diffuser des « idées qui valent la peine d’être diffusées » (en anglais : « ideas worth spreading »). TEDx est un programme qui permet aux écoles, aux entreprises, aux bibliothèques ou aux groupes d’amis de profiter d’une expérience semblable à celle de TED par le biais d’événements qu’ils organisent eux-mêmes. (source Wikipédia). C’est dans ce cadre des TEDx que Salah Benzakour a crée en 2010, le premier TEDx en France hors Paris à Mulhouse: Le TEDxAlsace. Le TEDxAlsace 2017 est la 3 eme édition montée grâce à l’aide de Phillipe Struder (ancien speaker).

Description :
Pour cette édition 2017, il y avait donc 12 speakers qui se sont suivis et qui ont présenter leurs idées durant chacun 18 minutes. La conférence était accessible en achetant en amont ces places ou par invitation pour les plus chanceux.

Mes coups de cœurs :
Parmi les 12 speakers, aussi variés que pertinents, j’ai été vraiment touché voir ému par 4 d’entres eux : Tout d’abord, Maria Cuche-Christian qui nous a évoqué son parcours surprenant de chanteuse, son handicap et sa jolie famille de 7 enfants : très touchant. Ensuite, j’ai été captivé par Isabelle Lasserre, une journaliste de guerre, qui a vu et vécu la mort au plus près pendant 15 ans mais qui a lutté pour s’en sortir : encore une fois, j’ai été pris aux tripes.
Après l’entracte, on a découvert Luc Soler, qui après avoir tenté (et échoué) des études de médicine, a pu devenir un grand chercheur grâce à des belles rencontres et à son autre passion : l’informatique. Il a pu travailler en interface avec le corps médical qu’il admirait tant : une belle leçon de persévérance racontée tout en humour et humilité.
Pour finir, Florence Leosewski nous a évoqué les problèmes de santé hors du commun de ces fils et combien il a été difficile pour elle d’identifier la maladie du premier et de réussir à les soigner : encore une fois, la boule au ventre jusqu’à la fin du récit.
Les autres speakers ont bien sûr aussi assuré, mais je suis moins rentré dans leurs récits. Je dois avouer qu’avec le recul, c’est les femmes qui sont vraiment sorties du lot durant le TEDxAlsace 2017 et c’était pas déplaisant !

Pour conclure sur ce TEDxAlsace 2017:
Je ne suis pas déçu d’y avoir été, j’y ai ri, presque pleuré, appris des choses, écouté de la jolie musique et appris surtout à ouvrir mon esprit. En effet, le thème de la conférence était « Est-ce la limite ? » et chacun des intervenants nous ont bien prouvé chacun avec leurs histoires que la limite, c’est surtout nous qui nous la mettons… Au fond, elle n’existe que dans nos têtes cette fameuse limite !

Petit bémol sur ce TEDxAlsace 2017 : le prix (un peu cher) des places à 75 euros par personne, et la durée de la conférence : 5 heures, je dois avouer que parfois, j’ai un peu décroché… Bref, beau moment, avec des belles personnes pleines d’enseignements.

NB: les vidéos des interventions seront disponibles début février 2017 sur le site de TEDxAlsace

A refaire !

Portrait Kapoué n°34: Laurent animateur radio et football addict

Laurent animateur radio et football addict

Qu’est ce qui te fait lever le matin?
Un rendez-vous important sinon je rate toujours le réveil ! Je fais de la radio à partir de 16H donc le matin c’est pour récupérer mon manque de sommeil étant donné que je suis un couche tard.

Ta plus grande qualité?
La franchise.

Ton plus grand défaut?
La susceptibilité.

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté?
Je suis sur Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat à longueur de journée, donc oui ! D’ailleurs mon pseudo c’est Laurent2s, lol !

Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler?
Olivier Atton d’Olive et Tom

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent?
Commentateur sportif (football)

Ton héros dans la vie réelle?
Zinedine Zidane

La chanson que tu siffles sous la douche?
Francko Coller « la petite » (je précise, c’est un délire avec mes potes de radio)

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Posé, avec des enfants, une femme et toujours derrière un micro !

Ton film culte?
4 garçons pleins d’avenir

Ce que tu détestes par-dessus tout?
Le foie poêlé

Le talent que tu aimerais avoir?
Celui de Zinedine Zidane ou Difool…

Ta meilleure blague ?
Je ne suis pas très fort en blague, par contre je me lève le matin et par moment je peux partir en « one man show » pendant 20 min et raconter à ma manière la soirée, un moment passé… Un pétage de plomb (toujours nu je précise).

Que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ?
La mer.

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
L’hyper centre, la cathédrale (la plus belle chose de cette planète, notre cathédrale)

Ton restaurant strasbourgeois préféré ?
« L’endroit », rue de Zurich, Greg en salle que je connais depuis longtemps, le talentueux Yohann en cuisine…Un duo que j’aime beaucoup, mais ils vont gueuler en lisant ça parce que je n’y vais pas assez !

Ton bar strasbourgeois préféré ?
Les Aviateurs.

Autre ville préférée en Alsace et pourquoi ?
Obernai, parce que j’y suis né et que je trouve cette ville magnifique !

Quelle est la chose que tu changerais en premier si vous étiez maire de Strasbourg ?
Plus de manifestations culturelles, concerts à la place Kléber, l’autorisation d’ouverture des bars plus tardive, le développement des terrasses…

Ta marque alsacienne préférée ?
Bretzel Airlines.

En 3 mots, décris-nous ton Strasbourg ?
Charmant, convivial et gourmand. 

Explique-nous ton attachement au sport local, et surtout au football local…

Un seul amour et pour toujours….Racing Club de Strasbourg !!! Je n’oublierais jamais le mercredi 13 mai 1992, match de la montée entre notre Racing et Rennes. J’avais 8 ans et mon père ne voulait pas m’emmener car j’avais école le lendemain. J’ai pleuré toute la soirée… Je suis footballeur amateur depuis ma tendre enfance, ce sport a des valeurs de partage, de dépassement de soi et d’amitié ! J’ai créé avec Charly Weber, Sebastien Ruffet et Hélène Baumann le programme Double Contact qui met en valeur le football amateur en Alsace, regardez les vidéos, elles parlent d’elles-mêmes…

Ton actualité?

Du lundi au vendredi à la radio (Virgin Radio Strasbourg-Alsace) 16H-20H avec ma playlist et les morceaux pop rock électro que j’aime partager.

Double Contact mon « notre » web série sur le football amateur, en voici un exemple :

Et des projets plein la tête…

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