Concert solidaire et animations au Dôme de Mutzig le 30 Septembre 2022

Hello à tous, je ne fais pas souvent ce genre d’annonces sur le blog mais exceptionnellement, je partage un bon plan pour une bonne cause pour les fans du mythique boys band des années 90 :

Il s’agit d’un événement en faveur de la Ligue contre le Cancer à Mutzig, avec des food trucks, DJ, des danseurs et en invité exceptionnel le groupe Worlds Apart. Et après le concert la salle se transformera en dance floor !

Profitez de cette soirée aux rythmes de la « pop and dance music » le 30 septembre 2022 prochain au Dôme de Mutzig !

-> Plus vous serez nombreux, plus de dons seront reversés à la Ligue !

Voici le lien vers la billetterie : https://my.weezevent.com/concert-worlds-apart

Et le détail du programme de la soirée :

18h00-20h00: DJ et Food trucks

20h00-20h30: DJ set et groupe de danseurs

20h30-21h45: Concert complet des Worlds Apart

21h45-Minuit: La salle de concert se transforme en dance floor… A vous de danser !

NB : La Ligue Contre le Cancer sera présente tout au long de la soirée, les bénéfices seront reversés à leur profit.

Kapoué test n°193 : Pop Corn Labyrinthe, le labyrinthe de maïs pour tous à Oberhausbergen

J’ai eu enfin l’occasion de tester entre amis le Pop Corn Labyrinthe à Oberhausbergen, le labyrinthe perdu dans un champs de maïs pas loin de Strasbourg… Je vous raconte tout !

 

C’est quoi le principe du Pop Corn Labyrinthe ?

Comme le nom l’indique, il s’agit d’un labyrinthe « creusé » à la binette au milieu d’un champs de maïs d’environ 4 hectares ! Destiné plutôt à un public familial, ce concept éphémère date de 2009 mais arrive seulement à Strasbourg cet été 2022, même si  certains labyrinthes privés (et plus petits) du même genre existaient déjà en Alsace. Il a ouvert le 6 juillet dernier et fermera fin septembre 2022.

Le parcours complet fait en total 5 km de chemins et vous avez deux possibilités pour parcourir ce labyrinthe :

Option 1 : PARCOURS JEUX EN BOIS
-> il s’agit de jeux de bois à faire en famille tout au long du parcours (c’est l’option que j’ai testée)
De 4 à 99 ans, gratuit pour les enfants de moins d’un mètre
Tarifs : Le matin de 10h à 14h -> 7 € par personne / L’après midi de 14h jusqu’à la fermeture -> 8 € par personne

Option 2 : PARCOURS JEU DE PISTE
-> il s’agit d’un jeu de piste à énigmes tout le long du chemin, plutôt destiné aux amateurs d’enquêtes ou d’escape games par exemple.
De 7 à 99 ans, gratuit pour les enfants de moins d’un mètre
Tarifs : Le matin de 10h à 14h -> 7 € par personne / L’après midi de 14h jusqu’à la fermeture -> 8 € par personne

Mon avis sur le Pop Corn Labyrinthe de Oberhausbergen

J’étais hyper motivé d’y aller car je ne l’avais jamais encore fait de ma vie. J’ai donc motivé des amis et hop c’est parti ! Tout d’abord les places se prennent en ligne, donc pratique pour éviter les filles d’attente à l’entrée. Facile à trouver, on peut se garer aisément (par contre, c’est dans un champs, donc ne nettoyer pas votre voiture avant d’y aller lol ! D’ailleurs, sauf erreur de ma part, je pense pas que ca soit possible d’y aller en transport en commun… ).

Vous pouvez trouver à l’entrée une buvette avec WC et quelques tables pour pique-niquer, l’endroit correspond à la moitié du parcours. Sinon pour mon avis, j’ai trouvé ça sympa, les petits jeux en bois sont adaptés à tous, mais pour autant, cela devient très très vite redondant : le manque de challenge, d’infos ou de surprises ennui rapidement les enfants et parfois les parents. Je pense que c’est pas vraiment adapté aux enfants surtout à cause de la longueur du parcours : on l’a fini en 1h30, en plein soleil… CHAUD ! Dommage car l’idée est bonne et c’est relativement abordable pour tous niveau tarif. J’aurai bien aimé aussi un point d’eau pour se rafraichir et remplir les gourdes…

NB : Il y a aussi des nocturnes assez originales, à consulter sur le site du labyrinthe

Et vous qu’en pensez vous ? J’attends vos retours dans les commentaires de cet article. A bientôt pour un nouveau test !

Pour plus d’informations :
Le site web
La page Facebook

Énergumène : Vente de plantes rares et originales à Strasbourg le 3 Juillet !

Énergumène démocratise l’accès aux plantes d’intérieur rares et originales, ils nous racontent leur projet…

Avec des « lâchers d’énergumènes » hebdomadaires, nous varions régulièrement les spécimens que nous faisons partir de nos serres alsaciennes, pour nous adresser à ceux qui souhaitent mettre du caractère dans leurs espaces quotidiens, voir grandir une plante unique et démarrer ou enrichir leur collection.

Et pour les plus exigeants, nous proposerons occasionnellement des pépites encore plus rares que rares aux enchères, quand elles seront fin prêtes.

COMMENT ON FAIT ?

Chez Énergumène, nous sélectionnons des plantes vertes de qualité et aux aspects hors du commun. Nos serres nous permettent de les stocker, les acclimater, les faire grandir et les bouturer. Un
partenariat avec un spécialiste basé en Allemagne nous permet également de multiplier la plupart d’entre elles, et donc de les faire grandir nous-même. L’objectif à terme étant de raccourcir au maximum notre circuit d’approvisionnement.

C’est ainsi que nous pouvons rassembler en un même lieu des spécimens fascinants, qui jusqu’à présent nécessitaient d’être importés parfois de très loin, avec une traçabilité ou des coûts discutables.
Il nous tenait à cœur que chacun puisse adopter l’énergumène de son choix, avec sérénité et au juste prix. Notamment, chacun pourra s’investir comme il le souhaite et sélectionner une espèce à un certain stade de développement, selon le prix qui lui convient et en fonction des disponibilités de notre catalogue.

QUI SOMMES NOUS ?

Aux origines, il y a 12 ans d’amitié et une passion commune entre Thomas et Mathilde. Des plantes du bout du monde, des boutures de particuliers, ils imaginent peu à peu des moyens de d’offrir ces plantes exceptionnelles au plus grand nombre. Alors les discussions deviennent un projet et font naître Énergumène, en Alsace, où des beautés (non, pas eux) sont installées bien au chaud dans une ancienne menuiserie familiale réhabilitée.

-> Vente de plantes rares et originales à Strasbourg le Dimanche 3 Juillet à partir de 15h00 à l’Abattoir Café (Quai Charles Altorffer, 67000 Strasbourg) : Feuilles panachées, formes
et couleurs improbables, stars d’Instagram, raretés et autres…

Pour plus d’infos, les réseaux sociaux de la marque :
Page Facebook
Compte Instagram

Programme de la Fête de la Musique Strasbourg 2022

La Fête de la Musique Strasbourg 2022 a enfin son programme ! Sur 13 scènes au centre ville de la capitale alsacienne joueront plus de 300 artistes dans la soirée du 21 juin prochain de 18h00 à 23h00.

2022 sous le signe du renouveau puisqu’en 2021, la Fête de la Musique à Strasbourg avait été annulée comme dans la plupart des villes de France pour des raisons sanitaires.

Enorme salle de concert à ciel ouvert, retrouvez des dizaines de scènes dispersées dans les quartiers, sur les places, dans les bars ou au coin de la rue pour fêter le solstice d’été en musique.

Voici donc en détail, les artistes musicaux que vous retrouverez partout à Strasbourg :

Scène Tête d’Affiche – Place Kléber :

17h30 – 18h : Stas Fekete (violoncelliste d’origine ukrainienne)

18h15 – 18h40 : Espersan (Lauréat Jeune Talent 2019)

18h55 – 19h20 : Zimmia (Lauréat Hopl’Awards 2021)

19h35 – 20h00 : Laventure (Lauréat Hopl’Awards 2021)

20h00 – 21h15 : Karaoké Arte : Karaoké géant place Kléber, reprenant des classiques de la chanson française, de la pop internationale, du Hip-hop et du rock, guidé par Aline Afanoukoé.

21h30 – 22h45 : Last Train (rock)

Les Scène découvertes :

  • Place Gutenberg

18h00 – 18h30 : Mossa & Zoya (musique du monde)

18h45 – 19h15 : Pelicanto (chorale pop-rock)

19h30 – 20h00 : Wask (Hip-hop / rap)

20h15 – 20h50 : Ceaile (jazz)

21h00 – 21h30 : Jamington (Reggae / Dancehall / Dub)

21h45 – 22h15 : La Jawqa (Amérique latine)

22h30 – 23h00 : Pao Du Kima (Pop / chanson française)

  • Place Broglie

18h00 – 18h30 : Aoraki (pop / chanson française)

18h45 – 19h15 : Triboc (indé / post-punk)

19h30 – 20h00 : Catharsis (classique / chorale / pop rock)

20h15 – 20h50 : Juan Gandan (musique du monde)

21h00 – 21h30 : Londe (pop / soul / chanson française)

21h45 – 22h15 : Zengang (Hip-hop / rap)

22h30 – 23h00 : Dudes of Groove Society (funk)

  • Place Saint Thomas

18h00 – 18h30 : La machine piston (jazz)

18h45 – 19h15 : Petseleh (pop rock français)

19h30 – 20h00 : Las Baklavas (Balkans / musique latine / rap / slam / mao)

20h15 – 21h45 : High Voltures (pop rock)

21h00 – 21h30 : Lezvrd (Hip-hop / rap)

21h45 – 22h15 : Djazz & Les Browns (reggae soul)

22h30 – 23h00 : Fièvre (metal)

Les Scènes Partenaires associatives soutenues par la Ville

  • Place Saint Etienne

M2S (musique électronique)

  • Place du Frère

Médard Anka’a (bass music / psytrance)

  • Square Louise Weiss

Antipod (Hip-hop / Dubstep / Drum&bass)

  • Place des Meuniers

La la bu ya (musique du monde)

  • Place du Marché Gayot

Catacombes (alternative)

  • Rue Ste Barbe

RBS (Aprodril) (DJ / Hip-hop / rap)

  • Place Broglie – Opéra du Rhin

Unity Sound (DJ / électro / reggae / dance hall / dub)

  • Pole Sud – Meinau

Chanson française, classique, chorale

  • Place du Temple Neuf 

Compagnie Watt Électro (funk / Hip-hop / R&B)

  • Place St Pierre le Jeune

Full Moon (Hip-hop / R&B / oriental)

Street Bouche Corner, les 18 et 19 juin 2022 à Schiltigheim

Tous les gourmands de l’Eurométropole vont se donner RDV sur la place de la Mairie à Schiltigheim le samedi 18 juin 2022 à partir de 17h00 et jusqu’à 23h00, et dimanche 19 juin de 11h00 à 20h00 dans l’unique but de se régaler !
C’est la première fois que cette formule hybride est testée à Schiltigheim: Moitié « Street Bouche Corner After Shopping » du samedi Moitié « Festival« , à vous de choisir, mais bonne humeur et bonne food garanties !
Au menu de cette édition : du pastrami, des tartes flambées roulées, des grillades des balkans, des kurtos sucrés et salés, des burgers au bœuf et aussi 100% végétal, des doners et halloumi frit, des pâtisseries en tout genres, des glaces fruités artisanales, des marshmallows glacés, des arepas et enfin des mafés et autres beignets exotiques et bananes plantin…
La faim se fait déjà ressentir ?

Et parce que manger ça donne aussi soif, retrouvez aussi des sodas artisanaux et de la bière locale au bar Street Bouche, du thé glacé maison, infusé à la minute pour que la magie opère sous tes yeux et une sélection de vins d’Alsace « so fresh » !

A suivre sur la page de l’évènement Facebook et le compte Instagram


Lieu : Place de la mairie, Schiltigheim
Entrée : Libre – dégustations payantes
Samedi 18 Juin 2022, de 17h00 à 23h00

Dimanche 19 Juin 2022, de 11h00 à 20h00
Paiement directement aux stands en monnaie ou CB

Kapoué test n°192: PNY, le burger efficace de la Grand’rue à Strasbourg

J’ai pu tester il y a quelques jours le PNY burger basé au 77 Grand’rue à Strasbourg, à la place de l’ancien restaurant de tapas : Mi Casa Es Tu Casa. PNY (pour « Paris New York ») est un restaurant de burgers considéré comme une véritable institution : Porté par ces jeunes et ambitieux créateurs Rudy Guénaire et Graffi Rathamohan depuis 2012, l’enseigne qui en est à sa 10ème ouverture (dont 8 à Paris) a choisi Strasbourg et l’Alsace pour développer son concept dans l’Est de la France.

Chez PNY tout est dans l’amour des bonnes choses et la valorisation des filières agricoles. La carte n’est pas à rallonge et toutes les recettes sont élaborées en fonction des produits de saison, par le chef. Par exemple, dans le restaurant de Strasbourg, on peut d’ailleurs retrouver les bières Bendorf et Perle, les vins viennent des domaines Joseph Cattin (Voegtlinshoffen- 68), L’Envol (Ingersheim – 68) ou encore Bott-Geyl (Beblenheim – 68), le café est issu de la micro-brûlerie alsacienne Omnino et enfin les glaces sont en provenance direct de notre emblématique Franchi…sans oublier le chou à choucroute de chez Angsthelm & fils (Krautergersheim).

Mon avis sur PNY Strasbourg

Tout d’abord, j’ai été bluffé par la décoration qu’on peut qualifier de néo – retro : la qualité des matériaux, l’ambiance, les jeux de miroirs qui donnent une impression de profondeur… Bravo pour le boulot décoratif ! Détail qui a de l’importance : pour une fois, la bande son diffusée dans le restaurant correspond à la décoration -> ça augmente le coté immersif ! Il y a une belle lumière, on s’y sent bien. J’ai bien aimé aussi qu’on propose sur le menu des accords burger / bière, et le fait que la carte soit relativement réduite : ici on mange du burger, du burger et aussi des tenders de poulets ! LOL ! J’ai vraiment aimé mon burger : cuisson respectée et frites excellentes ! Par contre, faut avouer que les quantités sont assez importantes : j’ai voulu faire le malin et prendre un dessert (très très chocolaté) : résultat, j’ai pas pu le finir ! Donc attention les petites faims, n’ayez pas les yeux plus gros que le ventre !!!

En gros, bonne surprise, je pense que j’y retournerai plutôt le midi pour essayer les autres burgers, notamment le burger à l’alsacienne qui me tentait bien. Pour info, chez PNY Strasbourg vous pouvez manger sur place, en terrasse ou prendre à emporter (Deliveroo et Uber Eats) et les tarifs sont dans la moyenne des restaurants du genre (même si les frites sont facturées à part).

A vous de tester l’endroit et de me dire ce que vous en pensez dans les commentaires de cet article !

A bientôt pour un nouveau test !

PNY STRASBOURG
77 Grand’Rue
67000 Strasbourg
https://www.pnyburger.com/menu

Interview de Marie Ka, chanteuse strasbourgeoise qui nous parle de sa nouvelle chanson très personnelle

Bonjour Marie Ka, tout d’abord dis-nous un peu d’où tu viens et que fais tu dans la vie à part chanter ?

Alors je suis Belfortaine, mais je dis souvent alsacienne de cœur et d’esprit (#sourire)  ; Je suis venue faire mes études sur Strasbourg quand j’avais 18 ans. Et depuis, j’ai posé mes valises et je n’ai jamais eu envie de repartir. Je suis ce que l’on pourrait appeler un profil « atypique », et je souris en écrivant ces mots car, je travaille actuellement en tant que Consultante en recrutement pour un cabinet. Je recrute des profils techniques en ingénierie & Industrie, profils Bac+2 à Bac+5, sur le Bas-Rhin. Mais je n’ai pas toujours fait ça puisque je me suis réorientée en 2015. Avant ça je travaillais comme enseignante en Arts plastiques dans l’Education Nationale. Eh oui cela surprend toujours. Sinon, même si j’aime mon travail, j’ai pour habitude de dire que je travaille pour vivre. Alors j’ai effectivement des loisirs en dehors de mon activité professionnelle. De façon générale je suis une passionnée d’Arts avec un grand [A], j’aime le sport et toute activité qui me permet de découvrir, ressentir et partager de nouvelles expériences. J’aime me laisser surprendre par la vie et je m’enrichis des rencontres.

Tu as décliné ta communication via 5 vidéos, pourquoi ce format ?

Pour resituer les choses, j’ai décidé de lancer un projet de compositions personnelles sous « Marie Ka« , et il était évident pour moi de commencer par cette chanson « Ne m’en veux pas », qui est très forte symboliquement par rapport à mon histoire. Il me semblait nécessaire d’expliquer ma démarche à ceux qui allaient m’écouter. Je cherche toujours le sens dans ce que j’entreprends, et je tends à écouter « l’évidence » quand elle se présente.

Ce format s’est donc imposé à moi comme une évidence pour plusieurs raisons :

  • J’ai tout d’abord fait une belle rencontre avec un jeune vidéaste qui m’a donné envie de collaborer avec lui (Alexandre Stoeffler). Et j’ai sans doute une déformation professionnelle : j’analyse et je perçois le potentiel des personnes. En tout cas je fais rapidement des liens entre les éléments.
  • A ce moment-là, je recherchais un moyen de mettre en lumière les personnes qui participaient au clip mais que l’on ne verrait pas à l’écran. Comme par exemple les élèves de l’Ecole Candice Mack. Et je souhaitais aussi que les participants qui avaient une activité puissent en parler. Naturellement j’avais envie de remercier les personnes qui m’aidaient à concrétiser ce projet et cela passait par le fait de les laisser s’exprimer devant la caméra.
  • Dans ma tête les connexions se sont faites rapidement et j’ai proposé à Alexandre de faire ces vidéos. J’avais pressenti beaucoup de rigueur dans sa pratique, une grande motivation et un bel état d’esprit. Il avait également été touché par mon histoire et il souhaitait m’aider. Et pour moi, une main tendue est le plus beau des cadeaux. Je suis très sensible au fait que certaines personnes vous aident par bonté et de façon désintéressée. Ce qui est d’autant plus fort dans la musique quand vous débutez et que vous n’avez pas une renommée, une expérience à mettre en avant pour être reconnu, accepté et respecté en tant que chanteur/musicien.
  • A travers ces vidéos je souhaitais donc expliquer ma démarche et raconter cette histoire si particulière avec Micheline. C’est un peu une chanson « hommage », un Grand merci du fond du cœur pour ce qu’elle m’a apporté. Je voulais pouvoir la mettre en lumière afin qu’elle puisse aussi parler de son activité.

A 68 ans elle a repris avec son compagnon Philippe, le camping le moins cher de France, le Camping du Cœur et de l’Amitié. C’est une femme exceptionnelle, d’une générosité sans fond qui m’a beaucoup touché quand je l’ai revue l’année dernière.

Et pour finir, j’essaie toujours d’avoir une vision à 360°. J’avais besoin d’un support visuel de communication pour annoncer le projet et ce format des 5 vidéos me semblait très pratique et original. Pour moi les maîtres mots étaient : « respect », « partage » et « authenticité ».

Il est à noter que tous les participants sont passés devant la caméra sans aucune préparation. Ils ont découvert les questions lorsque Alexandre leur a posé (et moi aussi d’ailleurs). Et je dois dire que j’ai découvert les interviews par après et j’ai pris un réel plaisir à tous les écouter. Cela a été un très bon moment, très touchant pour moi. C’est un exercice qui n’est pas simple, et je veux vraiment encore les remercier pour leur participation.

Dans ces vidéos tu mets en avant les lieux, l’équipe technique : est ce des partenariats ou bien est ce juste pour mettre en avant les personnes de façon désintéressée ?

Alors comme mentionné précédemment, j’ai souhaité remercier les personnes qui m’ont aidé à concrétiser ce projet. Je n’ai pas noué à proprement parlé de partenariats.

Tu es accompagnée dans ta carrière par un agent ou une équipe communication ?

Alors là je souris… Non, pas du tout. J’ai financé et entrepris ce projet « seule », même si j’ai collaboré avec de multiples personnes que ce soit pour la musique ou le tournage du clip.

Je n’ai pas l’habitude de me lancer des fleurs, mais je dois dire que je suis assez fière du travail réalisé compte tenu de tout ce que cela implique.

Pour le tournage du clip, j’ai dû tout organiser sur une journée. Je n’avais pas le choix. Cela comprenait 2 lieux différents, 17 personnes à encadrer, et un timing hyper serré de 08h00 à 16h00. Certaines prises de vues devaient être réalisées en 10 minutes, sachant que c’était une première pour tout le monde (j’entends pour la petite Naelle, Micheline et moi). Je pense que j’ai bien géré (#sourire) et j’étais vraiment contente de mes choix. D’ailleurs le résultat est là je pense. Je me suis sentie un peu comme un chef d’orchestre et j’ai pris beaucoup de plaisir à penser le projet dans sa globalité. Ma plus grande satisfaction reste le fait de m’être entourée de personnes bienveillantes et que j’apprécie. D’ailleurs, chacune a contribué à la réussite du tournage. L’ambiance était vraiment agréable ce jour-là malgré les contraintes. Et je tiens aussi à remercier la petite Naelle et sa maman. J’ai pris énormément de plaisir à jouer avec elle et à la regarder s’amuser. Car j’ai ressenti chez elle beaucoup de joie et pour moi c’était important qu’elle le vive bien.

Sinon sur l’aspect de la communication, je regrette de ne pas avoir pu diffuser la chanson à une audience plus large que celle de « proximité » via mes réseaux sociaux personnels. En 3 jours j’avais déjà 1600 vues, sans avoir un support de diffusion comme on peut en avoir quand on lance un projet musical (j’entends par là passer à la radio, faire des interviews, diffusion sur les plateformes, etc..). Malheureusement, j’ai aussi fait avec les moyens dont je disposais. En tout cas, cette première chanson m’incite fortement à continuer car les retours ont été bons et on m’a déjà demandé d’autres chansons (#petite joie intérieure). C’est vraiment gratifiant pour un artiste d’avoir ces soutiens. Car se lancer demande du courage et aussi le fait de pouvoir accepter un éventuel échec. Et là en l’occurrence, j’ai monté ce projet pour plusieurs raisons, et même si j’en tire une grande satisfaction personnelle (et cela aura été ma priorité), je suis contente et soulagée que ma chanson ait été bien accueillie. Dire l’inverse serait mentir.

J’intègre totalement la critique du public dans ma pratique et c’est vraiment un échange réciproque. J’aspire à faire ressentir de l’émotion, mais le public m’en donne également. Donc je tiens à le redire : 1000 fois mercis aux personnes qui me soutiennent et qui ont écouté et partagé ma chanson.

J’ai pu voir que tu bosses avec Steeve Josch pour la vidéo et la photo, comment ça se passe avec lui ?

Cela se passe très bien (#sourire). La collaboration avec Steeve aura été assez évidente. Tout à commencer en 2019 quand j’ai contribué au projet Ulule de Steeve (projet Movies 80/90’s). Suite à ma participation, j’ai eu droit à un shooting photo que j’ai décidé de réaliser l’année dernière. Cela aura été ma première rencontre avec lui. Il est à noter que j’ai toujours été sensible à ses photos que je trouvais très poétiques, et à ce que j’assimile chez lui comme étant son côté « artiste décalé». Lors du shooting il m’a photographié avec ma guitare, en train de jouer, et sans rien dire, il a réalisé une courte captation vidéo. Il me l’a montré et là j’ai tout de suite pensé à mon projet de clip. Au risque de me répéter, je le dis toujours : dans ma tête les connexions se font et quand l’évidence se fait ressentir, je fonce.

J’ai donc proposé à Steeve de réaliser mon clip et il a accepté. J’avais une idée assez précise de ce que je voulais et compte tenu de mon histoire, j’avais besoin d’une sensibilité et d’un regard différent. Je recherchais l’émotion et l’originalité. Et je dois dire que Steeve a répondu à toutes mes attentes.

Ton rapport avec Micheline est particulier, ce n’est pas trop difficile d’en parler ouvertement en vidéo comme ça ?

#sourire. Eh bien au risque de surprendre, je dirais que non. Pas du tout. Je pense que si j’en suis arrivée à réaliser ce projet et donc à partager mon histoire c’est tout simplement que j’étais prête et que j’en avais envie. De façon générale, je suis une femme spontanée, très communicante, j’échange facilement et je n’ai aucune difficulté à parler de moi et de mon vécu. Je considère que chaque expérience nourrie les êtres que nous sommes et sans ces événements de mon enfance, sans mes blessures, je ne serais pas la femme que je suis aujourd’hui. Je pense qu’il est important d’être honnête envers soi-même et d’accepter « ce qui est ». En tout cas pour ma part, je suis en paix avec mon passé et je regarde l’avenir de façon positive.

Cette chanson est très forte symboliquement. Elle constitue un point de départ dans ma pratique musicale personnelle. J’ai également expliqué mon rapport à la musique dans mon interview et j’invite les lecteurs à la regarder pour mieux comprendre ma démarche.

Concernant Micheline, notre histoire est très singulière et je suis ravie qu’elle m’ait cherché sur Facebook 30 ans après. Je ne vais pas revenir sur les faits. Son interview est assez explicite et j’invite les lecteurs à la regarder pour mieux comprendre ce qu’il s’est passé mais surtout à voir la femme exceptionnelle qu’elle est.

Quels sont tes objectifs avec ce projet ?

Avec ce projet je souhaitais avant toute chose entamer un projet d’écriture et de compositions personnelles: 1ère page Youtube sous Marie Ka, 1ère page Facebook. C’est une façon de m’affirmer en tant qu’artiste compositrice interprète. J’ai envie de montrer qui est véritablement Marie Ka, qu’elle est la musique qui la fait vibrer, qu’elle est sa sensibilité, etc. Au quotidien je suis une femme spontanée, entière, « simple » et sensible, et je tends à partager aussi cette partie de moi. Musicalement j’adore la chanson française, j’ai envie de raconter des histoires, de mettre en lumière des personnes qui m’ont touchée. Car pour moi il n’y a pas de hasard dans la vie et je m’enrichis des rencontres. « L’ Autre » m’inspire et m’anime de l’intérieur. Et je souhaite véritablement, à travers mes mots qui sont assez simples, dans un style assez direct, m’adresser « aux cœurs ».

Parallèlement à ce projet, je chante dans un groupe qui s’appelle Train de Nuit. J’ai débuté il y a peu de temps avec mes camarades et ma démarche est différente. J’interprète des reprises et des compositions pop/rock, en anglais et en français, ce qui me permet de développer mes compétences musicales et scéniques. Je débute véritablement et je tends à progresser et m’affirmer dans ma pratique. J’aime le fait de travailler en groupe mais aussi il me parait important de pouvoir réaliser mes chansons. Car il n’y a rien de plus gratifiant que de pouvoir créer un titre par rapport à sa propre sensibilité.

Par ailleurs, avec ce projet je souhaitais également remercier Micheline et nous créer un souvenir que l’on pourrait garder des années durant. Sa participation au clip aura été d’une évidence. Je ne me serais pas vu faire ce clip sans elle. Pour moi c’est un projet qui a du sens, c’est une véritable histoire qui est mise en images et je suis assez fière de pouvoir la porter. J’assume entièrement et je pense que c’était une étape importante dans mon cheminement musical et personnel.

Penses-tu déjà à la suite, d’autres projets ? d’autres histoires de vie à partager ?

Pour la suite j’envisage clairement d’autres compositions personnelles. Je travaille en ce moment sur l’écriture de mes textes, et j’aimerais vraiment faire un EP dans les mois à venir. Dans ma tête les choses sont assez claires. Je sais ce que je veux et je me donnerai les moyens d’y arriver. Après ça prendra le temps que ça prendra. Je suis une passionnée, parfois impulsive mais surtout je suis persévérante et tenace. Et j’ai envie de vous dire, la suite résonne en moi de façon évidente, alors au risque de me répéter : quand c’est évident, je fonce (# sourire).

En tout cas je peux déjà vous dire que la deuxième chanson parlera de mon père que j’ai perdu en 2020. Alors oui on pourrait penser que cette chanson sera triste, mais en vrai, je perçois beaucoup de beauté et de force dans les événements douloureux. Comme ce premier titre « Ne m’en veux pas », qui est vraiment à ressentir de façon positive. Pour moi il s’agit d’une belle histoire et je ne la ressens pas comme un événement triste. C’est vraiment un message au final très positif. Je ne souhaitais pas tomber dans le pathos. J’en parle vraiment avec le sourire aux lèvres et la joie au cœur.

Une ou un artiste strasbourgeois ou alsacien avec qui aimerais travailler ?

Alors cette question n’est pas évidente. Je connais un certain nombre de musiciens et artistes alsaciens, que j’ai rencontré, ou simplement à travers leur création et leur musique. Ce qui est chouette est de voir la diversité des pratiques et des parcours. A titre personnel, je suis très éclectique et je peux aussi bien aimer en musique du rap, du rock, de la chanson française, du jazz que de la musique classique.

Cela est difficile à expliquer mais j’ai besoin de ressentir les personnes. C’est avant tout une rencontre, un échange « sain » avec un bon état d’esprit et du respect mutuel, qui décidera d’une collaboration. Un peu comme dans le cadre de mon travail, je vais tacher de ressentir ce que l’on pourrait s’apporter mutuellement et je vais faire des liens. Et je pense que je pourrais surprendre.

Par exemple, je pense naturellement au fils d’une amie : le rappeur Nebbiu. Je pense que j’apprécierais de poser ma voix sur ses textes. Ça reste comme ça un exemple qui me vient en tête et qui me fait dire que je ne me mets aucune limite de style.

Autre exemple : j’ai pu rencontrer le chanteur du groupe Ernest. J’ai également pu voir le groupe en concert, et je dois dire que j’ai beaucoup aimé. Bien sûr il y a le niveau technique mais moi je ne m’arrête pas à ça. Je ressens surtout que le chanteur interprète ses titres avec beaucoup de profondeur et je suis sensible à l’intensité dégagé.

Merci Marie Ka pour cet échange, bonne chance pour tes prochains projets musicaux, et à bientôt !

Kapoué test n°192: Prison Island Dorlisheim, jeux d’aventures en équipe

Il y a de ça quelques jours, j’ai pu enfin testé (avec ma team de potes) Prison Island à Dorlisheim (ouvert depuis octobre 2021). Il s’agit d’un jeu d’aventure inédit dans la région qui consiste à relever le défi de 23 cellules différentes en équipe de 2, 3 ou 4 personnes. Il est basé au premier étage du Laser Game dans la zone de loisirs du Trèfle à 25 minutes en voiture de Strasbourg.

Détail du jeu

Il vous faut former une équipe et affronter (en même temps) que d’autres équipes (il peut y avoir jusqu’à 20 équipes maximum en simultané), les 23 cellules de Prison Island. Le but du jeu est de récupérer le plus de points possibles par cellule et tenter de battre le record ! A l’instar de Fort Boyard, mais sans Passe Partout, vous allez donc enchainer les défis où la collaboration et la communication sont hyper importantes. Les jeux sont ouverts à tous de 8 à 77 ans, mais demande un petit coté sportif pour certains d’entre eux. 1 adulte est obligatoire par équipe par contre. Vous pouvez choisir de faire les cellules en 1 heure ou 1 heure et demi (le tarif change en fonction du temps). C’est une activité qui peut se faire en team building ou en EVJF / EVG aussi.

Mon avis sur Prison Island

Déjà, j’ai pas trouvé ça cher : on était 4 et on a payé 25 € par tête pour une heure et demi de jeu. Donc moins cher d’un escape game mais ca parait logique puisque que plusieurs équipes peuvent jouer en même temps donc plus rentable pour l’exploitant. J’ai apprécié les défis, on a bien rigolé, on s’est parfois même énervé sur certaines salles, mais il y en a pour tout le monde ! Je vous conseille de ne pas foncer tète baissée dans les salles, mais d’abord de bien analyser les lieux avant d’agir. J’ai trouvé que les cellules sont plus faites pour 3 joueurs, à 4, parfois il y avait un joueur de trop. Par contre, en effet, certaines salles demandent de la souplesse et de l’équilibre, donc… pas pour tous ! Enfin, pour terminer, je trouve qu’il manquait un petit coté immersif : j’aurai aimé plus me sentir « en prison », les décors sont moins poussés que dans les escape games (pour moi -> remarque purement subjective).

Plutôt bon délire donc, on a fait un bon score et on a passé un bon moment. A refaire dans quelques mois si les salles viennent à changer pour essayer de faire mieux !

Mise à jour du 19 février 2023 :

J’ai eu l’occasion de me « faire enfermer » une seconde fois dans les cellules de Prison Island, et j’ai bien aimé : Pour 20 euros, j’ai pu faire 1H30 de cellules que j’avais pas pu faire et essayer d’améliorer mes précédents scores dans les autres. J’ai bien aimé; à refaire dans quelques mois ! 😉

Et vous , avez vous déjà testé Prison Island Strasbourg, et si oui, qu’en pensez vous ?

Prison Island Dorlisheim
Zone de Loisirs « Le Trèfle »
67120 DORLISHEIM
03 88 508 508
contact@prisonisland-strasbourg.com
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La Nuit européenne des musées le 14 mai 2022 dans tous les Musées de Strasbourg

Après 2 perturbées par la crise sanitaire, la Nuit européenne des musées se déroule à nouveau au mois de mai dans l’ensemble des musées. Lors de cette 18ème édition organisée par le ministère de la Culture, l’ouverture nocturne de 19h à minuit des Musées de la Ville de Strasbourg propose au public de découvrir les collections permanentes ainsi que les expositions temporaires, dans une ambiance propice à la contemplation et à la déambulation nocturne.

Pour cette nouvelle édition, les Musées de la Ville de Strasbourg ont choisi un thème commun autour de la Nature

En voici quelques exemples : une visite autour des objets liés à la nature et à sa symbolique au Musée Alsacien, un atelier famille sur les cosmétiques naturels au Musée Archéologique, une adaptation du conte d’Andersen « Le Rossignol et le Roi » au Musée des Arts décoratifs, un atelier de couronnes de fleurs dans la cour du Palais Rohan, une performance autour des pierres au MAMCS, la projection d’un film sur les réserves du Musée Zoologique conservées à l’Union Sociale à l’Auditorium des Musées, une présentation de grammaires ornementales dans les vitrines de la Bibliothèque des Musées, une installation sonore dans le jardin du Musée de l’Œuvre Notre-Dame, un atelier d’illustration autour du jardin enchanté au Musée Tomi Ungerer … sans oublier les nombreuses visites « coup de projecteur », les moments musicaux, les ateliers en famille, les jeux de pistes, les démonstrations, les interventions dansées, les projections ou encore les performances organisés tout au long de la soirée !

Pour la dixième année consécutive, les Musées de la Ville de Strasbourg participent à l’opération « La classe, l’œuvre » mise en place par le ministère de la Culture et le ministère de l’Éducation nationale : en effet, les élèves de 4 classes du Bas-Rhin ont étudié une œuvre au choix parmi 3 musées – MAMCS, Musée des Arts décoratifs et Musées Archéologique – et ont proposé un travail en lien avec les œuvres sélectionnées. Leurs propositions font l’objet d’une présentation à proximité des œuvres par les élèves volontaires et constituent une médiation à l’intention des familles et plus largement des visiteurs présents lors de cette soirée.

Les étudiants de l’Université de Strasbourg s’associent également à cet événement en proposant au public de partager leurs « coups de cœur », des ateliers, des parcours dans les musées ainsi que des jeux dans les collections des musées ou de projets conçus dans le cadre de leurs études.

Cette soirée sera également l’occasion de rappeler que les Musées de la Ville de Strasbourg ont mis en place un MOOC autour du thème des animaux : « L’animal, les musées … et moi ! ». Ces cours mis en ligne gratuitement et à destination de tous les publics proposent un regard nouveau et original sur les collections des musées. Rendez-vous sur mooc-animal-musees.com

Expositions et parcours présentés pendant cette Nuit européenne des musées :

Musée Alsacien

  1. L’Alsace à Nancy. L’invention du folklore jusqu’au 23/05/2022

Musée des Arts décoratifs

Palais Animal : « parcours faune » en collaboration avec le Musée Zoologique jusqu’au 11/07/2022

MAMCS

            Marcelle Cahn. En quête d’espace jusqu’au 31/07/2022

            Stéphane Belzère. Mondes Flottants. jusqu’au 27 août 2023

            La part du temps jusqu’au 19/06/2022

            Histoires Naturelles

Musée de l’Œuvre Notre-Dame

Le numérique à l’œuvre. Vivez une expérience immersive au musée ! jusqu’au          6/11/2022

Musée Tomi Ungerer

            Folon. Un rêveur engagé jusqu’au 3/07/2022

            Das Grosse Liederbuch jusqu’au 3/07/2022

5e Lieu

Ouverture de 19h à minuit

5elieu.strasbourg.eu

Les Musées de l’Université de Strasbourg

Ouverture de 19h à minuit

jardin-sciences.unistra.fr

Kapoué test n°191: Dwichers delicatessen, sandwich shop à Strasbourg

« De New York à Strasbourg… » -> Le slogan du Dwichers delicatessen nous explique tout : ici tu vas manger des sandwichs à base de pastrami à la mode new yorkaise ! Basé dans la rue du fossé des tanneurs pas loin de la Petite France, le sandwich shop vous promet donc des saveurs venant d’outre atlantique avec leurs plats. L’idée ici de Yann Benabid (aussi créateur de AvoBowl dans la même rue) est de retrouver à Strasbourg, les sandwichs newyorkais gourmands dans une ambiance « basketball » qui lui plait beaucoup, car lui même venant d’une famille de joueurs de basket.

Mon avis rapide sur le Dwichers delicatessen

J’ai testé seul un samedi midi en février dernier : j’ai pris un menu à emporter avec le Dwichers Signature n°8 : avec dinde et guacamole c’était plutôt bon mais difficile à manger, je m’en suis mis partout ! Très copieux aussi , j’ai eu du mal à le finir et du coup g même pas touché à mes chips. C’est bon et original, même si c’est pas donné pour autant car j’ai payé 12.90€TTC pour le tout. A part ça pas grand chose à ajouter, la décoration du shop est en effet sympa mais peu de places pour manger à l’intérieur. Un petit soucis d’aération quand je suis venu m’avait empêcher de manger sur place (ça sentait un peu trop le brulé). Pour me faire une idée plus précise il faudrait que j’y retourne pour prendre un autre sandwich avec du pastrami ! En attendant, je vous laisse me donner votre avis sur l’endroit dans les commentaires sous l’article !

A bientôt pour un nouveau test !

Dwichers Delicatessen
47 Rue du Fossé-des-Tanneurs, 67000 Strasbourg
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