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Kapoué Test n°17: Séance gratuite dans un des clubs de forme Amazonia à Strasbourg

Séance gratuite dans un des clubs de forme Amazonia à Strasbourg

Par une après midi vraiment pluvieuse, je me suis décidé à aller tester un club de sport dont j’avais tout entendu (ou presque) à son sujet. Après avoir fouillé sur leur site, j’ai sauté sur une séance découverte gratuite l’occasion pour moi de me faire une idée sans me ruiner. Après une demande faite via le site, je suis invité à confirmer ma venue en appelant le club et me voilà 2 jours plus tard à tester ce club de forme Amazonia près de la Gare de Strasbourg !

Entrée de Amazonia

Tout d’abord, l’accueil est plutôt sympa, le tutoiement est de rigueur et la personne me propose de faire le tour des machines pour me montrer comment ça marche, je le suis, et suis agréablement surpris par la propreté et le bon état des machines. 2ème bonne surprise, il y a un étage avec d’autres machines dont un parcours chronométré avec un indicateur lumineux qui t’indique quand tu dois changer de poste.

Le « coach » finit sa visite et m’annonce direct les tarifs, et là, je perds un peu le sourire : 39,90 €TTC par mois, avec un engagement minimum d’un an et avec 115 € de frais de dossier… (Offre promo du moment: 90 € les frais de dossier avec un mois offert )! Je décide de faire un petit moment de cardio sur différentes machines et après je rentre : ça se passe bien, il y a très peu de monde pour un samedi après midi, des écrans partout branchés sur TRACE TV, bonne ambiance générale, des points d’eau… Bref, pas grand chose à redire en fait, tu peux même profiter de ta propre ziq ou de la TV sur les vélos d’appartements et leurs écrans intégrés.

Ecran Tv sur les vélos : Tv ou iPhone au choix

Niveau propreté, rien à redire, les vestiaires sont cosy et bien adaptés, on aurait juste aimé des casiers qui ferme à clef et une ambiance moins « girly », on dirait que Valérie Damidot de D&CO a fait des heures supplémentaires chez eux, car y a du mauve partout !!

Vestiaires

Après quelques photos prises et un peu de sueur évaporé, je finis ma séance avec une meilleure opinion qu’avant: je m’attendais à un club cheap, mal fammé et sale; alors que je trouve un club bien équipé de moyenne gamme mais correcte. Un peu cher pour ce que c’est, mais dans la moyenne des tarifs pratiqués sur Strasbourg et en plus, tu as accès aux 4 salles (Gare, les Halles, rue des Frères et Neudorf) de 6h à 23h tous les jours

Amazonia gare Strasbourg

A vous de tester par vous même la séance gratuite, pour ma part je me serais abonné si il y avait pas eu ces frais de dossiers si chers et cet engagement d’un an minimum.

A bientôt pour un nouveau test, j’attends toujours vos idées sur : blog@kapoue.eu

Utilisateurs de clubs Amazonia, j’attends vos commentaires ci dessous ! 😉

Tournage d’une pub pour 1664 (Kronenbourg) à Bouxwiller avec Eric Cantona

Tournage d’une pub pour 1664 à Bouxwiller avec Eric Cantona

Petit article rapide pour vous faire entrevoir les coulisses du tournage d’une publicité pour une bière… Ce tournage a commencé aujourd’hui à au centre ville de Bouxwiller (67) et a demandé environ 120 figurants. Je faisais partie de la joyeuse équipe, le but pour étant pour nous d’acclamer un camion aux couleurs « festives ».

En effet, le scénario de la pub, enfin, le peu qu’on nous en a dit, nous raconte l‘histoire des fermiers alsaciens travaillant le houblon, et qui sont considérés comme des stars en rentrant au village… En gros, tout le monde les prend pour des footballeurs superstars après avoir gagné la coupe du monde et défilant sur les Champs Élysées.

Écrans de lumière pour cacher le mauvais temps

Le parallèle entre les « faiseurs » de bières et les footballeurs est tel que la star de la pub n’est autre qu’Eric Cantona, présent lui aussi à Bouxwiller avec son frère Joël Cantona (agent?) pour promouvoir une certaine marque de bière dans cette future publicité destinée au marché anglais.

Eric Cantona

Tout est logique d’ailleurs, sachant qu’Eric « The King » Cantona est toujours très populaire là bas et qu’il aime l’auto-dérision dans les pubs qu’il a déjà faites.

Comme celle ci par exemple pour la marque SHARP (ça date…)

Bref, petit tournage sympa, pas super bien payé (environ 96€ brut pour la journée) mais qui nous a permis, nous simples figurants, de découvrir le centre ville de Bouxwiller sous la pluie de Novembre et de croiser une légende du football (pas de photos voulues par l’acteur/footballeur sur le plateau, mais disponible après le tournage). Monsieur Eric est reparti à la pause déjeuner au volant d’une Lamborghini LP560 mise à disposition par Laroyale Cars.

Un journaliste de l’édition locale des DNA Saverne était là aussi pour couvrir ce tournage, voici le lien vers son article : http://www.dna.fr/edition-de-saverne/2012/11/08/eric-cantona-en-tournage

NB: La pub ne sera pas diffusée en France, avec de la chance on la verra sur Youtube

NB 2: Pour info, les figurants devaient tous avoir plus de 25 ans. En effet, la législation anglaise interdit au moins de 25 ans de tourner dans des films publicitaires pour de l’alcool (sans doute du au fort taux d’alcoolisme chez les jeunes anglais?).

NB 3: Amis figurants, n’hésitez pas à laisser vos impressions sous cet article en commentaires et à m’envoyer vos plus belles photos du tournage sur blog@kapoue.eu (Merci d’avance ! 😉 )

Galerie avec le reste des photos prises sur le tournage de jeudi 8 novembre:

 

 

MISE A JOUR DU 02/02/2013 :

Après plusieurs semaines d’attente, voici enfin la vidéo de la publicité finie et remplie d’humour ! Merci à http://www.alsactu.fr pour cette trouvaille…

Kapoué Test n°16: Frissons d’Halloween aux Horror Nights d’Europa Park

Frissons d’Halloween aux Horror Nights d’Europa Park

Vous connaissez déjà tous Europa Park, un des parcs les plus aimés et les plus fréquentés d’Europe avec son coté familial, convivial et pas cher… Je vous ferais donc grâce de la description du fameux parc de Rust où j’ai traîné mes shoes dans la nuit de vendredi dernier.

Après un mini périple de 45 min (de Strasbourg) sur les voies rapides et pluvieuses allemandes, me voilà arrivé à Europa Park, suite à l’invitation de ce dernier, pour tester les Horror Nights à l’occasion d’Halloween. Le principe est très simple: une partie du parc est ouverte au public pour découvrir des labyrinthes ou maisons hantées ainsi que quelques attractions pour flipper « sa race » le temps d’une soirée.

Donc au programme, un restaurant chinois d’horreurs culinaires et sanglantes, des égouts dégueulasses et mal famés, une maison hanté, et un dédale nommé poétiquement « Zombieland« … On se déplace donc dans une ambiance brumeuse avec de la musique bien flippante, des comédiens extrêmement bien grimés pour l’occasion et vraiment « habités » par leurs rôles. On croise des infirmières qui te vendent des seringues remplies de sang en guise de cocktails…. Bref, on est dans l’ambiance en 5 minutes !

quartier chinois

Pour ne pas trop en dévoiler, je vais juste faire un topo rapide, précisant les bons points et les mauvais points de ces Horror Nights… Pour terminer avec un petit « top » de mes attractions préférées :

Les bons points :

– Les maisons hantés ou labyrinthes sont très bien faites, rien à voir avec les fêtes à neuneu qui nous vendent des tours de maisons hantés en carton pour 5€, là, vous êtes plus dans un décor de cinéma.

– Le prix: Pas très cher, mais c’est logique par rapport à Europa Park, ça vous coutera entre 13 et 22 € selon les soirs choisis.

– L’ambiance est top, les décors bien finis, les comédiens à fond dans leurs rôles, même les caissières des snacks sont déguisés, rien à dire.

– La bouffe est pas chère et pas mauvaise, on a mangé des saucisses blanches allemandes et des bretzels au potiron vraiment bonnes et fraiches pour quelques euros.

Poséidon de nuit

Très peu d’attente devant les différentes maisons hantées, on était vendredi soir aussi, je suppose que le samedi, ça doit être autrement…

Une discothèque est présente à l’intérieur du parc pour prolonger la fête, entrée 5€, encore une fois, pas cher !

– Enfin pour terminer, pour moi le meilleur bon point, c’est le thème principal de cette année : Horreur en Chine avec LA maison de la peur que j’ai préféré : TAKE AWAY ! En effet, il y a un quartier asiatique à l’entrée du parc, avec des ninjas, des geishas travelos et psychopathes et donc cette maison qui à été élue la meilleure attraction d’horreur mondiale 2012 ! (rien que ça !). Je trouve le thème bien trouvé, original et dérangeant : tout pour réveiller ta peur avec un grand « P » ! Avec ce thème, on évite les trucs ringards déjà vus et revus, genre « les vampires », les « fantômes », les « cimeterres ». Bravo !

Award de la meilleure maison hantée 2012

Les points négatifs :

Vous l’aurez compris, y en aura peu, car j’ai adoré, mais je tiens quand même à souligner qu’on ne peut pas payer en CB dans les différents snacks, c’est assez ennuyeux, ils faut donc prévoir du liquide ou partir à la recherche un distributeur (il y en a un de caché dans le quartier Grec). Sinon, les seringues avec les cocktails à base de vodka et jus de tomates ou Baileys grenadine, sont juste dégueulasses (est ce fait exprès? 😉 ) à éviter donc ou pour faire une blague à un pote… Et enfin, on était plus habitués aux fumeurs dans les files d’attentes mais là c’est permis alors ça peut être étouffant par moment, avis aux amateurs…

Seringues à boire

Pour terminer, voici le top des attractions pour moi, sachant que je n’ai pas eu le temps de voir le spectacle sur glace Horror on ice avec Marc Terenzi, ni la maison « Be Mine »

1) TAKE AWAY (restaurant chinois d’horreur, trouillomètre = 8)

2) THE VILLA (maison Victorienne hantée, trouillomètre = 6)

3) ZOMBIEVILLE ( parcours à traverser à toute vitesse pour éviter les zombies, trouillomètre = 6

4) DOWN ( égouts et marécages à ne pas fréquenter, trouillomètre = 5)

Accueil charmant…

Voilà, voilà, à vous de voir si l’envie d’avoir peur vous tente… SI oui, vous avez jusqu’au 3 novembre 2012… Rendez vous sur http://www.horror-nights.de/ pour plus de renseignements.

NB: Le parc est interdit au moins de 16 ans, c’est tout à fait justifié, de plus il est aussi interdit de venir maquillé ou déguisé (bon à savoir)

NB 2: J’ai volontairement pas pris de photos de l’intérieur des attractions pour maintenir l’effet de surprise… Et aussi car je flippais trop ! 😉

NB 3: Nissan a un stand pour acheter des voitures à l’entrée du parc, j’ai pas compris…? Je suis pas sur que c’est le moment idéal pour acheter une voiture… #FAIL

Une copine pas très en forme.. 😉

J’attends vos commentaires pour ceux qui y sont déjà allé !

Happy Halloween everyone !

« Share A Burger »: Burgers de chef à gagner les dimanches soirs à Strasbourg !

« Share A Burger »: Burgers de chef à gagner les dimanches soirs à Strasbourg

Un blog, ça sert aussi à faire découvrir des bons plans sympas, bon esprit, qui sont pas forcément médiatisés. C’est ce que je vais faire dans cet article qui sera très court, car le principe est criant de simplicité !

Vous êtes vous déjà retrouvé en galère un dimanche soir à pas savoir quoi manger ? Moi oui, (et pas que le dimanche soir d’ailleurs), mais notre ami @Fr8d, non, en effet, le dimanche soir, c’est sacré, chez lui à Strasbourg, c’est  » Hamburgers en famille « .

Un peu (beaucoup) geek sur les bords, et de nature généreuse, il s’est lancé dans le concept Share a burger qu’il développe et communique via son blog et les réseaux sociaux.

Explications :

Fr8d part du principe que tant qu’à faire une certaine quantité de burgers pour sa famille le dimanche soir, pourquoi ne pas en faire deux de plus pour les partager avec un internaute, d’où le nom  » Share a burger « .

Pour jouer, c’est très simple, il suffit de surveiller sa Facebook Fan page et répondre par un « Yo » dès qu’il vous donne le signal. Le gagnant sera ensuite contacté et invité à récupérer le soir même à 19H30 son burger chez Fr8d. Il aura même le droit de rejouer une prochaine fois, et de se faire prendre en photo pour immortaliser l’événement.

Jeu simple et efficace, merci donc à Fr8d pour son initiative, et son partage de l’amour des burgers… A noter bien sur que ce sont des hamburgers très élaborés (recette faite et refaite depuis 2 ans ) et gratuits chaque semaine !

Amis lecteurs et gourmands, à vous de jouer ! Moi, je tente le coup demain, si je gagne je posterai la photo ici !

NB: On ne peux pas gagner 2 semaines de suite… Logique, faut en laisser un peu aux autres, non?

Avant Jésus partageait les pains, maintenant Fr8d partage les burgers… C’est beau le progrès ! 😉

Kapoué Test n°15: « Ciel, mon mari est muté en Alsace » au théatre de la Chouc’ de Strasbourg

Kapoué Test n°15: « Ciel, mon mari est muté en Alsace » au théatre de la Chouc’ de Strasbourg

En tant qu’expatrié arrivé en Alsace depuis quelques années, et ne connaissant pas le cadre du théâtre de la Choucrouterie de Roger Siffer, je me devais de tester ce spectacle : « Ciel, mon mari est muté en Alsace ! » tiré du livre de Laurence Winter aux éditions de la Nuée Bleue.

Tout d’abord, le cadre est très cosy, on rentre dans une petite cour avec le restaurant sur le coté typique alsacien (je ne l’ai pas testé ce coup ci…). 20h15, bien installé dans ce petit théâtre intime d’une bonne centaine de places, on s’aperçoit vite qu’en tant que trentenaires nous sommes quasiment les plus jeunes de la salle, remplie essentiellement de couples ayant la cinquantaine dynamique.

Avec un petit retard, le spectacle commence, avec 2 comédiens sur scène, reprenant les thèmes du livre : un couple de français « de l’extérieur » arrive en Alsace, le mec est loin d’être motivé, alors sa femme lui donne des astuces pour s’en sortir… Et hop, on est parti dans la (re)découverte de l’Alsace dans tous les sens en passant par les conflits de clochers, les références à la difficile histoire, les chansons, le dialecte, la gastronomie…. J’en passe et des meilleurs… Les deux comédiens sont rodés, ils ont du joué et rejoué ce spectacle des centaines de fois. On se prend au jeu, l’interaction avec le public donne une bonne ambiance, et forcement, étant donné que le public est en majorité alsacien, tout le monde rigole à toutes les références ! La comédienne et aussi narratrice Céline D’Aboukir tient bien son rôle de garante de la mémoire alsacienne avec esprit et éloquence; quant à Raphaël Scheer, il joue parfaitement l’Alsaco « de base » comme les Parigos BoBos « qui se la pétent ».

Bref, vous l’aurez compris, le spectacle m’a bien plu, en plus, cela ne dure pas trop longtemps, on ne s’ennuie pas, c’est le genre idéal pour aller en famille ou faire découvrir notre magnifique région avec humour et auto dérision. Deux petits bémols cependant, le prix du spectacle : 19,50 € à réserver et a payer avant de venir (un peu cher pour les petits budgets) et le coté un peu trop « didactique » de la mise en scène, on s’attendait plutôt à une histoire de bout en bout, avec notamment les déconvenues de ce « mari » qui arrive en Alsace

Ce spectacle se joue encore jusqu’au 30 septembre 2012 au Théatre de la Chouc’ 20 rue St Louis à Strasbourg 03 88 36 07 28 www.theatredelachouc.com

NB: Je vous invite aussi à découvrir MA façon de survivre en Alsace -> ICI !

Soutenez Annabelle & Julien pour le 4L Trophy 2013

Soutenez Annabelle & Julien pour le 4L Trophy 2013

2 étudiants de l’ECS Strasbourg ont décidé un jour pendant un cours d’allemand de se lancer dans une aventure humanitaire et surtout humaine : le 4L Trophy !

Le principe est très simple: rallier Paris à Marrakech en 4L en embarquant des fournitures scolaires pour les enfants de la région marocaine. Cette course se déroulera en plusieurs étapes du 14 au 24 février 2013 en 4L en mode camping avec des équipages de 2 personnes par voiture. Annabelle et Julien vont donc passer les 6000 km en mode « roots » (toutes les joies du camping… mais en voiture avec une moyenne de 90km/h).

Bien sur, cette aventure a un coût : 7000 euros par équipage (1800 € la voiture (retapée à partir d’un ancien modèle), 3500 € d’inscription, le reste étant des frais divers de transport, nourriture ou logistique…). Une assistance est prévue tout au long du parcours au cas où… la voiture ne tienne pas !

Vous l’aurez compris, la course en elle même n’est qu’un prétexte au but humanitaire, une très bonne ambiance lie toutes les équipes, qui n’hésitent pas à se donner rdv au fil des kms pour échanger sur leurs « galères » et partager un bon moment.

Pour en revenir au niveau financier: les 2 pilotes ont besoin de sponsors pour boucler leur budget pour cette course, alors n’hésitez pas à les contacter, votre aide peut se faire sous plusieurs formes : matériel, parrainage, ect… Ils vous expliqueront mieux que moi !

A noter que leur école: l’ECS de Strasbourg a joué le jeu en les aidant dans leur projet à hauteur de 2000 €.

Voici les coordonnées pour suivre leur aventure :

Page Facebook : Raid ECS Strasbourg
Compte Twitter : @RaidECSstras
EMail de Julien Werny : Julien.Werny25@gmail.com
EMail d’Annabelle Bendel : Annabelle.Bendel@gmail.com

NB1: Pas de contacts entre les équipes concurrentes pendant la course, uniquement une ardoise pour signaler un problème technique: original !

NB2: Julien prend en ce moment des cours de mécanique auto, alors si vous avez une vidange à faire, n’hésitez pas ! 😉

Geeks, êtes vous tous devenus des datasexuels ?

Geeks, êtes vous tous devenus des datasexuels ?

Tiens, en voilà une bonne question! Tout d’abord, savez-vous ce que l’on nomme « datasexuel« ? C’est tout simple en fait, c’est un modèle théorique qui dit que le datasexuel est l’évolution numérique du métrosexuel : en gros, tu es un mix entre un geek et un métrosexuel, tu passes ton temps à partager tes données (les fameuses « data »), et tu le vis plutôt pas mal puisque tu trouve cela classe voir même « sexy » !

Je ne connaissais pas le terme il y a quelques mois, je l’ai connu par ma chère et tendre qui après avoir vu un reportage sur la Matinale de Canal + à ce sujet, me traita un matin de « datasexuel« . Premièrement énervé voir même un peu con car je connaissais pas la signification de ce sobriquet, j’ai du faire quelques recherches pour m’apercevoir qu’elle avait raison : j’étais bien devenu DATASEXUEL ! Je vous rassure, ça fait pas mal, sauf à la batterie de votre smartphone… Car, en effet, être datasexuel, c’est avoir une troisième main en forme de pomme (Apple) ou de robot (Androïd) et faire mumuse toute journée à détailler via des données connectées toute sa vie: ces endroits préférés avec Foursquare, le film qu’on vient de mater avec GetGlue, le nombre de kms fait à la course à pied avec RunKeeper… La liste est longue, et c’est là où on s’aperçoit qu’on le fait quasiment tous maintenant, avec certes, un degrés d’addiction variable selon les individus. Mais en général, on peut remarquer facilement que moins tu as une vie qui t’éclate, plus tu as envie de la partager en « data » sur ces nombreux réseaux ou applis: en gros, si tu n’existes pas dans la vraie vie, tu te dis que tu peux tenter le coup dans le virtuel?


Il est clair que ce coté datasexuel a été boosté par les réseaux sociaux, car bcp d’entre eux sont interconnectés provoquant un meilleur impact certes mais une plus grande dépendance. On en revient toujours au même problème: Communiquer Beaucoup ne veut pas tout le temps dire Bien Communiquer, il nous faut donc gérer nos datas ou tout simplement être réfractaires au système et rester à la lisière de la technologie sans y toucher… (Ça peut marcher, la preuve, nos parents et grand parents le font en ce moment même, et ils sont pas moins heureux !)

Donc oui, pour moi, je milite pour les datasexuels à partir du moment où ils maitrisent leur communication personnelles selon un but précis et sans exagérer :

Exemple numéro 1 : Tu es créatrice de mode, tu postes tes dernières créations sur Instagram, tu les retweetes avec le compte Twitter de ton blog pour avoir les avis de tes followers : OK !

Exemple numéro 2 : Tu es ambulancier, tu prends une photo de ton plateau repas pris à la cantine de l’hôpital service oncologie, tu y checkes avec Foursquare, et tu partages cette photo sur Facebook avec tes cousins ados et attardés : NON !

Etre datasexuel: pourquoi pas, mais ça doit pas t’empêcher de respecter les gens qui te suivent, t’entourent ou partagent ta vie IRL (In Real Life).

En conclusion, je vois que cet article n’a donc ni queue, ni tête (rien à voir avec le coté « sexuel » évoqué précédemment) mais j’espère au moins qu’il vous aura appris un nouveau mot (utilisable au Scrabble, ça fait pas mal de points).

Cependant, si le sujet vous intéresse, je vous conseille l’article sur SLATE : Le «datasexuel», le nouveau métrosexuel connecté ou encore ce graphique qui a fait le tour de la toile et vu sur Le Journal du Geek : Quel #Datasexuel es-tu?

Enfin, je vous conseille le dossier spécial Datasexuel dans le prochain numéro de GQ papier (normalement octobre 2012) pour le lequel j’ai été interviewé par un journaliste très sympa qui m’a repéré sur Twitter car j’y assume mon coté datasexuel jusque dans ma bio numérique ! (Je mettrais à un scan de l’article ici dès le numéro de GQ sera sorti en kiosques).

NB: j’ai pas parlé des geekettes, mais sachez que tout ce que je dis pour les mecs est valable pour les filles, même si les datasexuelles sont plus rares que les datasexuels ! 😉

Kapoué Test n°14: Au fût et à mesure, bar à bières self service

Kapoué Test n°14: Au fût et à mesure, bar à bières self service

Un bar à bières original, des tireuses au bout de chaque table, des cartes magnétiques pour se servir soit même à ces tireuses… Il m’en fallait pas plus pour lancer un nouveau Kapoué Test.

Accompagné ce coup-ci de Chouniz et de Pierre (tous les autres Kapoué testeurs n’étant pas dispos), nous avons donc testé cet endroit : « Au fût et à Mesure ».

 Voici donc nos 3 avis les uns après les autres, mais avant toute chose, voici le principe :  Vous achetez au barman une carte magnétique que vous chargez de la somme que vous voulez. On vous met à disposition des verres propres selon le nombre de convives, il ne vous reste plus donc qu’à vous servir : Pour cela, il y a une tireuse de bière par table, chaque tireuse étant une bière différente. Ces dernières sont accompagnées d’un écran qui vous donne la description du breuvage, le prix, et ce qu’il vous reste sur votre carte prépayée.

Avis de Chouniz :

En ce qui me concerne le principe de tirer sa propre bière présente un aspect ludique mais aussi un peu stressant car je me suis dit « mais si jamais je n’ai que de la mousse, ce sera la honte!! » et bien finalement on se prend vite au jeu à jouer la barmaid.

L’idée de la bière différente à chaque tireuse accompagnée de son descriptif est bien faite, car si on est pas connaisseur de bières, ça nous guide dans notre choix. Le panel de bières est très large et renouvelé donc on se retrouve pas coincés avec tout le temps les mêmes bières, le prix est un peu plus cher qu’ailleurs, mais il se justifie considérant que ce sont des bières un peu différentes de ce qu’on peut trouver ailleurs, du coup ça ne gêne pas tant que ça.

Pour chercher sa bière il faut donc se déplacer, et par conséquent déranger les gens qui sont assis près de la tireuse qui nous intéresse, je dis « déranger » car je trouve que le placement de la tireuse n’est pas très pratique, elle est placée au fond de la table coté mur, donc on doit passer entre les tables, derrière les gens pour se servir. C’est sûr que cet agencement n’est pas dû au hasard mais plutôt à une question du placement des fûts, mais même si le déplacement vers d’autres tables amène à discuter avec d’autres personnes, tout le monde n’est pas ouvert aux discussions, et avoir quelqu’un dans son dos toute la soirée qui se sert en bière, c’est moyen.

Le système de carte magnétique est pratique, il n’y a pas la question à la fin de la soirée de savoir qui paye quoi, qui a mis combien, à qui doit-on 1 ou 2 cents…si on veut éviter tout souci, on prend chacun une carte, sinon le partage de carte est tout fait faisable, sauf dans le cas où on y vient avec son oncle Picsou, là on se fait avoir.

Comme c’est du self service, la question du pourboire ne se pose pas non plus.

la carte a une durée d’utilisation de 6 mois après la dernière boisson, donc une bonne idée pour fidéliser son client…il ne faut jamais gâcher quelques centilitres de bières disponibles sur la carte!

Enfin, comme la carte est débitée par centilitres, on prend autant qu’on veut de chaque bière, on peut donc se servir de toutes petites quantités de chaque bière pour goûter sans forcément devoir goûter la bière du voisin, et on se retrouve pas avec 25 cl de bière à finir si on se rend compte que notre choix a été mauvais.

Voila, pour résumer, peu de points négatifs, je pense que j’y retournerais surtout si comme le disait le patron, le panel de bières est souvent renouvelé.

Avis de Pierre :

En sortant d’Au Fût et à Mesure, j’étais plutôt content. Forcément, une bière à 9° puis une à 6° en After Work (comprendre « à jeun »), ça tape.

Mais, en toute objectivité, une fois mon taux d’alcoolémie revenu à la normale, je dois dire que l’impression persiste!

Ce n’est pas tant le principe « ludique » de tirer soi-même ses bières que quelques petits points qui m’ont rendu l’endroit sympathique.

D’abord, un nouveau bar c’est en soi une bonne nouvelle. Alors un nouveau bar à bières qui ouvre à 20 mètres de chez Jeannette et moins de 50 des Berthoms, c’est plutôt culotté…j’aime! D’autant plus que la décoration est réussie… pour peu que vous ne bloquiez pas sur le Comic Sans MS utilisé sur les écrans.

Pour ce qui est du paiement par carte, il va vous demander de vous organiser pour la créditer (a moins que vous n’en preniez une chacun) puisqu’elle permet de payer les bières à la pression ainsi que toutes les consos dispo au bar. Si vous êtes à quelques euros près, payez vos boissons direct au barman ou vous risquez de perdre vos amis à tenter de faire vos comptes. Mais c’est le prix à payer pour pouvoir ensuite être libre de partir dès vos verres finis, et ça c’est plutôt sympa.

(Bon, au Blog Kapoué, on boit TOUJOURS avec modération, et on ne doute pas que vous en fassiez autant, mais payer par carte magnétique, c’est aussi un bon moyen de définir votre budget boisson en début de soirée et être sûr de ne pas le dépasser…sans compter que vous ne prenez pas le risque d’avoir oublié votre code de CB en fin de soirée!).

Me concernant, LE truc qui me fera sûrement retourner au Fût et à Mesure, c’est tout simplement…la bière! Ben ouais, vous en connaissez beaucoup, vous, des bars servant 7 ou 8 bières à la pression, au centilitre (!) et qui changent en fonction des saisons ? Leur meilleure pub serait d’ailleurs d’afficher dehors la carte des bières en service, c’est typiquement ce qui pourrait me décider à entrer en passant devant.

Le bar revendique aussi le côté convivial d’aller se servir aux différentes tireuses et on soupçonne que l’ameublement en longues tables soit dans le même but. Il faut bien le dire, on n’a pas spécialement  tissé des liens avec les autres clients, mais ceux que l’on a dérangé pour aller se servir et ceux qui se sont installés à nos côtés ont tous joué le jeu : on échange quelques mots et l’atmosphère est polie. Gageons qu’après quelques bières de plus, l’effet est décuplé!

Au rang des points « négatifs », je note la présence de 2 écrans géants pas forcément nécessaires (le but est peut-être là encore de générer de la convivialité en diffusant des matchs…ou de se distinguer des établissements voisins?). Heureusement, le son n’est pas branché et on n’y diffuse pas les clips d’une chaîne musicale, ouf!

Oubliez si vous comptiez y emmener votre dernière conquête ou si vous êtes nombreux (à moins d’avoir réservé!) mais si vous êtes quelques amis et que vous avec envie de boire de bonnes bières en pression, dans un lieu sympa, foncez!

Mon avis (@Jacktyphus) :

Je rejoins (comme d’hab) l’avis de mes deux comparses, pour ma part, je trouve le principe sympa mais ça révolutionne pas grand chose, le cadre reste cosy, et les prix cohérents.

Voici donc en vrac mes remarques :
– Bar mal insonorisé, rapidement bruyant, mais d’un autre coté, c’est souvent le cas dans un bar de ce genre.
– Un type de bière par table… Pas de peur de déranger les autres?
3€ les 25 cl avec la carte en Happy Hour, 3€70 en temps normal : tarif classique mais bières spéciales alors…
– Plus vous chargez la carte, plus vous avez des bonus : par exemple, on a mis 20€, on a eu 2€ offerts donc 22€ de bières à consommer !
– Niveau taille du bar, je dirais à la louche une cinquantaine de place, et une terrasse. Vous pouvez réserver bien évidemment.
– Serveur sympa
– On peut regretter le manque de serviettes en papier à disposition auprès de chaque tireuse, car pour les maladroits comme moi, tu en fous partout et tu te fais pas des amis…
– Chose intéressante, avec ce système, on peut se servir des petites quantités de bières pour gouter par exemple.
– Pour terminer, je dirais que la clientèle est assez variée, il fait donc bon vivre dans ce bar : A essayer donc à plusieurs pour varier des bars habituels à Strasbourg pour son coté original et son choix de bières.

On peut donc enfin « tirer son coup » avec les doigts et les lèvres dans la bière, devant tout le monde, et ce, pour quelques euros à Strasbourg ! 😉

Coordonnées:
Au fût et à mesure
25 rue des tonneliers
67000 Strasbourg
03 88 23 48 54
strasbourg@aufut.fr

Découvrez Ciné Cool : Cinéma à 4 € !

Découvrez Ciné Cool : Cinéma à 4 € !

Petit article rapide pour vous présentez un bon plan qui ravira les fans (fauchés ou pas) du grand écran: les Journées Ciné-Cool !

Comme chaque année, l’UGC organise avec des partenaires en Alsace et en Lorraine du 25 août au 1er septembre une présentation d’avant-premières avec pour la plupart la présence des équipes des films.

Profitez en donc dès le 25, car en plus, les tous autres films sont aussi à 4€ quelque soit la séance… Une bonne idée pour découvrir les futures pépites du cinéma français ou les classiques de cet été (« The Dark Knight Rises » entre autres…)

Pour ma part, je vous conseille les avant-premières de « Do Not Disturb » le 27 août :

ou encore celle de « SuperStar » le 25 août :

En plus, il ne fera pas beau ce week-end, alors éclatez vous dans les salles obscures de l’UGC Strasbourg ! Pour ma part, je vais essayer d’y aller pour rencontrer l’équipe du film « Populaire » pour un futur article sur votre blog préféré… Bonnes séances à vous tous !

Pour plus de renseignements et bandes annonces:

Site officiel de Ciné Cool

Kapoué Test n°13: American Stuebel à Strasbourg

Kapoué Test n°13: American Stuebel à Strasbourg

USA, Alsace : 2 endroits et 2 cultures culinaires complément différentes alors quand un restaurant fraichement ouvert se vante d’avoir réussi à fusionner les 2 cuisines, il me fallait le tester. J’ai donc été accompagné par 3 Kapoué Testeurs : Réjane du blog FoodForLove, Sandra du blog CuisineAddict et Pierre un fidèle Kapoué testeur qui nous avait déjà bien aidé sur le test des Happys Hours de Strasbourg.

Honneur aux filles spécialistes de cuisine, puis vous aurez l’avis de pierre et ma petite conclusion !

Avis de Sandra :
De l’extérieur le resto est très sympa, une petite terrasse agréable mais bizarrement déserte (bon on est en août aussi), lorsqu’on s’approche pour regarder la carte un serveur nous salue immédiatement avec le sourire.
A l’intérieur une déco agréable et soignée, c’est propre (et toujours aussi vide ^^) mais je regrette que l’ambiance « américaine » et/ou « stuebel » ne soit pas plus présente.


La serveuse nous place rapidement, nous amène la carte et nous propose un apéritif, rien de follement excitant à ce niveau sur la carte, j’opte pour une desperado, à 5 € et je poursuit la lecture de la carte pour trouver mon plat.
On a des salades, des burgers (un classique et un « american stuebel burger ») ou du canard au cherry coke (déjà plus original). Je choisi l’american stuebel burger à 15 € qui est un burger garni d’un fleishkiechele et de fromage. La serveuse me demandera quel fromage je souhaite entre brie et fourme d’Ambert, je choisi le brie.. Ils aurait pu proposer du munster, on aurait été pile dans le concept.
Le burger se révélera bon mais sans plus: un fleishkiechele excellent, bien assaisonné et avec de bons petits oignons mais un bun industriel sans grand intérêt et surtout pas de trace du brie. Le burger est servi avec des frites, pas mauvaises mais pas maison, heureusement un bon petit coleslaw avec choux, carotte et raisin est également servi et m’a beaucoup plu.
Côté dessert, là j’ai été déçue: que de l’industriel, très sucré et nappé d’une chantilly en bombe. Je voulais terminer sur quelque chose de frais, donc exit les brownie, pécan pie ou cheesecake, je me suis rabattue sur la glace haagen dasz à 5 €, bonne mais malheureusement pleine de cristaux, bref, pas top côté dessert. J’aurais apprécier quelques desserts maison et, pourquoi pas, plus alsaciens (tartes, sorbet arrosé, etc…).
Bref, une adresse avec un concept sympa qui pourrait être un peu plus poussé, un cadre soigné et une équipe sympathique et souriante. J’y retournerai volontiers si la carte évolue pour coller plus au concept.

Avis de Réjane :
Je n’ai jamais testé de resto pour en parler dans un article. C’est marrant, en tant que blogueuse culinaire l’idée aurait dû murir dans un coin de mon cerveau depuis longtemps … Donner mon avis bien souvent tranché sur la cuisine d’autrui.
Du coup, quand J. m’a proposé de faire partie du test, je n’ai pas hésité très longtemps …
Avec Sandra, on est arrivée en avance. L’occasion de lorgner la carte et de se mettre en appétit.
Tout donne envie, les serveurs sont souriants et accueillants mais je crains un peu pour mon estomac vu que je suis presque totalement végétarienne ! Peu de poissons et de fromage à la carte …
J’ai personnellement beaucoup aimé la déco. C’est chaud et cosy, pas cliché mais ça ne colle pas vraiment avec le thème. En même temps avec des classiques américains revus à l’alsacienne, valait mieux rester sobre au niveau atmosphère …
J’ai choisi le plat Georgia Coconut Shrimp, tandis que deux de mes compères s’orientent vers des burgers et que Pierre s’oriente vers une truite saumonée avec un écrasé de pommes de terre au Noilly Prat. Les plats arrivent presque tous en même temps, les assiettes sont jolies et colorées.


Niveau goût, j’ai trouvé que mon plat manquait de saveurs et de peps. C’était bon et frais mais mes pupilles ne se sont pas dilatées à la première bouchée !
Je goûte le burger de Sandra, très bon. Bien cuisiné et bien assaisonné, mais on cherche encore le brie ? Finalement, on suppose que c’est J. qui en a hérité dans son burger classique !
Nos assiettes repartent vides, sauf la mienne avec mon estomac de moineau ! Forcément.
Nous commandons les desserts. Je prends un café gourmand tandis que Pierre s’attaque à un cheesecake. Attention, LE gros risque …
Mon dessert arrive … énorme. Je m’attendais à une assiette de petites douceurs, mais me voilà avec plusieurs desserts ! Et sans café … (Arrivé en décalé)
Pour moi le dessert, c’est le plus gros bémol de l’aventure. Beaucoup trop sucré … Le cheesecake était très bon. Une texture moelleuse et crémeuse, mais là aussi, trop de sucre, tue le sucre !
La serveuse s’est inquiétée de voir mes assiettes repartir presque pleine. Je le note parce que ce n’est pas le cas dans tous les établissements ! Estomac calibré oblige, je n’ai pas fini mes assiettes. Si j’avais pu le faire, j’aurai mangé la portion (du plat surtout) qu’on m’a allouée !
La note n’est pas salée, on s’en sort à moins de 25 euros avec un apéro, un plat et un dessert !
Bilan:
Les points positifs
Décoration et atmosphère cosy
Accueil sympathique, disponibilité
Carte appétissante et pas trop chargée
Les points négatifs
Manque de saveurs pour mon plat
Peu de plats adaptés pour un végétarien
Desserts très sucrés

Avis de Pierre :
Quand @JackTyphus m’a proposé de tester l’American Stuebel, je dois bien avouer que je n’avais jamais entendu parler du restau en question et que j’ignorais même où il pouvait bien se situer. Mais le nom sonnant comme la promesse de voir mariés les classiques alsaciens et d’outre-atlantique, il n’en fallait pas plus pour me motiver.
Le hasard faisant bien les choses, je suis passé au moins 2 ou 3 fois devant dans les jours qui ont suivi. Bonne nouvelle pour l’emplacement : c’est proche de lieux que je fréquente régulièrement! J’ai aussi flashé sur l’enseigne et la déco avait l’air sympa, me voilà donc plus motivé que jamais pour ce Kapoué Test!
Au menu pour moi ce soir « Catch of the Day » et Cheesecake! Pour le plat principal, j’ai opté pour la pêche du jour : de la truite saumonée. Même si un peu déçu par la quantité dans mon assiette, le plat était plutôt sympathique et frais, ce qui en fait un très bon choix pour celles ou ceux qui ne se sentent pas d’engloutir un burger ou qui recherchent à dîner léger! En revanche, rien de typiquement alsacien ou nord-américain dans mon assiette!

Pour le dessert, je franchis l’atlantique et choisis le quitte ou double, ce sera un cheesecake! Présentation top, texture top, croustillant top…mais bien trop sucré à mon goût!
Alors, verdict ? Emplacement compatible avec mes habitudes de sorties, lieu sympa et service agréable mais je reste à convaincre qu’il s’agisse d’un véritable « American » Stuebel ! Il me faudra donc y retourner car j’ai conscience d’avoir été trop classique dans mes choix… la prochaine fois ce sera canard au cherry coke!

Mon avis sous forme de conclusion :
Pas grand chose à rajouter, je suis globalement d’accord avec les avis de mes comparses, je pense en effet qu’ils auraient pu faire un réel effort sur les propositions de plats, et surtout des desserts, trop sucrés et trop industriels… Concept bon mais à peaufiner, à découvrir bien sur ! On attends vos avis chers lecteurs… Merci à mes Kapoué Testeurs pour leur bonne humeur et leur articles respectifs, et merci à Rejane pour ces jolies photos qui décorent cet article.

Galerie photo de la soirée:

Coordonnées :

AMERICAN STUEBEL
5, rue des Orphelins 67000 Strasbourg
(entre la Place d’Austerlitz et la rue Sainte Madeleine)
Réservation : 03 88 100 777

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