Premières impressions sur le DIGITAL & GAME SHOW Strasbourg
Cette après midi, je me suis baladé au DIGITAL & GAME SHOW Strasbourg : salon connecté pour les fans de jeux vidéos, de mangas, et du monde digital. J’avais été à la conférence de presse, et ça me semblait prometteur… Voici donc mes premières impressions.
Le salon se passe sur deux jours ce week-end, à Strasbourg, au Parc des Expositions. Ancien fan de jeux vidéos, j’ai levé le pied depuis quelques années par manque de temps et non d’intérêt, il me fallait donc y aller car les événements de ce type ne se passent pas tous les jours à Strasbourg.
Tout d’abord, arrivé sur place, je trouve que c’est assez mal indiqué, à part une malheureuse pancarte, c’est difficile à trouver si on connait pas. A 14h10, il n’y avait personne qui attend aux caisses, j’entre donc facilement (pour le coup, j’avais un pass presse). Dès qu’on rentre, on voit qu’il a pas mal de bruit car en fait chaque univers se mélange au niveau du son : concours de Mario Kart d’un coté, chorégraphie de danse (DANCE DANCE REVOLUTION) de l’autre, sans parler des différents stands. Cependant, je parcoure le salon motivé de le découvrir !
Les gros éditeurs de jeux vidéos sont là (Capcom, Konami…), les constructeurs de consoles aussi (Sony, Nintendo et Microsoft), ainsi que des locaux comme LUDUS et JAPAN ADDICT. On peut aussi se restaurer avec des ramens japonais ou encore des boulettes au poulpe.
J’avais mis mon t shirt de geek ! #StreetFighter
On croise aussi des stars du jeux vidéos, et des guests comme Julien Tellouck, expert français du jeu digital qui officie comme présentateur sur Game One aussi. Casques de réalité augmentée, stands pour les produits dérivés (j’ai craqué pour une figurine Breaking Bad pas mal) sont aussi présentes.
Bref, il y a beaucoup de choses, c’est parfois un peu fouillis, mais je pense que ça plait pour les fans du genre, mais aussi leurs parents car il y a pas mal de retro-gaming. Par contre, la météo a pas été sympa, il faisait une chaleur à crever ! Fallait souvent prendre l’air dehors près du foodtruck.
Pour conclure, je vous conseille d’y aller si vous êtes vraiment fans d’un des univers (ça ferme demain 18h), vous y trouverez votre compte. Moi j’ai trouvé ça sympa, mais si j’avais du payé 12 euros l’entrée, j’aurai sans doute été déçu. Par contre, c’est top, si tu veux faire des tournois sur ton jeu préféré (Fifa15, Mortal Kombat ou autres) contre des pros !
A vous de voir, en attendant, voici quelques images que j’ai tourné lors de ma visite :
Pour plus d’infos, et autres tarifs : http://digital-and-gameshow.com/
NB: C’est une première édition, je pense qu’elle était un peu en rodage. Je retournerais avec plaisir à la prochaine. Je regrette juste de pas avoir eu 10 ou 20 ans de moins je pense que j’aurai plus kiffé ! 😉
NB2 : J’ai volontairement pas détaillé les univers et le planning dans cet article, car c’est mieux fait dans le site officiel alors n’hésitez pas à le consulter pour voir le programme de demain.
2 replies on “Premières impressions sur le DIGITAL & GAME SHOW Strasbourg”
Personnellement déçu, 12 euros c’est trop cher payé pour ce que c’est. Autant aller jouer aux consoles de démo à la fnac…
Le seul truc sympa que j’ai trouvé, c’est le coin retrogaming
PS: le site web est une catastrophe sur mobile
Pour une première édition j’ai trouvé ça super : j’ai bien mangé, j’ai joué à pleins de jeux, discuté avec des passionnés, j’en suis sortie avec des cartes de visites en pagailles comme autant de rappels pour aller visiter tous ces nouveaux facebook et sites geekisants, comme l’ordinateur cube (oups « Kubb ») ou les cosplayeurs Ed W Art, Karaage, des créateurs comme l’Atelier Peau de l’Ours… J’en passe. Bref sympa ! J’ai juste trouvé étrange le fait que si on avait été prévoyant à l’entrée le matin on se tapait une queue comme ace avec son billet pour essuyer ses larmes, alors que sans billet on passait direct aux caisses et blop! dans le festival xD Quelques ajustements logistiques à apporter donc et le son à bosser effectivement. En résumé ça risque fort d’être de mieux en mieux au fil des éditions comme le conclut ton billet.