Interview de Lauriane Dolt, coach assistant de la SIG Strasbourg

Interview de Lauriane Dolt, coach assistant de la SIG Strasbourg

Bonjour Lauriane, tout d’abord pouvez-vous nous parler de votre parcours ?

J’ai commencé le basket à l’âge de 12 ans en benjamine au club d’Ohnenheim. J’ai joué ensuite en minime France au RC Strasbourg.  En cadette, je suis partie à Wittenheim pour évoluer en Nationale 2. Nous avons gagné en 1999 la Coupe de France. Puis, j’ai fait une saison à Sélestat toujours en Nationale 2. J’ai fini ma « carrière » à la SIG Féminine. Une blessure au dos m’a écarté des parquets à l’âge de 22 ans. Je suis revenue quelques années plus tard pour jouer en loisir en équipe 3 avec mes copines.

J’ai commencé à entraîner à l’âge de 16 ans. J’assistais sur les sélections Régionales Féminines. Durant plusieurs années, j’entraînais les minimes 1 et 2ème année des sélections régionales, d’abord les filles puis les garçons.

En club, j’ai commencé lors de ma venue à la SIG. Des babys aux cadets, j’ai entraîné toutes les catégories principalement dans le secteur masculin. En 2009, j’ai intégré de manière intégrale la SIG pro en entraînant 3 ans les cadets France puis les espoirs. En septembre 2014 en plus d’entraîner les espoirs, j’ai commencé à assister sur l’équipe professionnelle au coté de Vincent Collet. Depuis la saison dernière, je suis assistante à temps complet sur l’équipe professionnelle masculine de la SIG.

Si vous n’étiez pas dans le milieu sportif, quel serait votre domaine de prédilection ?

Bonne question ! J’y réfléchis de temps en temps.

Un domaine m’attire beaucoup, ce sont les ressources humaines. Gérer une équipe, les rapports humains, les qualités des uns et des autres, cela reste proche du coaching. En discutant avec plusieurs personnes, c’est un métier qui est difficile. Je ne m’y connais pas assez mais cela pourrait être quelque chose d’intéressant.

Comment définiriez-vous votre quotidien avec les joueurs de la SIG et M. Collet ?

Un quotidien riche sur et en dehors du terrain !

Mon travail se situe surtout au niveau de la préparation des adversaires. LE basket est un sport tactique. La connaissance du jeu et l’adaptation sont très importants. Il faut limiter un maximum l’incertitude. Le travail vidéo est donc important. Je visionne environs 3 matchs puis je crée le montage. Je le montre ensuite à Vincent puis nous le peaufinons pour le montrer aux joueurs.  Avec deux matchs par semaine autant dire qu’il y a du travail. C’est très intéressant pour moi car cela va me permettre de progresser dans la vision générale du basket et la connaissance des différents joueurs.

De temps en temps, je travaille aussi individuellement avec certains joueurs sur le terrain. Je suis avant tout un entraîneur donc le contact avec le terrain est primordial.

Avec Nebojsa Bogavac (l’autre assistant), nous formons un trio complémentaire. Nous regardons en général les mêmes matchs puis nous échangeons sur les choix tactiques que nous allons adoptés. Sur les phases qualificatives, notre travail est plus précis en regardant plus de match pour avoir une vision plus fine de notre adversaire. J’espère que nous en arriverons à nouveau là ! J

Je suppose que votre métier doit être très prenant… Arrivez-vous à vous garder du temps pour vous-même pour d’éventuelles autres passions que le basket ?

Oui je suis en effet, très prise mais j’ai la chance d’exercer ma passion donc je ne peux pas me plaindre. On ne compte pas ses heures dans ce cas là.

Malgré un emploi du temps chargé, il est très important de se ressourcer. Pour ma part, c’est auprès de mes amis et de ma famille que je trouve cette échappatoire. J’aime beaucoup voyager aussi. On va dire que je prends plus de temps l’été pour complètement me vider la tête et lors des mini trêves. La montagne, à la neige, à la mer tous les beaux paysages me font énormément de bien et me permettent d’oublier le quotidien. En semaine, j’aime les bons restos et le bon vin.

Quels rapports avez-vous avec la ville de Strasbourg ? Avez-vous des endroits préférés ou des bons plans à partager ?

J’adore Strasbourg ! L’été, l’automne, l’hiver et le printemps à chaque saison ces paysages. Chaque recoin est magnifique et il y a toujours des découvertes. Je suis assez fière d’habiter ici. Même si je suis basée à Illkirch. J’ai un gros coup de cœur pour la période de Noel. Je suis assez rêveuse et j’ai un coté « féerique » donc à cette période-là, je traîne tout le temps en ville.

J’essaye de découvrir plusieurs restaurants et de changer un peu. Mais le quartier de la Petite France en été est un endroit incontournable pour en prendre plein la vue. En été, la Place du Marché Gayot et les quais sont très conviviales pour boire un verre entre amis.

Comment voyez-vous la SIG dans 20 ans ?

A la hauteur de ses espérances et de ses beaux projets. J’espère qu’elle continuera à grandir comme elle le fait depuis 5/6 ans.

Enfin, pour terminer, quels sont vos objectifs personnels pour cette année ?

Je souhaite continuer de grandir et d’apprendre auprès de Vincent. Mon nouveau rôle va me permettre aussi de progresser dans un domaine plus d’observation et de réaction instantanée. J’espère en ce sens, évoluer pleinement.

Rester en forme, profiter de chaque instant et continuer d’apprendre et de prendre autant de plaisir dans l’environnement basket.

(Photos et vidéo : copyright SIG Strasbourg)

Concours: Mouillez le maillot en découvrant l’AviFit (aviron/fitness) !

Soyez original pour votre rentrée sportive : Mouillez (vraiment) le maillot en découvrant l’AviFit…

Sport sans choc et complet, l’AviFit (Aviron-Fitness) fait bouger tout votre corps en musique. Idéal contre la sédentarité et les problèmes cardio-vasculaires, il convient parfaitement à tous les âges, à tous les niveaux sportifs et à ceux “qui n’ont pas le temps” (une séance = 45 minutes). Le club AS 1881 est certifié Avifit depuis 2016.

Un espace dédié entre le Wacken et l’Orangerie
Situé au pied des institutions européennes, l’AS 1881 a dédié un espace complet à cette discipline AviFit et propose de nouveaux créneaux horaires : le mardi et vendredi entre 12h et 14h ainsi que le mercredi soir à 18h ou 19h en fonction des places disponibles.

Osez tester autre chose que votre salle de sport habituelle ! 

Pour découvrir ce sport je vous propose de gagner :

Pour une personne : 1 séance d’initiation à l’AviFit + 5 séances complètes d’AviFit encadrées par un entraîneur certifié (sur RDV).

Il suffit de partager cet article sur Facebook en mentionnant la page Facebook du Blog Kapoué et celle de l’Aviron Strasbourg et d’indiquer dans les commentaires de cet article votre sport cardio préféré.

le gagnant sera tiré au sort parmi les participants le 26/09 au soir.

Bonne chance à tous !

Aviron Strasbourg 1881
22 rue du Général Uhrich
www.avironstrasbourg.fr
avironstrasbourg1881@gmail.com
03.88.35.68.89
Profil Facebook

Invités Kapoué n°39: Les Spartiates, équipe au Raid des Alizés 2017

Soutenez Les Spartiates, équipe au Raid des Alizés 2017

Elles s’appellent Alizée, Aurélie et Lydie et ces trois jeunes femmes se sont lancé un défi : participer au Raid des Alizés en novembre 2017, une aventure nature, sportive, solidaire et 100% féminine se déroulant dans un cadre somptueux : la Martinique.

Leur équipe s’appelle « les Spartiates », composée de deux Strasbourgeoises et une Lilloise elles souhaitent participer à ce Raid des Alizés pour soutenir une association. Au Raid des Alizés, toutes les équipes représentent une association caritative de leur choix, et recevront à l’issue de la compétition un don pour cette association. Les Spartiates ont choisi de représenter AVES France, une association de protection des espèces menacées qui lutte pour la protection de la nature et de la faune sauvage.

« Nous avons choisi AVES France car nous cherchions à aider la cause des animaux et votre association réalise plusieurs actions non seulement la protection des espèces, mais aussi la défense du droit des animaux dans les zoos. De plus, nous voulions aider une association qui n’a pas une couverture médiatique aussi développée que le WWF afin que notre action serve vraiment »

Origine du projet

« Nous participons à ce Raid des Alizés, car nous cherchions un défi à relever, le dépassement de soi dans le sport nous a toujours beaucoup attirés et ce raid nous offre en plus le pouvoir d’aider une association », expliquent les Spartiates.

Le parcours et les épreuves restent secrets jusqu’au dernier moment, ce qui rend chaque édition unique et très médiatisée. Les seuls éléments connus sont les disciplines qui seront composées de courses à pied, de VTT et de canoë !

Aujourd’hui l’équipe est en pleine campagne pour la recherche de sponsors et de dons, déjà soutenue par trois entreprises alsaciennes que sont Aztek, Stihlé Frères et Boxe Olympique Muhlbach, les trois jeunes filles souhaitent pouvoir mettre en avant les entreprises locales lors de ce raid afin de porter les couleurs de notre région en Martinique.

« Les entreprises qui nous sponsorisent auront une couverture médiatique importante, avant, pendant et après le raid, car nous serons suivis par la presse et les médias comme Canal +, leur logo seront présents sur tous nos équipements sportifs »

Soutenir cette équipe, c’est prendre part à un engagement à la fois solidaire, sportif et responsable et les dons des particuliers peuvent être déduit de vos impôts.

Retrouvez les Spartiates sur leur Page Facebook.

Venez par Ici pour faire vos dons  !

Enfin, voici aussi une Interview faite sur Radio Judaïca de l’équipe !

A vous de jouer, l’équipe des Spartiates attends votre soutien !

Portrait Kapoué n°40: Maxime Meyer, joueur au Strasbourg Volley-Ball

Portrait Kapoué n°40: Maxime Meyer, joueur au Strasbourg Volley-Ball

Qu’est ce qui te fait lever le matin ?
Réussir mon double projet Sport-Etudes.

Ta plus grande qualité ?
Ne jamais abandonner. 

Ton plus grand défaut ?
Je suis hyper-actif.

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté ?
Oui avec les réseaux sociaux. 

Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler ?
Super-man.

Le job que tu as toujours rêvé de faire, même si tu fais le contraire à présent ?
Astronaute.
crédit photo : www.lithard.fr
Ton héros dans la vie réelle ?
Barack Obama

La chanson que tu siffles sous la douche ?
La dernière que je viens d’écouter.

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Marié avec des enfants et faire encore du volley

Ton film culte ?
Mon nom est personne. 
Ce que tu détestes par-dessus tout ?
Les personnes égoïstes

Le talent que tu aimerais avoir ?
Voler.
crédit photo : www.lithard.fr
Ta meilleure blague ?
Mes meilleures sont improvisées. 

Que manque-t-il à Strasbourg pour être une ville incontournable d’Europe ?
Des discothèques plus grandes.

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
La Krutenau pour son dynamisme.

Ton restaurant strasbourgeois préféré ?
Le Flam’s.

Ton bar strasbourgeois préféré ?
L’Exils.

Autre ville préférée en Alsace et pourquoi ?
Kaysersberg pour le marché de Noël.
crédit photo : www.lithard.fr
Quelle est la chose que tu changerais en premier si tu étais Maire de Strasbourg ?
La circulation.

Ta marque alsacienne préférée ?
Fritz.

En 3 mots, décris nous ton Strasbourg ?
Belle ville étudiante.

Explique nous ton attachement au sport local, et surtout au volleyball…
J’allais toujours voir le Racing Club de Strasbourg étant petit. Je regarde souvent la SIG. Mon attachement au volleyball vient de ma famille, j’accompagnais toujours mes parents à la salle.

Quels sont tes objectifs pour cette saison ?
L’objectif numéro 1 est le maintien de l’équipe après la montée de l’an passée ! Le second est de progresser un maximum pour gagner une place de titulaire.

Le premier match de championnat aura lieu le Samedi 22 octobre au Gymnase de la Rotonde. Allez soutenir le Strasbourg Volley Ball !

Quand les blogueurs locaux testent la salle d’escalade Hueco !

Samedi dernier, j’ai eu la chance d’être invité par Hueco (salle d’escalade libre à Eckbolsheim) à découvrir leurs installations avec des collègues blogueurs du coin.

Étaient présents :
Charlotte des Jumelles à Strasbourg, Céline d’Une Fille en Alsace, Lucie de Miss Elka, l’Instagrammeuse Ludivine (LFitGirl) avec une amie et Alexi Tauzin du blog GTLF (merci à lui pour les photos), ainsi que Jean Christophe de l’agence TIZ. Le but de l’événement étant de découvrir le lieu, faire une initiation à l’escalade dans cette salle de blocs et profiter pour échanger avec l’équipe autour d’un apéro.

Apres un échauffement rapide, on a appris la base de l’escalade en salle : comment tomber sans se blesser ! On a pu se faire la main en suite sur des petits parcours simples sur les blocs avant de faire des jeux d’équipes alliant rapidité, et réactivité. Ensuite des petits défis, et pour terminer une visite du backstage pour enfin prendre la direction de la pause apéritive ! La séance a filé à une vitesse incroyable, on a pas eu le temps de s’ennuyer un instant même pour les débutants.

A noter aussi que pendant la soirée nous avons eu un moment pour grimper où nous voulions, quand nous voulions (ce qui est la force de cette salle : l’escalade libre)

Mon avis sur la soirée d’initiation :
Moi qui suit néophyte en escalade avec une condition physique « moyenne », j’ai été surpris à quel point il est simple de s’y mettre et de prendre du plaisir à monter. Pas besoin d’aller haut, mais tout simplement se donner des petits défis personnels et emprunter des chemins différents pour essayer de s’en sortir. Certes, la technique est importante mais c’est très abordable.

D’ailleurs on est bien entouré, toute l’équipe (composée de pros) est là pour vous guider et vous mettre à l’aise: il en ressort un climat cool et presque familial dans la structure. Les enfants peuvent commencer l’activité à partir de 4 ans, des cours d’initiation gratuits sont d’ailleurs proposés les lundis soir de l’année scolaire.

A noter que les parcours sont renouvelés au 1/5ème chaque semaine, les prises sont nettoyées et remplacées. La salle quant à elle est nettoyée tous les jours pendant 3 heures pour lutter contre la poussière et la gomme des chaussons d’escalade. Des compétitions sont parfois proposées, la prochaine étant une édition spéciale femme : La Queen Lines, le 15 octobre prochain.

L’escalade vient d’être validée en tant que future épreuve aux prochains JO du Japon, donc l’équipe s’attend à un boom de la discipline… Vous savez ce qu’il vous reste à faire si vous voulez tenter : les tarifs commencent à partir de 13 euros la séance (plein tarif pour un adulte) avec des dégressifs en fonction des abonnements ou des cartes de 10 entrées.

NB: Je dois avouer, j’ai eu des sacrées courbatures le lendemain dans les avants bras: pour la prochaine fois, je me remettrais à la musculation avant d’y aller… ou au régime ! 🙂

NB 2: La hauteur maximum des murs d’escalade est de 4m50, on peut donc y grimper sans corde et rester en haut pour regarder les autres grimper, discuter ou se reposer dans le hamac…

HUECO
Salle d’escalade
13 rue Ettore Buggati
67201 Eckbolsheim
03 88 28 58 48
www.Hueco.fr

Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 23h
les samedis, dimanche et jours fériés de 9h à 23h.

Visite du siège de PUMA France à Illkirch

Visite du siège de PUMA France à Illkirch

Le 27 janvier dernier, invité par Strasbourg the Europtimist,  j’ai eu la chance de participer (avec quelques blogueurs et journalistes) à une matinée au siège de PUMA France à Illkirch. Le but de cette matinée était d’en apprendre plus sur la marque, pourquoi est-elle implantée ici, sa façon de fonctionner, sa philosophie et ses produits. Pour cela, nous avons d’abord fait une petite balade dans les différents showrooms (Football, Running, Golf entres autres…), découvrir les nouveautés, les égéries (Rihanna et Usain Bolt entre autres) et les concepts innovants… (Mais, chut ! On a rien le droit de dire, ni même de prendre des photos : logique puisque les produits ne sont pas encore sortis !).

Ensuite, un petite conférence, où Richard Teyssier (Directeur général PUMA France) est revenu sur tous les aspects de la société, y compris la formation, les produits… Avant de passer la main à deux de ses collègues qui ont pu nous raconter leurs parcours professionnels chez PUMA. En guise de conclusions, les interventions de Robert Hermann et de Jean-Luc Heimburger qui soulignaient tous les deux l’importance d’avoir une société de cette ampleur dans la communauté urbaine de Strasbourg.

Mon avis sur l’événement : 
Toujours intéressant de rentrer au cœur d’une telle entreprise de taille mondiale, surtout quand on apprécie ses produits comme moi, même si je suis loin d’être un sportif ! PUMA a décidé de s’implanter et de rester dans les alentours de Strasbourg, ce qui renforce l’image de la collectivité et permettra sans doute à améliorer aussi l’attractivité de la capitale européenne pour les grands groupes mondiaux et européens. Pour une fois qu’un événement est un peu plus « mature » que la moyenne, ça fait plaisir, même si au fond, il était surtout destiné à la presse économique locale.

Invité Kapoué n°27: Local sportif (à trouver) pour les Sans-Abris de Strasbourg

Local sportif pour les Sans-Abris à Strasbourg

Nous sommes 3 étudiants en STAPS à l’Université de Strasbourg – Louis, Atora et Coline.

Notre projet ?

Ouvrir un local sportif pour les sans-abris sur Strasbourg , nous aimerions leur donner un goûter à chaque fin de séance ainsi qu’un accès à des douches.

 » Ce sera avant tout un lieu d’écoute et de partage, dans lequel ils pourront s’exprimer d’une part physiquement mais aussi verbalement » CL

Nous croyons en l’humain et en sa capacité à évoluer, et c’est à travers ce projet que nous aimerions leur redonner confiance en eux , et l’envie de s’en sortir au travers de l’activité physique.

Alors agissons ensemble pour les personnes qui vivent tous les jours dehors et subissent quotidiennement le froid, la fatigue et l’ignorance.….

Motivations Coline L :
« J’aimerais au travers de ce projet, permettre aux SDF de se sentir mieux, d’une part sur le plan physique et mental. Le sport est un excellent moyen de se réapproprier son corps et de gagner confiance en soi (…)

Nous faisons appel à VOUS pour nous aider à récupérer du matériel sportif !   

Pour les dons de matériel , contacter Coline via Fb ==>  Local sans abris à Strasbourg

Vous n’avez pas de matériel mais vous voulez quand même participer ?

Voici notre pot commun ==>  https://www.lepotcommun.fr/pot/6iehjzfk 

(NB: Le local sportif et l’association ont été trouvés)

Merci d’avance à toutes les personnes qui nous aideront à rendre ce projet réalisable !

Coline Lombardi.

Invité Kapoué n°7: Soutenez Les Bretz’elles Roses pour le trophée roses des sables !

Soutenez Les Bretz’elles Roses pour le trophée roses des sables

Il n’aura fallu que 2 ou 3 nuits de réflexion à Samantha et Maryline, trentenaires, strasbourgeoises, mères de famille, l’une brune et l’autre blonde pour se lancer dans l’aventure du Trophée Roses des Sables !

Le challenge d’une vie disent-elles ! Mais motivées plus que jamais, ce duo multiplie les efforts depuis plusieurs mois pour rassembler les fonds nécessaires (25 000 €) à la participation de ce rallye solidaire en 4×4 dans le désert marocain.

Un rallye féminin et solidaire en octobre 2015

Créée en 2000, cette compétition rassemble plus de 300 femmes de tous horizons, débutantes ou confirmées, autour d’une course dans le désert.

Elle est ouverte à toutes les femmes de plus de 18 ans ayant soif d’aventure et de découverte. Pendant 10 jours, les participantes doivent rallier l’étape du jour avec comme seuls outils un road-book, une carte et une boussole !

Seul le sens de l’orientation est pris en compte dans les critères de notation et non la vitesse. L’objectif est aussi de venir en aide aux populations locales en acheminant du matériel tout au long du rallye au profit des associations « Enfants du Désert », « Cancer du Sein, Parlons-en » et « La Croix Rouge ».

Afin de participer au rallye, chaque équipe doit rassembler un budget de 25 000€ pour financer sa participation et l’acquisition du matériel nécessaire.

1km parcouru dans le désert, c’est 1€ reversé par l’organisateur à l’association Cancer du sein, Parlons-en !

Maryline Meyer, 34 ans

Responsable commerciale mais avant tout jeune maman épicurienne et bonne vivante.

« J’aime l’imprévu & les petites folies. Après plusieurs semaines de réflexion, j’ai décidé de me lancer dans cette folle aventure, de celles qui marquent une vie. Représenter l’Alsace est une réelle motivation à mes yeux ! Je souhaite également apporter ma pierre à l’édifice en aidant et soutenant les valeurs du Trophée Roses des Sables. »

Samantha Werly, 34 ans

Jeune maman elle aussi. Elle est assistante administrative et comptable.

« Sportive dans l’âme, je recherche toujours de nouveaux défis à relever. Mon temps libre je le dédie à ma passion : la photographie. Enthousiaste et aventurière, je compte bien dépasser mes limites lors du Trophée Roses des Sables, un challenge autant personnel qu’humanitaire. Notre complicité sera notre carburant lors de ce défi que nous comptons relever haut la main. »

Pour les suivre et les soutenir : http://bretzelles-roses.fr

A suivre aussi sur les réseaux sociaux :
Facebook : Les Bretz’elles Roses
Instagram : @lesbretzellesroses

Portrait Kapoué n°24 : Laetitia, joueuse de Quidditch à Strasbourg

Laetitia, joueuse de Quidditch (sport fictif issu de la saga Harry Potter) à Strasbourg

Qu’est ce qui te fait lever le matin?
Et bien actuellement même si je ne suis pas quelqu’un de matinal, ce qui me fait sortir de mon lit est de pouvoir réaliser mon plus grand rêve : faire le tour du monde. Même si c’est un classique et qu’à la base j’aimerais vraiment parcourir le monde de A à Z, je me fixe comme objectif de faire le tour du monde et c’est cet objectif-là qui me donne l’énergie de me lever chaque matin.

Ta plus grande qualité?
Je dirais mon originalité et mon caractère assez indépendant.

Ton plus grand défaut?
Protectrice. Même si ça a l’apparence d’une qualité c’est clairement un défaut.

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté?
Oui et non. Je suis aux nouvelles de ce qui se passe dans notre pays et un peu ailleurs mais je ne cherche pas non plus à en savoir d’avantage. Je vis ma vie et si un soir je n’ai pas vu les infos à la télévision ce n’est pas la fin du monde à mes yeux.

Le héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler?
Maléfique. Oui elle fait peut-être de la catégorie des « méchants » à cause du dessin animé La Belle aux Bois Dormants mais pour moi c’est un personnage classe, indépendant et beau. En plus, elle a le respect de tous, certes par le biais de la peur mais c’est la classe de se faire respecter ainsi !

Le job que tu as toujours rêvé de faire ?
Je n’en ai pas vraiment, du moins pas actuellement. Tout ce que je sais c’est que je ne souhaite pas finir dans les bureaux, rester sur place pendant plusieurs heures, non merci !

Votre héros dans la vie réelle?
C’est peut-être un peu cliché mais mon héros de la vie réelle c’est ma mère. Malgré tout ce qu’elle a déjà vécu, elle reste souriante et positive.

La chanson que vous sifflez sous la douche?
I’ll keep loving you de David Guetta.

Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Je ne me projette pas vraiment dans 20 ans, ni même dans 10 ans. Tout ce que je sais c’est, qu’au plus tard dans 2 ans à peu près, je vais faire ma globe-trotteuse et commencer à parcourir le monde !

Mon film culte?
Brother Bear. Ok c’est un dessin animé mais bon, ça n’enlève pas le fait que c’est une merveilleuse histoire avec des musiques magnifiques, un univers fascinant et une morale touchante.

Ce que vous détestez par-dessus tout?
Les personnes se croyant au-dessus de tout. Quand je vois ça je me dis qu’une bonne paire de claques ne ferait pas de mal.

Le talent que vous aimeriez avoir?
Quand vous dites talent vous parlez en tant que pouvoir ? Car si c’est le cas, j’aimerais beaucoup avoir le pouvoir de respirer et voir sous l’eau ! Sinon en tant que talent, comme par exemple savoir dessiner où autre, et bien je ne sais pas.

Le dernier fou rire?
Alors là, je n’en ai pas le souvenir. Je sais que j’en ai eu mais je ne pourrais plus vous les citer.

Que manque-t-il, d’après toi, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?
Rien. Honnêtement je ne vois pas ce qu’il manque actuellement à Strasbourg, elle a tout ce qu’il y a à avoir.

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?
L’Orangerie. C’est un quartier peut-être bourgeois mais il reste magnifique à mes yeux.

Restaurant préféré?
Je ne vais pas vraiment au restaurant mais bon celui que je citerais sans hésiter c’est le Live sushi à l’arrêt Porte de l’Hôpital. J’adore ce qui est asiatique et puis entre tous ceux que j’ai testé il est le meilleur à mes yeux !

Bar préféré ?
Le Snooker. L’ambiance rock’n’roll donnée par la décoration du lieu ainsi que les nombreux billards donnent une ambiance conviviale où on a envie d’y rester.

Endroit que vous adorez à Strasbourg mais que vous avez honte de dire?
Je n’ai pas vraiment d’endroit où j’ai honte de le dire mais l’endroit le plus beau de Strasbourg, à mes yeux, est le haut de la cathédrale. La vue panoramique est absolument superbe !

Quelle est la chose que vous changeriez en premier si vous étiez maire de Strasbourg?
Honnêtement je ne vois rien à changer puisque je n’arrive même pas à m’imaginer maire.

Ta marque alsacienne préférée?
La Licorne (surtout la black). J’y ai goûté et maintenant je n’arrive plus à m’en détacher.

Qu’est que tu choisirais comme nom de catcheur mexicain?
Aucun, je ne compte pas me mettre au catch alors bon, à quoi bon essayer de se trouver un nom de catcheur mexicain ?

En 3 mots, décris-nous Strasbourg?
Belle, écologique, intemporelle.

Ton actualité?
Actuellement, je cherche un emploi afin de pouvoir économiser pour, par la suite, parcourir le monde !

J’aimerais aussi créer un site pour exposer les histoires que j’écris. Car oui, l’écriture est une de mes nouvelles passions et j’aimerais beaucoup, par la suite, exposer ce que j’écris pour partager ma passion et avoir l’avis de personnes sur mon travail.

Et pour terminer, ma capitaine de quidditch (Esther) ainsi que mon équipe on souhaite promouvoir à nouveau notre équipe pour essayer d’attirer du monde ! Pour le moment notre équipe est petite par rapport au nombre que l’on voudrait atteindre.

Je suis également en train de réaliser le logo de notre équipe pour pouvoir enfin créer nos maillots personnalisés. Donc bon, je fais un petit coup de pub mais pour ceux qui veulent essayer le quidditch venez visiter notre page des Silver Strasbrooms, tous les renseignements sont dessus !

Portrait Kapoué n°22: Trois membres des Hell’s Ass derby girls

Portraits de trois membres des Hell’s Ass derby girls

© Olivier Vax https://www.facebook.com/OlivierVaxPhoto

Qu’est-ce qui te fait lever le matin?

Orchidead : Les travaux juste à côté de chez moi qui commencent entre 7h et 8h le matin. Et si ce n’est pas ça, c’est la faim.

Bandyd’Ass : Probablement la bonne dizaine d’alarmes qui sonnent sur mon téléphone.

Holy Vétom : Certains jours les courbatures, mais le plus souvent c’est les gribouillis notés dans mon agenda qui me sortent du lit !

Ta plus grande qualité?

Orchidead : Je ne lâche rien. Au derby, je suis toujours à la poursuite de la jammeuse (et je me prends la faute qui va avec du coup)

Bandyd’Ass : Je suis combative ! Et c’est très pratique au derby !

Holy Vétom : Je suis persévérante, d’autres diraient « casse-couille », mais bizarrement je préfère persévérante. C’est ce qui m’a permis de progresser dans le Roller Derby, après chaque chute il faut se relever, réessayer, encore, encore et encore !

Ton plus grand défaut?

Orchidead : Je n’arrive pas à prendre parti. Je suis souvent neutre dans les situations de conflit, ce qui peut paraitre lâche quand un ami cherche du soutien.

Bandyd’Ass : Mon côté stressé et stressante… mais je le vis bien ! Les autres un peu moins…

Holy Vétom : J’ai évidemment des défauts à la pelle, mais je crois que mes coéquipières vont me vanner pendant des mois si je n’avoue pas que je suis une grosse tricheuse !

Te considères-tu comme quelqu’un de connecté?

Orchidead :  Oui, je pense, même en ayant que Facebook comme réseau social.

Bandyd’Ass : Hélas oui… mais il faut l’être si on veut rester au courant des actualités, surtout dans le milieu du roller derby. Et rien de tel que les réseaux sociaux pour partager avec ses coéquipières et ami(e)s les souvenirs de nos « exploits » en tout genre.

Holy Vétom : J’imagine que pour les stalkers je ne le suis pas assez J (est-ce que le fait d’utiliser le mot « stalker » fait de moi quelqu’un de connecté ?)

Le héros de fiction auquel vous aimeriez ressembler?

Orchidead : Les Cat’s Eyes, un mélange des 3.

Bandyd’Ass : Scrat, de l’Âge de Glace, car il est persévérant et s’accroche à son rêve coûte que coûte ! (Finalement, je lui ressemble peut être déjà un peu… )

Holy Vétom : Je suis totalement fan de Kelly Bailey, une des héroïnes de Misfits. Elle est vraiment cool, droite dans ses bottes, très attentionnée vis-à-vis de ses amis et elle à un sens de la répartie assez génial ! Même si elle est super vulgaire, je l’aime beaucoup !

Le job que tu as toujours rêvé de faire?

Orchidead : J’ai la chance de faire le métier dont j’ai toujours rêvé, la recherche scientifique. Mon autre rêve aurait été de faire réalisatrice, mais là ma famille m’aurait excommuniée

Bandyd’Ass : J’aurais rêvé être pilote de chasse! Je rêvais d’un métier qui allie le calcul, la stratégie, la discipline et le sport, avec en plus l’envie au fond de moi d’intégrer un corps militaire! L’idée de devenir pilote de chasse m’est venue après avoir fait de superbes voltiges aériennes en hélicoptère, et avoir adoré les sensations. Pas de chance, je n’ai pas mangé assez de soupe quand j’étais petite!

Holy Vétom : Petite je voulais être scientifique dans un sous-marin… Seulement je suis nulle en maths et un peu claustro J
 
Votre héros dans la vie réelle ?

Orchidead : Claude Bernard. C’est une personnalité du 19è siècle qui a réussi à allier le coté créatif (il écrivait des pièces de théâtre même si elles n’avaient pas beaucoup de succès), et surtout le coté scientifique: il a mine de rien inventé la discipline de la physiologie !

Bandyd’Ass : Kacy Catanzaro pour sa performance à l’American Ninja Warrior. Je l’ai découvert récemment, mais elle m’a bluffé ! Une vraie battante, qui va au bout de ses idées et qui s’est donné tous les moyens pour atteindre son objectif.

Holy Vétom : J’ai cherché parmi les scientifiques, les artistes, les sportifs, etc… mais je crois qu’en fait mes vrais héros et héroïne dans la vie réelle ce sont toutes les personnes qui se sont un jour fixé un objectif (même tout petit) et qui se sont donné les moyens de les atteindre !
 
La chanson que vous sifflez sous la douche ?

Orchidead : J’invente mes propres mélodies sous la douche, et c’est souvent très laid.

Bandyd’Ass : The boy is mine, de Brandy et Monica. Triste réalité. Mais mes coéquipières comprendront…

Holy Vétom : En ce moment c’est « Une bonne paire de claques » de Tété. La mélodie est tellement douce et les paroles tellement cinglantes, ça frôle le génie ! Impossible de me la sortir de la tête, mon pommeau de douche n’a qu’à bien se tenir !

Comment te vois-tu dans 20 ans ?

Orchidead : Oubliée dans mon labo et toute ridée à cause des produits chimiques. Sinon j’espère être encore dans le monde du roller derby en étant arbitre (de matchs de haut niveau, ça serait le rêve). C’est en tant qu’arbitre que je m’étais inscrite chez les Hell’s Ass à la base.

Bandyd’Ass : Toute cassée ? Mais toujours aussi heureuse ! Je ne sais pas vraiment comment ça vieilli une joueuse de roller derby… entre les coups, les chutes, les bleus voir mêmes les fractures… dans tous les cas, si je ne suis plus sur des patins, je serais dans les gradins à m’égosiller la voix pour encourager mon équipe !

Holy Vétom : Un peu comme Bandy, je serais certainement toute cassée de partout, mais bien contente (et un peu fière) de l’être. Et puis de temps en temps je me ferais une petite rando roller pour doser les p’tits jeunes !

Mon film culte ?

Orchidead : The Big Lebowski Ça m’a permis d’avoir droit à une partie de bowling en peignoir pour mon enterrement de vie de jeune fille, avec le russe blanc qui accompagne bien sûr.

Bandyd’Ass : Le diner de cons. Il ne m’en faut pas plus pour me faire rire… Qui a dit que c’était mal de se moquer ? 😉

Holy Vétom : The Fall de Tarsem Singh, je trouve ce film tellement beau, certains plans sont à couper le souffle. J’aime bien les belles histoires un peu cruelles. Et puis la scène d’ouverture sur fond de symphonie n° 7 de Beethoven est vraiment superbe !

Ce que vous détestez par-dessus tout ?

Orchidead : Pour avoir eu en retour des commentaires négatifs sur mes proches sans aucune raison valable (si ce n’est le besoin de se rassurer soi-même(?)), je dirais les langues de p…

Bandyd’Ass : Les gens hautains et prétentieux, qui se croient au-dessus de tout et de tout le monde. Que chacun reste à sa place !

Holy Vétom : Avoir mal aux pieds !

Le talent que vous aimeriez avoir ?

Orchidead : Le côté créatif: savoir dessiner, jouer de la musique, écrire.

Bandyd’Ass : Celui de « La femme invisible » dans les 4 Fantastiques. Rien de tel pour passer ni vu ni connu à travers un pack pendant les matchs.

Holy Vétom : J’aimerais beaucoup avoir le sens de l’orientation, c’est vraiment très pénible de se perdre tout le temps !

Le dernier fou rire?

Orchidead : Avec des copains rencontrés à l’improviste dans la rue et avec qui on a fini dans un bar.

Bandyd’Ass : C’était lors de mon dernier entrainement de roller derby. On a tenté de faire une pyramide humaine à cinq étages… mais, un jour, on y arrivera !

Holy Vétom : Je crois que c’était avec mes frères lors d’un repas de famille. Par contre impossible de me souvenir à propos de quoi…Mais j’avais super mal aux joues et c’est bien chouette comme sensation.

Que manque-t-il, d’après toi, à Strasbourg, qui est incontournable dans les autres grandes villes d’Europe?

Orchidead : Les transports de nuit plus fréquents.

Bandyd’Ass : Je ne sais pas vraiment… Strasbourg réunit déjà énormément de choses.
Par contre, je trouve que pour une ville de cette envergure, le fait que tous (ou la majeure partie) des commerces soient fermés le dimanche est vraiment dommage. Je viens d’une ville où tout est constamment ouvert tout le weekend, c’était un peu frustrant à mon arrivée sur Strasbourg de voir porte close partout le dimanche!

Holy Vétom : Je trouve qu’on ne s’approprie pas assez notre espace public. J’ai souvent l’impression que la rue n’est qu’un lieu de passage et pas trop un lieu de vie à part entière.

Si tu étais un quartier de Strasbourg ?

Orchidead : J’adore la Krutenau, c’est convivial. C’est un village dans la ville où tout le monde se connait et se salue.

Bandyd’Ass : Neudorf ! Je suis arrivée dans ce quartier par hasard quand j’ai posé mes valises dans cette ville, et je l’ai adopté. Bien placé, vivant, agréable à vivre et tout est à proximité. C’est une ville dans la ville !

Holy Vétom : Mon premier appartement à Strasbourg était situé Boulevard de la Marne, je garde une petite tendresse pour ce coin de la Ville.
 
Restaurant préféré ?

Orchidead : Com’o Resto, ce n’est pas un vrai resto certes, mais j’adore le concept de pouvoir manger dans son bar préféré des platsexcellentissimes. Sinon un vrai resto avec des vraies tables et des vraies chaises, la Ruche aux deux Reines.

Bandyd’Ass : J’aime beaucoup L’épicerie. Ça change des restaurants classiques habituels, que ce soit pour le contenu de son assiette (enfin, de sa tartine…), ou pour le cadre atypique du restaurant.

Holy Vétom : L’Acérola, rue du Renard Prêchant. Pour découvrir la cuisine brésilienne il n’y a pas mieux ! C’est vraiment très très bon et différent de ce qu’on a l’habitude de manger. J’y ai emmené ma maman quelques temps après l’ouverture et elle m’en parle encore aujourd’hui !

Bar préféré ?

Orchidead : Le Marché Bar, à la Krutenau. Les serveurs sont géniaux et ils servent la bonne bière de chez Uberach.

Bandyd’Ass : Le Xanadu, pour nos nombreuses soirées d’avant/après match depuis plusieurs années. Comment ne pas aimer un bar qui est fan des Hell’s Ass ?

Holy Vétom : Pour une soirée entre copains, le Chariot est tout indiqué, les serveurs sont adorables et on s’y sent bien !

Endroit que vous adorez à Strasbourg, mais que vous avez honte de dire ?

Orchidead : Le centre commercial de Rivétoile. Plus pour voir du monde que pour faire les magasins.

Bandyd’Ass : Les jeux d’eau et de lumière qui ont lieu tous les étés… je n’en ai pas loupé un en quatre ans.

Holy Vétom : Le marché de Noël…Je sais qu’il est de bon ton de le critiquer, que c’est trop commercial, qu’il y a trop de monde, etc…mais moi je m’en fous, j’adore Noël !!

Quelle est la chose que vous changeriez en premier si vous étiez maire de Strasbourg ?

Orchidead :Des créneaux dans des bonnes salles tous les jours pour les 2 équipes de roller derby, les Hell’s Ass et les Menneles. Non je plaisante,aucune idée je suis apolitique.

Bandyd’Ass : Je ferais d’office tracer un track de roller derby dans tous les gymnases de la ville !

Holy Vétom : Je prendrais mes deux coéquipières comme adjointes, j’aime bien leurs idées ! Mais surtout je déterrerais le projet du « Hall de la glisse », pour que les sports « alternatifs » puissent aussi avoir un lieu où pratiquer dans de bonnes conditions (genre dans un lieu avec des toilettes, une infirmerie…). Il y aurait aussi un bar et des dortoirs pour pouvoir organiser des mégas compétitions ! Il va sans dire qu’il y aurait surtout un track de Roller Derby !!

Ta marque alsacienne préférée ?

Orchidead : L’année dernière j’ai craqué pour un sac de la marque Bretzel Airlines (parenthèse girly close). Les créateurs sont très sympas et ils m’ont filé des super autocollants qu’un des Menneles m’a piqués pour coller sur son casque.

Bandyd’Ass : Cuisinella. ah-ah-ah-ah…

Holy Vétom : Sans hésiter les yaourts Alsace Lait, surtout ceux aux Myrtilles ! De toute façon ce n’est pas compliqué, c’est les seuls yaourts que j’achète !


 
Qu’est que tu choisirais comme nom de catcheur mexicain ?

Orchidead : Que signifie ton nom derby tu veux dire ? Un jeu de mots entre Orchidée (car je travaille sur les plantes) et la mort en anglais. Et puis surtout Orchis en latin ce sont les attributs masculins : si vous regardez la racine des Orchidées, vous comprendrez d’où vient leur nom. Donc oui ça veut aussi dire que je suis une casseuse de c……

Bandyd’Ass : Sans hésitations : Bandyd’Ass ! J’ai choisi ce derby-name il a 4 ans en débutant le roller derby, et je ne me vois pas en changer, peut importe le sport. D’ailleurs il a quasiment remplacé mon vrai prénom, presque personne ne m’appelle Céline! Pour la p’tite histoire de ce choix : je voulais retrouver le « as » de la fin de mon nom de famille et le « ass » du nom de l’équipe. Et puis j’ai découvert qu’au derby il y avait une zone « prison » où sont envoyées les vilaines joueuses. Sachant qu’avec mon caractère je risquais de faire pas mal de pénalités, je me suis dis que c’était plutôt ironique qu’un « bandit » finisse sa course en prison! Et hop du coup « Bandyd’ass » est née! (Et j’essaye toujours tant bien que mal de pas me faire envoyer en prison…^^) »

Holy Vétom : Mon nom Derby vient du dessin animé « Olive et Tom », j’ai choisi ce nom à cause des paroles du générique : « Olive et Tom ils sont toujours en forme, Tom Olivier sont super entraînés, Olive et Tom ils sont venus pour gagneeeeeeeeeeer », c’est pas mal pour impressionner l’équipe adverse non ? Et puis j’aime bien la tête des gens quand ils le disent à voix haute et qu’ils comprennent d’un coup « Holy Vétom ? Ah ouaiii OLIVE ET TOM !!!! ». Après ils ont la chanson en tête et ça, c’est encore plus cool !

En 3 mots, décris-nous Strasbourg ?

Orchidead : Elégante, humaine, historique.

Bandyd’Ass : Accueillante, attractive, surprenante.

Holy Vétom : Charmante, mystérieuse, en mouvement.

Ton actualité?

Orchidead : C’est tout frais, c’est tout récent, j’ai trouvé un travail à l’étranger et je commence dès juillet. Je suis un peu triste de quitter mes amis, mon équipe des Hell’s Ass et celle des Menneles que j’avais commencé à entrainer, mais c’est une super opportunité pour moi. Le point positif c’est qu’il y a de bonnes équipes derby là-bas.

Bandyd’Ass et Holy Vétom : Nous on reste à Strasbourg, sauf si Orchidead nous emmène dans ses valises !

On va profiter de l’été pour rouler en extérieur et attendre patiemment septembre et la reprise des entraînements pour une saison qui, on l’espère, sera encore meilleure que celle qu’on termine !

Ride to Hell !
hell sass derby girls.com

© Olivier Vax https://www.facebook.com/OlivierVaxPhoto
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